FICHE  BIEN-ETRE

AUTO-THERAPIE N°5

   

                                                                        pour une utilisation appropriée de ce qui suit

 

                                                                            © Baudouin Labrique

 

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                                                                                        AVERTISSEMENT IMPORTANT :

                                                                               nous n'adhérons en aucun cas à la Biologie-Totale

                                                                                  que nous refusons vu les dérives qu'elle génère

                                                            par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.

                                                                                                        (Voir notre avis).

                            Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière les comportements intégristes et outranciers du Dr Hamer.

                                                                      Deux chapitres du livre écrit par Baudouin Labrique,

                                                           "Quand les thérapeutes dérapent" y sont consacrés.

 

 

L'outil suivant fait partie d'outils auto-psychothérapeutiques et autres qui concernent les approches comportementales, analytiques et/ ou systémiques ; elles constituent de puissants outils de libération ; dans le processus de guérison, elles s'intègrent à tous les niveaux : dans une première phase de nature analytique et systémique comme dans une seconde phase, au travers de l'action qu'elle mettent en oeuvre pour permettre  aux charges énergétiques et/ou émotionnelles refoulées de s'exprimer enfin ; c'est ainsi que les traces ou blessures énergétiques et/ou émotionnelles pourront enfin se cicatriser.

Ces approches sont bien sûr intégrées dans le cadre des séances que nous vous proposons ; elles peuvent aussi faire l'objet d'un travail spécifique en psychothérapie intensive ou étalé dans le temps.

"La psychothérapie est l'ensemble des moyens par lesquels nous agissons sur l'esprit malade ou le corps malade, par l'intervention de l'esprit" (Dr Antoine Porot, co-auteur d'un ouvrage médical de référence, le "Manuel alphabétique de psychiatrie"- 1952)

« La psychothérapie ne se limite déjà pas aux troubles mentaux seulement. Dans le cas de troubles somatiques, physiques, la psychothérapie peut intervenir : les relations entre l'immunité et le psychisme sont avérées. » (Source : « Définition des psychothérapies   »)

 

                        

Quand survient le mal-à-dire

 

« On ne peut rien enseigner à autrui.
On ne peut que l’aider à le découvrir lui-même.
»
Galilée

 

Si on considère que la maladie est en quelque sorte une empreinte,

sorte de vis enfoncée dans notre corps et qui nous fait mal,

il nous appartient de reprendre le "tournevis" précis, l'action primale

qui a finalement conduit à installer cette vis dans notre corps ;

ensuite, de commencer à "dévisser", libérer ce qu'elle a imprimé

dans un processus d'action dont nous devons rester les maîtres d'oeuvre.

 

 

La science médicale (psychosomatique) démontre de plus en plus les indéniables liens psychisme-corps, comme en témoigne cet extrait du discours inaugural (par le Pr Rolf Luft de l'Institut Médico-Chirurgical Karolinska) pour la remise du triple prix Nobel de médecine et de physiologie 1977  : « Les phénomènes émotionnels et psychiques influencent réellement nos fonctions corporelles ». N.B. L'épistémologie des sciences porte un jugement critique mais argumenté notamment sur le scientisme (ne croire que  ce qui a été prouvé par la science an sa partie matérialiste) et toute vision exclusivement matérialiste et rationaliste entre autres en matière médicale et qui est un préjugé organiciste (dogme qui prétend trouver la cause du mal dans la fonction ou l'organe).
 

En effet, de plus en plus d’études démontrent que c’est le stress psychologique comme réelle cause des maladies et donc ce qui produit un tel stress : des situations conflictuelles. Malheureusement, trop peu de médecins abordent cet angle alors que « des études cliniques, effectuées sur des malades dont on a pu établir tous les antécédents biographiques, ont montré l’existence d’un rapport chronologique entre l’évolution de leur maladie et les événements retentissant sur leur vie affective. La situation qui précipite le sujet dans la maladie revêt pour ce malade une signification affective particulière, parce qu’elle est liée à son passé ou à une problématique conflictuelle non résolue. C’est en raison de ces liens qu’elle a pour lui un effet de stress. »
(A. BECACHE, Psychologie Pathologique, Abrégés Masson, p. 219).
 

« C'est la médecine tout entière qui doit s'ouvrir à la psychologie et devenir psychosomatique. Ou pour mieux dire, avec WEISS et ENGLISH [°] : "Toute maladie relève à la fois de l'esprit et du corps et toute thérapeutique est, de ce fait, de la médecine psychosomatique. Lorsqu'on en sera dûment persuadé, le terme psychosomatique pourra disparaître, les données qu'il traduit étant désormais impliquées dans le terme médecine". Mais pour cela il faut que tous les médecins et psychiatres soient authentiquement formés à la psychologie et aient renoncé au préjugé organiciste. » (Marc-Alain Descamps, Corps et psyché, p. 16).
° "Médecine Psychosomatique. L'Application de La Psychopathologie aux Problèmes Cliniques de Médecine Générale" qui est un ouvrage de référence.
 

Cependant, avant toute chose, il est important de bien identifier à quelle phase de la maladie on se trouve :

      - 1ère phase : la situation conflictuelle est toujours active (à résoudre) ;

      - 2ème phase : la réparation intervient car la situation conflictuelle est résolue.

La 2ème phase peut aussi générer des conflits du fait de l'inconfort etc. qu'elle pourrait constituer ;il est donc important d'arriver aussi à les résoudre.

 

 

Propositions :
 

1° Chercher le ou les événements conflictuels apparus avant le déclenchement du mal-à-dire dans notre corps, sachant que la somatisation offre une réponse symbolique à défaut de pouvoir agir directement sur les situations conflictuelles en amont.


2° Trouver le lien logique entre ce qui a été exprimé par le corps et ce qu'on a ressenti lors du conflit qui n'a donc pas pu se résoudre.

 

3° Identifier le besoin qui n'a pas été couvert et qui a donc généré le conflit ; se poser aussi les questions suivantes :

    - qu'est ce que ce m'empêche de faire, de subir, d'endurer etc.

    - de quoi me protège-t-il, de quel contact, de quelle personne, de quelle situation souffrante etc.

    - quels sont les avantages conscients, inconscients de ce « mal à dire » (Cf. Voir cet autre outil pratique : les résistances à la guérison)

    - lire aussi la description ("physio-logique") médicale du « mal à dire » et pointer ce qui aura interpellé

       (cf. exemple de la patiente aux hémorroïdes)

       en s'aidant d'un dictionnaire médical ou d'une description récoltée sur Internet (cf. par exemple ce site intéressant pour identifier

       les symptômes d'une maladie - site très bien fait avec un moteur de recherche pratique -

       voir aussi sous forme de VIDEOS (Atlas du corps humain).

    Att ! Pour des raisons largement expliquées, résister à la tentation de glaner ici et là (sur le Net comme dans certains livres) des

        décodages, grilles de lecture et autres "invariants biologiques"...

 
4° Rechercher les solutions qu'il est possible de mettre en oeuvre pour résoudre la situation conflictuelle, faire éventuellement des propositions si ces solutions dépendent d'autres personnes ; résoudre la situation conflictuelle se fera en comblant le ou les besoins qui n'ayant pas été couverts, ont généré le conflit ; se mettre avec foi et résolution dans l'action concrète destinée à  solutionner le conflit ; rapidement, suivant le cas, le mal-à-dire n'ayant plus de raison d'être, il disparaîtra.


5° Si on est bloqué à l'une des étapes, c'est que sans doute on a besoin d'être accompagné pour enlever le verrou (conscient ou inconscient) etc.

Un « mal à dire » etc. peut aussi être la réactivation d'un conflit transgénérationnel mais il est approprié de résoudre d'abord la situation conflictuelle présents dans sa propre vie avant de libérer la mémoire familiale qui est en lien. Vouloir régler uniquement le conflit transgénérationnel sans celui qui a été en écho dans sa vie ne sera pas suffisant.

 

Enfin, si on doute, si on souffre, si on bloque etc. essayer d'utiliser la Technique des Plateaux.

 

N.B. Il est souvent nécessaire de recourir à l'aide d'un psychothérapeute aguerri à la psychobiologie et si possible à la psychogénéalogie pour arriver à solutionner en profondeur le ou les conflits sous-jacents.

 

 

 

      Ici la mal a été dit, donc pas de mal-à-dire !

 

QUELQUES EXEMPLES VECUS en patientèle.

 

 

- Atlas du corps humain : 280 vidéos pour tout comprendre sur le corps :

 

 

 

© Baudouin Labrique

 

 

 

 

Ce qui expliquerait la survenance des maladies :

Ce qui se passe lorsque la peur de... (exemple : attraper une maladie) ne se résout pas.

Un cas surprenant : un cytomégalovirus qui fait une volte-face étonnante !

Exemple de guérison avec l'aide de la psychobiologie (col de l'utérus)

D'autres cas de mal-à-dire qui se forgent dans le ventre maternel.

Les hamsters enfumés (tabac) attrapent-ils le cancer

Le cerf qui perd son territoire et l'infarctus ?

"Le langage de la guérison" (J.-J. Crèvecoeur)

Ce qui se passe lorsqu'une brebis s'égare.

Ne vous agrippez pas à la grippe !

 

 

 

Là où la psychobiologie moderne rentre en résonance avec les médecines primitives :

       "Que notre vie intérieure s’enlaidisse et nous risquons fort de tomber malades ? (...)

 On sait bien que les traumatismes affectifs, les ruptures, les non-dits graves, les amertumes, les haines…

         sont autant de “laideurs intérieures”, qui provoquent notamment des cancers" :

lire le passionnant article de Nouvelles Clés en annonce du livre

"Les Clés de la santé indigène" (Jean-Pierre Barou & Sylvie Crossman aux éd. Balland)

 

En savoir plus sur la psychobiologie.

 

 

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