MA PEAU ME PARLE 

 

 

 

Présentation des activités organisées sur ce thème.

 

© Baudouin Labrique

 

C’est notre peau qui se trouve d’abord en contact direct avec notre environnement extérieur et surtout affectif. Tout bébé, nous réagissons déjà très fort à ce niveau, car la parole nous manque alors. Ensuite, elle continue à nous transmettre des messages sur ce dont nous sommes séparés réellement ou symboliquement. Comment décoder efficacement ce que notre subconscient nous envoie par son intermédiaire ?

 

Comment arriver à guérir rapidement de ces problèmes de peau ? Comment faire pour en arrêter la répétition ?

 

On a observé empiriquement que les affections cutanées avaient toujours un lien avec une situation conflictuelle de séparation dans une tonalité affective

(voir le cas du psoriasis).

 

Cas d'un eczéma traité avec l'intervention de la microkinésithérapie :

 

N.B. : cette approche de la microkinésithérapie est très efficace pour de tous jeunes enfants et dans le cas où les parents participent activement au processus de guérison ; avec des personnes plus âgées, cela nécessite la  plupart du temps un accompagnement psychothérapeutique (individuel, thérapie familiale, de couple)

 

Un tout jeune garçon de moins de deux ans est perclus d'eczéma  surtout au visage au point de se gratter "à sang". Les parents ont tout essayé : rien n'y a fait ; le garçon bénéficie alors d'une séance de Microkinésithérapie ;  Laurent Calderara  arrive à identifier, suivant l'expression utilisée en Microkinésithérapie, un "choc subi" et à le dater précisément, en très peu de temps : une situation conflictuelle de séparation dans une tonalité affective ("ex-aima"?) au sixième mois de grossesse et, ensuite,  il l'efface en le apportant une correction  appropriée grâce à cette technique (cela ne prend en tout que quelques minutes). Le thérapeute demande après à la mère ce qui a bien pu se passer comme choc subi durant le sixième mois de grossesse ; réponse : un accident de voiture suivi d'un coma durant plusieurs heures ...

 

Chez les tous jeunes enfants, la libération d'un  « mal à dire » se fait très rapidement, sans passer par une conscientisation autre que le fait d'en parler devant lui et/ou avec sa mère ; en effet, le bébé, le tout jeune enfant sont en dépendance quasi totale de leur mère : ce que la mère pourra faire de son côté avec succès (séance de psychothérapie appropriée, Constellations familiales ...) pour se libérer d'une croyance, d'un conflit etc. qu'exprime l'enfant, libèrera celui-ci ; il est alors possible que l'enfant contractera ensuite une maladie bactérienne ou virale (souvent dans les voies respiratoires) : c'est en fait la preuve de la réparation du conflit etc. dont il exprimait la somatisation ; on sait maintenant, grâce aux (re)découvertes de la psychobiologie moderne, en phase avec ce que la médecine chinoise avait déjà montré, que la présence des virus ou des bactéries représentent une phase réparatrice (phase chaude en médecine chinoise)  : les "virus sont en fait nos amis" et sont dans la majorité des cas appelés par le cerveau (sauf quand ils sont inoculés de force, bien sûr)

 

Lire  aussi "Comment se forgent les croyances limitantes  dans le ventre maternel" pour découvrir le nid à conflits que constitue la vie intra-utérine.

Pour en savoir plus sur le rôle des microbes, ces ouvriers thérapeutiques tellement et injustement décriés.

Voir aussi ce qui se passe par rapport aux maladies infectieuses comme la grippe et ce qui permettra de comprendre :- pourquoi attraper la grippe permet d’échapper avantageusement à une bronchite- pourquoi la peur panique d’attraper la grippe fait qu’on la contracte alors- même confrontés au virus, pour quelles raisons certains échappent à la grippe - pourquoi certains (très minoritaires) en meurent et d'autres pas- pourquoi vous pouvez accéder à la meilleure prévention qui soit et pourquoi vous disposez déjà du meilleur "vaccin"...
 

soleil

 

Le soleil et la peau

(et s'affranchir des dogmes médicaux pour une meilleure utilisation du soleil)

 

Un dogme scientifique voudrait nous faire croire à l'équation : trop d'exposition au soleil = risque de cancer. Ici encore, le croire, c'est confondre "facteur de risque" et "lien de cause à effet" (Détails à propos de cette dérive scientifique très courante). Cette fallacieuse équation est notamment contredite par le fait que c'est parmi les sous-mariniers qu'on compte statistiquement le plus de sujets atteints par les cancers de la péan ! D'ailleurs et entre autres une étude scientifique publiée le 5 février 2005 dans le Journal of the National Cancer Institute (Oxford) réalisée sur plus de 500 personnes souffrant de mélanome et suivies médicalement durant 5 ans a permis de constater que plus les patients s'étaient exposés au soleil et moins ils risquaient de mourir d'un mélanome ! Or le politiquement médical persiste à faire croire que trop de soleil provoque précisément des cancers comme celui du mélanome ! A croire qu'il y a une manifeste collusion entre la médecine et les lobbies des crèmes solaires !

En fait et en revanche, la privation de soleil surtout passé 40 ans, accroît encore le manque (déjà présent chez beaucoup de personnes vivant dans l'hémisphère nord) de la "vitamine du soleil" (vitamine D) ; sa carence amplifie toutes sortes de symptômes, augmente la gravité des maladies et fragilise beaucoup les os en cas de chocs, ce qui provoque des fractures alors plus importantes...

Contredisant le lien prétendument causal que le monde médical s'adonne trop souvent à faire entre réalité extérieure à la personne et apparition de maladies, soeur de la psychosomatique, la psychobiologie a montré que pour qu'un cancer apparaisse, il faut sine qua non des facteurs psychiques :

"Il paraît alors évident que pour faire une infection ou une affection néoplasique [Ndlr :cancer], il ne suffit pas d'un contact avec un microbe ou un virus ou un irritant local chroniquement subi. On a trop focalisé sur le microbe, le virus ou le toxique cancérogène et pas assez sur le sujet, sur son histoire passée et présente, ses rapports avec son environnement. Les toxiques eux-mêmes doivent sans doute présenter une toxicité variable suivant le contexte et le statut social de l'individu qu'ils atteignent.[....]" "Le manichéisme [°] qui caractérise la majorité des conduites humaines ne permet d'envisager jusqu'ici que deux conduites à l'égard de la maladie : l'une consiste à agir sur l'organisme malade en ignorant son environnement, l'autre à agir sur l'environnement [en l'occurrence : restreindre les expositions au soleil en croyant qu'on se prémunira mieux d'un cancer de la peau] en croyant que cela suffira à résoudre tous les problèmes organiques.  Il serait sans doute préférable dans certains cas, pour traiter un ulcère d'estomac,  d'éloigner la belle-mère par exemple plutôt que de pratiquer une gastrectomie qui ne changera rien au facteur environnemental."  (°) une pensée ou une action sans nuances, voire simpliste, où le bien et le mal sont clairement définis et séparés. (Pr Henri Laborit).

 

En effet, chez les personnes qui ont fini par contracter (par exemple) un cancer de la peau, il ne faudrait donc pas incriminer comme facteur causal, quelque exposition excessive au soleil voire un usage trop assidu des bancs solaires ; en revanche, il faudrait considérer que de telles expositions quand elles sont exagérées, entrainent des circonstances aggravantes lors d'apparition de maladies, en ce que cela influence la qualité du « terrain » : cette dernière va avoir une incidence sur la rapidité et l'intensité de maladie, comme ce que précise encore le Pr Henri Laborit :

"[....] la pathologie réactionnelle aiguë à une lésion, elle-même brutale et soudaine, dépend aussi de ce qu'il est convenu d'appeler le "terrain" et qui nous paraît être l'état de la dynamique métabolique tissulaire au moment où elle s'installe. Cette dynamique elle-même dépend de toute l'histoire antérieure du sujet, c'est-à-dire de ses rapports historiques avec ses environnements".

 

Cependant pour s'en guérir, il faut donc dans un premier temps, identifier la situation conflictuelle présidant SINE QUA NON à l'apparition du cancer. Ensuite, grâce à une psychothérapie adaptée, la personne pourra désactiver plus rapidement les effets de cette situation ; d'ailleurs, au cours d'un tel accompagnement, il est fréquent de voir les cellules cancéreuses régresser, souvent au grand étonnement du corps médical qui n'apporte que trop rarement du crédit aux facultés autoguérisseues du patient, comme le faisait déjà observer le célèbre Dr Albert Schweitzer (1875-1965), musicologue, médecin et prix Nobel de la Paix quand il disait :

Le meilleur des médecins est le médecin intérieur. La plupart des médecins [et des thérapeutes] ignorent cette science qui, pourtant, fonctionne si bien.

vitamineD

Au fait, qu'est ce en fait rend certaines personnes plus fragiles par rapport  (notamment) aux maladies infectieuses ?

Comme nous l'avons déjà développé sur ce site sur base d'études sérieuses, le "terrain" particulier à chaque personne est finalement déterminant quant à la survenance des maladies notamment infectieuses, mais aussi dans la manière dont ces dernières vont se développer, en ce y compris leur durée et l'étendue de la convalescence.

La qualité du  terrain de chaque individu est d'abord déterminée par celle de son alimentation. Celui qui est considéré comme le père de la médecine moderne, le grec Hippocrate, disait très justement et avec bon sens : Que ton alimentation soit ta principale médecine. En effet, "ce sont la malnutrition généralisée, le manque de vitamine D et des environnements toxiques, qui sont à blâmer par rapport l'épidémie actuelle de grippe, et non un manque de vaccins contre la grippe", dit encore l'article cité (CDC).

 

Influence de l'apport de vitamine D

 

Thierry Souccar, auteur entre autres de Prévenir et guérir la grippe, souligne que :« contre la grippe, il ne faut pas manquer de vitamine D » !

Il explique aussi pour quelles raisons la grippe serait saisonnière :

"C'est une hypothèse, mais nous sommes nombreux à penser qu'elle explique en grande partie la saisonnalité de la grippe. Selon ce modèle, il n’y a pas plus de virus en hiver, mais nous sommes plus vulnérables parce que nous n’avons plus assez de ces substances qui stimulent l’immunité comme la vitamine D. Nous avons aussi moins de composés protecteurs issus des végétaux comme la vitamine C et les polyphénols. Même si ce n’est qu’une hypothèse, je pense que cette information a une importance considérable pour la santé publique parce que la vitamine D apporte bien d’autres bénéfices : il ne faut pas en manquer en hiver, quand le soleil ne nous permet plus d'en synthétiser".

 

Renforçant ce qui a déjà été observé sur le plan scientifique et confirmant bien dans les faits "l'hypothèse" de Thierry Souccar, voici parmi les nombreux des témoignages de ce type et dignes de foi, une sélection d'avis qui montrent tous l'incidence d'un déficit de vitamine D par rapport à la survenance (notamment) de la grippe et inversement, tout le bénéfice qu'on peut tirer d'un apport suffisant en vitamine D : :

* "Le premier émane du Dr Norris Glick, du central Wisconsin Center (CWC), un établissement fédéral de soins pour handicapés de la ville de Madison. Le CWC, explique le Dr Glick emploie 800 personnes, qui s’occupent en permanence de 275 patients handicapés. Depuis des années ces patients bénéficient d’une surveillance de leur taux sanguin de vitamine D et reçoivent le cas échéant des suppléments de cette vitamine, ce qui signifie que les déficits sont très peu fréquents chez les patients. En juin 2009, le Wisconsin a été le théâtre d’une flambée de cas de grippe « porcine » ; 103 employés du CWC sont tombés malades, victimes de symptômes grippaux. Lorsque des tests ont été pratiqués, ils ont révélé une infection par le virus de la grippe A. En revanche, seul un patient résident du CWC est tombé malade.

* Un autre témoignage est fourni par le Dr Ellie Campbell, un généraliste de Suwanee, en Georgie. Le Dr Campbell écrit : "La Géorgie et l’une des 5 états américains ayant connu la plus forte incidence de cas de grippe A (H1N1). Je partage un cabinet médical avec un autre médecin. Je mesure systématiquement depuis des années le taux de vitamine D chez mes patients et je les supplémente le cas échéant. Il [mon collègue]  ne le fait pas. Il a parmi ses patients entre un cas et dix cas de grippe A par semaine. Je n’en ai pas eu un seul depuis le début de l’épidémie. Tous mes patients reçoivent 2000 à 5000 UI de vitamine D par jour pour maintenir des taux sériques entre 50 et 80 ng/mL"

* D'autres scientifiques "croient [aussi] que ce serait en renforçant le système immunitaire que la vitamine D réduirait les risques d’être infecté ou sérieusement atteint. « La preuve que la vitamine D semble aider le système immunitaire à mieux lutter contre les intrus est presque écrasante »", soutient le spécialiste de la vitamine D, Reinhold Vieth, professeur à l’Université de Toronto (Source)..

* Une étude japonaise, publiée en mars 2010 dans l’American Journal of Clinical Nutrition "a montré un important effet protecteur des compléments de vitamine D. Mitsuyoshi Urashima de l’Université Jikei (Tokyo) et ses collègues ont mené cette étude avec 334 enfants répartis au hasard en 2 groupes : l’un recevant un supplément de 1200 UI de vitamine D3 et l’autre, un placebo. Les enfants recevant un complément de vitamine D avaient un risque diminué de 42% d’attraper la grippe influenza A (ce qui se compare bien à l’efficacité du vaccin contre la grippe saisonnière estimée entre 25 % et 60 %). Parmi les enfants ayant déjà eu un diagnostic d’asthme, la vitamine D réduisait le risque de crises de 83%. « Des études d’observation et épidémiologiques ont également lié la carence en vitamine D à un risque accru de grippe saisonnière et de nouvelle grippe A H1N1 »″, indiquaient les auteurs" (Source).

 

Autre preuve indirecte du rapport  positif vitamine D / protection contre la grippe : dans l’hémisphère nord, les épidémies de grippe se rencontrent  surtout d’octobre à mars, alors que dans l’hémisphère sud, elles apparaissent entre avril à septembre et donc durant des périodes respectives de moindre ensoleillement avec pour conséquence une production déficitaire de vitamine D (sous l'effet du soleil via la peau). Vu les constants échanges entre le nord et le sud et qui permettent aux virus de voyager en toute liberté, ceux qui soutiendraient encore l'absence d'incidence de la vitamine D comme protection contre (entre autres) la grippe, seraient incapables d'expliquer les raisons d'un tel décalage géographique.
 

En savoir plus : Vitamine D. 80% des occidentaux concernés (article de l'excellent site canadien PasseportSanté.net).


 

Retour au début de cette page consacrée aux problèmes de peau

 

 

 

Pour en avoir plus sur l'importance du toucher.

 

Voir en quoi une psychothérapie permet par exemple, de venir à bout de maladies de la peau comme le psoriasis.

 

Voir le cas d'une patiente qui souffrait d'allergie aux poils blancs.

 

Voir la célèbre expérience du Pr Ikomi et le poison d'Ivy à la réaction fortement urticante.

Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda.

Pour plus de détails, dans les livres et les sites spécialisés.

 

 

 

 

 

delbar

 

 

Un petit garçon regarde sa mère se mettre de la crème dans le visage.
                « Pourquoi tu fais ça, maman ? »
                « Pour être plus belle, mon chéri. »
         En voyant sa mère enlever la crème, il lui dit: « Et... maintenant, tu abandonnes ? »

 

 

 

Expressions relatives à  la peau

 

Peau basanée, douce, sèche, grasse, mixte, épaisse, fragile.
Peau sensible, morte, desséchée, ridée, rugueuse, lisse, ferme.
Peau blanche, noire, bronzée, claire, jaune, satinée, saine.
Peau fripée, flétrie, marbrée, nécrosée.
Peau chagrinée, grenue, chamoisée, corroyée, travaillée.
Peau traitée, lainée, visqueuse, gluante, sombre, diaphane.
Peau imputrescible, brute, fine, tannée, apprêtée, suédée.
Peau grenelée, grenée.
Peau-Rouge.
Peau de satin.
Peau de vache.
Peau de chamois, de serpent, de raie, de squale, de porc.
Peau de mouton, d'âne.
Peau de banane, de pêche, d'orange.
Peau de chagrin.
Peau de tambour.
Peau de balle.
Peau du visage.
Peau de l'ours.
Peau du saucisson, du lait.
Peau d'un animal, d'un fruit, d'un légume.
Peaux d'un manteau de fourrure.
Peau qui s'épaissit, cloque, pèle, vieillit, se crispe.
Peau qui se distend, se dessèche, s'exfolie, se fendille.
Peau qui se crevasse, se hâle facilement, se parchemine.
Peau qui s'en va, bronze facilement, se desquame, se détache.
Peau qui absorbe des médicaments.
Vieille peau.
Vraie peau.
Petites peaux autour des ongles.
Types de peau.
Changement de peau.
Culotte, gants de peau.
Derme, épiderme, appendices, pigmentation de la peau.
Surface, infection, coloration de la peau.
Inflammation, couleur, maladie, affection, lésion de la peau.
Soins de beauté de la peau.
Attouchements de la peau.
Côté chair d'une peau.
Commerce, travail, métier, traitement des peaux.
Tannage, corroyage des peaux.
Ouvriers des cuirs et peaux.
Sensibilité à fleur de peau.
Poisson à la peau lisse.
Étui en peau de serpent.
Reliure pleine peau.
Crème de soin pour la peau.
Taches sur la peau.
À fleur de peau.
En peau de toutou.
J'aurai ta peau !
Je lui ferai la peau !
Je ne voudrais pas être dans sa peau.
Il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué.
Y laisser sa peau.
Absorber (la nourriture) par la peau.
Appliquer quelque chose sur la peau.
Apprêter une peau.
Apprêter une peau en fourrure, en cuir.
Arracher la peau d'un animal.
Attraper quelqu'un par la peau du cou, des fesses, du dos, du cul.
Avoir la peau de quelqu'un.
Avoir quelqu'un ou quelque chose dans la peau.
Boucaner la peau.
Brunir la peau.
Chagriner une peau.
Chamoiser une peau.
Changer de peau.
Coller à la peau.
Colorer la peau.
Colorer une (ou des) peau.
Coûter la peau des fesses.
Cuivrer la peau.
Découper (une reliure) dans une peau.
Défendre sa peau.
Délainer une peau.
Dépiler une peau.
Dépouiller une peau de son poil.
Dépouiller (un fruit, un animal) de sa peau.
Dérayer une peau.
Désincruster la peau.
Desquamer la peau.
Dessécher la peau.
Détacher la peau d'un animal.
Dorer la peau.
Drayer une peau.
Ébourrer une peau.
Échantillonner des peaux.
Écharner une peau.
Effleurer la peau de quelqu'un.
Effleurer une peau.
Éliminer la peau (d'un fruit, d'un légume).
Enduire la peau de quelque chose.
Enlever la peau (d'un animal, d'un fruit).
Entamer la peau.
Entrer dans la peau d'un personnage.
Érafler la peau de quelqu'un.
Étirer une peau.
Être dans la peau d'un personnage.
Être muni d'une peau tendue.
Être bien (ou mal) dans sa peau.
Excorier la peau.
Exfolier la peau.
Faire peau neuve.
Faire la peau à quelqu'un.
Faire sécher une peau.
Fouler une peau.
Frictionner la peau.
Garder une peau sèche, lisse.
Glisser sur une peau de banane.
Habiller des peaux.
Hâler la peau.
Hydrater le peau.
Irriter la peau.
Jouer sa peau.
Laisser des marques sur la peau.
Lifter la peau (du visage).
Lisser les peaux.
Marbrer la peau.
Mégir une peau.
Mégisser une peau.
Mourir dans la peau d'un ivrogne.
N'avoir que la peau et les os.
N'avoir plus que la peau sur les os.
Nettoyer la peau.
Nettoyer avec une peau de chamois.
Nitrater une (ou des) peau.
Ôter la peau d'un fruit.
Palissonner une peau.
Parer les peaux.
Pendre une peau pour la faire sécher.
Perdre sa peau.
Porter quelque chose à même la peau.
Préparer les peaux.
Raffermir la peau.
Recevoir douze balles dans la peau.
Recueillir les peaux des bœufs sauvages.
Repasser les peaux.
Retendre la peau (du visage).
Retirer la peau.
Risquer sa peau.
S'amenuiser comme une peau de chagrin.
Sauver sa peau.
Se couper les (petites) peaux autour des ongles.
Secréter les peaux.
Se faire crever la peau.
Se faire trouer la peau.
Se mettre dans la peau d'un personnage.
Se réduire comme une peau de chagrin.
Se sentir bien (ou mal) dans sa peau.
S'huiler la peau.
Tanner une peau.
Teindre une peau.
Tendre une peau.
Tenir à sa peau.
Traiter les peaux.
Traiter quelqu'un de vieille peau.
Transformer les peaux en cuir.
Travailler une peau.
Trier les peaux.
Velouter la peau.
Vendre des peaux.
Vouloir la peau de quelqu'un.

 

 

 

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Psoriasis et psychothérapie

©  Baudouin Labrique

 

"La psychothérapie est l'ensemble des moyens par lesquels nous agissons sur l'esprit malade ou le corps malade, par l'intervention de l'esprit"

 (Dr Antoine Porot, co-auteur d'un ouvrage médical de référence, le "Manuel alphabétique de psychiatrie"- 1952).

 

Voici comment comprendre en quoi précisément l'accompagnement psychothérapeutique tel qu'Anne et moi-même nous le pratiquons, se révèle efficace notamment pour ce type d'affection cutanée.

Je rêve du jour où, profitant d’une telle enquête (anonyme), on demandera à des personnes de décrire ce qui s’est passé au niveau psychologique (ressenti particulier par rapport à la survenance d’un événement souffrant) dans la période précédant l’apparition d’une telle maladie ! On pourra alors s’apercevoir qu’il y a un lien étroit entre les deux. C'est ce qu'on obverse empiriquement dans la genèse des maladies. Comment le comprendre ?

La médecine est en chemin certain vers cette intégration : conformément à ce qui est observé, il ne suffit pas de s'attacher à réparer les somatisations (en AVAL) par les seuls traitements médicaux et se borner, dès lors, à ne prendre en compte que les symptômes, en croyant erratiquement qu’ils constituent la vraie source des maux et qu’il est suffisant de s’y employer à n’agir que sur eux.

Suivant de nombreuses découvertes (dont celles de l’incontournable Physique Quantique qui a montré la prédominance de la psychomatière sur le reste) et que confirme le bon sens des penseurs de tous les temps, le corps et l'esprit sont intimement liés : le point de départ de la quasi-totalité des maladies est dans le psychisme (en AMONT) :

Cependant, "la séparation entre l'esprit et le corps est sans doute un des concepts les plus difficiles à détruire, car fondé sur une apparente évidence", a très justement fait observer Pr Henri Laborit (un hôpital porte son nom à Poitiers). Grâce à des expériences scientifiques incontestées, celui-ci a mis au jour le concept d’inhibition de l’action, qui, prolongée, s’exprime inévitablement par des maladies. Il a été ensuite rejoint par une cohorte grandissante de scientifiques, comme récemment le prix Nobel Jean-Luc Montagnier (°) qui constatent que c’est le stress oxydant (dit aussi oxydatif) qui est à la genèse des maladies.

° Prix Nobel pour ses recherches sur le Sida ; cf. son dernier livre qui en parle « Les combats de la vie »,

Laborit écrit encore que "(...) pour faire une infection ou une affection néoplasique [Ndlr : cancer], il ne suffit pas d'un contact avec un microbe ou un virus ou un irritant local chroniquement subi. On a trop focalisé sur le microbe, le virus ou le toxique cancérogène et pas assez sur le sujet, sur son histoire passée et présente, ses rapports avec son environnement. Les toxiques eux-mêmes doivent sans doute présenter une toxicité variable suivant le contexte et le statut social de l'individu qu'ils atteignent. (...) Nous sommes les autres, c'est-à-dire que nous sommes devenus avec le temps ce que les autres - nos parents, les membres de notre famille, nos éducateurs - ont fait de nous, consciemment ou non. Nous sommes donc toujours influencés, le plus souvent à notre insu, par les divers systèmes dont nous faisons partie."

"Des études cliniques, effectuées sur des malades dont on a pu établir tous les antécédents biographiques, ont montré l’existence d’un rapport chronologique entre l’évolution de leur maladie et les événements retentissant sur leur vie affective. La situation qui précipite le sujet dans la maladie revêt pour ce malade une signification affective particulière, parce qu’elle est liée à son passé ou à une problématique conflictuelle non résolue. C’est en raison de ces liens qu’elle a pour lui un effet de stress. " (A. BECACHE– Psychologie Pathologique, Abrégés Masson, 10ème édition,2008, p. 237).

"C'est la médecine tout entière qui doit s'ouvrir à la psychologie et devenir psychosomatique. Ou pour mieux dire, avec WEISS et ENGLISH : « Toute maladie relève à la fois de l'esprit et du corps et toute thérapeutique est, de ce fait, de la médecine psychosomatique. Lorsqu'on en sera dûment persuadé, le terme psychosomatique pourra disparaître, les données qu'il traduit étant désormais impliquées dans le terme médecine ». Mais pour cela il faut que tous les médecins et psychiatres soient authentiquement formés à la psychologie et aient renoncé au préjugé organiciste." (Marc-Alain Descamps (1992). Corps et psyché, p16).

Après avoir examiné plus de 20.000 patients au cours de sa carrière, le docteur Thomas-Lamotte, neurologue français, a développé une approche différente du symptôme de ses patients : pour lui, la plupart des maladies que nous développons ont pour origine une émotion inavouée. L’expression populaire « s’en rendre malade » trouve dans ce livre sa plus belle illustration avec les clés pour décoder nos déceptions, nos conflits larvés… et comment les empêcher de se traduire somatiquement. (Sa riche expérience agrémentée de faits précis est relatée dans son livre : "Et si la maladie n'était pas un hasard").

L’erreur souvent commise de la part des tenants dogmatiques de la (seule) médecine symptomatique, c’est de prétendre qu'existe un lien de cause à effet entre les traitements allopathiques utilisés et la guérison observée ensuite : en fait, en pareil cas, on a toujours constaté a postériori qu'une personne n'a guéri que parce qu'elle avait entre-temps résolu les causes psychiques de ses maux, parallèlement à l’accompagnement médical et, la plupart du temps, sans s’en rendre compte ni en faire le juste lien.


SPECIFIQUEMENT pour le psoriasis :

La psychothérapie moderne enrichie par les découvertes récentes de la psychobiologie (ou neurosciences cognitives) a permis empiriquement de constater que cette maladie apparaissait toujours en présence de la situation conflictuelle d'un double séparation.

Le psoriasis survient toujours lorsqu'il y a en présence deux objets de séparation : par rapport au  premier objet de séparation, s'exprime une situation conflictuelle active (de séparation), mais alors que la seconde situation de séparation se résout. Il y a bien sûr toutes sortes de variantes et qui sont toujours à prendre en considération  par rapport (sine que non) aux ressentis particuliers du patient, bien qu’à ce jour, on a pu toujours observer a postériori cette sorte d’invariant ou dénominateur commun : la présence de deux situations conflictuelles liées à des séparations dont l’une est plus ancienne que l’autre et dont l'une se résout (c'est à ce moment qu'apparaissent les plaques typiques du psoriasis).

Cependant, il convient, de la part du soignant, de ne s’adonner à aucun dogmatisme ou apriori  : l’accompagnement psychothérapeutique digne de ce nom doit offrir un espace rigoureusement empathique et donc, en aucun cas, directif, ce qui serait iatrogène. Dans une relation d’aide de qualité, il est incontournable de ne partir que de la vision particulière qu’a le patient et rigoureusement suivant l'angle de vue spécifique qu’il en a ; ainsi, le terrain de l’origine psychique (pourtant récurrente) ne sera abordé que sur demande expresse du patient et ne pourra faire l’objet d’aucune induction de la part du thérapeute ; faire autrement serait se poser en maître à penser et c’est alors l’antichambre gouroutique…

Les plaques apparaissent toujours dès que l'un des deux est résolu, "rappelant" alors que l’autre est toujours actif.

Cela se passe aussi au moment où une séparation se résout mais qu’immédiatement une autre situation conflictuelle de séparation se crée et souvent comme réactivation d’une ancienne séparation occultée (ventre maternel, enfance …). Le psoriasis se manifeste donc dans la phase de guérison d’une des deux situations conflictuelles. Suivant la demande du patient qui en aurait alors (par lui-même) pris conscience, l'accompagnement psychothérapeutique lui permettra notamment d'aller résoudre la situation conflictuelle de séparation toujours latente mais de ne pas se limiter à celle qui l'a déclenchée : l'aider autant que possible pour solutionner le conflit central de séparation et qui, comme déjà observé, est souvent; comme déjà dit,  logé dans le ventre maternel ou dans la petite enfance..

Pour l’eczéma, n’est en présence qu’une (seule) situation conflictuelle de séparation (un seul objet ) et qui n’apparaît qu’en phase de réparation (solutionnement de la situation problématique et souffrante), parce que c'est de l'ectoderme (feuillet embryonnaire) qui a donné (en phase active de conflit) des micro-ulcères et c’est alors qu’en phase de réparation, cela rebouche les ulcères ; apparaissent alors les plaques d'eczéma, analogiquement à ce qui se passe dans le cas du psoriasis ou encore de l’acné. Le cerveau ne fait pas de la médecine esthétique : il se comporte comme un très mauvais plâtrier.

Il y a cependant des personnes chez lesquelles les phases de réparation durent très longtemps, parce qu'elles se remettent en situation conflictuelle sans arrêt : elles passent rapidement et alternativement d’une situation de conflit à sa résolution (temporaire).

Voilà pourquoi encore maintenant les dermatologues ne tiennent compte des maladies cutanées qu'à partir de ce qui est visible et douloureux, mais qui n’est alors l’expression que de la résolution d'une situation conflictuelle. C’est ainsi que la formation des ulcères, étant antérieure, est indolore mais n'est pas prise en compte médicalement, puisqu’aucun patient n’en subit consciemment les effets. Ce serait pourtant faire oeuvre de réelle prévention que de s'occuper de ce qui se passe alors et qui permettrait au patient de se guérir en profondeur et ainsi, d'éviter d'autres crises psoriasiques.

C'est donc la phase de guérison qui se confond avec la phase de résolution de la situation conflictuelle en lien. Cependant, si la phase active a duré longtemps, la phase de guérison peut se prolonger en conséquence. Un travail psychothérapeutique approprié permet alors d’aller en profondeur et d’aider le patient, dans l’action, à résoudre la situation conflictuelle profond de séparation et qui, comme déjà dit, est souvent logé dans la période fœtale ou dans la petite enfance. Dans de telles conditions, les différents systèmes dans lesquels se trouvent le patient et qui constituent son « terrain » propre (en priorité la famille) sont des éléments à prendre en compte pour une résolution à long terme, car on observe que, générateurs de souffrance, ils verrouillent négativement la plupart du temps toute la problématique et qu’ils se comportent alors comme des bombes à retardement.

De plus, il peut se produire des récidives inaperçues (conflit dit en balance), suivies de nouvelles phases de guérison, ce qui prolonge la guérison mais fait croire à la personne qu'elle souffre alors d'un psoriasis chronique, alors qu'il y a bien eu lieu des (courts) moments de rémission.

Je peux témoigner que TOUS les cas de personnes que j'ai accompagnées et qui venaient pour se libérer des causes psychologiques ayant entraîné un psoriasis ou quelqu'autre maladie cutanée, SE sont guéries relativement rapidement.

C’est notre peau qui se trouve d’abord en contact direct avec notre environnement extérieur et surtout affectif. Tout bébé, nous réagissons déjà très fort à ce niveau, car la parole nous manque alors et le corps en « parle » à sa façon. Ensuite, cette interface qu’est la peau continue à nous transmettre des messages à propos de ce dont nous sommes séparés réellement ou symboliquement. L’endroit atteint du corps est évidemment symbolique par rapport aux ressentis spécifiques de la personne et donc en lien particulier avec la nature des situations conflictuelles non résolues et à la base.

Voici la relation d’un des cas de psoriasis que j’ai accompagnés en psychothérapie vers l’(auto-)guérison, mais je ne suis pas le seul à en faciliter le processus : en principe tous les psychothérapeutes aguerris peuvent y arriver.

Il s’agit d’une dame qui avait contracté un psoriasis aux mains et aux bras, peu de temps après le décès de son grand-père. Lors de la première séance, elle a pu exprimer avec émotion ce qui suit : alors qu’elle faisait partie du cortège funèbre conduisant son grand-père vers sa dernière demeure et y accomplissant, selon ses dires, la fin du processus du deuil de son grand-père, sa filleule vient alors la rejoindre (dans le cortège)  et, contre toute attente, lui balance à brûle-pourpoint que, contrairement à ce qui avait toujours été le rite annuel, elle ne fêterait pas Noël en sa compagnie ; elle avait entre-temps pu conscientiser que les bras et les mains constituaient les endroits de contact corporel  avec son grand-père comme avec sa filleule. A la seconde séance, après avoir résolu ce dernier conflit lié à sa filleule, la patiente m'a fait part de la disparition de son psoriasis.
 

Autres exemples de cas vécus :

- Une jeune fille avait du mal à rester en bonne relation avec ses copines à l'école. Elle perdait une bonne copine, en retrouvait une, et cela recommençait. Elle avait du psoriasis sur le cuir chevelu.

- Une femme vit avec son mari et son fils. Un jour le père et le fils décident de la quitter. Elle vit un double conflit de séparation, mais elle n’a pas de pathologie. Par contre, un jour elle rencontre quelqu’un. Elle solutionne ainsi un de ses deux conflits et l’autre reste actif. Elle fait alors un psoriasis.

- A quatre mois de grossesse, une femme se brûle et fait une fausse couche. Elle vit ce drame en termes de séparation (conflit non résolu). Lors d’une deuxième grossesse, elle a peur de faire une fausse couche. A la résolution de son second conflit (accouchement), elle fait un psoriasis.
 

 

L'accompagnement psychothérapeutique que nous vous proposons intègre de tels enseignements et allie des outils spécifiques et éprouvés à l'accompagnement psychologique pour permettre au patient de se guérir lui-même. En accord avec le patient mais suivant sa propre demande et sans aucune induction ou directivité au travers d'un processus le plus "naturel" possible, nous nous appliquerons à rechercher tout d'abord les causes "historiques" et "environnementales" au sens large, en conformité, notamment, à ce qu'en définit le Pr Laborit.

Ensuite, dès que possible soucieux de n'installer aucune dépendance thérapeutique, nous veillerons à la mise en route d'un processus actif pour annuler de telles causes. Tout en veillant également, en parfait accord avec lui, à lever toutes les résistances à la guérison qui émergeraient au cours du processus complet et qui conduit la plupart du temps à la guérison.

Cet accompagnement spécifique est parfaitement complémentaire à ce que la médecine apporte et ne  vient en rien interférer. Comme expliqué dans la partie "Facteurs déclenchants" du site GIPSO (GROUPE D'AIDE à la RECHERCHE et à l'INFORMATION sur le PSORIASIS) et par rapport à ce qui est nommé "La composante psychosomatique",  nous n'intervenons en psychothérapie que sur les éléments d'ordre psychologique : "Un élément psychologique important tel une émotion profonde, une grande peur, le stress … est, dans plus de 40 % des cas, retrouvé comme facteur de déclenchement d'une première poussée de psoriasis et, dans 80% des cas, facteur de récidive ou d'aggravation."

Ceci dit, cela est en tous point conforme avec notamment cette définition déjà ancienne de la psychothérapie :  "la psychothérapie est l'ensemble des moyens par lesquels nous agissons sur l'esprit malade ou le corps malade, par l'intervention de l'esprit" (Dr Antoine Porot, co-auteur d'un ouvrage médical de référence, le "Manuel alphabétique de psychiatrie"- 1952) et pour ceux qui pourraient en être surpris, qu'ils sachent que « la psychothérapie ne se limite déjà pas aux troubles mentaux seulement. Dans le cas de troubles somatiques, physiques, la psychothérapie peut intervenir : les relations entre l'immunité et le psychisme sont avérées. » (source : « Définition des psychothérapies  »)
 Voir notre code de déontologie qui établit bien les frontières entre la médecine et la psychothérapie, se gardant de tout risque de s'adonner à l'exercice illégal de la médecine.

 

 

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