FAMILLE
PISTES PROPOSEES PAR RETROUVER SON NORD
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Après m'avoir
appris à parler,
mes parents m'ont appris à me taire.
(Proverbe sioux)
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Développement PERSONNEL & PSYCHOTHERAPIES
« Lorsque je suis
allé à l’école,
ils m’ont demandé ce que je voulais être lorsque je serai grand.
J’ai répondu "heureux".
Ils m’ont dit que je n’avais pas compris la question.
J'ai répondu qu’ils n’avaient pas compris la vie. »
John Lennon
Les lourdes valises transgénérationnelles
dont chacun de nous est chargé
sont nettement moins agréables à tirer
que cette brouette d'enfant.
Portrait de Christiane Labrique (1923-2006)
tante de Baudouin Labrique.
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Santé - Dépendances - Famille - Habitat - Développement personnel Autarcie énergétique
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Découvrir ce que nous proposons en séance (individuelle ou collective) ?
Comment s'organisent notre vie, nos besoins, notre destin ...
par rapport à ceux des membres de notre famille ?
Papa coq et Maman poule sont capables de reconnaître leurs congénères sur une photographie !
C'est entre autres ce que nous apprend
Boris Cyrulnik dans :
“Si les lions pouvaient
parler. Essais sur la condition animale” (Ed. Gallimard)
"Tout individu est en interaction constante avec son environnement. Si son comportement est étudié sans tenir compte de cette interaction, d’importants paramètres échapperont à l’observateur. Cette perspective implique que les comportements psychopathologiques ne doivent pas être considérés de façon linéaire, comme l’expression de perturbations ou de conflits provenant uniquement de " l’intérieur " de l’individu, mais aussi comme l’expression de ce qui se passe à l’interface entre cet individu et son environnement. Les symptômes prennent ainsi une signification plus élargie : celle de véritables métaphores relationnelles." (Gérard Salem, L’approche thérapeutique de la famille, Masson, Paris, 1996, p.52)
Il faut voir la famille comme un troupeau qui a ses règles et ses lois ; le but de chaque clan, à la manière des espèces animales et même végétales, est de survivre et, dans tous les cas, c'est l'instinct de survie du groupe qui prime sur celui de chaque individu, le but étant de développer en nombre la "tribu", le clan ; ainsi, chaque individu subordonne naturellement et souvent inconsciemment son propre bien-être à celui de tout le groupe et donc, dans cette optique de pérenniser la vie de tout le groupe. Les lois du groupe sont le résultat du vécu de chaque ascendant et constituent des solutions gagnantes : c'est à dire des comportements, des croyances, des modes de vie qui ont permis au groupe de progresser et à chacun de ses membres de survivre dans cette optique de bien-être global du groupe tout entier.
Les croyances, les lois du groupe ne reflètent pas nécessairement une logique et même souvent sont irrationnelles, comme en témoigne cette expérience scientifique : le théorème du singe.
Faisant partie des outils systémiques, la psychogénéalogie est une branche qui permet de mettre au jour les lois du clan et tout ce qui le scelle (la plupart du temps inconsciemment), au travers notamment des répétitions de scénarios notamment indésirables (cf. les syndromes d'anniversaire, les secrets de famille).
L'application des lois du clan traduit involontairement vis-à-vis du
Par la suite,
par fidélité familiale invisible, nous répétons, avec
nos proches, conjoint ou enfants, des scénarios qui ne correspondent donc pas
à la satisfaction de notre moi profond. Il s’ensuit beaucoup de frustrations et de souffrances
incomprises.
La psychothérapie individuelle jumelée à la thérapie familiale et à la thérapie de couple permet de faire prendre conscience des programmes personnels ainsi que ceux activés par des "valises transgénérationnelles", de libérer ce qui est indésirable ; cela permettra de trouver un plus grand bonheur dans sa vie tout en améliorant d'une manière déterminante et profonde les relations, non seulement dans le couple, mais avec chacun des membres de la famille ou du moins de ne plus en subir les effets indésirables et sans culpabilité. Cette manière de résoudre les conflits est en plus beaucoup efficace et rapide qu'un travail fait uniquement en entretien individuel, en thérapie familiale ou en thérapie de couple.
Si les enfants devenaient ce qu'en attendent ceux qui leur ont donné la vie,
il n'y aurait que des dieux sur la terre. A. Poincelot
Une maman vient d'avoir un deuxième
bébé.
La nuit, il se met à pleurer.
La maman se lève alors et dit :
« Il va falloir que j'aille le changer ! »
Le petit frère, entendant cela, s'adresse alors à la maman :
« Ho! Oui, change-le et prends-en un autre qui pleure moins ! »
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Miller------------------sacha---
Mentir pour plaire questions sur le phénomène placebo - Cairn.info
Sacha d'Etang - Photos du journal | Facebook
Questions posées à la psychothérapeute Alice Miller, auteure de nombreux livres sur l'enfant et la famille (Source) "Une grande partie des thérapeutes offrent des thérapies comportementales pour combattre les symptômes des patients sans chercher leurs significations et leurs causes, parce qu’ils sont persuadés qu’elles sont introuvables. Pourtant, dans la plupart des cas elles le sont mais elles sont toujours cachées dans l’enfance, et rares sont les personnes qui veulent la confronter." Alice Miller Les textes mis entre [Ndlr : ] sont de Baudouin Labrique.
"Alice Miller
a fait ses études à Bâle, où elle a obtenu son doctorat de philosophie .
mais l'a abandonnée en 1980 pour se consacrer entièrement à ses recherches
sur l'enfance. [Ndlr :médecin polonais non juif qui préféra ne pas abandonner « ses enfants » et mourir avec eux (plusieurs films dont ceux de Wadja
et A.Ford retracèrent sa vie exemplaire)] le fait que les patients ont été des enfants maltraités : elles ne peuvent donc les libérer des conséquences des blessures qui leur
ont été alors infligées."
1. N’y a-t-il pas le risque de haïr et détester les parents quand on a réalisé comment ils nous ont fait souffrir ? Il faut dire que dans beaucoup de cas il serait absolument nécessaire de se débarrasser d'un sentiment qui est toxique et destructeur. Pourquoi devons nous être fiers de la capacité à aimer les gens qui nous ont maltraités ? On peut facilement constater
que beaucoup de gens se sentent soulagés quand on leur pose ce genre de
questions mais ils pensent que cet amour est plus fort que la raison. Ils
pensent comme ça parce qu'ils vivent encore dans la réalité de leur
enfance où ils avaient besoin de cet amour pour survivre. Adultes, ils
n'en ont plus besoin, en revanche, ils ont besoin de se libérer des
mensonges qui si souvent rendent leur corps malade. [Ndlr :Mon
expérience professionnelle m'a montré en fait qu'en cours de processus
thérapeutique, soit les liens avec les parents s'étaient au contraire bien
améliorés, soit un processus de deuil par rapport à ce qui était attendu
d'eux s'enclenchait naturellement ; dans les deux cas, aucun
sentiment réel de haine ne subsistait, parce que
d'une manière ou d'une autre, les blessures émotionnelles étaient en voie
de cicatrisation.] Je pense que cela peut être le
contraire. Enfant, nous tous avons essayé de comprendre nos parents et
nous continuons de le faire toute la vie. Malheureusement, c’est
exactement cette compassion envers les parents qui nous empêche souvent de
comprendre notre propre souffrance ou la totalement négliger comme l’ont
fait nos parents. [Ndlr : Pratiquement dans tous les cas rencontrés et à
condition de poursuivre un accompagnement psychothérapeutique, j'ai
observé que le fait de comprendre, sans les admettre pour autant, les
comportements de ses parents apporte un soulagement des souffrances ou des
maladies, mais à condition que les patients résolvent les conflits associés,
ce qui peut prendre du temps.] Non, parce que la compassion
de l’enfant ne change rien dans la dépression de la mère aussi longtemps
que la mère nie la souffrance de son enfance. Il y a des mères qui ont
plusieurs enfants adultes très aimants, soucieux et protecteurs, qui
souffrent quand même de dépressions graves parce que les causes de leurs
souffrances restent cachées dans leurs enfances. L’amour de leurs enfants
ne peut rien y changer. Mais cette démarche de vouloir sauver sa mère
peut détruire toute une vie. La condition d’une vraie empathie pour les
autres est l’empathie pour soi-même, ce que l’enfant maltraité ne pouvait
pas avoir, au contraire, il était obligé de ne pas ressentir sa douleur.
Tous les délinquants, les dictateurs atroces y compris, montrent ce manque
d’empathie, ils assassinent les autres et les laissent assassiner sans la
moindre émotion. Si l’enfant doit apprendre à supprimer ses émotions, il
n’a plus de compassion pour lui-même et par conséquence pas de compassion
pour les autres. Ce qui favorise les comportements criminels, souvent
cachés derrière le vocabulaire moraliste, religieux ou politique
apparemment progressiste. Si quelqu’un nous attaque dans la rue, avons-nous besoin de l’embrasser et de le remercier pour les coups ? Mais les enfants le font presque toujours avec leurs parents, car ils ne peuvent pas se priver de l’illusion d’être aimés par eux. Ils croient que tout ce que leurs parents font, ils le font par amour. Dans la thérapie, l’adulte doit apprendre à quitter cette position de l’enfant et vivre avec la réalité. Si l’on a appris à s’aimer, on ne peut plus en même temps aimer son bourreau. Notre accès à notre histoire d’enfant nous donne la liberté d’être fidèles à nous-même, cela veut dire de pouvoir ressentir nos émotions, de les connaître et d’agir selon nos besoins, ce qui nous garantit notre santé et nos relations honnêtes et vraies avec nos proches. Nous arrêtons de mépriser, négliger ou même maltraiter notre corps et notre âme de la même façon - impatiente, irritée, humiliante - que nos parents ont traité le petit enfant qui n’a pas pu encore parler et s’expliquer. Nous cherchons plutôt à comprendre les causes de nos malaises, ce que nous pouvons faire plus facilement après avoir pris la connaissance de notre histoire. Aucun médicament ne peut nous renseigner sur les CAUSES de nos malaises ou maladies. Un médicament peut seulement brouiller ces causes et soulager la douleur – pour quelque temps. Mais les causes qui n’étaient pas reconnues restent toujours actives et continuent leur travail de signalisation jusqu’à ce que la maladie récidive. Et elle sera traitée par les autres remèdes qui, eux aussi, négligeront les raisons de la maladie. Pourtant, ces raisons ne sont pas introuvables si la personne malade s’intéresse à la situation de l’enfant qu’elle a été. C’est cet intérêt qui lui permettra non seulement de vivre ses émotions mais aussi de les comprendre. Il est bien entendu que je parle ici des médicaments qui suppriment les émotions et en même temps les souvenirs. Il y a bien sûr des médicaments dont on ne peut pas se priver et qui ne sont pas inhibiteurs des émotions comme les antidépresseurs.
Les enfants sont les
symptômes des parents." "Nous ne pouvons être que d'un seul sexe et ne
pouvons que fabuler les plaisirs et les désirs de l'autre sexe. C'est pour
cela que les hommes et les femmes ne se comprennent jamais. Autres textes d'Alice Miller : Résoudre les séquelles causées par la maltraitance infantile. 09/06 Les Sentiments de Culpabilité 10/05 Le cas Jessica 09/05 L'indignation, une ouverture pour la thérapie 06/05 Le chemin le plus long - ou que faut-il attendre d'une psychothérapie ? 06/05 Qu'est-ce que la haine ? 05/05 La dépression ou l'art de se leurrer 04/05 "Notre corps ne ment jamais" - un défi 02/05 Des informations trompeuses 01/05 Les origines de la perversion dans l'enfance refoulée 05/04 L'imposture tue l'amour 04/04 Sur l'abus de confiance dans les thérapies 03/04 Le corps et la morale 01/04 A Propos du Pardon 01/03 D'où vient le mal dans le monde et comment se génère-t-il? 06/02 Les racines de l'horreur dans le berceau 01/02 Peut-on faire une thérapie primale comme auto-thérapie? 06/01 A propos de la " résilience " 01/01 Le rôle décisif des témoins lucides dans notre société 12/96 L'indifférence - un produit du déni 01/93
"C'est pour ton bien" - Alice Miller
Livre d'Alice Miller : C'est pour ton bien (Racine de la violence dans l'éducation de l'enfant). "Dans ce livre, l'auteur dénonce avec sensibilité et intelligence les méfaits de l'éducation traditionnelle sur l'enfant ainsi que les conséquences sur sa vie d'adulte. Pour cela, elle étudie l'enfance de nombreuses personnes ayant vécu au XIXème et XXème siècle et plus particulièrement celle d'Adolf Hitler, de Christiane F. (droguée et prostituée) et Jürgen Bartsch (jeune infanticide) L'auteur décrit avec des mots simples et dans un style accessible à tous comment la violence et le mal se transmettent de génération en génération par le biais d'une éducation usant de la loi du plus fort, de violence, d'humiliation, de chantage ou de mensonge en se cachant derrière des valeurs faussées : "c'est pour ton bien (si je te fais souffrir)". Elle explique comment les hommes sont marqués très tôt dans leur vie par leur vécu et oublient leurs traumatismes qu'ils reproduisent par la suite par des mises en scènes dangereuses pour eux-mêmes ou la société (maladies psychosomatiques, perversions, crimes, autodestruction). Ces tragédies individuelles forment une société vivant dans le malaise et coincée par ses tabous." |
La plupart du temps les adultes ont tué l’enfant qui était en nous.
La plupart du temps ils ont trahi.
Le philosophe Michel Onfray (Emission
TV Polonium du 27 novembre 2015)
Mariage gay et adoption (avril 2013)
Le vote d'une loi en France qui légalise le mariage gay a dressé deux camps l'un contre l'autre, parce qu'il pose notamment la question du devenir psychologique des enfants adoptés par des couples homosexuels. Est-il vraiment sensé de se référer strictement au principe de l'Egalité cher aux démocraties occidentales, pour accorder ipso facto le droit d'adopter des enfants à ces couples ? Une analyse en profondeur montre en fait qu'il faut mesurer les conséquences d'une telle légalisation sur le devenir psychologique des enfants adoptés et comme pour tous les autres, dont le bien-être physique et psychique devrait rester une priorité absolue. Ayant suivi de nombreux débats à ce propos dans les médias, je suis effaré par l'absence de prise en compte des impacts psychologiques (problématiques) chez l'enfant adopté de la part des adeptes du mariage pour tous, substituant aux droits imprescriptibles et prioritaires de l'enfant le prétendu "droit à l'enfant", en ignorant donc ce qu'il adviendra de cet enfant et de son équilibre psychique en pareilles conditions ! N.B. Il ne sera pas question ici de refuser aux homosexuels le droit de vivre en couple ; en revanche, l’adoption d’un enfant, que ce soit par des homosexuels ou par quiconque d'ailleurs, ne pourra jamais constituer un droit : en effet, l’enfant n’est pas un objet, un droit, mais, comme on le détaillera ci-après, un sujet dont il faudra construire le développement harmonieux vierge de toute "possession" ou instrumentalisation... de la part de quiconque (N.B. Cet enfant devra déjà se "dépêtrer" des conséquences des programmations familiales..). C’est sans doute le fait d'avoir élevé 14 enfants (dont un seul a été de moi) qui m’a rendu aussi attentif et sensible au maintien du bien-être et de l’équilibre psychique des enfants, vu que j'ai été confronté à la souffrance particulière générée par leur nouvelle prise en charge familiale. Cette expérience a été enrichie par ma pratique psychothérapeutique qui m'a fait le témoin de cas d'enfants, d'adolescents et d'adultes qui ont subi des désordres familiaux imputables aux comportements inappropriés de leurs ascendants.... Il convient de s'occuper prioritairement du destin du plus faible : l'enfant et tenter d'échapper à l'écueil qu'observait le célèbre psychologue Carl Jung : « Tout ce qui n'est pas porté à la conscience se transforme en destin ».
– « LE DANGER (machiavélique) DU “TOUT EST POSSIBLE” » Qu'on le veuille ou non, le petit garçon et la petite fille se construisent prioritairement en référence aux modèles masculins et féminins qu'offrent un père et une mère, ce qui n'est rendu possible que par la proximité et la prédilection de leurs contacts. Cette première remarque est là pour couper court à l'argument généralement brandi qui est de prétendre dogmatiquement que, pour y arriver vraiment, l'enfant pourra (comme par magie) se contenter des références soit masculines ou féminines présentes à l'extérieur du couple homosexuel ou de la famille. On occulte généralement le fait que la notion de différence sexuelle est indispensable : « La différence sexuelle aide tout individu à se construire, parce qu'elle est une réalité aussi bien physique que mentale ». La différentiation sexuelle est pour l'enfant un repère symbolique majeur « parce qu’elle est (avec la compréhension de sa place dans sa généalogie [°] et celle de l’interdit de l’inceste)
ce qui lui permet de construire son identité.
- au présent : "Je suis un garçon" ou "Je suis une
fille" ;
de mes lignées paternelle et maternelle" ; ma mère... » (°) A propos de généalogie, une section importante de ce site est consacrée aux répercussions psychologiques sur les descendants des souffrances vécues par les ascendants en rapport notamment avec des problèmes de place, d'identité et ceux créés et amplifiés par la présence de secrets (ou de non-dits tout simplement) concernant notamment le contexte de la naissance ; dans de telles conditions, la construction de l'identité d'un descendant est alors problématique. Ce type de problèmes affectera également d'office un enfant adopté par un couple gay ou une famille monoparentale, lorsque cet enfant restera dans l'ignorance, par exemple au sujet de l'identité de ses géniteurs et donc de sa famille d'origine (cf. la Psychogénéalogie).
« Sachant qui il est et d’où il vient, l’enfant peut savoir où il va : on constate ainsi souvent, en consultation, que le seul énoncé des divers éléments de leur identité permet à bien des enfants de "se réveiller" et de "démarrer". La différence des sexes est aussi l’une des premières limites que l’enfant rencontre. Essentielle et incontournable – car elle est inscrite dans le corps –, elle est aussi difficile à accepter pour les garçons que pour les filles, mais devient souvent, de ce fait, le modèle de toutes les autres limites : si je suis un garçon, je ne peux pas être une fille. Si je suis une fille, je ne peux pas être un garçon. Donc je ne peux pas être "tout". Donc je ne peux pas avoir "tout" ».
« L’enfant a besoin d’un père et d’une mère qui soient un homme et une femme. Il s’agit que la mère accepte d’être femme et mère et pas homme et père et qu’à l’inverse, l’homme reconnaisse qu’il ne peut être femme et mère. Il s’agit que chacun soit posé dans sa différence et que du désir circule à cause de cette différence. [...]
Les corps sexués de ces parents et le désir qui circule entre eux sont
donc indispensables pour qu’un enfant puisse se construire. C’est encore
plus important pour les enfants adoptés qui ont besoin de reconstruire
leur origine et de comprendre de quel désir ils sont nés.
- La prétendue interchangeabilité sexuelle Trop souvent on ne prend en compte que le niveau sociologique, en se bornant à avancer l'existence de "droits sociétaux" au nom de l'Egalité, comme le fait du prétendu droit (qui va de soi en apparence) d'adopter un enfant notamment par un couple homosexuel en se bornant à brandir le (fallacieux) argument qu'un tel droit est accessible d'office aux couples hétérosexuels. En thérapie, lorsqu'on se place sur les plans psychologique et transgénérationnel, on observe que de telles situations créent des souffrances particulières chez les enfants adoptés hors couples hétérosexuels. La prétendue interchangeabilité sexuelle de ceux qui forment un couple homosexuel ne repose que sur un dogme, d'autant plus puissant que par effet de contagion, de mimétisme, l'interchangeabilité est présente dans un grand nombre de domaines de la société et s'y étend de plus en plus : accès au monde du travail, mode vestimentaire unisexe... Parmi les nombreux et traumatisants écueils dont souffrira l'enfant, épinglons ce qu'il pourra encourir lors de sa scolarité, comme le rappelle un commentateur de l'article en question : « Que croyez-vous qu'il se passera quand un enfant ayant 2 papas ou 2 mamans viendra à l'école ? Il n'y a que dans les romans à l'eau de rose ou au cinéma que tout se passe bien. En fait, les autres se moqueront d'eux énormément, voir, peut-être même les battront-ils » ; on sait en effet de quelle cruauté peuvent faire preuve les enfants entre eux et qui va même conduire certains au suicide !
- QUAND l'identité de l'un des parents est cachée ou simplement ignorée Dans l'accompagnement psychothérapeutique, on constate que certaines souffrances même physiques trouvent leur origine dans l'existence d'un secret relatif à l'identité réelle d'un parent ou d'un grand-parent, secret qui reste caché à l'enfant pour toutes sortes de "bonnes" raisons. Ce fût le cas de Hitler et dont les effets néfastes ont été planétaires et surnuméraires (détails). A l'abord de l'adolescence, voire avant, apparaîtront des signes de détresse au travers de comportements qui resteront la plupart du temps incompris (échecs scolaires, hyper- ou hypoactivité...), mais qui exprimeront en filigrane toutes sortes d'interrogations sur l'identité de l'un ou de ses vrais parents ; cela provoquera diverses souffrances même physiques (de suite d'une maladie...), vécues dans une profonde solitude, le tout générant un stress constant dommageable au bien-être, à la santé physique et psychique, voire à la survie, avec notamment de fréquentes répercussions dommageables sur la scolarité et l'insertion dans la société. On observe par exemple de nombreux cas d'anorexie chez des enfants ou adolescents en proie à de tels tourments. Cela se rencontre dans le cas de l'adoption d'enfant dont on aura été obligé de cacher l'identité de la vraie mère ou du vrai père ; mes "parents" pourront alors être confrontés tôt ou tard aux demandes légitimes de l'enfant, car il veut savoir qui sont ses géniteurs, comme dans le cas des enfants issus d'une GPA (gestation ou grossesse pour autrui) ou d'une PMA (procréation médicale assistée). Exemple d'un cas révélé grâce aux Constellations Familiales Intégratives : une personne souffrait d’un mal de dos qui résistait à toutes les thérapeutiques traditionnelles. Elle avait déjà parcouru un long chemin psychothérapeutique mais axé plutôt sur sa famille maternelle. L’entretien préalable à la constellation a permis de s’orienter vers le grand-père sans savoir exactement de quoi il s’agissait (orientation qui s’est révélée exacte dans la constellation) : en Constellations, il est apparu que son grand père n'était pas le vrai grand-père ; le secret (confirmé ensuite par la famille) a été levé et l'ordre dans la famille a été restauré symboliquement . D'ailleurs, le soir même de sa participation, son mal de dos avait disparu. Enfin, ni la sincérité ni même un colossal souci de bien faire ne peuvent prémunir l’enfant adopté des difficultés particulières liées à la caractéristique homosexuelle du couple dans lequel il évoluera. - L'amour ne suffit pas pour élever un enfant !
Un préjugé angélique et tenace est de prétendre que pour bien élever un enfant, l'amour suffit et qu'il pourvoit automatiquement à tout ce dont l'enfant a réellement besoin. Pourtant, cette pensée de type magique est à placer dans le tiroir des bonnes intentions dont l'Enfer est pavé, comme dit le proverbe avec bon sens ! L'amour envers un enfant est un amour tout à fait particulier :
«
Parce qu'aimer un enfant, c’est aimer quelqu’un
que l’on ne possédera jamais complètement. Il y a d’abord l’interdit de
l’inceste, on ne possédera pas son corps, mais on ne possédera pas non
plus son esprit, parce que son esprit doit trouver ses voies à lui. Et
puis surtout, on l’aime pour qu’il nous quitte. Ce qui est la différence
absolument essentielle avec l’amour entre adultes. On n’ira jamais penser
qu’il est normal qu’un mari nous quitte, qu’un amant nous quitte, qu’une
femme nous quitte, alors qu’un enfant, on l’aime, on lui donne tout et
plus que tout… pour qu’il nous quitte. Et ce n’est pas naturel pour les
parents, cela demande tout un travail.
«
Ce devoir d’éducation vous semble manquer plus
aujourd’hui qu’hier ? On peut se targuer d'aimer beaucoup les enfants, mais si les conditions sont d'office mauvaises, comme explicité dans ces interviews de Claude Halmos, l'amour ne suffira pas.
D'autre part, comme en témoignent de nombreux cas relatés en séance, des personnes ont souffert de l'amour qu'elles ont jugé excessif de l'un voire de leurs deux parents, car trop fusionnel, trop protecteur... On observe ainsi que l'excès d'amour (et qui peut confiner à la possessivité), d'attention nuit fortement à l'équilibre psychique ; cela se traduit souvent au travers de ce qu'on appelle un couple virtuel : couple qui n'est pas officiel ou apparent mais qui lie psychologiquement deux personnes comme sont liées deux personnes réellement en couple). Le couple virtuel sinon verrouille, du moins handicape les relations affectives futures : une telle proximité vécue souvent comme un inceste psychique et avec elle, son cortège de conséquences analogues à ce qui se passe avec un inceste physique ; cela déclenche souvent diverses dépendances pour tenter d'anesthésier le mal-être consécutif... De telles situations empêchent l'autonomisation de l'enfant et prédisposent dans sa vie d'adulte à les recréer dans ses futurs couples quand ils peuvent malgré tout se former durablement, soit, des situations similaires, soit des situations inverses ou un mélange des deux : il reproduit un scénario ou crée un contre-scénario, mais cela le prive dans tous les cas de vivre des relations affectives, libres et épanouissantes, parce que la réelle liberté affective est absente :
« Sans prise de conscience, sans travail sur soi, nous sommes condamnés
à reproduire ultérieurement nos identifications d’enfant. Parfois à notre
insu. Certains ont choisi de faire tout le contraire de leur famille. S'en suit une immanquable répétition d'échecs sentimentaux, tant que la personne n'a pas entrepris en profondeur un travail pour désactiver ce qui a produit les répétitions souffrantes, de sorte d'enfin pouvoir choisir le couple qui lui convient vraiment, car débarrassé de certaines valises familiales handicapantes (cf. le chapitre COUPLE).
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Pour 60% des parents, la fessée n'est plus taboue (Janvier 2014)
Selon le
psychiatre Peter Adriaenssens, les
jeunes pères et mères en étant plus sévères cherchent à rectifier
l’éducation qu’ils ont reçue de leurs propres parents et qu’ils
trouvent trop laxiste. (Source
Le Vif.). Notre pratique psychothérapeutique nous montre
aussi que le cas inverse engendre d'autres dommages : des enfants
maltraités qui devenus parents éduquent leurs enfants avec laxisme ;
le contre-scénario ou le contrepied ne permet en effet pas d'accéder
à la liberté d'être soi-même. car on est alors constamment dans la
comparaison (Chantal Rialland).
Certains d'entre vous croient peut-être dans les vertus de la fessée. Parmi eux, ils s'en trouveront qui se souvenant d'en avoir reçues de la part de leurs parents ou éducateurs, ont la conviction qu'il a eu finalement quelque chose de bon dans un tel traitement... Voici de quoi peut-être les faire changer d'avis...
Dans Les Racines de l'horreur dans le berceau feu la célèbre psychothérapeute Alice Miller constate qu' « Il y a, en tout dictateur, massacreur ou terroriste, aussi terrible soit-il et sans aucune exception, un enfant qui fut autrefois gravement humilié, et qui, pour survivre, a dû totalement nier ses sentiments de complète impuissance. Mais ce déni radical de la souffrance endurée a entraîné un vide intérieur, et, chez beaucoup de ces êtres, un arrêt du développement de la capacité innée de compassion. Détruire des vies humaines, y compris la leur, réduite à l'état de vide, ne leur pose aucun problème. Aujourd'hui nous pouvons découvrir sur les écrans d'ordinateurs des lésions provoquées sur le cerveau des enfants battus ou privés de soins. De nombreux articles de spécialistes de la recherche sur le cerveau, entre autres de Bruce D. Perry, qui est également pédopsychiatre, nous apportent de précieuses informations sur ce sujet. » […]
« Les enfants battus et humiliés dès
le début de leur vie et qui grandissent sous des conditions totalitaires
ne connaissent que l'état de guerre et ils l'imposent aux autres car ils
ne connaissent pas d'autres façons de communiquer. L'apprentissage de la
communication pacifique et respectueuse commence dans le berceau. C'est
pourquoi l'éducation sans violence est indispensable. » Dans un autre article intitulé Il n'y a pas de "bonne fessée" !, elle explicite une série d'aspect en amont et en aval dont feraient bien de prendre conscience les parents et les éducateurs :
"Pourquoi les fessées, les gifles et même des coups apparemment anodins comme les tapes sur les mains d'un bébé sont-elles dangereuses ?
Quelles leçons le bébé retient-il des fessées et d'autres coups?
C'est le corps qui garde en mémoire toutes les traces nocives des supposées "bonnes fessées". Comment se libère-t-on de la colère refoulée?
Dans l'enfance et l'adolescence :
A l'âge adulte :
Inversement, on peut prendre conscience du refoulement, essayer de comprendre comment la violence se transmet de parents à l'enfant et cesser de frapper les enfants quel que soit leur âge. On peut le faire (beaucoup y ont réussi) aussitôt qu'on a compris que les seules vraies raisons de donner des coups "éducatifs" se cachent dans l'histoire refoulée des parents."
"Une institutrice maternelle aurait menacé de couper le sexe d'un enfant"
La pédagogie noire toujours d'actualité !
Les faits sont jugés présentement en Belgique
(février 2014) : en plus d'être suspectée d'avoir ainsi menacé un enfant, l'institutrice maternelle
serait adepte de ce qu'il convient d'appeler la "pédagogie noire" : après
enquête, on a retenu des préventions d’attentat à la pudeur et de coups
portés lors de fessées. (Source) Les faits sont jugés présentement en Belgique (février 2014). On pourrait penser que de telles pratiques appartiennent au passé ; pourtant, quasi tous les commentateurs qui ont posté sous l'article en question approuvent des pratiques propres à cette détestable pédagogie ! J'ai été quasi le seul à m'insurger contre de tels traitements ; ça fait froid dans le dos. Elever sans fessée est pourtant possible et épargne beaucoup de traumatismes physiques et psychiques.!
Les principes de la “pédagogie noire” (Source)
La pédagogie noire a pour but l'obéissance à tout prix, y compris l'aveuglement pour toute la vie. Je l'ai trouvé d'abord chez ma mère qui a cherché à "briser ma volonté" (selon ses propres mots) à chaque occasion. Devenue psychanalyste et en écoutant mes patients, j'ai compris pourquoi je n'avais pas de souvenirs d'avoir été battue. Je me suis plongée dans la lecture des pédagogues allemands très populaires au début du dernier siècle. C'est dans ces textes que j'ai fait mes découvertes. Ils ont écrit avec beaucoup de persévérance qu'il fallait commencer avec l'application de "tapes" très tôt, dès les premiers jours pour que les résultats soient efficaces pour toute la vie. J'ai compris l'importance de cette information quand j'ai commencé mes recherches sur les enfances de dictateurs. Sans exception, ils ont été violemment battus dès leur plus jeune âge et plus tard, arrivés au pouvoir, ils se sont vengés sur des boucs émissaires innocents" (Alice Miller.)
* De la pédagogie noire à la thérapie noire * Pour 60% des parents, la fessée n'est plus taboue * Les dangers sexuels de la fessée par TOM JOHNSON
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"Les enfants sont les symptômes de leurs parents"
Dans cet article, nous avons repris cette interpellante mais ô combien pertinente observation de feu la célèbre psychanalyste Françoise Dolto. Il faut prendre le mot symptôme dans sa large acception : tout ce que l'enfant exprime dans son corps, mais aussi via son comportement et qui pose problème à son entourage. Ainsi, en cette fin d'année scolaire, il est intéressant de commencer à examiner en quoi par exemple l'échec scolaire interpelle à ce niveau, tout comme le ferait telle ou telle maladie, mal-être... chez les enfants et adolescents (suite de l'article)
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Pages du site Retrouver Son Nord en lien avec les problématiques familiales
les Constellations Familiales Intégratives : une technique thérapeutique puissante pour libérer
les valises transgénérationnelles et leurs conséquences néfastes sur la santé, le couple,
la famille, le travail etc. (stages d'un jour).
les transmissions transgénérationnelles indésirables et souffrantes sont présentes
dès la conception : les prénoms les expriment aussi comme les révèlera aussi la nature
des couples formés.
comprendre en quoi tout secret de famille, même s'il ne l'a pas été intentionnellement, génère
d'importants dégâts et souffrances ; comment les éviter et surtout comment s'y prendre pour
les raconter.
les valises familiales s'identifient souvent grâce aux répétitions à des dates identiques
(mêmes âges, mêmes périodes de temps, mêmes jour et mois etc.) au travers des générations ;
ce sont les syndromes d'anniversaire.
dès notre conception s'inscrivent obligatoirement des programmes familiaux "sur notre tête" :
notre nais-sens prend alors une direction dont nous tâcherons plus tard de nous détourner,
avec de grandes difficultés, la plupart du temps.
"quand l'autre vit en soi" (Greffe d’organe et mémoire cellulaire) :
Des familles de donneurs reconnaissent leur défunt dans le comportement du receveur…
Ventrematernel.htm : comment se forgent les croyances dans le ventre maternel.
un aperçu (témoignages) des conséquences psychologiques entraînées par la perte de son jumeau.
découvrir quels sont les droits essentiels de tout enfant venant au monde
et faire son propre "état des lieux" à ce sujet.
Prenom.htm : les prénoms ont chacun un sens caché lourd de significations transgénérationnelles.
grâce à des grilles de lecture, découvrir soi-même les fonctions, attentes, programmes familiaux
que nos prénoms portent.
NomdeFamille.htm : origine historique du nom de famille et outils de recherche.
ProblemesScolaires.htm : beaucoup de problèmes scolaires ne sont en fait que les "symptômes
des parents comme l'avance Françoise DOLTO..
SEANCES INDIVIDUELLES, CONSULTATIONS, THERAPIE FAMILIALE
:
Anne et Baudouin vous proposent des thérapies brèves dont l'un des buts est de
vous fournir pour la vie des
outils autothérapeutiques ; en étant conduit dès la première séance à vous retrouver dans l'action vers la libération,
vous vous permettrez alors de vous dégager plus rapidement de situations indésirables présentes et à venir.
Extrait de la FAQ sur ce qu'apporte la thérapie familiale :
- En quoi consiste une thérapie familiale ? - Que peut-on résoudre avec une thérapie familiale ?
- Quelle est la différence entre "thérapie familiale " et " thérapie de couple " ?
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Humour :
Voici un modèle de famille recomposée. (Vidéo - Merci à Claude).
Une mère rentre dans la chambre de sa fille qu'elle trouve vide...
Sur le lit une lettre !! Elle imagine le pire en ouvrant la lettre :
"Maman
chérie,
Je suis désolée de devoir te dire que j'ai quitté la maison pour aller
vivre avec mon copain. Il est l'amour de ma vie ! Tu devrais le voir,
il est tellement mignon avec tous ses tatoos, ses piercings et sa super moto
!
Mais ce n'est pas tout ma petite maman chérie : je suis enfin enceinte
et Abdoul dit que nous aurons une vie superbe dans sa caravane en plein
milieu des bois. Il veut beaucoup d'enfants avec moi, c'est mon rêve aussi.
Par ailleurs je me suis enfin rendu compte que la marijuana est bonne pour la santé et soulage les maux de tous les jours. Nous allons d'ailleurs en cultiver et en donner à nos copains lorsqu'ils seront à court d'héroïne et de cocaïne pour qu'ils ne souffrent pas. Je t'en donnerai aussi un peu de temps en temps.
Ne te fais
pas de soucis pour moi maman, j'ai déjà 13 ans; je peux faire attention à
moi toute seule et le peu d'expérience que j'ai, Abdoul peut le compenser
avec ses 44 ans.
J'espère pouvoir te rendre visite très bientôt pour que tu puisses faire
la connaissance de tes petits-enfants. Mais d'abord je vais avec Abdoul
chez ses parents en caravane pour que nous puissions nous
>>marier. Ainsi ce sera plus facile pour lui, pour obtenir son permis de
séjour.
Ta fille qui t'aime très fort !
P.S. : Je te raconte des conneries maman; je suis chez les voisins !
Je voulais juste te dire qu'il y a des choses bien pires dans la vie que
le bulletin scolaire que tu trouveras sur la table de nuit !
Je t'aime ma petite maman chérie"
"Marc revient de l'école avec son bulletin : Des zéros partout.
- Quelle excuse vas-tu encore me
donner ? Soupire sa mère...
- Eh bien, dit Marc, j'hésite entre l'hérédité et l'environnement familial."
DICTÉE
(ce petit texte a été trouvé dans un vieil almanach)
"Monsieur Lamère a épousé Mademoiselle Lepère.
De ce mariage, est né un fils aux yeux pers.
Monsieur est le père, Madame est la mère.
Les deux font la paire.
Le père, quoique père, est resté Lamère, mais la mère, avant
d'être Lamère était Lepère.
Le père est donc le père sans être Lepère, puisqu'il est Lamère
et la mère est Lamère, bien que née Lepère.
Aucun des deux n'est maire.
N'étant ni le maire ni la mère, le père ne commet donc pas
d'impair en signant Lamère.
Le fils aux yeux pers de Lepère deviendra maire.
Il sera le maire Lamère, aux yeux pers, fils de Monsieur
Lamère, son père, et de Mademoiselle Lepère, sa mère.
La mère du maire meurt et Lamère, père du maire, la perd.
Aux obsèques, le père de la mère du maire, le grand-père Lepère,
vient du bord de mer et marche de pair avec le maire Lamère, son
petit-fils.
Les amis du maire, venus pour la mère, cherchent les Lamère, ne
trouvent que le maire et Lepère, père de la mère du maire, venu
de la mer et chacun s'y perd !"
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Autres principaux domaines abordés sur le site Retrouver son Nord :
Santé -
Dépendances - Famille
- Habitat -
Psychobiologie
Développement personnel Autarcie énergétique
Ce que nous proposons comme séances
«
Sans prise de conscience, sans travail sur soi, nous sommes
condamnés à reproduire
ultérieurement nos identifications d’enfant. Parfois à notre insu.
Certains ont choisi de faire tout le contraire de leur famille.
Malheureusement, vivre le contre-scénario, c’est encore
vivre en fonction du scénario
Prendre le contre-pied, ce n’est pas accéder à la liberté d’être soi-même,
c’est agir à l’inverse en étant constamment dans la comparaison.
L’aventure d’une vie humaine, c’est avant tout
l’aventure de la conscience.
Plus nous devenons conscients, plus nous devenons libres.
Plus nous choisissons notre vie au
lieu d’obéir à nos programmations,
plus nous épanouissons notre
être unique, indépendant, autonome.
Plus nous sommes
épanouis, plus nous épanouissons les autres ».
CHANTAL RIALLAND : «Cette
famille qui vit en nous ».
Ed. Lafont
& Ed. Marabout (ouvrage très accessible et à la portée de tous)
(cliquez ici
pour obtenir le texte séparé pour en faire éventuellement un poster)
Contenu de cette page avec des liens directs vers les sujets : Dernières mises à jour :¨ Dernières mises à jour :¨ La famille par rapport à chacun d'entre nous Tout individu est en interaction constante avec son environnement Un troupeau qui a ses règles et ses lois Ce que l'application de ces règles et lois entraînent pour chacun des membres. Ce qu'entraîne la loyauté familiale invisible. Ce que peut apporter la thérapie pour se libérer de ce qui est indésirable Questions posées à la psychothérapeute Alice Miller "C'est pour ton bien" de Alice Miller
de couper le sexe d'un enfant"
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