La PSYCHOBIOLOGIE
Quand « le psychique fait alors un saut dans l’organique » (Freud)
« Les phénomènes émotionnels et psychiques influencent réellement nos fonctions corporelles. »
(Extrait du discours inaugural pour la remise du triple prix Nobel de médecine et de physiologie 1977
par le Pr Rolf Luft de l'Institut Médico-Chirurgical
Karolinska)
« Nous sommes notre meilleur anti-cancer » ,
car « il existe un lien très sérieux entre les émotions que nous vivons et l’apparition d’un cancer » .
« Le stress serait un élément à la fois déclencheur mais aussi aggravant d’un cancer. »
(Dr David Khayat, cancérologue, septembre 2018
il a été notamment le conseiller de Jacques Chirac sur le cancer, ensuite le fondateur
et le directeur de l'Institut national du cancer dans les années 2000. En
2013,il crée la Fondation AVEC.)
« Il ne faudrait pourtant pas oublier que
ce n'est pas le médecin qui vient à bout de la maladie, mais
le malade.
Le malade se guérit lui-même, comme c'est par ses propres forces
qu'il marche, pense, respire, dort
et encore le désir refoulé se manifeste par la maladie.
»
(Le célèbre psychologue Carl Jung)
« I
l est folie de vouloir guérir le corps sans l'intervention de l'esprit. » (Platon)
Pour recevoir la
LES PISTES DE COMPREHENSION DE RETROUVER SON NORD
Vous êtes sur le site de Retrouver Son Nord
Liens vers les autres pages principales :
« La
santé c’est être capable de tomber malade et de s’en relever. »
Georges Canguilhem, philosophe et médecin français
Observation qui part de la croyance encore dogmatique qu'il y a des maladies
qui sont psychosomatiques et d'autres qui ne le seraient donc pas !
Toute maladie relève à la fois de l'esprit et du corps et toute thérapeutique est, de ce fait, de la médecine psychosomatique. Lorsqu'on en sera dûment persuadé, le terme psychosomatique pourra disparaître, les données qu'il traduit étant désormais impliquées dans le terme médecine. WEISS et ENGLISH auteurs de ‘Médecine Psychosomatique. L'Application de La Psychopathologie aux Problèmes Cliniques de Médecine Générale’ et cités par Marc-Alain Descamps (1992). Corps et psyché, (Ed. Desclée De Brouwer, p. 16).
AVERTISSEMENT IMPORTANT :
n
ous n'adhérons en aucun cas à la Biologie-Totaleque nous refusons vu les dérives qu'elle génère
par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.
(Voir notre avis).
Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière
les comportements intégristes et outranciers du Dr Hamer.
Deux chapitres du livre écrit par Baudouin Labrique,
"Quand les thérapeutes dérapent" y sont consacrés.
En revanche, ce à quoi nous faisons plutôt référence sur ce site, ce sont les outils utilisés en filigrane dans les séances de psychothérapie et qui sont en phase notamment avec les incontestables apports d'Einstein, les confirmations données par de la Physique Quantique et celles de la psychobiologie moderne dans ce qu'ils mettent en lumière les rapports du psychisme sur le corps et inversement, d'une manière bien plus sensée et bien plus complète que n'a su le susciter la Biologie-Totale et qui a plutôt démontré une piètre capacité à "former" des thérapeutes dignes de ce nom (fréquentes carences criantes et dangereuses vu notamment des comportements iatrogènes – ou maux provoqués par l'attitude de l'accompagnant – et des enfreintes relatives à l'éthique et à la déontologie).
D'ailleurs, on découvrira ici qu'historiquement, la psychothérapie incluait la dimension psychobiologique, mais très peu de gens le savent, d'où la création de cette page consacrée à la psychobiologie.
Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux. Marcel Proust
A u risque de surprendre certains, le côté hasardeux de la survenance des maladies n'existe pas et que tout ce qui affecte le corps est toujours, selon l'observation empirique, un programme psychobiologique de survie ou d'adaptation au milieu :- soit l'adaptation de l'espèce au milieu extérieur, ce qui engendre la transformation forment des espèces (par exemple devenir un singe pour s'adapter à la vie en forêt ou développer des nageoires pour s'adapter au déplacement dans l'eau, etc.), - soit l'adaptation de l'individu au milieu intérieur (le corps) pour s'adapter à une situation conflictuelle particulière, par exemple, dans le cas où l'on ne peut pas digérer quelque chose, fabriquer davantage d'estomac pour le digérer (cancer) etc. Exemple de la brebis qui est séparée de ses petits et qui contracte dans certains cas un cancer aux mamelles.
C'est la médecine tout entière qui doit s'ouvrir à la psychologie et devenir psychosomatique. Ou pour mieux dire, avec WEISS et ENGLISH [°] : " Toute maladie relève à la fois de l'esprit et du corps et toute thérapeutique est, de ce fait, de la médecine psychosomatique. Lorsqu'on en sera dûment persuadé, le terme psychosomatique pourra disparaître, les données qu'il traduit étant désormais impliquées dans le terme médecine ". Mais pour cela il faut que tous les médecins et psychiatres soient authentiquement formés à la psychologie et aient renoncé au préjugé organiciste [°°]. (Marc-Alain Descamps, Corps et psyché, 1992, p16). ° Ouvrage de référence : Médecine Psychosomatique. L'Application de La Psychopathologie aux Problèmes Cliniques de Médecine Générale. °° Dogme omniprésent en science médicale et qui veut attribuer la cause de maux même psychiques à des dysfonctionnements organiques ou fonctionnels, sans aller investiguer l’histoire et le vécu du sujet. Exemple : la manière dont la dépression est trop souvent traitée en médecine.
La psychothérapie est l'ensemble des moyens par lesquels nous agissons sur l'esprit malade ou le corps malade, par l'intervention de l'esprit." (Dr Antoine Porot, co-auteur du ‘Manuel alphabétique de psychiatrie - 1952).
La psychothérapie ne se limite donc pas aux troubles mentaux.
Dans le cas de troubles somatiques, donc physiques, la
psychothérapie peut intervenir efficacement : même si les
relations entre l'immunité et le psychisme sont scientifiquement
avérées, elle n’a aucune prétention scientifique a priori. Qu'observe-t-on généralement dans ce que livrent les patients par rapport à la manière dont leurs diverses somatisations sont apparues ? Le cerveau intégrant le symbolique comme s'il s'agissait de la réalité physiologique des choses, toute situation conflictuelle non résolue et même psychologique est interprétée et traduite somatiquement par lui : comme si = c'est. Mis à part les effets dus à l'exposition à de puissants toxiques (radiations, poisons...) aux effets imparables, le cancer ou quelque affection que ce soit n'est alors pas une « maladie » ou une « pathologie » comme le conçoit la science dans sa frange (viscéralement et dogmatiquement) matérialiste et rationaliste, mais une adaptation à une situation conflictuelle donnée, qui est fonction de la manière dont le conflit est « ressenti » et donc de façon particulière à la personne (tributaire de son histoire et de son vécu). Ici encore gardons nous des pièges de la pèche aux "décodages"..., qui sont des dérives thérapeutiques flagrantes quand ce sont des prétendus thérapeutes qui s'y livrent.
Il faut donc rechercher le moment exact où l'affection est apparue et chercher la situation conflictuelle (surstress) que l'on a eue à ce moment-là et préciser la manière dont on l'a ressentie et notamment que représente pour la personne l'interface que constitue l'organe ou la fonction atteints à ce moment-là. Y arriver seul est une grande difficulté car, par peur de souffrir encore, l'inconscient refoule les informations qui permettraient d'identifier les causes des maux. En revanche, les partenaires de ce site exercent via le recours à une anamnèse (terme qui signifie prise de conscience) lors de leur accompagnement psychothérapeutique.
L'observation psychobiologique moderne permet de mette au jour les rapports entre le psychisme et le corps et parmi leurs effets, les mal-être, malaises et maladies... C'est ainsi que chaque maladie ("mal a dire") est le transposé d’une situation conflictuelle non résolue, comme tentative temporaire de résolution et, surtout, dans le but de faire baisser le surstress interprété comme un danger de mort imminente par le cerveau reptilien (tronc cérébral), du fait de la perte de vigilance qu'un tel stress ou peur particulière entraînerait s'il n'était pas alors aiguillé dans un organe ou une fonction cible : la somatisation est alors l’expression d’un programme automatique de survie comme l’est, par exemple, le furtif et involontaire geste qui fait s’écarter la main du feu, le corps d'un danger perçu comme imminent .... salome"Les maladies sont des langages symboliques avec lesquels nous tentons d'exprimer à un entourage significatif nos sentiments réels, nos conflits, nos séparations...quand ils sont censurés ou interdits par des peurs". (Jacques Salomé "Si je m'écoutais vraiment je m'entendrais"- 1990)
Rencontre
avec la maladie
"Tomber
malade, entrer en maladie
C'est un
langage qui parle en nous de nous.
Ce peut
être le réveil d'une blessure de l'enfance,
Ce peut
être l'hémorragie affective
Ce peut
être encore l'expression d'une fidélité,
Ou plus
simplement parfois,
Être
malade est une invitation bouleversante
Une
sollicitation à mieux écouter la relation
Une
invitation à se respecter vis à vis d'autrui,
Une
incitation à ne plus se laisser définir,
"Avez-vous remarqué la corrélation entre la disparition de vos maux physiques d’antan et l’apparition de troubles émotionnels (dépression, apathie) ou mentaux (troubles de la mémoire, etc.) ?" Dr Edouard Broussalian
Pr René Dubos, célèbre
microbiologiste et inventeur du premier antibiotique, cité par Sarah Bosely
dans
The Guardian du 3 mai 2000. "Quelles que soient sa cause et sa manifestation chaque maladie implique tant le corps que l'esprit, et ces deux aspects sont à ce point interconnectés qu'il est impossible de les séparer l'un de l'autre." (Autre citation de René Dubos, extrait du livre Anticancer de Davis Servan-Schreiber).
"Tout symptôme est l’expression d’un conflit inconscient et la manifestation extérieure du retour du refoulé [...] Entre psyché et soma, il y a une frontière que mes successeurs devront explorer et dont ils devront découvrir les lois de fonctionnement." Sigmund FREUD
"Il ne faut pas confondre la maladie avec la lésion qui n’en est que la révélation matérielle ou le résultat éventuel." In Corpus Hippocraticum. de HIPPOCRATE, qui considéré comme le père de la médecine moderne.
Les enfants sont parfois les symptômes de leurs parents, suivant cette pertinente constatation de Françoise Dolto, c'est comme si les enfants somatisaient les problèmes familiaux (détails)
------------------------------------------------------
Le triple prix Nobel de physiologie et de médecine 1977
Plus de détails en cliquant ICI ou sur l'image (texte du Dr Jean-Michel Crabbé)
Extrait du discours de présentation par le Pr Rolf Luft de l'Institut Médico-Chirurgical Karolinska (université médicale, basée à Stockholm en Suède qui est l'un des centres de recherche médicale et de groupements universitaires les plus importants et les plus réputés du monde.
Il décerne tous les ans le prix Nobel de physiologie ou médecine.)
"Roger Guillemin et Andrew Schally ont contribué également de manière importante à ce domaine de recherche, explorant les protéines liées aux hormones. Pendant des décennies, on a parlé de l'homo sapiens indivisible, en certifiant que notre corps et notre esprit ne peuvent être séparés puisqu'ils forment une entité. Les phénomènes émotionnels et psychiques influencent réellement nos fonctions corporelles. Permettez-moi de vous donner un exemple. Lorsque les soldats américains ont été envoyés sur la scène de guerre en Europe, des milliers de leurs compagnes qui étaient restées au pays, ont vu leurs menstruations s'arrêter. Elles étaient en parfaite santé, mais le stress émotionnel avait une influence sur certaines de leurs fonctions corporelles, aboutissant à l'arrêt de ces fonctions.Au travers de quels mécanismes, la psyché influence-t-elle donc le corps ? Les phénomènes psychiques ainsi que l'impact qu'ils ont sur tout le corps amènent des impulsions électriques au cerveau. C'est le langage du système nerveux, le cerveau parle "électriquement". Le cerveau informe certains de ses centres de ce qui se passe, et ces centres relaient le message. Ces centres qui retransfèrent l'information aux organes du corps qui produisent les hormones, sont situés dans le cerveau moyen, une zone qui se trouve à la base du cerveau. A leur tour, les vaisseaux sanguins fins mettent en contact le cerveau moyen avec l'hypophyse, une glande pituitaire importante qui produit des hormones. Cet enchaînement fournit le chemin de la transmission des informations provenant des régions avoisinantes du cerveau, au cerveau moyen, à l'hypophyse et donc à toutes ces fonctions corporelles influencées et contrôlées par les hormones. [...] Les découvertes de Guillemin et de Schally ont débouché sur une révolution dans leur propre domaine de recherche. Cela a permis d'isoler encore d'autres protéines liées aux hormones du cerveau moyen, ce merveilleux organe de contrôle et de guidance qui aujourd'hui - plus que jamais - se révèle être une partie du lien qui unit le corps (soma) et l'âme (esprit)." © Traduction de Marie-Florence Labrique
"Il fallait bien un prix Nobel pour prouver que la médecine se trompe, renverser le dogme qui sépare la vie psychique et la vie organique, montrer les bases scientifiques d'une médecine globale, 'corps et psyché inséparables'. Pendant plus d'un siècle, la médecine occidentale a prétendu que l'activité électrique cérébrale n'avait pas d'effet sur les fonctions biologiques. Il est prouvé que les neurones sécrètent aussi des centaines de "neuromédiateurs", capables de piloter toutes les fonctions physiologiques périphériques : le prix Nobel 1977 a inauguré une nouvelle discipline, l'endocrinologie du cerveau. Les relations entre corps et psyché n'appartiennent plus au domaine de l'occultisme mais à celui de la science, et une nouvelle "psycho-biologie" est à découvrir [ndlr de Baudouin Labrique, partenaire de ce site : en fait cette science existe déjà : la psychobiologie ou neurosciences cognitives et il suffit donc de lui accoler par exemple le mot 'moderne']. En se limitant à l'aspect biologique des maladies, la médecine occidentale prive les malades d'autres façons d'envisager la maladie et même de guérir." (Dr Jean-Michel Crabbé, en commentaire de cette attribution d'un triple prix Nobel)
|
Psychobiologie de la guérison
(Ernest Lawrence Rossi, Ed. Le souffle d'or)
Le chirurgien des armées, Ambroise Paré au XVIème siècle
et qui avait inventé la technique de ligature des artères (ce qui sauve pas mal de monde) avait observé :
Les soldats blessés vainqueurs guérissent plus vite que les vaincus.
La psychobiologie repose sur une idée de base essentielle : c'est
l'information qui constitue à la fois le concept-clef et le lien entre toutes
les sciences, y compris les sciences humaines et l'art thérapeutique.
L’information est une énergie cohérente. L'information est le couple (joule ;
bit).
La psychologie, la biologie et la physique ont désormais un nouveau
dénominateur commun : l'information, couple (joule ; bit).
Pour comprendre vraiment comment cela est possible, il faut garder à l'esprit
le fait que "toutes les formes d'organisation sur les plans psychologique,
physique et biologique, sont en fait des expressions de l'information.
C'est-à-dire, de l’évolution du couple (joule ; bit)" suivant le principe de
l’équilibre homéodynamique du développement personnel de l’humain en
programmation neuro linguistique (PNL).
A ne pas confondre avec l'homéostasie (du grec homeo « semblable » et stasis «
arrêt ») [ ° ] qui est la capacité que peut avoir un système quelconque
à conserver son équilibre de fonctionnement en dépit des contraintes qui lui
sont extérieures. Selon Claude Bernard, « l’homéostasie est l’équilibre
dynamique qui nous maintient en vie. »
La notion est apparue en biologie, relativement à l'équilibre chimique des
organismes vivants, mais s'est révélée utile à la définition de toutes formes
d'organismes en sociologie, en politique et plus généralement dans les
sciences des systèmes. Il était abondamment utilisé par William Ross Ashby,
l'un des pères de la cybernétique. (Tom Stonier)
° Homéostasie du corps : Au delà de la vision étroite des perturbations "psychosomatiques" auxquelles on se référait alors, il ouvre la voie de la neuro-psycho-immunologie, une des approches les plus prometteuse du comportement humain en relation avec les mécanismes moléculaires et cellulaires.
L'inhibition de l'action peut être le facteur déclenchant de désordres neuro-psycho-immulogiques. La preuve est faite aujourd'hui des interrelations entre macrophages, hormones peptidiques et régulateurs du fonctionnement cérébral. Les trois réseaux qui assurent l'homéostasie du corps (système nerveux, immunitaire [°] et hormonal) convergent et s'interpénètrent. ."
Joël de Rosnay (Directeur de la Prospective et de l'Evaluation Cité des sciences et de l'Industrie – Paris )
[° Att ! Le système immunitaire est un concept fondé sur un dogme]
[Ndlr : En cas d'agression, de stress mal vécu, donc de conflit, voici ce que dit encore le Pr Henri Laborit ] : toute l'homéostasie (°) du milieu intérieur va se trouver perturbée en quelques instants. Et la conservation de notre "vie libre et indépendante" ne sera plus la conséquence de "la conservation de la constance des conditions de vie dans le milieu intérieur" mais de sa perte. Grâce à cet abandon momentané, la fuite — en soustrayant l'organisme au danger survenu dans l'environnement — ou la lutte — en le faisant disparaître en agissant sur lui — permettront le retour à des conditions de vie normale dans l'environnement. Ce n'est qu'alors seulement que le retour à l'homéostasie du milieu intérieur redeviendra possible. Nous avons donc été conduits à distinguer une homéostasie restreinte au milieu intérieur et, en passant au niveau d'organisation supérieur, une homéostasie généralisée de l'organisme dans l'environnement. Il y a bien là changement de programme pour atteindre un but identique : la survie. C'est un phénomène analogue qui, pour les sociétés humaines, fait passer d'une économie de paix à une économie de guerre.
(°) Homéostasie : capacité à conserver l'équilibre de fonctionnement en dépit des contraintes extérieures.
Le médecin devrait connaître le visible de l'homme autant que le visible...
Il y a une grande différence entre le pouvoir qui fait disparaître la cause invisible d'une maladie
et celui qui en fait disparaître les effets externes. (Paracelse, 1493-1541).
Les neurosciences cognitives (ou psychobiologie) désignent le domaine de recherche dans lequel sont étudiés les mécanismes neurobiologiques qui sous-tendent la cognition (perception, motricité, langage, mémoire, raisonnement, émotions...) C'est une branche des sciences cognitives qui fait appel pour une large part aux neurosciences, à la neuropsychologie, à la psychologie cognitive, à l'imagerie cérébrale ainsi qu'à la modélisation. (La psychobiologie est une branche enseignée à l'Université)
Au répertoire musculaire des émotions correspond un clavier de modifications humorales et neurovégétatives..
Jean-Didier Vincent - Biologie des passions.
La psychobiologie moderne dont il est fait état ici est parfaitement en phase avec les découvertes (toujours incontestées) de la Physique Quantique et celles d''Einstein, et les conséquences qu'elles entrainent sur la compréhension de l'interactivité psychisme-corps (ou immatière-matière) ; de ce fait, cette psychobiologie, telle qu'elle s'est développée récemment, est résolument de nature quantique (°) ; la matière n’existe pas en tant que telle ; la matière se transforme en onde et vice versa (principe de dualité onde-corpuscule) ; tous les éléments subatomiques et donc comme les entités à volumes multiples qui ne sont donc que la réunion différenciée d’atomes, tout ce qui forme donc l'univers dans l'infiniment petit comme dans l’infiniment grand, sont tous interconnectés et en constante interaction dans une grande "danse", comme la nomment eux-mêmes les physiciens quantiques ...
(°) C'est à dire tout ce qui est relatif à la manière dont ils interagissent et donc via l'émission de champs informationnels (ce qui ne signifie bien sûr pas, que la psychobiologie fait partie de la physique quantique.)
En Chine ancienne on disait déjà très justement et qui résume la physique quantique avant la lettre : cueillir une rose c'est déranger une étoile....
Pour ne citer que lui, le Pr Cannenpasse-Riffard fait aussi observer (in Biologie, Médecine et Physique Quantique Ed.. Marco PIETTEUR – 1997,.qui est une remarquable synthèse) que : les particules subatomiques qui n'ont pas d'existence propre par elles-mêmes, sont en réalité des manifestations de champs immatériels interagissant. [...[ Les atomes se composent de particules et ces particules ne sont faites d'aucune substance matérielle.
On ne peut cueillir une fleur sans déranger une étoile, dit le proverbe chinois qui en atteste et ancestralement.
Dans l'univers, chaque atome est relié à tous les autres atomes,
à travers la substance (esprit) de l'anti-matière.
Toute connaissance est potentiellement accessible à chaque atome de l'univers.
Jean-Emile Charon, physicien et philosophe.
Il faut noter que cette connaissance n'est reçue, intégrée et ne génère
éventuellement
une sorte de dialogue, un échange entre les atomes
qu'en fonction du libre arbitre de chaque élément ou particule doté de psychomatière.
Diverses expériences scientifiques montrent que la matière fait montre d'un
certain libre-arbitre et donc met en jeu un réel psychisme
In fine, peu importe l'axe des recherches qu'elle a entrepris ou qu'elle continue d'investiguer, la Physique Quantique confirme en le redémontrant que "c'est le psychisme qui est le maître du jeu sur la matière" (voir comment l'étaye, de son côté, le Pr Jacqueline Bousquet) : la quasi totalité des maladies doivent immanquablement trouver dès lors leur origine (réelle) dans le psychisme (l'esprit).
En concordance "obligée" avec la Physique Quantique, la psychobiologie
moderne, de nature donc quantique, a largement démontré, que, cette
fois, par le biais de la seule étude de cas concrets en psychothérapie
(concordants, d'ailleurs, tous), les maladies ne sont que l'expression d'un
programme spécifique de survie et, donc, quoi de plus "naturel". C'est ainsi
que nombre d'autoguérisons, même de maladies réputées incurables, surviennent
très souvent et à l'insu des sujets eux-mêmes (voici mon
exemple personnel). Son expérience concrète de thérapeute avait déjà fait
constater à Jung que "La maladie est l'effort que
la nature fait pour me guérir" et à mettre en lien avec de ce sage
proverbe persan, "Les maladies qui ne sont en réalité que des guérisons"
; une telle position réinterprétée replace le patient, non plus comme une
"victime" impuissante, mais comme un acteur recouvrant sa capacité à conduire
son propre destin !
N.B. Confronté (notamment sur des forums) à des partisans viscéraux de la frange matérialiste et rationaliste de la science conventionnelle et souvent s'donnent alors à des propos sinon injurieux du moins virulents, j'ai beaucoup de peine à leur faire admettre la nécessité de comprendre et d'appliquer ce que les avancées de la Physique Quantique impliquent dans la connaissance du rôle du psychisme et donc de ce qui est à l'origine de tous les maux et maladies. Je tente ici de faire oeuvre de vulgariser de telles découvertes en établissant des passerelles entre les disciplines, comme tout ce qu'on pourra trouver d'autre sur ce site mais ce n'est pas une tâche aisée car elle suscite souvent les réactions des tenants de l'ancienne garde scientifique et qui s'accrochent désespérément à leur dogmes comme des alpinistes, en mauvaise posture, sur leurs rocs !
Pour
atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie se défaire de toutes les
opinions
que l’on a reçues et
reconstruire de nouveau dès le fondement,
tout le système de ses
connaissances. René Descartes
Petit message (paradoxal quant on sait à quoi a conduit le cartésianisme)
destiné à ceux qui s'accrochent encore trop aux dogmes scientifiques
de la pensée matérialiste, rationaliste et dominante.
Ce qu'enseigne la psychobiologie est
un outil utilisé en séances.
PRINCIPAUX THEMES DU SITE RETROUVER SON NORD :
-
Santé -
"L'esprit et le corps représentent deux aspects d'un seul et même système d'information : la vie" (Rossi)
Psychobiologie et psychothérapie
La maladie du corps est la guérison de l'âme. (Proverbe basque)
L'on ne doit pas soigner le corps séparé de l'âme, et pour que l'esprit et le corps retrouvent la Santé, il faut commencer par soigner l'âme. Car c'est une erreur fondamentale des médecins actuels de, dès l'abord, séparer l'âme et le corps. [...]
(Rien de neuf sous le soleil, donc !)
La psychobiologie fait partie des neurosciences cognitives, lesquelles
désignent le domaine de recherche dans lequel sont étudiés les mécanismes
neurobiologiques qui sous-tendent la cognition (perception, motricité,
langage, mémoire, raisonnement, émotions...). C'est une branche des sciences
cognitives qui fait appel pour une large part aux neurosciences. Elle s'est
enrichie concrètement grâce notamment aux découvertes
du Dr Hans Selye et du Pr Henri Laborit et ses principes ont été confirmés
par la Physique Quantique qui est le forme la plus achevée de la Science
Physique ; la psychobiologie n'est qu'un des outils
psychothérapeutiques faisant partie des approches analytiques ; le vécu
souffrant de chacun peut se transposer en somatisation qu'il est approprié
d'identifier par l'analyse psychobiologique. Cette approche
La pratique psychosomatique chez l’adulte renvoie presque toujours, en
partie, aux difficultés de divers ordres des sujets dans leur enfance et
surtout dans leur première enfance. P Marty (in "La
psychosomatique de l’adulte" p. 12 - Presses Universitaires de France,
Série "Que sais-je").
AVERTISSEMENT : nous observons (notamment) des liens psychobiologiques ne
cautionne en rien les prétendues découvertes du Dr
Hamer ni la manière intégriste et hautement critiquable, d'une
part, il s'est comporté vis à vis du corps médical et de la légalité ;
Nous ne pratiquons donc en aucun cas ce qui pourrait s'assimiler à de
l'exercice illégal de l'art médical et qui, selon la Loi est
l'accomplissement habituel par une personne ne réunissant pas l'ensemble des
conditions requises [...] de tout acte ayant pour objet ou présenté
comme ayant pour objet, à l'égard d'un être humain, soit l'examen de l'état de
santé, soit le dépistage de maladies et déficiences, soit l'établissement du
diagnostic, l'instauration ou l'exécution du traitement d'un état
pathologique, physique ou psychique, réel ou supposé, soit la vaccination.
(A. R. n° 78 mis en lien avec la Loi du 31 mars 1967, Belgique).
Ce qui suit n’est donné qu’à titre d’information
personnelle des lecteurs dans un but de transparence. Vu les utilisations
dénigrantes, diffamantes, insultantes que certains en ont fait sur des
forums Internet et ailleurs, nous sommes donc obligés de les mettre
vigoureusement en garde par cet avis : il est donc interdit, sous peine de
poursuites judicaires d'utiliser des éléments se trouvant ici comme
ailleurs sur ce site dans de tels buts répréhensibles (seuls les tribunaux
de Charleroi seront alors compétents).
|
La séparation entre l'esprit et le corps est sans doute
un des concepts les plus difficiles à détruire, car fondé sur une apparente évidence.
L’idée que nous sommes séparé en corps, esprit et autre entité supérieure [ndlr :indépendantes]
est un concept typique de nos cultures et religions judéo-chrétiennes.
Erwin Schrödinger (un des pères de la mécanique quantique dans "Science and
Humanism" - 1952)
"L'esprit dans la
matière"
Vahé Zartarian
La maladie renvoie à ce jeu de mot que Lacan aurait apprécié : le "« mal à dire »" ; il est à prendre au sens d'un mal physique et/ou psychique qui est donc là pour nous dire quelque chose qui n'a pas été (suffisamment) exprimé émotionnellement ; le grand psychologue Carl Jung disait déjà très justement "La maladie est l'effort que la nature fait pour me guérir". Il disait encore : "Il est probable que le psychique et le corporel ne sont pas deux processus se déroulant côte à côte, mais qu’ils sont liés par des interactions [...]" et les caractéristiques de la somatisation offrent toujours un rapport symbolique de ce qui est en amont (dans le psychisme) ; voir cet exemple donné par le Pr Henri Laborit :
"Le manichéisme [°] qui caractérise la majorité des conduites humaines ne permet d'envisager jusqu'ici que deux conduites à l'égard de la maladie : l'une consiste à agir sur l'organisme malade en ignorant son environnement, l'autre à agir sur l'environnement en croyant que cela suffira à résoudre tous les problèmes organiques. Il serait sans doute préférable dans certains cas, pour traiter un ulcère d'estomac, d'éloigner la belle-mère par exemple plutôt que de pratiquer une gastrectomie qui ne changera rien au facteur environnemental."
° une pensée ou une action sans nuances, voire simpliste, où le bien et le
mal sont clairement définis et séparés.
La plupart des malaises, des mal-êtres se traduisent rapidement en symptômes ("saints hommes") et sont donc là comme guides, pour nous inviter à découvrir les vraies raisons de leurs apparitions et donc la racine réelle et profonde des maux. Comme le dit très pertinemment ce proverbe chinois, "lorsque l’on tombe, ce n’est pas le pied qui a tort." et pourtant, la science médicale conventionnelle est encore bien rivée à son dogme organiciste qui persiste endémiquement à faire croire que la source du mal est dans le symptôme lui-même et à préconiser alors des thérapeutiques qui ne vont agir qu'en aval au détriment de la racine réelle des maux (et qui est donc psychique). Tout autant il serait erratique et vain de se limiter à la mise au jour des racines familiales, cette fois des maladies (plus de détails sur l'outil qu'est et doit rester la psychogénéalogie). Cependant,
les enfants sont parfois les symptômes de leurs parents, suivant cette pertinente constatation de Françoise Dolto, comme si les enfants somatisaient les problèmes familiaux (détails).
La psychobiologie moderne est une approche scientifique récente faisant partie des neurosciences qui vise à étudier les rapports entre le psychisme et la biologie, mais elle englobe aussi ce qui se passe donc dans les deux directions (psychosomatique ET somatopsychique) : tout ce qui constitue l'environnement (le "terrain") de la personne (histoire personnelle, famille, contexte matériel, enveloppe corporelle, mode de vie, hygiène de vie, énergétique ...) va "colorer" les rapports subtils entre matière (corps) et immatière (psychisme au sens large) et dans les deux sens (va-et-vient). C'est d'ailleurs en respect et en écho avec un des principes du fonctionnement de l'Univers, de la Vie en équilibre et en interrelations entre tous les systèmes présents et avec divers mouvements internes : le flux et le reflux, le jeu des polarités, de des alternances ... Ne pas en tenir compte en thérapie conduirait à handicaper d'autant le processus et la qualité de la guérison. Il y a autant d'Univers que de personnes et même d'atomes et le thérapeute digne de ce nom a le devoir de ne prendre en compte que les réalités relatives à chaque personne accompagnée, sans rien projeter sur elle !
La psychobiologie vient donc aussi renforcer les positions historiques de la
médecine psychosomatique (voir plus bas). La "syntaxe" particulière qui y est
attachée veut que l'"objet" a donc la
faculté à son tour de devenir un "sujet" et le "sujet" initial de devenir en
quelque sort un "objet" mais qui risque à son tour de réagir en redevenant
"sujet " de tout un processus somatique ! "Psychobiologique" peut alors
correspondre à "psychosomatique" si on parle uniquement des traductions
physiologiques ; mais la psychobiologie ne se résume pas à la psychosomatique,
qu'elle inclut elle le fait pour d'autres perspectives, par exemple, englobant
aussi les influences chimiques exercées sur le psychisme, alors que la
psychosomatique ne concerne (à l'inverse) que les interactions du psychisme
sur le somatique, dans un subtil jeu symbolique.
On pourra dire alors qu'ne maladie aura donc une origine psychobiologique tout
en étant une traduction psychosomatique.
Une psychothérapie appropriée devra dès lors que de tenir compte non seulement de (tout) ce qui est en amont, mais aussi des réactions potentielles de (tout) ce qui est en aval, sans privilégier à priori un aspect sur un autre, ce que malheureusement opère encore trop des approches comme la Biologie Totale (ce qui ne fait que la marginaliser davantage).
La psychosomatique est une approche historiquement plus
ancienne (seconde moitié du XIXe siècle) que la psychobiologie : terme
qualificatif au départ, on attribue sa paternité au psychiatre allemand
Heinroth (1773-1843) ; au départ empirique, elle vise à montrer les rapports
et les interactions entre le psychisme et le corps ("soma" en grec).
Mais il faut donc aussi considérer qu'il y a une interaction du somatique sur
le psychisme et qui est une prise en compte faite plus récemment : la
somatopsychique en quelque sorte ; par exemple, la manière dont la douleur
physique sera vécue au niveau psychique.
MAIS N'OUBLIONS DONC PAS D'INVERSER AUSSI TOUTES LES FLECHES !
En effet, l’organe au sens très large peut enclencher (en cas d'atteinte, accidents,
traumatismes physiques, interventions chirurgicales ...)
une programmation directe du cerveau et aussi vers psychisme = aspect somatopsychique.
Psychosomatisme ET donc aussi Somatopsychisme !
Le tout dépendant de l'organisation et de la richesse propres
de l'environnement ("terrain") total de la personne présent, passé et à venir
et en créant de multiples (et incontournables) interactions et contre-réactions...
Bien entendu, cela marche aussi pour tout ce que nous ressentons de positif,
de bénéfique dans notre corps ou dans notre esprit.
Le train qui va dans un sens est susceptible
plus tard de rouler dans l'autre sens
voir se dédoubler et circuler des deux côtes
et se croiser !
Psychosomatisme ET Somatopsychisme !
"Le psychique et le somatique opèrent du point de vue de l’énergie biopsychique,
comme deux systèmes qui sont unitaires aussi bien que conditionnés l’un par l’autre.".
Wilhelm Reich (in "La fonction de l’orgasme", L’Arche- 1972)
"Avec les découvertes en physique quantique, il n'est plus possible d'envisager une relation horizontale cause-effet
mais plutôt un modèle énergétique dynamique qui nous permet de mieux comprendre
la relation entre le couple psychosomatique et somato-psychique. " Léon RENARD
AVERTISSEMENT IMPORTANT :
nous n'adhérons en aucun cas à la
Biologie-Totaleque nous refusons vu les dérives qu'elle génère
par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.
(Voir notre avis).
Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière les comportements intégristes et outranciers du Dr Hamer.
Deux chapitres du livre "Quand les thérapeutes dérapent" y sont consacrés.
Le Pr. Jacqueline BOUSQUET
(docteur ès Sciences, Biologie, Biophysique, chercheur honoraire au C.N.R.S.,
chargée d'enseignement à la Faculté Privée des sciences Humaines de Paris, Conférencière, Ecrivain)
"Notre science a besoin d’une biologie de l’immatériel"
Emile PINEL (mathématicien) :
" Nous sommes le résultat de nos pensées passées non adaptées au présent"
Preuves scientifiques de la prépondérante interaction du psychisme sur la matière :
(extrait de son article)
"Energie et Psychisme"
[...] La physique nous enseigne que “ le photon, particule porteuse des ondes électromagnétiques est à lui-même son antiparticule ”. Onde et particule sont 2 aspects contradictoires et complémentaires de la réalité (principe quantique) . Il en est de même pour le métabolisme, constitué de deux phases opposées : le catabolisme (destruction) et l’anabolisme (synthèse). Il a été démontré que photons et anti-photons seraient des neutrinos porteurs de l’information immatérielle et constituant un psychisme porteur d’un savoir.
Il y a donc une conscience dans chaque chose existante. Cette conscience est la même que la nôtre, puisque nous sommes dans un univers holographique (interférence entre la source et sa réflexion) et que cette conscience - comme la température - ne varie pas de nature mais de degrés sur l’échelle infinie de la manifestation. C’est ainsi que l’autre : minéral, végétal , animal ou humain est un alter ego !.
Lire cet autre texte du Pr Jacqueline Bousquet : "Introduction de la conscience dans la matière — de la physique quantique à la biologie "
Les travaux de Jean Emile Charon, physicien et philosophe, sur la psychomatière, ont établi que l'intérieur du trou noir est constitué de neutrinos et de photons (qui, en réalité, ne peuvent en sortir faute de rencontrer de la matière). Ceci est exactement la façon dont la science décrit le contenu des électrons (un gaz de photons et de neutrinos) qui pulsent (changement de forme) 1023 fois par seconde. Par cette respiration, ils font communiquer l'intérieur et l'extérieur. De ce fait, ils incarnent la lumière, qui passe de nouménale à phénoménale. Laquelle, vectrice des ondes électromagnétiques - tissus de l'univers - est porteuse d'informations. Elle est à la base du magnétisme qui se manifestera par une forme, elle-même délimitée par un champ électrique correspondant au " savoir ou connaissance". C'est ainsi que changer de connaissance équivaut à renaître ou " naître avec", écrit encore le Pr. Jacqueline BOUSQUET (source disparue du Net)
Dans l'univers, chaque atome est relié à tous les autres atomes,
à travers la substance (esprit) de l'anti-matière.
Toute connaissance est potentiellement accessible à chaque atome de l'univers
Jean-Emile Charon, physicien et philosophe
Lire aussi de Jean Emile Charon, physicien et philosophe : "Le psychisme électronique" :"C’est le gaz de lumière qu’enferme l‘électron qui va être le support de toutes les interactions psychiques de cette particule." Extrait page 145 :de son livre "Le monde éternel des éons" : " l'électron est de la psychomatière, et non de la matière, puisqu'il a cette particularité de n'avoir pas comme la matière ordinaire, uniquement des propriétés physiques, mais encore des propriétés psychiques".
Le Pr J. BOUSQUET écrit encore : "Notre science a besoin d'une biologie de l'immatériel" ;"L'application des données de la physique quantique, la reconnaissance de la psychomatière (J. Charon, physicien et philosophe) doivent nous permettre d'aborder la biologie en véritable science du vivant. Depuis de nombreuses années, la recherche dite scientifique est principalement orientée sur l'étude de la pathologie et de la mort." Disait déjà Bernard Shaw : " Les gens intelligents s'adaptent à la nature, les imbéciles cherchent à adapter la nature… C'est pourquoi ce que l'on appelle le progrès est l'œuvre des imbéciles " et ce dont on pourrait alors qualifier de toutes ces recherches scientifiques dans la mesure où elles sont rivées arbitrairement et exclusivement sur la matière. [...]
De nombreuses expériences menées par des chercheurs, y compris dans des universités tout à fait officielles, mettent en évidence le fait que la matrice qui génère le monde perceptible n'est pas elle-même perceptible, mais elle consisterait en une sorte de champ magnétique libre, non mis en forme comme la matière, mais capable de le contrôler. Par exemple, on peut dématérialiser dans l'eau, par l'intermédiaire d'électrodes, des particules de métal qui se rematérialisent deux mois après ! Pendant ce temps, l'eau dans laquelle elles se sont dématérialisées a acquis des propriétés temporaires. Il y a ainsi interconnexion entre la pensée et la matière. On peut alors dire que " L'univers ressemble plus à une grande pensée qu'à une grande machine. Comme le dit encore Jacqueline BOUSQUET.
"L'espoir de l'avenir, il est dans la nature et dans les hommes qui restent fidèles à la nature."
Félix-Antoine Savard.
--------------------------------------------------
"Demain, la médecine sera quantique . . . et révolutionnera notre quotidien !"
par Dr. Jean-Louis GARILLON N.D. D.I.U. en Santé Publique, certifié en Médecine Quantique
[...] un "quantum" (au pluriel : des "quanta") est un "grain", une dose élémentaire d'énergie émise par l'atome et, selon la définition du physicien anglais Stephen HAWKING, le quantum est "l'unité indivisible selon laquelle des ondes peuvent être soit émises soit absorbées".
Quantique signifie la double nature des électrons : à la fois corpusculaire et ondulatoire… Cela semble paradoxal, mais c'est une réalité atomique démontrée par de BROGLIE en 1923 et acquise dans la réalité des applications …quantiques !' [...]
Par conséquent, la médecine quantique est une démarche qui n'est pas fondée sur l'action de substances chimiques intervenant dans le corps, mais sur des réactions d'ondes ou de champs électromagnétiques appliqués à l'organisme vivant, afin de le ramener à son point d'équilibre, encore appelé "état stable". Ces réactions doivent prendre en compte la totalité de la nature biologique du sujet et en particulier sa prédétermination génétique, autrement dit son bagage héréditaire. De même, "la médecine quantique reconnaît l'interdépendance fondamentale entre l'esprit et le corps à tous les stades de la vie. Elle prend également en considération la dimension spirituelle de la personne comme une donnée incontournable.", selon R. CANNENPASSE- RIFFARD ("Biologie, Médecine et Physique Quantique" - Edit. Marco PIETTEUR – 1997).J'aouterais qu'enfin, il aura fallu attendre ce que la Physique Quantique à confirmé par rapport aux interactions psychisme-corps (matière-immatière) pour qu'on se souvienne de sa réalité et qu'on prenne alors plus au sérieux les approches psychothérapeutiques dans ce qu'elles apportent sur le plan des guérisons (physiques comme psychiques). Rappel, il ne faudrait pas faire croire ou croire que c'est grâce à la physique quantique qu'on a pu mettre pour la première fois en avant de tels liens !
--------------------------------------------------
Quand un poussin influence un robot
ou preuve s'il en fallait encore, du rôle directeur du psychisme sur la matière.
J'ai la grande joie de vous faire partager cette séquence vidéo que j'ai extraite d'une émission télévisée originellement diffusée sur Canal + (janvier 2004) et dont j'ai eu connaissance via sa rediffusion dernièrement sur la RTBF (magazine sciences - juin 2009). J'ai pu donc la capter à temps sur Dailymotion car, entre-temps, dérangeant sans doute trop de monde, elle y est disparue ! Profitez donc de la voir sur notre site tant qu'elle s'y trouvera...
Voici une autre séquence vidéo qui le montre encore.
Voici un petit résumé de l'émission : la dernière séquence de l'émission a été menée par le docteur René Peoc'h, docteur en Médecine, en Biologie animale et en Anthropologie, et auteur d'une thèse qui vérifie la théorie dite de "l'empreinte", élaborée par le célèbre Prix Nobel Konrad Lorenz, biologiste et zoologiste autrichien. Cette expérience met en scène des poussins qui ont réussi à influencer, dès leur naissance, un petit robot, car il était sensé représenter leur mère. On sait en effet, qu'au sortir de sa coquille, le poussin prendra comme sa mère l'objet animé le plus rapproché de lui (comme l'a démontre Konrad Lorenz).Ce robot se déplace de manière aléatoire, géré par un système électronique (alimenté par pile) et qui décide de son déplacement dans un sens ou dans l'autre. Il s'avère qu'après avoir été longuement "imprégné" par le robot, le poussin enfermé dans une cage transparente semble avoir une action psychique d'ordre affectif qui agit à distance sur les déplacements du robot. D'autant plus que si on compare le tracé des mouvements du robot, les poussins non imprégnés n'attirent pas le robot, contrairement aux autres.
Cette expérience est intéressante car de très nombreux essais ont été effectués et statistiquement, les résultats sont nettement positifs. Le docteur René Peoc'h déplore le désintérêt des scientifiques français pour la psycho-physique. Il pense que la physique fondamentale n'a pas encore dit son dernier mot et que des champs invisibles de même type que ceux infléchissant les mouvements du robot ne sont pas à exclure. J'aurai aimé personnellement pouvoir faire expérience qui met en jeu l'émission de champs magnétiques humains pour tenter aussi de faire influence le robot.
Vous pouvez prendre connaissance in extenso du texte de la thèse que ce médecin a introduite en 1986 pour l'obtention de son doctorat en médecine et qui reprend le détail de cette expérience.
Voir aussi les expériences de type effet Backster qui montrent scientifiquement les interactions psychiques entre autres dans le règne végétal
Voir également ce qu'il convient d'appeler la communication de cerveau à cerveau et qui montre que la communication (télépathique) existe et même entre de règnes différents.
"Pour comprendre ton corps d'aujourd'hui regarde tes pensées d'hier.
Pour connaître ton corps de demain regarde tes pensées d'aujourd'hui."
(proverbe indien)
Avant d'avancer quelque théorie, quelque explication scientifique que ce soit,
faisons de nouveau appel à notre "bon sens" commun :
observez ce qui se dit dans le langage courant et vous comprendrez déjà
d'où viennent tout simplement les maladies :
"J'en
suis malade",
"C'est à en tomber malade",
"N'en faites pas une maladie ",
"Je peux pas digérer ce qui m'arrive",
"Je l'ai sur l'estomac"
"Je l'ai dans le nez"
"Ca fait froid dans le dos"
"J'en ai les mains qui tremblent"
"Il me gonfle"
"J'en ai le tournis !"
"Il me donne de l'urticaire"
"Cette situation m'ulcère",
"Je ne peux plus le sentir",
"Je l'ai pris en grippe",
"J'en ai plein le dos",
"Il veut ma peau",
etc.
La théorie psychosomatique, en
France, a été élaborée en 1958 par un groupe de psychanalystes
psychosomaticiens appartenant à la Société Psychanalytique de Paris,
rassemblés sous le nom de l’Ecole de Paris […]. L’originalité de ces
travaux repose sur une découverte fondamentale : le processus de somatisation
apparaît lorsque le sujet n’est pas capable de traiter mentalement les
contradictions qui pèsent sur lui..
Yves RANTY (1994), "Les Somatisations", p. 48, Ed L’Harmattan, Paris.
Après avoir examiné plus de 20.000 patients au cours de sa
carrière, le docteur Thomas-Lamotte, neurologue français, a développé une
approche différente du symptôme de ses patients : pour lui, la plupart des
maladies que nous développons ont pour origine une émotion inavouée et le
simple fait de comprendre ce mécanisme nous permettrait déjà de les éviter.
L’expression populaire « s’en rendre malade » trouve dans ce livre sa plus
belle illustration avec les clés pour décoder nos déceptions et comment les
empêcher d’agir sur notre corps." (Sa riche expérience agrémentée de faits
précis est relatée dans son livre "Et si la maladie n'était pas un hasard.
(Source
et extraits du livre)
Humour : diaporama "Poème de saison"
L'ouverture de ce diaporama nécessite PowerPoint ;
si votre ordinateur n'en est pas équipé,
vous pouvez télécharger ici la version gratuite.
Pour éviter tout malentendu par rapport à ce qui constitue notre pratique professionnelle,
prenez bien connaissance de notre code de déontologie.
"Il serait bon que la science étudiant le fonctionnement de l'esprit
devienne véritablement
celle du XXIème siècle.
Elle doit à cette fin intégrer les découvertes de la physique quantique
et l'existence de réalités non physiques
à la compréhension de la santé et des maladies mentales"
(Revue NEXUS N° 22, p. 25)
Toute idée conçue dans l’âme est un ordre auquel obéit l’organisme : ainsi, la représentation de l’esprit produit dans le corps ou une vive chaleur ou le froid ; elle peut engendrer ou guérir la maladie. disait déjà Saint Thomas d’Aquin !
Ensuite, de nombreux penseurs et chercheurs comme Voltaire qui disait :
L'art de la médecine consiste à amuser le patient alors que la nature guérit
la maladie., Gendron (1701) (“Le cancer se développe suite à une
infortune qui occasionne beaucoup de soucis”),
Groddeck 1866-1934) qui pose les bases de la
psychosomatique en particulier dans les deux livres : “Conférences
psychanalytiques” (1917) et “Le livre du ça” (1923) ( Il ne faudrait
pourtant pas oublier que ce n'est pas le médecin qui vient à bout de la
maladie, mais le malade. Le malade se guérit lui-même, comme c'est par ses
propres forces qu'il marche, pense, respire, dort et encore
le désir refoulé se manifeste
par la maladie), Jung (déjà
cité) etc. ont pris le relais en soulignant, en démontrant les liens
interactifs entre le psychisme et le corps, pour ne pas parler des autres
découvertes scientifiques du Pr Henri
Laborit
qui les confirment etc.
Ce que cache mon langage, mon corps le dit. Mon corps est un enfant entêté,
mon langage est un adulte très civilisé..." Roland Barthes.
Mais bien avant Laborit et Hamer, en 1930, le Docteur et chercheur Hans Selye a démontré que le stress était un ""syndrome général d'adaptation'"(SGA) et qu'il pouvait conduire à se somatiser en maladies. Le stress traduit dans la biologie est en étroit rapport et proportionnalité avec la qualité du "terrain" au sens très large : tout ce qui fait la configuration interne et l'environnement externe à la personne.
Dans son livre "Et si la maladie n'était pas un hasard", le Dr THOMAS-LAMOTTE écrit : "Le docteur Dragan Buljevac s'est hasardé sur ce chemin de traverse avec une étude sur les malades atteints de scléroses en plaques. Pour essayer de repérer un éventuel lien de cause à effet entre symptôme et psychisme, lui et ses collaborateurs se sont intéressés aux événements psychoaffectifs vécus par leurs patients dans les mois précédant les poussées de la maladie. Ils leur ont confié un carnet dans lequel les malades devaient noter chaque jour tous les événements psychoaffectifs ressentis comme importants. L'analyse des carnets a montré qu'un traumatisme psychique était retrouvé chez 75% des patients entre 7 et 12 mois précédant les signes d'une poussée de sclérose. Malheureusement, cette étude n'a pas été publiée de façon détaillée dans les journaux scientifiques. Elle a seulement fait l'objet d'un poster affiché lors d'un congrès de neurologie avant de tomber dans l'oubli. Dans cet exemple pourtant, la piste psychosomatique était très sérieuse ! "
Les facteurs psychiques (générant des conflits à résoudre obligatoirement) sont donc indissociables de l'émergence de toute somatisation sauf dans des cas très limités : les seules exceptions étant le contact puissant avec des agents extérieurs (feu, radioactivité, produits chimiques à très fortes doses...), qui opèrent alors une contrainte mécanique aux effets physiques imparables ; le volume de la somatisation (sur une échelle qui va d'une simple irritation cutanée ou nasale, par exemple, à un gravissime cancer) dépend de trois composantes :
1° de l'intensité du choc,
2° de la durée du choc (une fraction de seconde comme pouvant induire des conséquences durant des décennies ou s'étaler durant des années voire plus et la maladie apparaît alors comme la goutte qui fait déborder le vase ; cf. le concept de jarre psychosomatique du Dr Salomon Sellam),
1° et 2° constituent ce qu'on appelle la masse du conflit qui peut donc apparaître d'une fraction de seconde à plusieurs dizaines d'années.
3°du terrain qui reçoit le choc (et donc notamment tributaire de la qualité de l'alimentation, des niveaux constants qualitatifs et quantitatifs des stress biologique et psychique, des incidences environnementales dont les pollutions électromagnétiques ...).. A propos de terrain, l'incontesté Pr Henri Laborit disait déjà :
"(...) la pathologie réactionnelle aiguë à une lésion, elle-même brutale et soudaine, dépend aussi de ce qu'il est convenu d'appeler le "terrain" et qui nous paraît être l'état de la dynamique métabolique tissulaire au moment où elle s'installe. Cette dynamique elle-même dépend de toute l'histoire antérieure du sujet, c'est-à-dire de ses rapports historiques avec ses environnements.» (...)."
Plus de détails sur "Nais-sens", "Valises
familiales"
Le vrai médecin est le médecin intérieur.
La plupart des médecins [et certains thérapeutes] ignorent cette science qui, pourtant,
fonctionne si bien. Dr Albert SCHWEITZER Lors d'un séjour en Afrique, le journaliste Norman Cousins
rencontra le Dr Schweitzer à son dispensaire de Lambaréné (Gabon) : « Lorsque je demandai au Dr Schweitzer comment il
expliquait que l'on puisse espérer guérir grâce au traitement dispensé par
un sorcier [ayant constaté que Schweitzer travaillait en collaboration
avec un sorcier], il me dit que je lui demandais de
divulguer un secret bien gardé par les médecins depuis
Hippocrate. "Mais je vais tout de même vous le dire",
poursuit-il, le visage toujours illuminé par un demi-sourire. "Le secret du
sorcier est dû à la même raison que notre succès à tous. Tout malade porte
son propre médecin à l'intérieur de lui-même. Il vient chez nous parce qu'il
ignore cette vérité. Ce que nous pouvons faire de mieux, c'est donner une
chance au médecin qui réside à l'intérieur de chacun".
Le
placebo est le médecin qui réside en nous
». (La volonté de Guérir, Ed. du Seuil, en livre de
poche n° A43,Col. Ponts Actuels, 1981 p. 62) Exemples personnels : je les fournis, non pas pour me
mettre en avant mais pour expliquer, - d'une part ce qui m'a conduit tout naturellement à
exercer ce métier, la
psychothérapie (principalement de celui de
susciter chez les patients l'activation plénière du "médecin intérieur" ou
mieux encore du "thérapeute intérieur"), - d'autre part, ajouter de la crédibilité aux outils qui
émergent naturellement en séance, puisque je les ai expérimentés très tôt
avec succès et qu'au contact des patients, ils se sont affinés et
diversifiés, grâce aux solutions personnelles qu'ils ont mises en oeuvre !
Mon autoguérison la plus récente est l'autoréparation totale de mon tympan
(percement disparu -
détails). Le célèbre
psychologue suisse Carl Jung écrivait :
"La maladie est l'effort que la nature fait pour me guérir" Le
Pr Henri Laborit, fort de ses
expériences scientifiques, dit aussi fort justement : "(...) pour faire une
infection ou une affection néoplasique [Ndlr :cancer], il ne suffit pas
d'un contact avec un microbe ou un virus ou un irritant local chroniquement
subi. On a trop focalisé sur le microbe, le virus ou le toxique cancérogène et
pas assez sur le sujet, sur son histoire passée et présente, ses rapports avec
son environnement. Les toxiques eux-mêmes doivent sans doute présenter une
toxicité variable suivant le contexte et le statut social de l'individu qu'ils
atteignent. (...)." "Thomas et
Duszynski, ont voulu tester ces hypothèses, en suivant plusieurs années un
groupe d’étudiants américains. Parmi ces derniers, ceux qui ont développé un
cancer se caractérisaient aussi par une certaine « inexpressivité » des
sentiments. De son côté LeShan a étudié cinq cents patients cancéreux
pendant douze ans ; il a découvert que trois quarts d’entre eux avaient eu
des expériences émotionnelles traumatiques durant l’enfance. (..) On
sait par ailleurs que la dépression est quatre fois plus fréquente chez les
patients souffrant de cancer. La dépression elle-même a été citée comme
facteur de prédisposition au cancer (...) " (Source : "Psychogenèse"
au sujet des rapports entre facteurs psychologiques et cancer - source
disparue du Net)
"La maladie du corps est la guérison de l'âme."
(Proverbe basque)
Dessin de
Léonard de Vinci
"Pourquoi
un pharmacien qui ne voit que des malades tout au long de sa journée, toute la
semaine et même toute l'année, ne tombe-t-il jamais malade ? Pourquoi, après
avoir vu 20 personnes grippées en une seule journée, soit 100 en une semaine,
un généraliste ne l'attrape-t-il pas non plus ? Pourquoi cette personne qui
n'a jamais fumé a-t-elle un cancer des poumons, alors que ce fumeur invétéré
qui grille sa cigarette depuis 50 ans n'a rien ? Pourquoi les femmes divorcées
sont-elles la majorité des cancers du sein ? Pourquoi tous les hommes ne
font-ils pas un cancer de la prostate ?" se pose comme questions le
Dr Pierre-Jean
Thomas-Lamotte dans son livre ("Et si la maladie n'était pas un
hasard...") et il y donne des réponses qui sont en phase avec les
avancées de scientifiques innovants (notamment cités), quand il écrit :
"En écoutant les
histoires vécues
dans les familles ou
au travail, il ne
semble faire aucun
doute qu'un choc
psychique précède
souvent une maladie
grave. Ainsi, il est
très fréquent
d'observer des
dépressions
réactionnelles ( à
distinguer d'une
réaction de deuil )
après des
traumatismes
psychoaffectifs
graves : décès ou
simplement
séparation d'un
proche, rupture
amoureuse, échec
professionnel,
maladie grave d'un
enfant ou d'un
parent.
Prix Nobel de médecine 2008 pour sa codécouverte du VIH
(SIDA), le Pr Jean-Luc Montagnier en est « arrivé à la notion de "champ
oxydant"» (1) concernant l''origine des cancers.. Dans « l’addition des
phénomènes créateurs de stress oxydant », il inclut des « facteurs
psychologiques » et précise que « le système immunitaire lui-même est
affaibli par les problèmes de stress psychologique » (2).
En résumé, on pourrait dire que c'est le
cerveau, centrale de commande, qui, sur ordre du
psychisme, face à une problématique qu'on arrive pas à résoudre, déclenche une
variété infinie de somatisations (maladies, malaises, mal-être, surpoids,
entraînant diverses assuétudes etc...) mais localisés (organe ou fonction)
suivant et conformément à la nature des ressentis
et dont l'intensité sera tributaire de la qualité de
terrain propres à chacun. Le
" « mal à dire »" est alors la
solution (spécifique et symbolique) temporaire pour résoudre un conflit
qui n'arrive pas à se résoudre rapidement ; ce conflit génère un surstress
représentant pour le cerveau un
réel
danger de mort (perte de vigilance par rapport au
danger environnemental) et dont la maladie constitue donc une parfaite
solution de survie en
déplaçant le stress dans un organe ou une fonction cible, en se donnant ainsi
plus de temps pour résoudre la situation conflictuelle qui le nourrit.
"Le changement commence par le changement personnel. Tant qu’on aura pas
appris aux hommes comment fonctionne leur cerveau,
et que jusqu’ici ça a toujours été pour dominer l’autre, il y a peu de
chances que les choses changent."
La maladie elle-même apparait comme une tentative de
solution symbolique à une situation conflictuelle ; pour le cerveau, "comme si
= c'est". Le cerveau ne fait pas la différence entre le réel et le virtuel
(symbolique etc.). Ce que nous montrent les animaux est très riche
d'enseignement ; exemple vécu de mon chat blanc qui vomit son repas, lorsqu'il
constate, contre toute attente, que ses croquettes sont distribuées à un autre
chat qui n'est pas encore intégré et admis dans son environnement. Pour en
prendre conscience chez soi, voyez ce qui se passe lorsque vous regardez un
film : toute votre physiologie (battements rapides de coeur, pleurs etc.)
exprime des états semblables à ceux qui existent en situation réelle, lors
d'un vécu analogue à ce que représentent les événements transposés en film.
(en savoir plus sur la technique de la lettre & de
l'acte symbolique utilisée en psychothérapie pour se libérer d'un
conflit).
"Il serait agréable de penser que la source de nos souffrances
réside chez les autres ou, mieux encore, dans la société.
En fait, l’origine des conflits est en chacun de nous."
Pr. Maurice Tubiana, cancérologue, dirigeant le centre anticancéreux
de Villejuif.
Les relations entre structures nerveuses et lymphocytes, de même que les
relations entre comportement animal et réponses immunes ne sont plus à
démontrer, comme en témoignent les constatations suivantes faites à
l’hôpital du Mont-Sinaï à New York : au moment du décès de leurs épouses
atteintes d’un cancer du sein, les maris présentaient une réduction brusque
et significative de leurs défenses lymphocytaires. Les modifications,
observées au moment du deuil, avaient ensuite tendance à disparaître au
cours des mois, suggérant un rapport entre l’état émotionnel induit par la
mort du conjoint et les modifications des paramètres biologiques. Cette
observation a été largement confirmée par la suite. Il existe ainsi un
rapport entre situation de stress et réponse immunitaire (si on reprend ici
ce concept dépassé et
crée par la science médiale dans sa partie matérialiste et rationaliste),
tant chez l’animal que chez l'homme.
Il existe également
un grand nombre de
maladies somatiques
qui semblent
dépendre directement
des facteurs
psychiques : ulcère
de l'estomac,
poussées de tension
artérielle, maladies
de peau comme
l'eczéma ou le
psoriasis, crises
d'asthme... Certains
symptômes peuvent
apparaître
immédiatement après
un traumatisme
psychique en
quelques minutes,
heures ou en
quelques jours.
D'autres maladies ne
seront
diagnostiquées
qu'après plusieurs
semaines ou mois,
notamment lorsqu'il
s'agit de cancers
qui se développent
lentement dans la
profondeur du corps.
Nous allons donner
un certains nombre
d'exemples où la
maladie semble bien
se déclencher après
un traumatisme
psychique important."
(1) Luc Montagnier, Les Combats de la vie, Ed. Jean-Claude Lattès, Paris,
2008, pp. 190-191.
(2) Interview du Pr Montagnier, propos recueillis par Céline Andrillon
pour la revue
Bio-énergie n°27 (source disparue du Net).
Pr Henri Laborit.
La maladie se manifeste en deux phases :
Lorsque celui qui en souffre a réussi consciemment ou inconsciemment à résoudre la situation conflictuelle qui s 'est donc somatisé dans un organe précis,
la phase conflictuelle du « mal à dire » (maladie etc.) disparaît et vient éventuellement une phase de réparation (vagotonie) qui peut se traduire
par une autre maladie (seconde phase) où peuvent intervenir à juste titre, virus, bactéries, mycobactéries etc.
Ceux-ci se comportent soit, comme « éboueurs » des cellules en excès devenues inutiles,
soit, comme « ouvriers » chargés de reconstruire les organes détruits, endommagés etc. durant la première phase (dite conflictuelle).
(voir aussi "Ce que finit par entraîner la peur de...").
Une fiche pratique pour guérir plus rapidement.
Un nombre important de livres et de sites sont consacrés à ce sujet.
Il convient aussi de considérer les incidences des facteurs transgénérationnels et qui expliquent que les maladies prétendues génétiques ne sont en fait que des conséquences de conflits familiaux non résolus dont certains peuvent remonter à la quatrième génération ; cependant de tels conflits familiaux ne pourront s'activer que si le vécu du descendant-cible ne le permet (événement personnel en résonnance obligée). (cf. Psychogénéalogie).
"Une grande partie des thérapeutes offrent des thérapies comportementales pour combattre
les symptômes des patients sans chercher leurs significations et leurs causes,
parce qu’ils sont persuadés qu’elles sont introuvables.
Pourtant, dans la plupart des cas elles le sont mais elles sont toujours cachées dans l’enfance,
et rares sont les personnes qui veulent la confronter. " Alice Miller
D'où l'importance de se faire accompagner
lorsqu'on arrive pas à y voir clair ou à déclencher le processus
conduisant à la guérison.
AVERTISSEMENT
IMPORTANT
:
nous n'adhérons en aucun cas à la
Biologie-Totale
que nous refusons vu les dérives qu'elle génère
par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.
(Voir notre avis).
Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière les comportements
intégristes et outranciers du Dr Hamer.
(°°°) Dès la première page de son livre «
Inhibition de l'action » (Masson,
Paris, 1980), le Professeur Henri Laborit
(1914-1995) évoque le PBD (programme biologique de survie) : « Quand
l'action [Ndlr :pour résoudre un conflit] est impossible, l'inhibition
de l'action permet encore la survie puisqu'elle évite parfois la
destruction, le nivellement entropique avec l'environnement. C'est en ce
sens que la « maladie » [Ndlr :les guillemets sont de Laborit] sous toutes
ses formes peut être considérée comme un moindre mal, comme un sursis donné
à l'organisme avant de disparaître.» (...) « Le manichéisme qui
caractérise la majorité des conduites humaines ne permet d'envisager
jusqu'ici que deux conduites à l'égard de la maladie : l'une consiste à agir
sur l'organisme malade en ignorant son environnement, l'autre à agir sur
l'environnement en croyant que cela suffira à résoudre tous les problèmes
organiques. Il serait sans doute préférable dans certains cas, pour traiter
un ulcère d'estomac, d'éloigner la belle-mère par exemple plutôt que de
pratiquer une gastrectomie qui ne changera rien au facteur environnemental."
(...) "Nous sommes les autres, c'est-à-dire que nous sommes devenus avec
le temps ce que les autres - nos parents, les membres de notre famille, nos
éducateurs - ont fait de nous, consciemment ou non. Nous sommes donc
toujours influencés, le plus souvent à notre insu, par les divers systèmes
dont nous faisons partie."
Laborit se montre pessimiste à l'égard des "grands progrès" de la
médecine moderne qu'il ne considère que comme une médecine d'urgence.
"Certes, dit-il, si je contractais une pneumonie, je serais heureux de
recevoir de la pénicilline. Mais pourquoi ai- je contracté une pneumonie?
Parce que j'étais en inhibition de l'action, consciente ou inconsciente. Or,
même en convoquant mon entourage familial, professionnel, etc., tous ceux
qui remplissent ma niche environnementale, en scrutant l'établissement
défectueux de mes relations interpersonnelles, de classes, de groupe, etc.,
on ne pourra jamais connaître le contenu de ce que les phénoménologistes
appelleraient mon " vécu " que je suis moi-même incapable de pénétrer. Or
nous négocions notre instant présent avec tout notre acquis antérieur,
depuis notre naissance et peut-être avant. Avec ce que l'environnement,
familial en particulier, a fait de notre cerveau immature à la naissance,
pendant cette période de l'" empreinte " où nous ne savons pas encore qui
nous sommes dans un milieu différent de nous, cette période où nous
mémorisons sans savoir que c'est nous qui mémorisons. Nous négocions notre
instant présent avec tout notre apprentissage, nos automatismes, tout ce
monde inconscient qui vit en nous et constitue ce qu'il est convenu
d'appeler une personnalité humaine. C'est cet ensemble invisible, inconnu,
qui décide de mon inhibition ou de mon action à un moment donné de mon
histoire et qui va donc présider à ma santé ou à ma maladie. Mais alors qui
est malade et par rapport à quelles normes ? Est-ce l'individu à son niveau
d'organisation psychobiologique, ou l'environnement social qui l'englobe ?"
(°°°°°) Dr Hans Selye : "(...) L'idée du
concept de stress et du syndrome général d'adaptation (S.G.A.) m'est venue
en 1925, alors que j'étudiais la médecine à l'Université de Prague. (...) Je
ne pouvais comprendre pourquoi, dès l'aube de l'histoire de la médecine, des
médecins ont concentré tous leurs efforts sur la reconnaissance de la
maladies particulières et la découverte de remèdes spécifiques sans prêter
aucune attention à quelque chose de beaucoup plus évident: "le syndrome du
simple fait d'être malade". Je savais qu'un syndrome est "un groupe de
signes et de symptômes qui se présentent ensemble et caractérisent une
maladie". Eh bien! les patients que je venais de voir avaient un syndrome,
mais il semblait que ce fût un syndrome caractérisant la maladie en tant que
telle et non une maladie particulière. Serait-il possible d'analyser ce
"syndrome général de la maladie" et peut-être même trouver des remèdes
capables d'agir contre le facteur non spécifique dans la maladie? Ce ne fut,
cependant, que dix années plus tard que je parvins à exprimer tout cela dans
le langage précis de la description scientifique fondée sur
l'expérimentation. (...) Dans son ensemble, le syndrome de stress, ou
syndrome général d'adaptation (S.G.A.) évolue selon trois stades successifs
: 1) La "réaction d'alarme" pendant laquelle les forces de défense sont
mobilisées; 2) Le "stade de résistance" qui reflète la complète adaptation à
l'agent "stressant"; 3) Le "stade d'épuisement" qui suit inexorablement
pourvu que l'agent stressant soit assez puissant et agisse assez longtemps,
le pouvoir d'adaptation d'un être vivant étant toujours limité" (Hans Selye)
Dr
Hans Selye, "Du rêve à la découverte", Éditions de La Presse, 1973, p.
66-68.
Les maladies organiques ont un support psychique. Les microbes existent, bien
sûr, je les ai vus.
Mais, de plus en plus, on se pose cette question fondamentale : ces microbes
sont-ils la cause de la maladie
ou leur virulence et leur pullulement en sont-ils la conséquence ? "
FRANCOISE DOLTO & GERARD SEVERIN (extrait de "La
foi au risque de la psychanalyse", source disparue du Net).
" La science
doit s'accommoder à la nature. La nature ne
peut s'accommoder à la science."
AVERTISSEMENT
IMPORTANT :
nous n'adhérons en aucun cas à la
Biologie-Totale
que nous refusons vu les dérives qu'elle génère
par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.
(Voir notre avis).
Tout autant n'adhérons pas aux comportements intégristes et outranciers du
Dr Hamer.
"Restaurer
l’unité corps / âme / esprit"
Marc J. Pantalacci
"Il est folie de vouloir guérir le corps sans vouloir guérir
l'esprit." Platon
"Aujourd’hui il appartient à la médecine d’intégrer cette dimension
holistique qui prend en compte la totalité de l’approche du Vivant, dans sa
réalité double : biologique et vibratoire. L’homéopathie, l’acupuncture, la
géobiologie, la médecine ayurvédique, ou plus encore, récemment, les liens
étroits avec la mécanique quantique et les champs morphiques et
informationnels, viennent enrichir notre conception de l’homme et de son
fonctionnement dans un système unitaire, où le Tout contient chaque partie, et
chaque partie le Tout.
Placebo : un allié pour guérir ?
la "médaille"...
Décrié par certains mais qui ont la plupart du temps en commun de solides
dogmes matérialistes et scientifiques, efficacement intégré par d'autres dans
leurs soins, l'effet placebo est de plus en plus reconnu comme facteur
incontournable dans l'efficacité des approches de santé au sens large du
terme.
Tenter de faire le tri entre le vrai et le faux...
"Notre placebo du chef"
Ce qu'est le placebo.
Même quand les patients apprennent que ce qu'on leur a administré était
du placébo, les effets bénéfiques perdurent :
« Des chercheurs ont provoqué une douleur sur le bras de volontaires
qu’ils ont soulagée avec un soi-disant "médicament". Quand les patients ont
su, au bout de quatre jours, qu’il s’agissait d’un placebo sans principes
actifs, l’effet analgésique a persisté malgré tout…»
«
Dans un article paru dans
The Journal of Pain, les scientifiques décrivent l’expérience
qu’ils ont menée sur 40 volontaires. Les chercheurs leur ont expliqué qu’ils
participaient à une étude comparant les effets d’une crème contenant un
composant analgésique (en réalité c’était un placebo) et d’une crème sans
ingrédient analgésique (contrôle). Les deux crèmes étaient identiques, la
seule différence était l’ajout d’un colorant bleu dans la crème placebo. Pour
leur faire croire qu’il s’agissait d’un vrai médicament, les chercheurs ont
fait lire aux participants la composition du « médicament » ; ils leur ont
aussi donné des informations sur les précautions à prendre et les effets
secondaires possibles. L’emballage du faux médicament ressemblait à celui d’un
vrai médicament. Lors de l’expérience, les scientifiques ont provoqué une
douleur par la chaleur sur l’avant-bras des participants, sans brûler la peau.
Cette douleur devait être soulagée par la crème fournie. Chez 20 participants,
l’expérience a été renouvelée sur quatre sessions, sur quatre jours différents
au cours desquels les participants ne savaient pas qu’ils utilisaient un
placebo. Les chercheurs ont comparé les effets de ce conditionnement long de
quatre jours à un conditionnement court d'un jour. Ensuite, lors de la phase
de test, les scientifiques ont révélé aux volontaires qu’en réalité ils
prenaient un placebo ».
« L’explication, pour Tor Wager, un des auteurs de l’étude, est que le
conditionnement permet au cerveau d’apprendre de répondre au traitement,
puis : "Une fois que l’apprentissage a eu lieu, votre cerveau répond
toujours au placebo même si vous n’y croyez plus". Le principal auteur,
Scott Schafer, ajoute que "les placebos induisent la libération de
substances qui soulagent la douleur dans le cerveau, mais nous ne savons pas
encore si cet effet placebo dépendant des attentes utilise le même système
ou des systèmes différents" ». (Source)
(Retour au début du présent article Placebo, un allié
pour guérir).
Dans le milieu médical, on se moque malgré tout encore du placebo,
certes de moins en moins, mais les combats d'arrière-garde existent...
« Les soldats blessés vainqueurs guérissent plus vite que les vaincus
»
avait observé le chirurgien des armées, Ambroise Paré au XVIème siècle.
Bien que de tout temps, on a observé que l’état psychique d’une
personne interférait directement sur son état de santé physique,
comme sur la manière et la rapidité avec laquelle elle se guérit et qui
dépend de son vécu, de ses croyances et de ce qu'on appelle communément de
son "moral".... conformément à ce que notamment Ambroise Paré avait observé. Certains
matérialistes et rationalistes se moquent par exemple de l’homéopathie parce
qu'a leurs yeux, elle ne serait pas plus efficace qu'un médicament
placebo, témoignant ainsi de leur ignorance de sa portée prodigieusement
influente ; pour appuyer leurs dires, ils ne se basent que sur des études qui
corroborent leurs dénigrements, alors qu'il existe (évidemment) d'autres
études qui attribuent un score plus favorable à l'homéopathie par rapport à
ce qu'atteignent les traitements placebo. Comme on le constatera dans
cet
article, la validité
de telles études est d'ailleurs sujette à caution..Victimes
de leur prisme déformant, les plus
scientistes
d'entre eux vont jusqu'à soutenir que la seule preuve qui vaille pour
déterminer l'efficacité d'un traitement, c'est celle donnée par
l'expérimentation scientifique !
Pour expliquer pareille errance, voici l’avis très autorisé et
malheureusement toujours d’actualité du Dr John ECCLES (1903-1997),
prix Nobel de physiologie et de médecine en 1963 pour la découverte
des processus chimiques responsables de la propagation de l’influx nerveux
(synapse) et qui s'est aussi fortement intéressé aux rapports entre
psychisme et physiologie :
"Ils [la majorité des scientifiques]
ont été formés à l'école du matérialisme. C'est un moule extrêmement
rigide composé d'un ensemble de dogmes qui ne sont pas forcément expliqués
scientifiquement ! Par exemple, affirmer que notre existence n'est qu'un
assemblage biologique sans essayer de comprendre tout ce qui n'entre pas
dans ce cadre - sous prétexte que ce n'est pas "scientifique" - est un
dogme, pis, une superstition ! La science est pleine de superstitions, de
croyances de toutes sortes... Le plus navrant, c'est que le public est
persuadé que la science a réponse à tout.." (Revue française
Psychologies n° 100, juillet-août 1992, pp. 54-55)
D'autre part, l'efficacité de
certains médicaments allopathiques mise en comparaison avec des médicaments
placebo ne serait due qu'au fait que le sujet qui les prend ressentant
des effets secondaires lors de la prise d'un médicament allopathique, ce qui
ne se produit pas lorsqu'il a recours au médicament placebo : habitué
au fait qu'un médicament a des effets secondaires, il développe alors la
croyance que la perception d'effets secondaires est le signe sine qua non
d'une quelconque efficacité ! Ces derniers éléments sont repris du
livre du Dr Patrick LEMOINE, Le mystère du placebo (Éd.
Odile Jacob, Paris, 1996) :
L'illusion en médecine porte le joli nom de placebo. Elle soigne, guérit
même parfois. Elle fait disparaître l'eczéma ou dormir le nourrisson
insomniaque. Elle apaise l'anxiété ou soulage la douleur. Comment, sans
action chimique, un tel pouvoir est-il possible ? Et pourquoi donc les
médecins exploitent-ils si peu, ou avec tant de mauvaise conscience, ce
phénomène ? [°]
Où l'on découvre d'étranges pratiques, souvent tenues secrètes
par la corporation médicale, et l'alliance inattendue de la médecine et de
la magie. (Extrait de la présentation du livre.).
° Sans doute parce que détenteurs patentés de l'art de
guérir, reconnaître que le médecin intérieur (voir plus bas) fait
sans doute bien mieux que tous les traitements conventionnels, leur ferait
perdre, et pas seulement un peu, de leur position d'autorité et de pouvoir
(effet blouse blanche).!
Voici l'une des nombreuses sources qui témoignent de l'imposture de certains
médicaments allopathiques (extrait de
Quand les thérapeutes
dérapent):
Les
antidépresseurs de la dernière génération ne montrent pas de différence par
rapport aux placebos.
Voici le verdict "sans appel" de deux scientifiques réputés (Irving Kirsch
de l’université de Hull au Royaume-Uni, et Blair Johnston de
l’université du Connecticut aux USA), qui ont passé en revue la
totalité des essais cliniques des six antidépresseurs de nouvelle génération
les plus prescrits : « Ces médicaments […] ne sont pas plus
efficaces qu'un placebo ! Autrement dit, un médicament ne contenant pas de
principe actif… » (Source)
« La suggestion mentale est connue depuis plusieurs
siècles en médecine. Déjà, au XIII° siècle, le moine savant Roger Bacon décrit
parfaitement comment la guérison s’améliore si le malade s’approprie la
médecine qui lui est prescrite, pour que son âme s’en réjouisse et trouve en
elle la force de la guérison. Deux siècles plus tard, Paracelse va même plus
loin et considère que le malade finit par devenir ce qu’il imagine. Il mettait
en garde contre la peur [cf. ce texte qui vous
permettra de comprendre les effets psychobiologiques négatifs de la peur]
qui, en période d’épidémies, peut renforcer la propagation et la gravité du
mal. L’image mentale que nous nous représentons de nous-même ne
contribue-t-elle pas à notre devenir ? "Imaginez-vous dans un corps sain et
votre intuition vous portera à des choix naturels qui renforceront votre
santé. Demeurez dans la tristesse et vous finirez par avoir mal au coeur »,
disait-il. [d'où l'importance de pouvoir se faire accompagner
psychothérapeutiquement lorsque la tristesse, la
dépression perdurent...] (Docteur Paul
Dupont in Pratiques de Santé n°84
novembre 2008).
Lors de son audition devant une séance d'une
commission d'enquête du Sénat français du 19 décembre 2012, le Pr Ivan
KRAKOWSKI (°)
précise à propos de l'effet placebo qu' « il peut être
extrêmement puissant. En cancérologie, il est tout à fait fréquent dans les
études thérapeutiques d’observer un effet placebo de plus de 60% même contre
des thérapeutiques tout à fait établies ».
Par ailleurs, il y avait aussi fait observer avec un solide bon sens que
« L'absence de preuve n’est pas la preuve de l’absence d’efficacité »..
(°) Directeur du service interdisciplinaire de soins de
supports en oncologie au Centre Alexis Vautrin (CLCC de Nancy).
De mon côté, je peux vous
témoigner que professionnellement j’ai accompagné (sur le seul plan
psychologique) de nombreuses personnes
qui, parce qu'elles étaient convaincues de l'influence
sine qua non de la composante psychologique dans la survenance des maux
et donc ce qui est sous-jacent à l'effet placebo ont pu effectivement SE
guérir de leur cancer (par exemple), en étant arrivées à s'affranchir d’un
diagnostic médical pourtant peu optimiste et sujette alors à un effet
nocebo (certes, ne jetons pas l'enfant avec l'eau du bain, tout en
bénéficiant de ce que la médecine conventionnelle pouvait leur apporter
d'utile en l'occurrence).
« Enfin, comment faire la part de l’effet placebo, inhérent à toute
pratique médicale, parallèle ou orthodoxe, ce secret mélange omniprésent
dans la relation médecin-malade entre empathie, conviction du thérapeute et
attentes du patient ? (Voir Sciences et Avenir n° 705, novembre 2005.) Pour
tenter de le contourner, dans le cas de l’acupuncture, les expérimentateurs
n’hésitent pas à implanter de vraies fausses aiguilles (lire p. 45)… Autre
difficulté : les pressions exercées par les laboratoires pharmaceutiques,
régulièrement accusés par les défenseurs des médecines alternatives de
préserver l’approche traditionnelle du "tout-médicament" ». ("L’hôpital
s’ouvre aux « autres » médecines
", Science et Avenir de février 2007).
La part effective de l’effet
placebo dans la pratique médicale conventionnelle ou non conventionnelle est
donc sans aucun doute décisive : l’attitude du soignant, son soutien, son
charisme... interviennent incontestablement dans un tel effet. De nombreuses
études cliniques ont clairement montré qu’un traitement quelqu’il soit n’est
efficace que proportionnellement au crédit que lui apporte le soigné mais qui
dépend donc aussi de l'état d'esprit, de l'attitude du soignant. Entre autres
preuves, en Allemagne dans plusieurs universités, on organise un VRAI examen
d’entrée (mais pas comme ici un examen des seules connaissances théoriques) :
chaque candidat est évalué suite à une sorte de séance devant un patient
(fictif) ; s’il n’a pas les qualités humaines et de relation d’aide
authentique requises, il n’est pas sélectionné ! Aucun problème alors de
surnombre de médecins et en plus, ils sont tous de meilleure qualité !
« Le vrai médecin est le
médecin intérieur. La plupart des médecins [et certains thérapeutes] ignorent
cette science qui, pourtant, fonctionne si bien »,
soulignait pertinemment le Dr Albert SCHWEITZER (1875-1965),
médecin, théologien protestant et musicologue français
En fait, «
le placebo est le médecin qui réside en nous
».
(Norman COUSINS, La volonté de guérir, Ed du Seuil, 1980, p.
62.)
Il ne faudrait pourtant pas oublier que ce n'est pas le médecin qui vient à
bout de la maladie, mais le malade.
Le malade se guérit lui-même, comme c'est par ses propres forces qu'il
marche, pense, respire, dort et encore le désir refoulé se manifeste par la
maladie), Jung
C’est ainsi qu’abusivement, un traitement strictement médical (et
analogiquement tout autre type de traitement au sens large) est parfois taxé
d’efficace par le fait de sa seule intervention ; pourtant, divers
témoignages confortés par mon observation professionnelle me montrent
souvent que, parmi de telles personnes qui se sont donc ainsi guéries, ils
s’en trouvent peut-être :
1° qui ont pu résoudre (consciemment ou pas) ce qui
avait généré psychologiquement le malaise. Certes, c’est sans garantir qu’un
tel symptôme ne réapparaisse ensuite étant donné, en l’espèce, que la/les
situation(s) conflictuelle(s) qui est/sont à l'origine de la somatisation
n’aura/aient donc pas été solutionnée(s) en profondeur, cela arrive souvent,
car les médecins ne sont généralement pas formés à assurer un accompagnement
psychothérapeutique adapté (analytique & comportementaliste, voir plus haut)
qui permettrait d’annuler les effets de telles situations ;
Il devient en effet de plus en plus difficile de douter le l'influence
prédominante du psychisme sur le corps, ainsi qui a été incontestablement et
superbement démontré par l'attribution ce triple prix
Nobel de physiologie et de médecine en 1977.
En revanche, il faut donc attirer
l’attention sur le fait que le seul effet
placebo ne pourra pas venir à bout des causes réelles des maux et qui
le cas échéant, non résolues pourraient donc se manifester de nouveau par
des somatisations par exemple.
Enfin, dans les approches psychosomatiques non conventionnelles des
maladies, il y a malheureusement des dérives manifestes et que nous
combattons fermement (cf. "Médecine" du Dr Hamer et
et "Biologie totale" du Dr Sabbah).
« Un mot peut être le stimulant
puissant des plus complexes manifestations fonctionnelles »
Konstantin
Bykov .physiologiste
"Le glamour et la brillance de la présentation [du
médicament] amélioraient indirectement les attentes des cobayes".
"Le fait que cette évolution soit si localisée laisse penser aux chercheurs
que la publicité directe de médicaments aux consommateurs a peut-être un effet
sur leurs attentes. Les USA sont en effet le seul pays au monde - avec la
Nouvelle-Zélande - à autoriser la réclame pour des médicaments uniquement
délivrés sur ordonnance. Les laboratoires dépensent ainsi des sommes
colossales dans la publicité, tout particulièrement depuis un assouplissement
des règles intervenu en 1997. Soit à peu près au moment où l'effet du placebo
a commencé à se renforcer, selon l'étude canadienne.
Rien d'étonnant à cela, car c'est l'une des nombreuses expressions de l'effet
placebo ; comme dit plus haut dans cet article
Placebo : un allié pour guérir ?,
on a démontré de nombreuses fois qu'un médicament allopathique n'était pas
nécessairement plus actif qu'un placebo : tout dépend de la croyance de son
efficacité chez la personne qui le reçoit ; d'ailleurs, les laboratoires
pharmaceutiques s'adonnent à étudier et à composer d'une manière pointue
différents paramètres de type psychologique pour en booster les effets,
démontrant par là qu'ils croient à la puissance de l'effet placebo : couleur
de la pilule, forme, couleur de l'emballage, nom du médicament (exemple pour
le Viagra, c'est la couleur bleue qui a été choisie en référence au Niagara
dont il s'inspire, pour évoquer une puissante image de force, comme le
suggèrent les colossales chutes d'eau !).
Nocebo, un allié santé injustement diabolisé...
.... et le "revers de la médaille",
mais
pourtant tellement porteur d'enseignements libérateurs !
Résumé :
est qualifié de nocebo
la présence d'un effet somatique ou psychique indésirable au seul contact d'un
déclencheur (toxique...) qui n'est physiquement pas présent et qui est/serait
donc le fruit de l'imagination (exprimant en filigrane une forme de
croyance limitante) de la personne touchée. Cependant les personnes qui
le dénoncent sans autre procès, diabolisent
trop souvent,
inutilement et contreproductivement un tel effet, affublées la plupart du
temps de solides oeillères dogmatiques de type matérialiste et scientifique
en ce qu'elles ne prennent sinon pas, du moins pas assez en compte les autres incidences
(psychologiques, immatérielles...), lesquelles constituent pourtant une réalité à bien
prendre en compte et donc digne d'une prise en charge thérapeutique pour désactiver
ce qui la nourrit. De telles postures dogmatiques les empêchent humblement
de percevoir que, derrière
les attitudes empreintes de nocebo, se profilent pourtant des caractéristiques
psychiques particulières à la personne, porteuses de précieux enseignements sur le plan (psycho)thérapeutique :
vu sa qualité de principe gouverneur en amont, c'est le
psychisme qui provoque in fine les maladies, au même titre, mais
inversement, que l'effet
placebo (dont l'importance cruciale est trop souvent négligée
de la part du corps médical) : en faire des alliés thérapeutiques permet d'arriver à guérir plus rapidement...
On verra aussi que les soignants qui diabolisent l'effet nocebo chez
leurs patients et souvent d'un manière méprisante, sont (sans le savoir) tout aussi sujets dans leur pratique à
diverses emprises analogiques au nocebo et pire, aux effets
dommageables pour ceux qu'ils sont pourtant en charge de soigner le mieux
possible (contrairement à ce que le serment d'Hippocrate leur dicte
d'ailleurs) !
Ce qu'est le nocebo :
«
L'effet psychologique ou physiologique lié à la prise d'une substance
inerte n'est pas toujours bénéfique, il peut être dommageable pour
l'individu : c'est l'effet nocebo (du latin : « je nuirai »). Ont ainsi été
observés des troubles apparus chez certains riverains d'une antenne-relais
de téléphonie mobile, alors même que l'installation n'avait pas encore été
mise en service. Lors d'une étude sur l'influence de la prière sur la
guérison d'un malade, certains d'entre eux présentaient plus de risque de
complications médicales s'ils étaient informés que des prières étaient dites
en leur faveur. Une hypothèse est que le stress supplémentaire induirait un
effet nocebo ou serait source de risques accrus de complications
».
(Wikipedia)
Quelques exemples qui montreront que l'investigation psychologique est trop
souvent négligée face à des situations mettant en jeu l'effet nocebo
et qui font se déclencher des maladies, alors que la règle qui prévaut
presque toujours dans l'approche médicale conventionnelle est de considérer
que c'est le toxique etc. qui est le vrai responsable, fidèle ancrage à ne
considérer (dogmatiquement) que le symptôme :
* contact sur la peau (réaction urticante) avec le
* un cas de
* un cas de réaction aux poils de
* ce qui explique pourquoi certains
* ce qui est arrivé à
* le cas du
En fait, le commun dénominateur
de ces cas est la présence d'un code psychologique caché qui active une somatisation particulière,
à la manière d'un interrupteur (avec une
symbolique qui ne tient en fait en rien du hasard), ce qui fait toute la
différence, comme on le verra encore au travers de l'exemple donné plus bas
par le Pr Henri Laborit !
Dans tous ces exemples, on observera que la peur, le stress, la croyance morbide...,
s'exprimant notamment au travers de résistances à
la guérison, sont des facteurs empreints de nocebo qui
à eux seuls
pourront déclencher des maladies.
Malgré une attitude récurrente à sens unique propre au corps
médical qui est d'incriminer au seul patient l'activation d'une
kyrielle d'effets nocebo, il conviendrait que ses membres balayent énergétiquement devant leurs portes ; en effet, ils ont
bien trop tendance à brandir le prétendu toxique etc. comme ayant provoqué à
lui seul la
maladie, alors qu'aucune étude n'a pu en établir (et pour cause) un vrai lien de cause à effet ;
en pareil cas , les scientifiques prétendent y voir des facteurs de
risque, ce qui induit fallacieusement qu'ils sont assimilables à des
liens de cause à effet.
Un effet nocebo est alors (mais à leur insu et donc d'autant plus
redoutable) présent et actif, non pas uniquement chez le patient, mais cette
fois chez le soignant (!), ce qui a un effet réellement contagieux,
phénomène renforcé par la
position d'autorité dans laquelle le soignant se trouve ; c'est l'effet bouse blanche
: le médecin, nanti légalement de l’Art de guérir, serait tenté
d’abuser de son puissant rôle d’autorité, vu le pouvoir exagéré que lui
attribue habituellement le « patient-dépendant-potentiel », mû par la
colossale attente du "docteur, guérissez-moi !".
Pour preuve d'un tel falsificationisme : entre autres la mise en évidente
lumière de statistiques montrant que ce sont chez les religieuses dans la
règle (loi du silence) qu' on a pu détecter jusqu'a 9 fois plus de cancers du larynx
que chez les femmes du monde, alors que les religieuses (à l'inverse des
femmes du monde) n'avaient jamais été vraiment (vu leur rigoureuse hygiène
de vie) en présence des toxiques
réputés déclencher de tels cancers, selon un dogme médical encore bien ancré. (Cf.
les recherches pointues du Dr Michel Moirot :
détails).
En pareilles circonstances, de tels détenteurs de l'art de
guérir hypothèquent lourdement les possibilités réelles de guérison
de leurs patients, car le responsable n'est pas le toxique etc. particulier
fustigé avec lequel le sujet aura été mis en contact, mais d'une manière
incontournable, ce qui agit bien en amont
(psychisme) et qui aura provoqué les maladies, comme le faisait observer en
d'autres mots et fort de ses lumineuses expérimentations, le renommé
Pr Henri Laborit
:
"Il paraît alors évident que pour faire une infection ou une affection
néoplasique [ndlr :cancer], il ne suffit pas d'un contact avec un microbe
ou un virus ou un irritant local chroniquement subi. On a trop focalisé sur le
microbe, le virus ou le toxique cancérogène et pas assez sur le sujet, sur son
histoire passée et présente, ses rapports avec son environnement. Les toxiques
eux-mêmes doivent sans doute présenter une toxicité variable suivant le contexte
et le statut social de l'individu qu'ils atteignent."
Quand les membres du corps médical persistent à se comporter de la sorte,
ils enfreignent len fait eur déontologie : « Une telle situation devrait rendre
tout médecin beaucoup plus prudent et respecter le précepte de d’abord
ne nuire en rien. D’ailleurs, pour ne citer que
lui, le Code (français) de déontologie médicale avertit clairement :
L'article 39 – Charlatanisme – [...] le malade ne doit pas être
trompé, et l'article 39 met en garde les praticiens contre l'utilisation
imprudente de médications incertaines, de procédés illusoires et les
affirmations abusives. Il n'est pas admissible qu'un médecin s'écarte dans
ses propos d'une exactitude rigoureuse, lorsqu'il propose un traitement.
[…]. D'une manière plus générale, l'article 39 condamne "toute pratique
de charlatanisme". Le charlatanisme, c'est l'exploitation de la crédulité
publique ».. (Extrait de
Quand les thérapeutes dérapent).
D'autre part, en présence d'effets nocebo chez les patients, de tels
médecins aux oeillères matérialistes les rendent davantage
impuissants en les abandonnant à leur sort,
quitte à se dédouaner en les gavant par exemple d'antidépresseurs dont l'efficacité est
pourtant absente à
moyen et long terme : c'est faute de s'être attachés aux vraies causes et vis-à-vis
desquelles la chimie (pharmacopée) se démontre donc ipso facto
inefficace à moyen et long terme. En revanche, ils devraient déléguer (°) (ce qui est une
obligation déontologique) et conduire de tels malades à bénéficier
d'une psychothérapie qui leur permettra de désactiver définitivement les
codes qui arqueboutent les effets nocebo avec lesquels
ils sont donc aux prises ; cependant, peu de médecins agissent de cette façon,
préférant souvent et sans vergogne jouer aux apprentis-sorciers dans un domaine
(l'accompagnement psychologique) qui n'est pas le leur
et pour lesquels ils ne sont pas formés. (Détails).
° "Tout praticien d’une profession des soins de santé a la
responsabilité de renvoyer son patient vers un autre prestataire de soins
compétent en la matière [en l’occurrence un psychothérapeute] lorsque
le problème de santé nécessitant une intervention excède son propre domaine
de compétence." (Loi du 4 avril 2014, art. 11bis, Moniteur belge)
La prise en compte cette fois positive (porteuse) de l'effet nocebo offre ce
que permet analogiquement et automatiquement l'effet
placebo
: une
opportunité de taille pour arriver à ce que les patients deviennent plus
libres, plus autonomes et recouvrent plus rapidement une meilleure santé. En effet,
aider les patients à prendre conscience de ce qui active l'effet nocebo
leur permettra de s'y confronter et de commencer à en identifier les
ressorts, pour ensuite pouvoir en désactiver les effets, donnant ainsi de
plus en plus de place au médecin intérieur (effet
placebo) ; pour ce faire, quittant la toute puissance de leur
confortable piédestal, tous les membres du corps médical devraient inviter sans tarder les patients à se faire accompagner sur le
plan
psychothérapeutique. S'engage alors et résolument le chemin d'une vraie prévention et en plus, à la clé, le
dégagement de
moyens financiers qui seront valorisés plus utilement dans la vraie recherche
médicale porteuse.
"A toi qui régis mon corps,
Témoignage d'un patient (octobre 2008)
Ce qui
expliquerait la survenance des maladies : Mieux comprendre les
deux phases de la maladie. Ce qui se passe
lorsque la peur de... (exemple : attraper une
maladie) ne se résout pas.
Un cas surprenant : un
cytomégalovirus qui fait une volte-face
étonnante !
Exemple de guérison avec l'aide de la psychobiologie (col
de l'utérus)
D'autres cas de "mal-à-dire"
qui se forgent dans le
ventre maternel.
Les
hamsters enfumés (tabac) attrapent-ils le
cancer
Le cerf qui perd son territoire et l'infarctus
? "Le langage de la guérison" (J.-J. Crèvecoeur)
Ce qui se passe lorsqu'une
brebis s'égare.
Ne vous agrippez pas à la grippe !
Voir section SANTE de ce site
Là où la psychobiologie moderne rentre en
résonance avec les médecines primitives :
"Que notre vie
intérieure s’enlaidisse et nous risquons fort de tomber malades ? (...)
On sait bien que les traumatismes affectifs, les
ruptures, les non-dits graves, les amertumes, les haines…
sont
autant de “laideurs intérieures”, qui provoquent notamment des cancers" :
"Les
Clés de la santé indigène" (Jean-Pierre Barou & Sylvie Crossman aux Ed.
Balland)
Une note d'humour : les nouveaux
médicaments génériques.
Cette page est généralement classée
N°1 sur Google (recherche sur le mot "psychobiologie")
Lire encore cette extrait d'interview
accordée par le Pr Henri Laborit à Radio Canada.
"Le corps n'est que le reflet de l'âme". (Fox Emmet )
Ferdinand Brunot.
Ces médecines globales nous rapprochent plus que jamais de cette union corps /
âme / esprit, seule garante de notre bien-être, physique, psychique et
spirituel. La médecine du troisième millénaire sera celle qui restaure l’unité
corps / âme / esprit.
Pour permettre la guérison, il faut atteindre le lieu de la conscience pure -
la fréquence vibratoire - qui n’est jamais touché par la maladie, car la
maladie n’est qu’un phénomène purement somatique. Rappelons que la maladie
n’est pas une agression d’un agent extérieur qu’il convient de combattre, mais
l’expression d’un conflit intérieur, un défaut dans le réseau de vibrations
dont nous sommes constitués.
La médecine de conscience a pour but de rétablir l’émission correcte des
vibrations, par un accès direct au cœur de Vivant.
Il y a des milliers d’années, la science et la philosophie orientales ont eu
l’intuition de ce que la "Science élargie" est en train de redécouvrir.
C’est de la conjugaison de ces deux médecines que naîtra la médecine du futur,
celle de l’homme médiateur du Ciel et de la Terre.
Car nous sommes entrés dans le "Temps des mutants".
Et il y a nécessité de changer de paradigme, d’être conscient de la
manifestation, en refusant le "consommer-mourir" pour la voie de la
conscience, de la liberté et de la responsabilité. "
« Un placebo est une mesure thérapeutique d'efficacité intrinsèque nulle
ou faible, sans rapport logique avec la maladie, mais agissant, si le sujet
pense recevoir un traitement actif, par un mécanisme psychologique ou
psycho-physiologique. Dit autrement : « ça marche juste parce que j'y crois
», ou l'autosuggestion appliquée à la médecine. Le médicament placebo ne
contient a priori aucun composé chimique ayant une activité démontrée.
Notons par ailleurs que le placebo ne se présente pas uniquement sous la
forme d'un médicament : il peut s'agir d'une opération chirurgicale
inadéquate, d'un traitement physiothérapeutique mal conduit ou inutile, et
de toute autre intervention thérapeutique dont l'indication est mal posée,
ou la réalisation incorrecte.
L'effet placebo (du latin : « je plairai » est défini comme l'écart positif
constaté entre le résultat thérapeutique observé lors de l'administration
d'un médicament et l'effet thérapeutique prévisible en fonction des données
strictes de la pharmacologie. Tout geste thérapeutique, valide ou non,
comporte d'ailleurs une part plus ou moins grande d'effet placebo ».
(Wikipedia)
De plus, on a démontré de
nombreuses fois qu'un médicament allopathique n'était pas nécessairement
plus actif qu'un placebo : tout dépend de la croyance de son
efficacité chez la personne qui le reçoit ; d'ailleurs, les laboratoires
pharmaceutiques s'adonnent à étudier et à composer d'une manière pointue
différents paramètres de type psychologique pour en booster les effets,
démontrant par là qu'ils croient à la puissance à l'effet
placebo : couleur de la pilule, forme, couleur de l'emballage, nom du
médicament (exemple pour le Viagra, c'est la couleur bleue qui a été
choisie en référence au Niagara dont il s'inspire, pour évoquer une
puissante image de force, comme le suggèrent les colossales chutes d'eau !).
2° qui ont été en contact avec des événements qui ont apporté (consciemment
ou pas) une solution temporaire ou définitive à ce qui a généré leurs maux
sur le plan psychologique (même remarque que dans le point précédent) ;
3° qui ont bénéficié de l’effet placebo tributaire du charisme de celui qui
a préconisé le médicament ou le traitement (même remarque que sous le point
1°) ;
4° qui ont reçu d'autres effets bénéfiques (non conscientisés) comme par
exemple, le fait d’avoir été hospitalisés et d’avoir pu profiter ainsi de ce
que la vie aura apporté de ce fait ou concomitamment, comme solutions
temporaires ou définitives aux situations conflictuelles (qui s’étaient donc
somatisées en maladies). Cependant, en l’occurrence, le symptôme disparu
pourra réapparaître plus tard à la faveur d’une situation conflictuelle
(récidive) propice à redéclencher la somatisation au cas où ce qui est donc
sous-jacent n’aurait pas été résolu en profondeur.
Les chercheurs estiment que, confrontée à la publicité qui vante les miracles
que peuvent accomplir les médicaments, la population a commencé à avoir des
attentes plus fortes, à croire davantage à leur efficacité. Le mécanisme
psychologique ou physiologique qui joue dans l'effet placebo s'en serait ainsi
trouvé renforcé.
La pub ne serait néanmoins pas la seule responsable. Les données de l'étude
suggéreraient par ailleurs que plus l'essai clinique s'inscrit dans la durée,
et plus il est vaste, plus l'effet placebo augmente. Comme si, raconte Nature,
'le glamour et la brillance de la présentation amélioraient indirectement les
attentes des cobayes'. " (Source
BFMTV).
Retour au début de l'article Placebo : un allié
pour guérir ?
J'ai fait un pacte il y a peu avec mes proches, ma famille et mes amis : J'ai
décidé de guérir et de vivre une nouvelle vie encore plus riche et emplie de
bonheur et d'amour.
Tu as développé cette maladie dans mon corps, tu as cru bien faire et tu m'as
permis de prendre conscience de la mort, de la vie, de l'amour et des milliers
de choses qui comptent pour moi au sein de cet univers.
J'ai changé. Ce cancer m'a apporté plus de quiétude et m'a ouvert les yeux sur
ma vie et mes émotions. Il m'a donné un nouveau souffle et je sais maintenant
que je dois me concentrer sur ce qui est important : mon être.
Sans prendre soin de moi, je n'aurai plus rien à offrir.
J'ai entrepris un énorme travail, je me suis investi dans la compréhension de
mon corps et de mon esprit. Je croyais avoir trouvé la clé de ma
guérison mais ce cancer a continué à progresser. Je ne me décourage pas
et je compte prendre les choses en mains afin de me mener vers cette guérison
indispensable.
Je me suis engagé à gagner cette nouvelle vie et j'ai besoin de ton aide.
Il faut que tu comprennes à ton tour que ce cancer m'a guéri des
préoccupations du passé et qu'il est temps que tu en arrêtes le processus.
Donne-moi les signes utiles pour choisir la voie du rétablissement et assouvir
mon besoin de vivre.
Demain, j'aurai 37 ans et je veux que ce jour détermine le tournant de ma vie.
Je te remercie pour la prise de conscience psychique offerte mais il est temps
que tu me débarrasses de ce cancer qui n'est plus en terre fertile au sein de
mon corps."
nous n'adhérons en aucun cas à la Biologie-Totale
que nous refusons vu les dérives qu'elle génère
par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.
(Voir notre avis).
Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière les comportements intégristes et outranciers du Dr Hamer.
Deux chapitres du livre "Quand les thérapeutes dérapent" y sont consacrés.
Aperçu des conférences qu'a données Baudouin Labrique
sur les thèmes en rapport avec la psychobiologie.
Ces thèmes sont aussi abordés en séances individuelles.
PRINCIPAUX THEMES DU SITE RETROUVER SON NORD :
-
Santé -
L'être humain est une merveilleuse machine qui vise toujours, quoi qu'il arrive, à mettre en action, instantanément, pour survivre, des programmes stockés depuis les temps les plus reculés : ce sont des programmes archaïques de survie et que constituent ce qu'on appelle "maladies". Face à un stress devenu insupportable car dangereux (cf. "Ce finit par entraîner la peur de...")et en vue de le rendre moins important, le cerveau va le détourner dans un organe ou une fonction : la maladie , d'où le 'mal-à-dire', car les mots, les expressions normales sont des moyens d'expression pour engage la résolution des situations conflictuelles sous-jacentes. Les maladies sont donc la solution parfaite du cerveau, au cas par cas. La nature nous offre à profusion des exemples produits par le trio psychisme-cerveau-corps : tout conflit non résolu se transforme en mal-à-dire (somatisation). Le cas de la brebis égarée, que connaissent tous les vétérinaires qui soignent les troupeaux, est éloquent. Il n'y a absolument rien d'anarchique dans cette réaction psychosomatique, même et surtout pas dans le cas des cancers : "Quand sers-tu donc ?". "qu'est-ce que le mal nous a dit ?"....
Ne craignez rien !
Nous avons sélectionné les meilleurs outils pour votre opération !
Mieux encore, le rôle des virus et des bactéries est essentiels dans la guérison : ils font en effet partie des phases réparatrices d'un beau nombre de maladies ; ce qui se passe lors de "épidémies" de grippe est éloquent. Quand le « mal à dire » survient au travers "des maux et les mots pour le dire", c'est en fait une invitation pour comprendre tous les messages et s'autoguérir en toute liberté de nos situations conflictuelles non résolues, grâce au décodage précis et avec l'aide des outils thérapeutiques de la médecine conventionnelle, des autres médecines et thérapies, sans oublier l'adoption d'une alimentation plus appropriée. Pour en parfaire la correcte application concrète, un stage permettra de peaufiner et de mettre au jour le message de conflits spécifiques et d'apprendre à identifier plus rapidement et plus efficacement ce que les maladies veulent inlassablement nous dire. "La maladie cherche à me guérir" ; des formations existent dont celles que dispensent le Dr Claude Sabbah (en "Biologie-Totale"), mais il convient d'en souligner les effets pervers de son enseignement et application incomplets ou erronés.
AVERTISSEMENT IMPORTANT :
nous n'adhérons en aucun cas à la
Biologie-Totaleque nous refusons vu les dérives qu'elle génère
par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.
(Voir notre avis).
Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière les comportements intégristes et outranciers du Dr Hamer.
Mieux comprendre les deux phases de la maladie.
Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda.
Site santé
intéressant pour identifier les symptômes des maladies avec un moteur de
recherche très pratique :
<http://www.vulgaris-medical.com/texts/frames.html>
.
L'AUTO-LIBERATION DU
mal-à-dire
Une série d’outils personnels, pratiques et très performants existent (détaillées et explicités durant les conférences et ateliers) et sont aussi proposés en partie sur ce site. De plus, que ce soit pour l’alimentation ou l’environnement au sens large du terme, plusieurs clés sont utilisées pour réduire au maximum les symptômes souffrants et ensuite pour rendre la phase de guérison plus confortable encore. Ainsi, en les appliquant correctement, les personnes pourront se mettre sur le chemin de la guérison complète et définitive à moindres frais et beaucoup plus rapidement qu’en faisant l'impasse.
Enfin, dans le cadre des séances que nous vous proposons, une série d'outils autothérapeutiques (exemple) seront proposés ; dans la suite, en as de malaise, ma-être ou maladie, utilisés, il permettront de, sinon guérir par soi-même en minimisant les apports extérieurs, du moins fameusement "calmer le jeu" des symptômes souffrants.
Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda.
Mieux comprendre les deux phases de la maladie.
« Le manichéisme (°) qui caractérise la majorité des conduites humaines ne permet d'envisager jusqu'ici que deux conduites à l'égard de la maladie : l'une consiste à agir sur l'organisme malade en ignorant son environnement, l'autre à agir sur l'environnement en croyant que cela suffira à résoudre tous les problèmes organiques. Il serait sans doute préférable dans certains, pour traiter un ulcère d'estomac, d'éloigner la belle-mère par exemple plutôt que de pratiquer une gastrectomie qui ne changera rien au facteur environnemental.» (°) une pensée ou une action sans nuances, voire simpliste, où le bien et le mal sont clairement définis et séparés.
Extrait du livre "L'inhibition
de l'action" du Professeur Henri Laborit.
Il existent différentes approches thérapeutiques contemporaines et spécifiques qui sont offertes par les médecines officielles et par d’autres thérapies ; l’accent doit être mis sur leur complémentarité et leur spécificité, sans jamais les mettre en concurrence. Le choix d’une ou de thérapies sera^personnel et aussi fonction du stade et du niveau de conscience où le patient se trouve par rapport à la résolution de sa maladie. Il pourra alors devenir davantage le vrai chef d’orchestre responsable de sa guérison, en optant, en parfaite connaissance de cause, pour telle ou telle thérapie. Il aura par ailleurs à sa disposition un choix plus grand de thérapies de confort ou d’accompagnement qui lui permettront de rendre plus supportable sa maladie, tout en raccourcissant le temps de la réparation définitive. Cependant, attention à la manière dont certains (trop nombreux) thérapeutes en "décodage biologique" s'y prennent avec les patients en rapport à ce que devrait constituer une psychothérapie appropriée, notamment dans le cas de l'accompagnement thérapeutique du « mal à dire ». Voir aussi ce que la dissolution des mémoires énergétiques peut apporter complémentairement.
Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda.
AVERTISSEMENT IMPORTANT :
nous n'adhérons en aucun cas à la
Biologie-Totaleque nous refusons vu les dérives qu'elle génère
par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.
(Voir notre avis).
Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière les comportements intégristes et outranciers du Dr Hamer.
FATIGUE, QU'AS-TU A NOUS
DIRE ?
Déjà considérée comme le grand mal de la fin du siècle dernier, serait-elle en passe d’être au top des fléaux de ce nouveau siècle ? Elle n’est pourtant pas inéluctable. Ressentie comme insupportable, peut-être devrions-nous la remercier de nous protéger de plus grands maux ? Apprenons à écouter et comprendre ses messages et à changer efficacement notre vie, en prenant enfin les bonnes décisions ; respectons alors la première personne qui doit l’être en priorité : nous-même ! Il y a fort à parier qu’alors nous saurons nous faire une réelle amie de cette fatigue tant redoutée ; ainsi, nous apprendrons à l’écouter à l’avenir sans tarder pour qu’enfin elle nous quitte sans aucun regret !
Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda.
Voir aussi ce que la dissolution des mémoires énergétiques peut apporter complémentairement.
C’est notre peau qui se trouve d’abord en contact direct avec notre environnement extérieur et surtout affectif. Tout bébé, nous réagissons déjà très fort à ce niveau, car la parole nous manque alors. Ensuite, elle continue à nous transmettre des messages en relation avec ce dont nous sommes séparés réellement ou symboliquement. La peau se comporte alors comme une sorte d'interface du « mal à dire ». Comment décoder efficacement ce que notre subconscient nous envoie par son intermédiaire ? Comment arriver à guérir rapidement de ces problèmes de peau ? Comment faire pour en arrêter la répétition ?
Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda.
En savoir plus.
Pour plus de détails, dans les livres et les sites spécialisés.
Voir aussi ce que la dissolution des mémoires énergétiques peut apporter complémentairement.
Ce qu'a écrit Audrey Hepburn, quand on lui a demandé de révéler ses «trucs» pour être belle...
Voir en quoi une psychothérapie permet par exemple, de venir à bout de maladies de la peau comme le psoriasis.
Voir l'importance du toucher.
Que cache cet excès ou ce manque de poids mal vécu ? Comment se fait-il
qu’aucun régime ni aucune technique n’en vienne à bout ? Que signifie cet
aller-retour continuel entre prendre et ensuite perdre du poids ?
Les découvertes récentes de la psychobiologie (« le
mal-à-dire ») ont démontré que les
problèmes de poids avaient des causes analogues à celles des maladies. Comme
ces dernières, tout problème de poids indésiré (trop pue ou en trop) est le
transposé biologique d’une situations conflictuelle non résolue et la plupart
du temps cachée. Il en constitue la solution parfaite (de survie) du cerveau,
comme pour tout mal-à-dire. Pourtant, ce
lourd fardeau est aussi un message positif de notre inconscient pour en sortir
enfin. Des outils personnels efficaces peuvent être expérimentés. Il existe
des moyens simples à appliquer pour s’en délivrer définitivement et sans
devoir faire de régime particulier.
Plus de détails.
Voir aussi ce que la dissolution des mémoires énergétiques peut apporter complémentairement.
Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda.
Le Jugement de Paris. c.1639 de P.P. RUBENS
A cette époque, les canons de beauté étaient diamétralement opposés aux nôtres...
Comment décoder efficacement ce qui est derrière cet écran de fumée, ce que cela a signifié et implique encore dans notre vie ? Pourquoi certains se mettent-ils à fumer et d’autres pas ? Passant par des périodes d’abstinence, pourquoi certains n’arrivent-ils pas à arrêter définitivement de fumer ? La cigarette est-elle vraiment responsable de cancers ? Pourquoi une race de hamsters enfumés en laboratoire, contracte le cancer des poumons et une autre race de hamsters enfumés de la même façon, pas ? Ne plus jamais (trop) fumer est-il possible ? Comment y arriver enfin ? Pour se libérer de cette dépendance, une série d'outils personnels peuvent être proposés ainsi que des thérapies adaptées si c’est nécessaire
Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda.
Pour plus de détails, voir les livres et les sites spécialisés.
Voir aussi ce que la dissolution des mémoires énergétiques peut apporter complémentairement.
L’alcoolisme est d’abord une terrible souffrance. Comment en arrive-t-on là ? De quoi, de qui, veut-on ainsi "décoller" ? Doit-on jeter la pierre à ceux qui y succombent ? Ceux qui en sont victimes sont souvent incompris et rejetés. Méritent-ils un tel traitement ? Quelles sont vraiment les causes de cette dépendance ? Comment peut-on sortir de ce cercle vicieux ? Comment aider efficacement ceux qui en souffrent ? Pourquoi certains choisissent toujours comme compagnon de vie des alcooliques ? Des clés décisives existent pourtant.
Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda.
Plus de détails concernant dans le chapitre consacrés aux DEPENDANCES.
Voir aussi ce que la dissolution des mémoires énergétiques peut apporter complémentairement.
Suite à un travail sur soi en vue de résoudre la situation conflictuelle primal lié à l’émergence d’un mal-à-dire, d’un mal-être etc., il n’est pas rare de ressentir des émotions, d’avoir des rêves bizarres, des comportements disharmonieux compulsifs inexpliqués. Toutes ces manifestations sont inconfortables et peuvent induire le fait que la guérison ne serait pas totale. Il est alors sans doute approprié de procéder à un travail de libération énergétique de ces mémoires résiduelles. Cela se réalise à l’aide de séances thérapeutiques par le truchement de l’antenne de Lecher. Ensuite, moyennant un travail complémentaire, les symptômes indésirables sont amenés à disparaître, pour notre plus grand bien-être.
Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda.
Lors des séances individuelles ou collectives ou bien lors d'un travail en géobiothérapie, un certain nombres d'outils sont proposée et utilisés pour dissoudre ces mémoires énergétiques et vous permettre de vous mettre sur le chemin pour vous en libérer définitivement.
----------------------------------------------------------
Le
travail d'autolibération que je propose peut se faire sous forme d’ateliers
qui sont organisés sur ces thèmes comme aussi en
séances individuelles.
Des outils personnels y seront expérimentés directement et optimisés dans
le but de nous conduire à son autolibération.
Une plus grande joie de vivre naîtra et sera alors l’expression de s’être
enfin “retrouvé” ; en effet, nous pourrons alors consacrer toute notre
énergie à la personne qui est la plus importante pour nous, c’est à dire
nous-mêmes !
De cette façon, nos descendants pourront aussi être libérés de ces lourdes chaînes invisibles, génératrices de maladies etc. En se donnant la priorité, c'est en fait la façon la plus appropriée d'aider les autres : en devenant plus authentiques, nous leur offrons un miroir de ce qu'ils ont a résoudre et nous sortons du tandem infernal bourreau-victime.
Il est aussi important de s'occuper de soi pour devenir plus libre, plus heureux et en meilleure santé ;
car, comme le dit si bien Chantal Rialland :
« Sans prise de conscience, sans travail sur soi, nous sommes condamnés à reproduire
ultérieurement nos identifications d’enfant. Parfois à notre insu.
Certains ont choisi de faire tout le contraire de leur famille.
Malheureusement, vivre le contre-scénario, c’est encore vivre en fonction du
scénario.
Prendre le contre-pied, ce n’est pas accéder à la liberté d’être soi-même,
c’est agir à l’inverse en étant constamment dans la comparaison.
L’aventure d’une vie humaine, c’est avant tout l’aventure de la conscience.
Plus nous devenons conscients, plus nous devenons libres.
Plus nous choisissons notre vie au lieu d’obéir à nos programmations,
plus nous épanouissons notre être unique, indépendant, autonome.
Plus nous sommes épanouis, plus nous épanouissons les autres ».
CHANTAL RIALLAND : «Cette famille qui vit en nous ».
Ed. Lafont & Ed. Marabout (ouvrage très accessible et à la portée de tous)
(cliquez ici pour obtenir le texte séparé pour en
faire éventuellement un poster)
Apprendre à se relaxer : découvrez-en quelques trucs simples à mettre en pratique.
Diaporama pour vous inviter à vous déstresser avec humour. L'ouverture de cette page nécessite PowerPoint ; si votre ordinateur n'en est pas équipé, vous pouvez télécharger ici la version gratuite.
"
Une récente étude menée sur des seniors chinois suggère qu’en matière de vieillissement, la santé mentale compte autant que la santé physique et que toute thérapie anti-âge devrait se focaliser sur ces deux aspects. En effet, des scientifiques ont observé que les sentiments de solitude et de tristesse, de même qu’un sommeil agité, avaient un impact significatif sur le rythme du vieillissement des individus." (Suite)
----------------------------------------------------------------------------------------------------------
La psychobiologie est un des outils psychothérapeutiques faisant partie
des approches analytiques ; en effet, le vécu souffrant de chacun se
transpose la plupart du temps en somatisation qu'il est nécessaire
d'identifier par l'analyse. Cette approche
nous n'adhérons en aucun cas à la
Biologie-Totale
que nous refusons vu les dérives qu'elle génère
par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.
(Voir notre avis).
Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière les comportements
intégristes et outranciers du Dr Hamer.
Deux chapitres du livre "Quand
les thérapeutes dérapent"
y sont consacrés.
Ce qui expliquerait la survenance des maladies :
Ce qui se passe lorsque la peur de... (exemple : attraper une maladie) ne se résout pas.
Un cas surprenant : un cytomégalovirus qui fait une volte-face étonnante !
Exemple de guérison avec l'aide de la psychobiologie (col de l'utérus)
D'autres cas de mal-à-dire qui se forgent dans le ventre maternel.
Les hamsters enfumés (tabac) attrapent-ils le cancer
Le cerf qui perd son territoire et l'infarctus ?
"Le langage de la guérison" (J.-J. Crèvecoeur)
Ce qui se passe lorsqu'une brebis s'égare.
Ne vous agrippez pas à la grippe !
Voir aussi les pages SANTE A LA UNE
et la page spéciale "Anticancer" commentant le dernier livre de DSS.
Là où la psychobiologie moderne rentre en résonance avec les médecines primitives :
"Que notre vie intérieure s’enlaidisse et nous risquons fort de tomber malades ? (...)
On sait bien que les traumatismes affectifs, les ruptures, les non-dits graves, les amertumes, les haines…
sont autant de “laideurs intérieures”, qui provoquent notamment des cancers" :
"Les Clés de la santé indigène" (Jean-Pierre Barou & Sylvie Crossman aux éd. Balland)
Pour les dates des conférences, ateliers, voir l'agenda
Retour page de présentation de Baudouin Labrique
PRINCIPAUX THEMES DU SITE RETROUVER SON NORD :
-
Santé -
Découvrir ce que nous proposons en séance