épistémologie des sciences
et en
particulier de la science médicale
par Baudouin Labrique,
critique de science
psychothérapeute et auteur de
Quand les thérapeutes dérapent
"J'habite la demeure du possible. Elle a plus de portes et
de fenêtres que la demeure de la raison."
Emily Dickinson (1830-1886)
Sources provenant des
milieux médicaux et scientifiques
dont chacun devrait prendre connaissance
à propos de sciences médicales, chimiothérapie,
radiothérapie
et autres traitements conventionnels.
"la science est un « croire » et non un « savoir »"
("Cette
affirmation, apparemment provocante, est l’une des conclusions, prononcée
par un homme de science") "Ses conclusions doivent
alors toujours être relativisées. Et s’il existe plusieurs logiques, alors
« la vérité » ne peut plus être « unique ». C’est une sorte d’invitation à
la modestie qui est ainsi proposée aux scientifiques. Aux scientifiques,
mais aussi à tous ceux, individus, institutions, collectifs divers (au
premier rang desquels les journalistes…), qui prétendent communiquer un
« savoir » ou une « pensée »".
“De toutes les sciences que l'homme peut et doit
savoir, la principale,
c'est la science de vivre de manière à faire le moins
de mal et le plus de bien possible.”
Léon Tolstoï
ce qui rejoint le principe d'Hippocrate
et que chacun devrait suivre
"Je ne me rendrai coupable
d'aucun mal ni d'aucune injustice".
AVERTISSEMENT : "Les données présentées ici ne font guère
recette auprès des journaux scientifiques ou des
réunions scientifiques car elles ne rapportent rien aux
laboratoires pharmaceutiques. [...] Et puis, elles vont souvent à l'encontre du
« médicalement correct".
Phrases du Dr Pierre-Jean Thomas-Lamotte (cité plus bas) et
que je reprends à mon propre compte. Car comme le disait déjà Molière, en
rapport avec ce qui était communément admis comme voies de guérison, "Il vaut mieux
mourir selon les règles que de réchapper hors
les règles !"
(L’amour
médecin,
acte II, scène
3, de la bouche de Monsieur Bahys, médecin).
Une manière complémentaire de s'informer est de suivre ce qui
se trouve sur la page "Santé à la Une"
et .
Qu'on ne s'y méprenne, les partenaires
de ce site ne rejettent pas les apports de la médecine conventionnelle
dans ses nobles aspects et notamment par rapport aux prouesses qu'elle
réalise dans les soins d'urgence (qui permettent de sauver beaucoup de
personnes) et dans la chirurgie réparatrice (qui permet à beaucoup de gens
de continuer à vivre plus dignement).
Les rubriques telles que celle-ci
présentes sur ce site visent à informer le plus de gens possible sur les
dérives et les comportements contre l'éthique et la déontologie de certains
thérapeutes (qu'ils soient médecins conventionnels ou pas).
Baudouin Labrique a d'ailleurs écrit
un livre en 2011 (Quand les
thérapeutes dérapent) qui détaillent les dérives les plus courantes
aussi bien dans les approches conventionnelles que non conventionnelles de
la santé.
On fait la science avec des faits, comme on fait une
maison avec des pierres :
mais une accumulation de faits n'est pas plus une science
qu'un tas de pierres n'est une maison
Henri Poincaré
----------------------------------------------------------------------------------
Schweitzer
Le vrai médecin est le médecin intérieur. La
plupart des médecins [et des thérapeutes]
ignorent cette science qui, pourtant,
fonctionne si bien.
Dr Albert SCHWEITZER
Lors d'un séjour en Afrique, le journaliste Norman Cousins rencontra le
Dr Schweitzer à son dispensaire de Lambaréné (Gabon) et voici la réponse
donnée par le Dr Schweitzer à la question suivante :
« Lorsque je demandai au Dr Schweitzer comment il expliquait que l'on
puisse espérer guérir grâce au traitement dispensé par un sorcier, il me dit
que le lui demandais de divulguer un secret bien gardé
par les médecins depuis Hippocrate [considéré comme le père de
la médecine moderne]. "Mais je vais tout de même vous
le dire", poursuit-il, le visage toujours illuminé par un demi-sourire. "Le
secret du sorcier est dû à la même raison que notre succès à tous. Tout
malade porte son propre médecin à l'intérieur de lui-même. Il vient chez
nous parce qu'il ignore cette vérité. Ce que nous pouvons faire de mieux,
c'est donner une chance au médecin qui réside à l'intérieur de chacun" ».
(La volonté de Guérir, Ed. du Seuil, en livre de
poche n° A43,Col. Ponts Actuels, 1981 p. 62)
L'épistémologie qui fait partie de la
philosophie des sciences
« étudie de manière critique la méthode scientifique, les
formes logiques et modes d'inférence utilisés en science, de même que les
principes, concepts fondamentaux, théories et résultats des diverses
sciences, afin de déterminer leur origine logique, leur valeur et leur
portée objective »."
(Robert Nadeau, Vocabulaire technique et analytique de
l'épistémologie, Paris, PUF, 1999, p. 209).
Il faut déplorer chez trop de scientifiques et tous ceux qui
sont arrimés à cette exclusive référence, la toute-puissance des
dogmes et des croyances, la force des propagandes, la place accordée aux
effets d'annonces sans lendemain (tel espoir de guérison suite à telle
recherche entamée... ) et même quand les faits les contredisent.
Platon relevait déjà que la doxa (doctrine, opinion)
– dont on peut
suspecter le présence dans la tête de trop nombreux scientifiques et surtout
les scientistes–, l'emportait
toujours sur l'épistémè (savoir, science) ; quant au Pr Debray-Ritzen,
psychiatre opposé à Freud, il faisait remarquer : « l'erreur dogmatique a des
ailes et la vérité scientifique rampe humblement ».
Voici des avis très autorisés mais malheureusement toujours
d’actualité :
* Le Dr John Eccles (1903-1997), prix Nobel de physiologie
et de médecine en 1963 pour la découverte des processus chimiques
responsables de la propagation de l’influx nerveux (synapse) : « Ils [la majorité des scientifiques] ont été formés à l'école du
matérialisme. C'est un moule extrêmement rigide composé d'un ensemble de
dogmes qui ne sont pas forcément expliqués scientifiquement ! Par exemple,
affirmer que notre existence n'est qu'un assemblage biologique sans essayer
de comprendre tout ce qui n'entre pas dans ce cadre - sous prétexte que ce
n'est pas "scientifique" - est un dogme, pis, une superstition ! La science
est pleine de superstitions, de croyances de toutes sortes... Le plus
navrant, c'est que le public est persuadé que la science a réponse à tout...
». (Revue française Psychologies n° 100, juillet-août 1992, pp.
54-55)
* Le
Pr René Dubos (Mirage de la santé, p. 130) célèbre
microbiologiste et inventeur du premier antibiotique :
« L’homme d’aujourd’hui souhaite des miracles autant que celui d’autrefois,
et s’il n’adhère à aucun culte religieux, il sacrifie sur l’autel de la
science. Cette foi contribuera toujours à donner à la médecine l’autorité du
sacerdoce […] ».
* Le Dr Thierry Janssen, chirurgien devenu
psychothérapeute, (La maladie a-t-elle un sens ?, p. 156) :
« La tentation du scientifique est [...] de nier la véracité
des faits sous prétexte que ceux-ci ne s’expliquent pas à l’aide des acquis
de la science».
Humour
L'homme de science le sait bien, lui,
que seule la science, a pu, au fil des
siècles,
lui apporter l'horloge pointeuse
et le parcmètre automatique
sans lesquels il n'est pas de
bonheur terrestre possible.
Pierre Desproges (1939-1988)
Retour au début de
cette page
AVERTISSEMENT : cette page
contient des informations de sources fiables et issues souvent de
statistiques
incontestables et incontestées.
Elles visent simplement à aider le patient à se faire une idée plus
complète
de ce qu'apportent les traitements
médicaux et de contrebalancer ainsi ce qui est prôné abusivement
par
la Science médicale dans sa partie
(trop) matérialiste et rationaliste et, facteur aggravant, ce qui est
surmédiatisé,
au point de ne plus placer le
bénéficiaire de soins qu'il est dans les conditions neutres de pouvoir
faire un choix
indépendant, qui lui conviendra le
mieux et vierge de toute pression de quelque nature qu'elle soit.
Baudouin Labrique qui est l'auteur
de cette page et qui n'intervient ici qu'en tant que critique de science
et Anne De
Vreught, par ailleurs psychothérapeutes, s'interdisent à
faire état de ce qui suit et
en quoi que ce soit, lors des
contacts et séances qu'ils ont avec quelque patient que ce soit,
conformément à la
Loi, à l'éthique et à la
déontologie qu'ils de doivent de respecter inconditionnellement.
Toute allégation contraire sera
poursuivie au besoin devant les tribunaux.
Si telle est malgré tout votre
intention, vous n'êtes pas autorisé à lire les pages de ce site.
Dégagement de responsabilité : "Les textes qui sont
présentés ci-dessus [et sur l'entièreté de cette page comme sur ce
site] , leurs commentaires, les témoignages sont exclusivement
destinés à l’information. Ils représentent les vues de leurs auteurs et
n’engagent qu’eux seuls. Ces textes sont destinés à éveiller l’intérêt,
la recherche et à entraîner le discernement ; chacun étant responsable
d’examiner toute chose et d’en retenir ce qui est vrai et bon. Il
incombe à tout un chacun de les utiliser comme il lui paraît le plus
raisonnable et le plus utile. La désinformation étant une marque
flagrante de notre époque, chacun est encouragé à approfondir par
lui-même les sujets qui lui sont présentés par tous les moyens à sa
disposition. Il est important que cette information soit soumise au
médecin qui a la confiance du lecteur pour une évaluation et adaptation
éventuelle à chaque cas. Ces informations ne sont nullement destinées à
établir un diagnostic , à conseiller un traitement ou à prévenir quelque
maladie que ce soit. Au cas où des personnes tenteraient de mettre en
pratique les informations reprises ci-dessus sans l’avis d’un médecin,
elles en prendraient l’entière responsabilité. Nous choisissons de ne
rien censurer des informations qui pourraient éventuellement être
biaisées, traditionnellement peu acceptables ou choquantes pour
certaines personnes fragiles auxquelles nous déconseillons la lecture de
ce document. L’entière responsabilité de ces extraits appartient à leurs
seuls auteurs" (Texte emprunté à "VitaVie,
Lettre belge du mieux-vivre").
AVERTISSEMENT IMPORTANT :
nous n'adhérons en aucun cas à la
Biologie-Totale
que nous refusons vu les dérives qu'elle génère
par manque criant de précaution, d'éthique et de
déontologie appliquées.
(Voir notre avis).
Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière les comportements
intégristes et outranciers du Dr Hamer.
Deux chapitres du livre écrit par Baudouin Labrique,
"Quand les thérapeutes dérapent"
y sont consacrés.
Qu'on ne s'y méprenne, les partenaires
de ce site ne rejettent pas les apports de la médecine
conventionnelle dans ses nobles aspects et notamment par rapport aux
prouesses qu'elle réalise dans les soins d'urgence (qui permettent de
sauver beaucoup de personnes) et dans la chirurgie réparatrice (qui
permet à beaucoup de gens de continuer à vivre plus dignement).
Les rubriques telles que celle-ci
présentes sur ce site visent à informer le plus de gens possible sur les
dérives et les comportements contre l'éthique et la déontologie de certains
thérapeutes (qu'ils soient médecins conventionnels ou pas).
Baudouin Labrique a d'ailleurs écrit
un livre en 2011 (Quand les
thérapeutes dérapent) qui détaille les dérives les plus courantes
aussi bien dans les approches conventionnelles que non conventionnelles de
la santé.
|
Retour au début de
cette page
La commission d'Ethique du
conseil départemental (France) de l’ordre des médecins
a écrit ce texte intéressant et à méditer
(Copie écran de la
page du bulletin)
"Ne
jamais désespérer : Une commission d'éthique de l'ordre départemental
des médecins, a réouvert ce débat souvent passionnel pour mieux tracer
les devoirs et les limites de chacun sous l'éclairage de la
déontologie qui s'impose à tous. ("On reproche aux guérisseurs de ne
pas être médecins, moi je reproche aux médecins de ne pas être
guérisseurs !
"
[Ndlr :suivant ce que déclara
un avocat à l’un des procès de Mességué] )
"La commission d’éthique de l’ordre Départemental a réouvert ce débat
souvent passionnel pour mieux tracer les devoirs et les limites de chacun
sous l’éclairage de la déontologie qui s’impose à tous. Il est avéré que des
médecines différentes reçoivent de plus en plus d’échos favorables dans
l’opinion et que l’institution ordinale se trouve dans une position
inconfortable, entre le respect du libre choix des patients et la mission de
repérer les frontières de l’ésotérisme.
L’ordre a le
devoir prioritaire de garantir les patients contre les pratiques
dangereuses, qu’elles soient le fait de médecins ou de non médecins. C’est
dire qu’il se doit d’être attentif à la conscience du soignant sans altérer
la confiance du patient. Pour exercer la médecine, le praticien s’appuie, et
c’est bien normal, sur son savoir et sur ses convictions ; or, ces dernières
sont respectables dès lors quelles recherchent le bénéfice du patient. Il
est de l’intérêt de tous de démasquer les contrevenants.
Qu’en est-il en pratique ? Nous recevons tous au départ une formation
identique, qui est aussi une conformation. La médecine conventionnelle est
devenue une science basée sur des preuves, au terme d’analyses comparatives.
C’est sa façon d’évoluer, c’est sa façon de s’améliorer, et cette approche
rassure notre culture occidentale. Les autres médecines manquent de ces
références quasi mathématiques, mais se trouvent confortées par des
références affectives ou historiques et par l’expérience humaine. Nous
connaissons tous des malades nous ayant rapporté les succès de confrères
pratiquant une médecine étrangère à nos pré requis. Rejeter a priori ce qui
nous est étranger confine à la discrimination. Ce n’est pas acceptable.
Une attitude éthique consiste, soit à accéder à un savoir suffisant des
préceptes régissant l’autre médecine, soit à adopter une politique tolérante
vis à vis des principes que nous ne connaissons pas. Dans les deux cas, il
convient de ne pas déstabiliser le patient qui a ses propres repères et qui
doit en tirer profit. Ce devoir de tolérance est valable pour tous.
L’indispensable foi dans ce que l’on fait ne doit pas conduire au
sectarisme. Il faut rappeler que notre déontologie nous impose de faire
appel à des confrères lorsque nos moyens nous semblent insuffisants ou
inadaptés. L’entêtement, l’acharnement ne servent pas l’intérêt du malade ;
nous ne sommes pas propriétaires de nos patients.
Comment, dans ces conditions, dépister les marchands d’illusion, les
thaumaturges, les charlatans qui méritent notre réprobation ? Peut-être en
nous connaissant mieux, en reconnaissant le soignant plutôt que la pratique.
Nos références, à défaut d’être techniques, doivent être humaines, c’est à
dire morales. Nul n’a le monopole de l’honnêteté.
Le débat, pour ne pas être passionnel, se doit d’être raisonné et centré sur
l’intérêt du malade. Son adhésion à une démarche thérapeutique, quelle
qu’elle soit, ne doit pas le disqualifier. A l’un des procès de Mességué, un
avocat déclara « On reproche aux guérisseurs de ne pas être médecins, moi je
reproche aux médecins de ne pas être guérisseurs ! ». C’est une réflexion
que nous devons méditer. En conclusion, évitons le terme de médecine
alternative. Cette épithète suggère une exclusivité tout à fait contraire à
l’éthique comme au bon sens. La tolérance de l’autre a l’avantage de
l’envisager sous l’angle d’une complémentarité qui, loin de consacrer une
rupture entre praticiens, loin d’imposer au malade une dissimulation de ses
démarches alternes, permet de préserver un contact utile et profitable à
tous ".
La Commission d’Ethique de l’Ordre départemental des Médecins
de Côte d’Or (Bulletin de janvier 2007). (Copie
écran de la page du bulletin)
---------------------
« Lorsque le médecin a substitué à la plainte du
malade et à sa représentation subjective des causes de son mal, ce que la
rationalité contraint de reconnaître comme la vérité de sa maladie, le
médecin n'a pas pour autant réduit la subjectivité du malade. Il lui a
permis une possession de son mal différente. Et s'il n'a cherché à l'en
déposséder, en lui affirmant qu'il n'est atteint d'aucune maladie, il n'a
pas toujours réussi à le déposséder de sa croyance en lui-même malade, et
parfois même de sa complaisance en lui-même malade. En bref, il est
impossible d'annuler dans l'objectivité du savoir médical la subjectivité de
l'expérience vécue du malade. Ce n'est donc pas dans cette impuissance qu'il
faut chercher la défaillance caractéristique de l'exercice de la médecine.
Elle a lieu dans l'oubli, en son sens freudien, du pouvoir de dédoublement
propre au médecin qui lui permettrait de se projeter lui-même dans la
situation de malade, l'objectivité de son savoir étant non pas répudiée mais
mise en réserve. Car il revient au médecin de se représenter qu'il est un
malade potentiel et qu'il n'est pas mieux assuré que ne le sont ses malades
de réussir, le cas échéant, à substituer ses connaissances à son angoisse. »
Georges Canguilhem, philosophe et médecin français, philosophe ; pourtant, l'expérience empirique prouve que
"la santé dépend plus des précautions que des médecins" (Bossuet).
---------------------
allopathie
¨¨ « La
médecine de la peur et le paradigme pétrochimique
.
Face à la propagande démesurée de la médecine de la peur, mes propos seront
ceux du simple bon sens, éclairé par une vision critique des excès d’une
allopathie basée sur l’industrie pétrochimique. Nous vivons clairement la
fin d’un paradigme lancé il y a à peine 100 ans par des hommes comme John D.
Rockefeller qui ont saisi l’intérêt de conjuguer science et commerce.
En moins d’un siècle, on a fait absorber aux patients des millions de tonnes
de médicaments toujours plus puissants, et vacciné à tour de bras. Pourtant
l’état de santé de la nouvelle génération est peut être la pire qu’on ait
jamais vue. Finies les otites, les angines, les toux. Place désormais aux
agités, perturbés, instables, suicidaires, dépressifs, autistes,
schizophrènes. Combien de temps faudra-t-il pour réaliser qu’on a supprimé
sur une vaste échelle les manifestations aigues pour les remplacer par des
troubles chroniques profonds autrement plus graves
? (...)
Historiquement, il suffirait de jeter un coup d’œil en arrière pour nous
rendre compte que pas un seul des traitements de masse instaurés par
l’ancienne médecine n’a survécu plus que quelques années avant d’être décrié
par ceux-là même qui l’adulaient peu auparavant. C’est paraît-il le progrès
médical, or je me permets de rappeler que toute chose vraie est à la fois
simple et éternelle, indémodable : elle traverse le temps.
Selon les modes et les époques, on a toujours instauré des traitements sans
distinction à la foule des patients, toujours argumentés par la « preuve
scientifique ». De même que nos politiques se retranchent derrière les
commissions ou les rapports d’enquête, nos chers laboratoires utilisent eux
la statistique, forgée à volonté selon ce que l’on désire « prouver ».
Ainsi, personne n’affirme jamais rien, mais les « zétudes montrent que »,
c’est plus propre, plus neutre, plus « scientifique ». Il suffira ici de
rappeler que les médicaments subissent 12 semaines de tests avant d’être mis
sur le « marché », terme qui signifie bien « faire de l’argent ». Le nouveau
venu sera jugé par des experts possédant quasiment tous des liens d’intérêts
avec les laboratoires. Un employé peut il juger son patron ? Je vous laisse
répondre à la question.
Petite piste de réflexion supplémentaire : sachez que le budget marketing
des labos est le double de celui consacré à la recherche et au
développement, et qu’en moyenne les labos consacrent 25.000 euros par
médecin et par an pour les amener à prescrire leurs produits. (...)
La
planète massacrée en un siècle. Le pétrole a permis de créer de belles
choses, mais à quel prix ? En un siècle nous avons assassiné la planète et
mis en péril l’humanité elle-même. Je peux prédire facilement que nous
allons voir se multiplier des pathologies comme les psychoses systématisées,
les autistes, les schizophrènes, les suicidaires, les dépressifs, les
troubles obsessionnels, les affections neurologiques, les troubles
auto-immuns (dont la flambée des allergies étaient le phénomène précurseur).
Le nombre de femmes atteintes de troubles ovariens atteint déjà des
proportions inquiétantes et ira croissant ainsi que le nombre d’hommes dont
le sperme s’appauvrit. Le bon vieux système allopathique restera toujours
aussi aveugle : « pas de problème, on fera des inséminations artificielles
», violant un peu plus un organisme arrivé à ce stade par les effets
conjugués des pollutions et de la médicamentation…
Je pense que la catastrophe annoncée ne sera pas celle provoquée par un
virus, mais bien par un système complètement pervers qui rend les gens de
plus en plus malades, les droguant toujours plus pour traiter… les
conséquences des traitements. Heureusement il y a une limite à cette folie :
c’est le système économique.»
Dr Edouard Broussalian, Genève, le 30 Octobre 2009.
---------------------
Extrait du livre de Sylvie Simon "Exercice illégal de la
guérison".
En Juin 1995, Bernard Kouchner confiait à la Revue des
deux mondes, dans un article intitulé "Médecine et cruauté" :
« (...) Notre système médical est devenu pervers au
point que l’intérêt des médecins peut être parfois contradictoire avec celui
des malades (...) Et je ne ferai même pas référence ici au chiffre
faramineux d’appendices enlevés sans raison pathologique valable dans les
cliniques françaises à une certaine époque. Ni aux vessies, dont les
chirurgiens -mais méritent-ils encore ce nom- ont fait l’ablation simplement
pour augmenter leurs chiffres d’affaires, ni aux trafics de prothèse de
certains orthopédistes malhonnêtes qui tentent de profiter d’un système
diabolique (...) Nous avons fait de grands progrès en sciences
médicales, mais nous avons perdu de vue l’essentiel : les personnes !
(...) La sécurité sociale, à laquelle les français tiennent tant,
éclatera bien vite si l’on ne la modifie pas profondément. Les petites
réformes ne feront que retarder l’échéance. Une critique des pensées et des
pratiques médicales s’impose dans notre pays. Réformons les études
médicales, on y apprend trop de statistiques (pour la plupart d’ailleurs
falsifiées, mensongères, erronées et fallacieuses !), pas assez d’humanisme,
les CHU doivent privilégier les sciences humaines et sociales !... »
---------------------
Rêne Dubos, célèbre microbiologiste et inventeur de l’antibiotique,
faisait déjà les constats suivants :
" J’ai toujours pensé que le seul problème de la médecine
scientifique, c’est qu’elle n’est pas suffisamment scientifique. La médecine
moderne ne deviendra vraiment scientifique que lorsque les médecins et leurs
patients auront appris à tirer parti des forces du corps et de l’esprit qui
agissent via le pouvoir de guérison de la nature."
" Quelles que soient sa cause et sa manifestation chaque maladie implique
tant le corps que l’esprit, et ces deux aspects sont à ce point
interconnectés qu’il est impossible de les séparer l’un de l’autre."
Cité paradoxalement par David Servan Schreiber dans son livre "Anticancer".
« Science sans conscience n'est que ruine
de l'âme »Rabelais
« La science a fait de nous des dieux avant
de faire de nous des hommes. »
Jean Rostand
« Mon peuple se meurt par manque de
connaissance » Osée, 4:6
« Presque tous les hommes meurent de leurs
remèdes, et non pas de leurs maladies »
« Il vaut mourir selon les règles que de réchapper
hors les règles »
Molière (L'amour médecin, Acte 2, scène 5,
de la bouche de Monsieur Bahys, médecin)
Retour au début de
cette page
"
La difficulté dans le cancer, c’est pas la maladie…
c’est le traitement ! …"
Lors de son audition devant une séance d'une
commission d'enquête du Sénat français
du 19 décembre 2012, le Pr Ivan Krakowski (°) précise à propos de l'effet
placebo trop souvent décrié par les médecins parce qu'il échappe en fait
à leur compréhension (conventionnelle) de la maladie qu' « il peut être
extrêmement puissant. En cancérologie, il est tout à fait fréquent dans les
études thérapeutiques d’observer un effet placebo de plus de 60% même contre
des thérapeutiques tout à fait établies ». (°)
Directeur du service interdisciplinaire de soins de supports en oncologie au
Centre Alexis Vautrin (CLCC de Nancy).
"Imagine-t-on la terreur du malade découvrant peu à peu qu’il ne peut plus se
baisser, s’asseoir, marcher, se tenir debout, bref qu’il a vieilli de
quarante ans en un an sans en avoir été prévenu ? Et que dire de ce qu’il
éprouve quand, cessant de remuer, ses muscles se figent et qu’il sent venir
en lui la rigidité des cadavres ? A côté de cela, les nausées et les
vomissements rassurent car, aussi pénibles, soient-ils, ils sont
répertoriés. On n’a pas dressé la liste des troubles qui accompagnent la
chimiothérapie. L’horrible sensation du poison entrant dans les veines
suffirait à remplir plusieurs pages sans parvenir pour autant à cerner ce
choc chimique…
Ce que nous mettons en cause, ce n’est pas l’ignorance de l’espèce et son
impuissance face à la maladie, de cela nous n’éprouvons nulle amertume.
C’est plutôt d’avoir été soumis par le corps médical à un traitement barbare
nous laissant diminués, sans nous informer des effets et sans nous demander
notre avis… Il s’agit en fait d’une médecine devenue folle.
Techniquement surpuissante, elle a perdu le sens des
choses, voire de la vie… Le traitement du cancer ressemble à s’y méprendre à
celui de la dissidence soviétique. Qu’on se souvienne que les premiers
témoins des camps de concentration n’ont pas été crus .»
Jeanne HYVRARD : « Le Cercan – Essai sur un long et douloureux dialogue
de sourds », Ed . Des femmes, 1987.
Présentation et Avis sur ce livre : "Le cercan, c'est une façon
pour l'auteur de désigner, de nommer l'innommable, en détournant la langue.
Ni psychologue, ni sociologue, mais écrivain, et ex "cancérante", autre
néologisme heureux. D'ailleurs, un glossaire est proposé à la fin.
Au delà de son histoire personnelle, il s'agit aussi
d'une restitution de témoignages issus d'une réunion entre malades du
cancer, pour essayer de dire l'indicible de la douleur, qui ne se réduit
jamais complètement à la douleur corporelle.
Il s'agit surtout de la parole même de ceux qui sont
passé par là, parole non récupérée par un savoir, médical ou psychologique,
mais parole brute, et fine à la fois, de cette finesse qu'on ne veut pas
voir, parce qu'insidieuse comme la mort.
Le cancer est aussi affaire de langage, apprend on ici :
la preuve, allez dire à quelqu'un que vous l'avez, et vous comprendrez.
Nommer la chose n'est jamais sans effets, y compris sur celui qui prononce
le mot. Pire : de quoi va-t-on parler après ça ? reprendre l'éternelle
discussion sur la pluie, le beau temps, etc..? Impossible.
L'auteur parvient à mêler démarche d'investigation et
témoignage personnel, émouvant lorsqu'elle reproduit un entretien avec sa
mère, témoignant, comme tout au long de l'ouvrage, d'une forme d'impasse.
Depuis 15 ans, l'approche du malade a changé, mais pas
tant que ça, finalement. Les mots employés sont forts, allant jusqu'à la
comparaison avec le ghetto et les camps de la mort. Le cancérant est un bouc
émissaire, que le bien-portant charge de représenter la mort, le soulageant
d'avoir à la considérer pour lui-même. Comment ne pas souscrire à cela, dans
une société rivée sur l'idée de progrès, de développement, où il convient de
faire face au cancer en ayant un esprit "positif" (ça soulage tellement
l'entourage), un esprit "combatif" (ça facilite le boulot des soignants).
L'inverse, parfois, est aussi un peu trop attendu, le côté "effondré", qui
se voit, surtout. Pas de place entre les deux, au fond on s'attend à ce que
le cancéreux combatte pour ne pas s'effondrer, sans qu'il y ait d'autre
possibilité de vivre son cancer.
Ce livre est donc un recueil méthodique de la parole de
malade, mais s'appuyant sur l'expérience même de l'auteur, qui sait de quoi
elle parle. On parle de plus en plus aujourd'hui de l'éducation du patient,
des problèmes de compliance au traitement, etc... en oubliant parfois un peu
vite la notion de liberté, de choix, qui ne peut s'envisager que par la
parole, celle du médecin, et celle du malade. Mais la parole elle-même, au
delà de l'information médicale, ne vaut pas grand chose. On pense aussi à
Fritz Zorn, dont le livre "Mars" a déjà donné lieu à pas mal d'analyse, et
dans lequel, lorsqu'il parle de ses parents, Zorn dit qu'il a été "éduqué à
mort".
(Retour au début de cette
page consacrée aux "sources provenant des milieux médicaux et
scientifiques dont chacun devrait prendre connaissance à propos de
chimiothérapie, radiothérapie et autres traitements conventionnels").
|
Retour au début de
cette page
dogmes
"En général, les dogmes matérialistes n’ont pas été édifiés par des
gens qui aimaient les dogmes, mais par des gens qui pensaient que rien de
moins net ne leur permettrait de combattre les dogmes qu’ils n’aimaient
pas. Ils étaient dans la situation de gens qui lèvent des armées pour
défendre la paix. "
Bertrand Russell ("The Basic Writings of
Bertrand Russell", p. 241 - Routledge, Londres,1992).
"Ils [la majorité des scientifiques] ont été formés à l'école du
matérialisme. C'est un moule extrêmement rigide composé d'un ensemble de
dogmes qui ne sont pas forcément expliqués scientifiquement ! Par exemple,
affirmer que notre existence n'est qu'un assemblage biologique sans
essayer de comprendre tout ce qui n'entre pas dans ce cadre - sous
prétexte que ce n'est pas "scientifique" - est un dogme, pis, une
superstition ! La science est pleine de superstitions, de croyances de
toutes sortes... Le plus navrant, c'est que le public est persuadé que la
science a réponse à tout.." John ECCLES, Prix Nobel de Médecine pour
la découverte des processus chimiques responsables de la propagation de
l'influx nerveux (1963) (Source "Psychologies" n° 100- juillet & août 1992,
pp. 54-55).
"La science [matérialiste et rationaliste] est la plus récente,
la plus agressive et la plus dogmatique des institutions religieuses."
Paul Feyerabend, Pr de Philosophie des sciences à Berkeley.
"La médecine conventionnelle ignore la cause de toute "maladie".
Le 17 février 2001, au cours de l’émission Savoir plus santé, le Pr
Yves Agid, chef de service de neurologie à la Pitié-Salpêtrière de Paris a
reconnu qu’ « on ne connaît les causes d’aucune maladie » et le Pr Olivier
Lyon-Caen, chef de service de neurologie dans le même hôpital, n’a pas
hésité à dire, à propos de la sclérose en plaques : « Les symptômes sont
la cause de la maladie » !
On ne saurait avouer plus clairement que la médecine conventionnelle
prend les effets pour la cause et nous fait prendre des vessies pour des
lanternes."
Richard Sünder
"Comme il est agréable de vous lire quand vous exposez des
situations mettant en évidence les découvertes de médecins,
découvertes que le Système s'efforce de laisser dans l'ombre.
Peut-on espérer que les thérapeutes, utilisant ces découvertes
dans leur pratique professionnelle, s'unissent pour les porter "haut
et fort" sur la place publique faisant ainsi éclater au
grand jour la réalité des faits. "
Réaction d'un internaute.
|
Retour au début de
cette page
Il apparaît que trop d'argent
(pris dans notre poche) est consacré de la
part de l'Etat à la sante et êtes-vous prêts à rester passif
face à un tel gaspillage et, en plus, mortifère (voir plus
bas). Voici donc les éléments qui étayent un tel constat :
Le Pr Cannenpasse-Riffard écrit à ce sujet " De nombreux chercheurs
constatent la disproportion frappante entre le coût exorbitant et
croissant qu'entraîne le système médical, sans que soit apportée une
amélioration significative de las santé des populations" ("Biologie, Médecine et Physique Quantique", Ed. Marco Pietteur - 2002).
Le Dr Guerra de Macedo (Directeur du Bureau Sanitaire panaméricain) écrit
dans un article de "Technique et Hospitalisation" (N° 453) :
"
Dans le domaine de la santé, les ressources sont gaspillées, dévorées
par un système de prestations dont l'objectif même est dénaturé, il est
trop centralisé, trop sophistiqué, sans rapport avec les besoins des
utilisateurs et essentiellement modelé par le choix des bailleurs de
service, des producteurs d'équipement et d'autres 'biens sanitaires'.
C'est ainsi qu'est née 'une industrie de la maladie' qui absorbe la
totalité des ressources disponibles et dont le pouvoir s'accroît avec son
expansion. Cette industrie s'attache (pour plus de 90 % des ressources
disponibles) à ce que la restauration de la santé s'effectue par des
techniques les plus sophistiquées et les plus coûteuses possible puisque
c'est la maladie qui la fait vivre et non pas la santé."
¨¨
Voici un exemple parmi mille autres de l’attitude de cette « industrie de
la maladie » pour veiller à surtout ne pas rendre les gens trop bien
portants :
« Comment l’industrie pharmaceutique a étouffé l’essai ALLHAT »,
peut-on lire dans un article récent du New York Times ; « il révèle
comment l’industrie pharmaceutique a étouffé les résultats d’un grand
essai clinique, l’essai ALLHAT, qui aurait dû bouleverser le traitement de
l’hypertension artérielle, en améliorant la prise en charge des malades et
faisant économiser des milliards d’euros, compte tenu de la fréquence de
cette maladie dans le monde.
En France, l’analyse par le Formindep des données de l’Assurance-maladie
confirme également l’absence d’impact de cet essai sur les prescriptions
de médicaments antihypertenseurs. Une preuve supplémentaire de
l’efficacité du travail de désinformation. » (Votre santé n° 111 -
janvier 2009).
Dans son
blogue (sur le site de PasseportSante.Net) l'éditeur M. Christian
Lamontagne affirme que "prendre soin de sa santé coûte plus cher que la
négliger".( "Une illusion des bénéfices de la prévention"
mars 2008)
Si on adhère sans réfléchir à une vision éminemment
dogmatique ancrée aux postulats de
la science médicale conventionnelle et qui est résolument matérialiste et
rationaliste, on peut effectivement prendre pour vraie pareille assertion.
Résumé d'une émission de Radio-Canada
"La
quête de sens face à la maladie" (22/02/2009) :
"La mauvaise santé des citoyens profite au bien-être économique de la
société. Nous vivons en partie de la maladie des autres. Le système de
santé est construit sur l'industrie pharmaceutique, sur l'industrie de la
maladie et sur cette société pour qui l'important est de progresser,
produire et consommer. Notre environnement nous rend malades, le stress
nous rend malades, etc., mais nous ne cherchons qu'à guérir la maladie et
non pas à changer la situation qui fait naître ces maladies."
Si, en revanche, on considère les découvertes (incontestées) de la
Physique Quantique qui a montré qu'au cœur même de l'atome "c’est bien
la psychomatière, autrement dit le psychisme, qui mène le jeu", on
devrait alors porter son attention sur le rôle incontournable et
prioritaire du psychisme sur la matière ! S'en écarter devient tout
doucement assimilable à du révisionnisme scientifique !
Comme l'ont montré de nombreux scientifiques de renom (Selye, Laborit,
Dubos, Charon …), l'origine de la presque totalité des maladies est
psychobiologique.
La vraie prévention se situe donc par rapport au comportement personnel en
situation de stress, de traumatisme, de détresse … Le chercheur, écrivain
célèbre et Pr de Physique Quantique Jean-Jacques Crèvecoeur, dans
un article très éclairant et
superbement bien écrit en donne des grands axes qui suivent (résumé) et
dont il aura préalablement démontré les cruciaux enjeux :
"J’ai décrit en détail dans mon dernier livre « Le langage de la
guérison » les processus qui déterminent ou provoquent nos maladies
physiques, à partir de chocs psychiques intenses ou de grands stress. Dans
le cadre de cet article, cela me paraît inutile d’aller plus loin dans les
explications, car le raisonnement est le même pour toutes les maladies,
quelque soit leur degré d’intensité et de gravité.
Ce qu’il faut retenir de tout cela, c’est que d’une part, le cerveau ne se
trompe jamais et que d’autre part, c’est lui qui déclenche toutes les «
maladies » pour garantir à l’individu les meilleures chances de survie.
L’intérêt d’une telle vision est énorme, vous le devinez. En effet, pour
la première fois dans l’histoire de la médecine, rien, dans nos affections
et nos déséquilibres n’est dû au hasard. "
(…) "vous pouvez non seulement comprendre d’où viennent toutes vos
maladies, mais surtout vous pouvez les prévenir et les guérir. Comment ?
En apprenant ces compétences relationnelles de base que tout être humain
devrait acquérir : exprimer ses besoins et ses émotions, oser les
confrontations respectueuses, reconnaître et accepter la réalité telle
qu’elle est, poser des actes adaptés à la réalité, boucler les affaires
non terminées, pardonner. Reprenons-les une à une, pour examiner en quoi
ces compétences pourraient nous éviter d’être malades ou nous permettre de
nous guérir…" :
exprimer ses besoins, ses émotions, oser les confrontations respectueuses,
reconnaître et accepter la réalité telle qu’elle est, poser des actes
adaptés à la réalité, boucler les affaires non terminées, pardonner
(processus qui conduit à ce que le pardon arrive par lui-même s'entend).
Ensuite, cette vision de la maladie est porteuse d’une immense bonne
nouvelle : la maladie n’est pas une fatalité, elle n’arrive jamais par
hasard. Ce qui veut dire qu’en changeant nos habitudes comportementales,
nos schémas de pensée, notre vie émotionnelle, nous pouvons éliminer
définitivement l’emprise des maladies sur nous. De plus, même si nous
tombons encore malades de temps en temps, nous ne serons plus dépendants
des thérapeutes qui se placent dans une position de pouvoir par rapport à
nous. Nous retrouvons, enfin, notre autonomie, notre liberté, notre
souveraineté."
Un accompagnement psychothérapeutique de
qualité a parmi ses objectifs prioritaires de ne pas rendre les
patients dépendants mais, au contraire, de leur fournir des outils
concrets, les plus aboutis, pour les rendre autonomes, le plus rapidement
possible. Un accompagnement psychothérapeutique est souvent indiqué
lorsqu'on se trouve bloqué à un stade ou à un autre du processus
d'autoguérison ; Jung disait déjà : "La maladie est l'effort que la nature
fait pour me guérir" et donc autant considérer cet effort comme
positivement porteur et constructif, plutôt que de se conformer à une
option fataliste et matérialiste de la maladie !
Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), à partir de l'an 2000, "Les
coûts d'une psychothérapie de qualité sont plus que compensés par la
diminution du nombre des consultations médicales, de la consommation de
médicaments, du nombre d'hospitalisations, du nombre de journées d'absence
au travail et de celui des rentes AI. (…) Un entretien avec un
médecin ne constitue pas une psychothérapie qualifiée." Source : "Fédération Suisse
des Psychologues (FSP) & Association Suisse des Psychothérapeutes (ASP)"
"Rappelons enfin qu’à l’heure actuelle, les psychothérapeutes (…) ne
coûtent rien à l’État et lui rapportent, au contraire, des recettes
sensibles. Leurs séances ne sont pas remboursées, ils ne prescrivent pas
de médicaments, ils permettent d’éviter ou de réduire de nombreuses
hospitalisations, voire certaines incarcérations. L’ensemble de l’économie
ainsi réalisée sur le budget national est difficile à chiffrer avec
précision, et les estimations varient de 2 à 3 milliards d’euros par an..."
(Source)
Retour au début de
cette page
---------------------
"Pourquoi un
pharmacien qui ne
voit que des malades tout au long de sa journée, toute la semaine et même
toute l'année, ne tombe-t-il jamais malade ? Pourquoi, après avoir vu 20
personnes grippées en une seule journée, soit 100 en une semaine, un
généraliste ne l'attrape-t-il pas non plus ? Pourquoi cette personne qui
n'a jamais fumé a-t-elle un cancer des poumons, alors que ce fumeur
invétéré qui grille sa cigarette depuis 50 ans n'a rien ? Pourquoi les
femmes divorcées sont-elles la majorité des cancers du sein ? Pourquoi
tous les hommes ne font-ils pas un cancer de la prostate ?" se
pose, avec bon sens, comme questions le
Dr
Pierre-Jean Thomas-Lamotte, dans son livre : "Et si la maladie
n'était pas un hasard..." ; il y donne des réponses qui sont en phase
avec les avancées de scientifiques innovants :
"En écoutant les histoires vécues dans les familles ou au travail, il
ne semble faire aucun doute qu'un choc psychique précède souvent une
maladie grave. Ainsi, il est très fréquent d'observer des dépressions
réactionnelles ( à distinguer d'une réaction de deuil ) après des
traumatismes psychoaffectifs graves : décès ou simplement séparation d'un
proche, rupture amoureuse, échec professionnel, maladie grave d'un enfant
ou d'un parent.
Il existe également un grand nombre de maladies somatiques qui semblent
dépendre directement des facteurs psychiques : ulcère de l'estomac,
poussées de tension artérielle, maladies de peau comme l'eczéma ou le
psoriasis, crises d'asthme... Certains symptômes peuvent apparaître
immédiatement après un traumatisme psychique en quelques minutes, heures
ou en quelques jours. D'autres maladies ne seront diagnostiquées qu'après
plusieurs semaines ou mois, notamment lorsqu'il s'agit de cancers qui se
développent lentement dans la profondeur du corps. Nous allons donner un
certains nombre d'exemples où la maladie semble bien se déclencher après
un traumatisme psychique important."
"Après avoir examiné plus de
20.000 patients au cours de sa carrière, le docteur Thomas-Lamotte,
neurologue français, a développé une approche différente du symptôme de
ses patients : pour lui, la plupart des maladies que nous développons ont
pour origine une émotion inavouée et le simple fait de comprendre ce
mécanisme nous permettrait déjà de les éviter. L’expression populaire
« s’en rendre malade » trouve dans ce livre sa plus belle illustration
avec les clés pour décoder nos déceptions et comment les empêcher d’agir
sur notre corps."
Richard Sünder (auteur de "Médecine du mal, médecine
des mots") a écrit : "Plusieurs cancérologues et professeurs de
médecine français, dont le Pr Jasmin, reconnaissent aujourd¹hui que les
cancers peuvent être des maladies d¹origine psychosomatique. Le Dr Mark
Smith, du service de psychiatrie de L'Hôpital de la Salpêtrière, à Paris,
a rappelé, en mars 2000, dans la revue "La Semaine des hôpitaux" que les
fondements de la psychogenèse du cancer ont pris corps dans les études
immunologiques et neuroendocriniennes des vingt dernières années, à la
suite des découvertes de Hans Selye sur le stress, aux États-Unis. Chez
l¹animal, il est démontré que le stress aigu ou chronique conditionne
psychologiquement l¹immunodépression (l¹affaiblissement du système de
défense)". [N. B. le concept de
système immunitaire est
dépassé].
Pour le
Dr
Nathalie Calame, de Suisse : "La médecine conventionnelle a
réussi le tour de force de considérer les maladies en dehors des malades.
[...] Pour moi, la maladie quelle qu’elle soit est l’occasion de
comprendre les blessures de la vie. On le sait bien, parmi toutes les
personnes exposées à l’amiante, seules certaines développeront un cancer
de la plèvre. C’est donc bien qu’au-delà des facteurs environnementaux,
hormonaux, familiaux, viraux, il existe des circonstances qui favorisent
la survenue d’un cancer ou d’une autre pathologie. "
Le
Pr Jacqueline
BOUSQUET (Docteur ès Science, Biologie, Biophysique, Chercheur
honoraire au C.N.RS., Chargée d'enseignement à la Faculté Privée des
sciences Humaines de Paris Conférencière, Ecrivain) :
"L'approche
matérialiste et rationaliste du vivant ne peut permettre l'appréhension de
la vie dans son essence et sa globalité, et donne une idée fausse, très
réductionniste de la réalité : "Nous sommes fondamentalement englués dans
la superstition du matérialisme qui nous dit que l'expérience sensorielle
est le test décisif de la réalité.
Par
conséquent, toutes nos méthodes de guérison sont également fondées sur
cette superstition".
Si
vous comprenez vraiment ce qu'est la science, alors la science - au moins
jusqu'à présent - n'a pas été une méthode pour explorer la vérité. La
science a été une méthode pour explorer la représentation commune de ce
que nous pensons être la vérité. Et la carte n'est pas le territoire" !
"Si
notre carte est incomplète, alors ce qui ne se trouve pas à l'intérieur de
la structure de cette carte nous échappe et nous ne pouvons l'explorer"
(D. CHOPRA)."
(Dr Deepak. CHOPRA est un
médecin-philosophe américain d’origine indienne, pionnier des médecines
non conventionnelles, considéré comme l’une des 100 personnalités
internationales les plus inspirantes du siècle selon
Time Magazine)
Voici ce qu'écrit encore et de très éclairant le Pr
Jacqueline Bousquet :
"La matière n'étant qu'énergie (E=mc2) [Ndlr :Einstein], elle s'érige en
support de l'information, donc de la conscience. La hiérarchie nous oblige à
lui redonner sa vraie place. Par ailleurs, nous savons qu'elle est le
résultat de nos concepts, de ce à quoi nous croyons. Les travaux de J.
Charon, physicien et philosophe sur la psychomatière nous permettent de
comprendre pourquoi David BOHM a écrit que "le cerveau est un hologramme qui
analyse l'hologramme de l'univers". Le trou noir constitué de lumière noire
couplée aux neutrinos informe la particule présente dans notre univers à la
limite du trou noir. Celle-ci envoie une onde nommée psi, onde immatérielle
donc délocalisée qui renseigne la particule sur tout son environnement
auquel elle s'adapte instantanément. C'est ainsi que l'on peut parler
d'hologramme.(...). L'intermédiaire obligé est le cerveau, incontestable
centre de commande du corps matériel. Le vecteur d'information entre les
champs et le cerveau est certainement le neutrino"
"Un champ électrique possède 2 polarités inverses mâle et femelle, à
l’origine de toutes les limites de formes : électron, membrane, peau. Cette
respiration est également à la base des transferts d’informations
constamment libérées sous forme de neutrinos.
Ainsi, le trou noir est néguentropique - c’est-à-dire qu’il accroît sans
arrêt son information - alors que les assemblages de particules conduisant à
des organes ou à des organismes constituent un monde physique entropique,
soumis aux lois de Newton. Si l'information s'accroît sans arrêt dans ces
structures, elle ne peut se trouver que dans les neutrinos.
Cela signifie que le porteur de l'information n'est pas seulement la
vibration, la fameuse onde vide qui renseigne à tout instant la particule
sur son environnement cosmique, mais le neutrino. Celui-ci est rendu capable
de transmutation sans énergie par l'information immatérielle portée par les
vibrations. Ceci démontre que c'est bien la psychomatière, autrement dit le
psychisme, qui mène le jeu. " (Source
de ce dernier paragraphe écrit par le Pr Jacqueline Bousquet).
Donc, dans le domaine de la résolution des maladies c'est encore le
psychisme qui décide et ordonne, via la centrale de commande qu'est le
cerveau, l'apparition comme la disparition des maladies (du moins celles qui
sont évidemment curables).
Les médicaments allopathiques et autres qui sont pris n'ont alors du pouvoir
guérisseur (au mieux : à court terme) que celui que nous leur accordons ;
une sorte d'effet
placebo généralisé mais qui comme on ne le voit que trop pour les
antidépresseurs (hécatombe de
rechutes) qui comme tous les médicaments sont incapables et, pour cause, de
résoudre les conflits psychiques qui se sont
donc somatisés.
Pour ceux qui ont encore l'illusion de croire dans la toute
puissance de la science médicale
officielle, je leur conseille les lectures suivantes :
"En Belgique, plus de 1.500 personnes décéderaient chaque année suite à
une hospitalisation. Un « événement indésirable » survient dans un cas
sur dix." (2009)
"En Belgique, plus de 1.500
personnes décéderaient chaque année suite à une hospitalisation, écrit
lundi Vers l’Avenir qui se base sur des données du Centre fédéral
d’expertise des soins de santé (KCF) provenant d’un chercheur de la KUL.
Ces personnes meurent à la suite d’un «
événement indésirable » survenu dans un centre de soins. Il s’agit,
selon le KCF, « d’une lésion ou d’une complication non
intentionnelle, entraînant une invalidité, la mort ou une prolongation
du séjour hospitalier pour le patient et imputable à la gestion des
soins hospitaliers plutôt qu’à la pathologie du patient ».
Selon Baudouin Byl, médecin hygiéniste à
l’hôpital Erasme à Bruxelles, « les événements indésirables
oscillent entre 6 et 10 % des admissions à l’hôpital ». La société
mutualiste Medical Services fait quant à elle état de 20.000 erreurs
médicales chaque année, dont 2.000 débouchent sur le décès des patients.
Interrogée sur le fait que l’hôpital « tuerait » donc plus que la route,
la ministre de la Santé, Laurette Onkelinx estime que cette situation
est « inacceptable ». « Nous disposons d’une offre
hospitalière de grande qualité », dit cependant la ministre qui
souligne que chaque année, des moyens supplémentaires sont engagés pour
diminuer sensiblement le phénomène." (Agence Belga - 19/01/09)
Voir d'autres statistiques concordantes
-----------------------------------------------------------------------
saturation
"Les hôpitaux laissent-ils mourir certains
patients 'qui n'ont plus aucun avenir'
par manque de places ?"
"Les hôpitaux laissent-ils mourir
les patients les plus mal en point ? Bel RTL a reçu pas mal de
témoignages allant dans ce sens. Des familles de personnes âgées
expliquent que les médecins arrêtent les traitements quand ils estiment
que les conditions de vie des patients sont trop dégradées.
Les services de gériatrie et de soins intensifs accueillent de plus en
plus de patients. Ils frôlent souvent la saturation (90% de taux
d’occupation). Selon plusieurs témoignages qui nous sont parvenus,
certains médecins sont poussés à prendre des décisions pour accélérer
les fins de vie de certains patients." (Suite)
Pourtant, en pareil cas, ce sont les services de soins palliatifs qui
devraient prendre le relais et si un manque de places était avéré là
aussi, li faudrait alors avertir à temps la famille pour qu'elle puisse
prendre les mesures de retour à domicile et avec sur place un suivi des
des soins médicaux.
Retour au début de cet
article ("Les hôpitaux plus meurtriers que la route")
« Le drame c’est que les hommes soient aveugles au point de ne plus
être accessible qu’à l’erreur.
Et les hôpitaux, les cimetières sont
pleins de gens qui ont accepté, avec satisfaction,
de se laisser
assassiner stupidement par la malveillance de la seule force qu’ils ont
cultivée avec soin :
la force de leur IGNORANCE.» Dr. Jacques KALMAR
|
Retour au début de
cette page
mortifere
Michael Jackson souffrait d'une dépendance
médicamenteuse
Sa mort consécutive aura au moins servi à mettre en garde ses fans des
dangers dus à l'automédication ou à la surconsommation de médicaments
auxquels ils s'exposeraient d'autant plus que pour un certain nombre
d'entre eux (accoutrement), vouloir lui ressembler ou s'en sentir proche
pourrait aussi conduire à adopter une conduite inquiétante en rapport à la
prise de médicaments ou de drogues. Les éloquentes statistiques concernant
les dangers encourus à cause des médicaments et des traitements médicaux
qui suivent, sont vierges de toute suspicion : jumelées, elles font se
placer, vraisemblablement la médecine et les médicaments à la toute
première place des causes de mortalité dans le monde !
1° Le très sérieux "Journal of the
American Medical Association" (JAMA) (N° 284 du
26 juillet 2000) a établi que la 3ème cause de mortalité, aux Etats-Unis,
était "les médecins et la pharmacie" (effets mortels des
traitements et médicaments) : 250.000 morts par an, sur la seule prise en
compte des malades hospitalisés ; mais lorsqu'on décompte la totalité des
morts de « maladies » iatrogéniques, à l’hôpital, ce chiffre dépasse les
280.000 morts par an. Avec les morts provoqués par la chimiothérapie et la
radiothérapie, cela devient alors la 2ème cause de mortalité (USA) !
De tels chiffres sont transposables en Europe vu l'apparentement des
systèmes officiels de santé ; pour la France, avec une proportion de 1/1000
on arrive alors au moins à 60.000 morts par an et donc quelque chose comme
le crash total d'un avion de la capacité d'un Airbus A 320 tous les trois
jours (donc rien que
pour la France : imaginez ce qui se passerait alors dans toute l'Europe et
pire dans le monde entier) !
Une statistique plus récente est offerte par
un rapport
américain, publié en mars 2004 dans /Life Extension Magazine/, a
fait le point de cette évolution, en rassemblant toute la littérature
médicale des États-Unis dans une étude rigoureuse et détaillée. Selon ce
rapport, intitulé "La Mort par la médecine/" établi par le Dr Gary Null, le
Dr Carolyn Dean, le Dr Martin Feldman, le Dr Debora Rasio et Dorothy Smith,
corps, "la médecine conventionnelle
est devenue LA PREMIÈRE CAUSE DE MORTALITÉ HOSPITALIÈRE aux Etats-Unis",
qui comptaient 230 millions d’habitants en 1990 et un peu plus de 281
millions au recensement d’avril 2000.
Voici les chiffres de ce rapport :
"1) Patients souffrant d’effets secondaires des prescriptions de l’hôpital : 2,2 millions par an.
2) Antibiotiques inutiles prescrits pour infections virales : 20 millions
par an.
3) Procédures médicales et chirurgicales inutiles : 7,5 millions par an.
4) Hospitalisations inutiles : 8,9 millions par an.
5) Morts causées par la médecine conventionnelle 783.936 dans l’année 2003."
« Tes sortilèges [en grec : PHARMAKIA (drogues,
médicaments)] ont fourvoyé toutes les nations. » Apocalypse ; 18 :23
2° La revue scientifique "Sciences et Avenir"
de décembre 2006 rappelle dans un dossier de 5 pages qu'en France, "le
système de pharmacovigilance, chargé de détecter et prévenir les effets
secondaires des traitements, n’en décèlerait que 5 %.(…). Les
médicaments tuent plus que les accidents de la route."
3° Le Dr en Médecine Albert Braverman écrit dans "La Cancérologie
dans les années 1990", (Ed. Lancet (1991, vol. 337, p.901) :"De
nombreux cancérologues recommandent la chimiothérapie pour pratiquement
toutes les tumeurs, avec un optimisme non découragé par un échec quasi
immanquable" et Professeur G. Mathé dit dans "L’Express" du 4/10/1985 :
« Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup
plus précoce mais on ne le maîtrise pas aussi bien qu’on le dit, malgré la
chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les
laboratoires. Et pour cause : ils en vivent. Si j’avais une tumeur, je
n’irais pas dans un centre anti-cancéreux. »
4° Le Dr en Médecine Allen Levin : "La plupart des patients
atteints de cancer dans ce pays meurent de la chimiothérapie. La
chimiothérapie ne fait pas disparaître le cancer du sein, du côlon ou du
poumon. Cela est prouvé depuis plus d'une décennie et pourtant les docteurs
utilisent toujours la chimiothérapie pour traiter ces tumeurs." (in "The
Healing of Cancer" 1990).
5° Le Dr en médecine Thomas Dao : "Malgré l'usage répandu de la
chimiothérapie, le taux de mortalité par cancer du sein n'a pas changé ces
70 dernières années" (in "'New England Journal of Medicine",
revue qui est considérée comme une référence dans tout le milieu médical,
mars 1975, vol. 292, p.707). .
6° Le Professeur Lucien Israël : "Rien
ne se fait au hasard. La progression d'un phénotype de plus en plus malin,
rapide, implacable, toujours dans le sens de la progression, ne semble pas
être due au hasard. Chaque fois que la cellule cancéreuse acquiert une
propriété supplémentaire, ce n'est jamais neutre, jamais pour rien. Elle se
fabrique des facteurs de croissance, des hormones, des agents proliférant
(COX2 par exemple). On ne voit jamais l'inverse.
Le hasard n'a aucune part dans la progression vers la malignité.
D'autre part, les gènes silencieux au sein des cellules normales sont
réactivés, mais pas mutés. Cette biologie de la cellule cancéreuse ne dépend
pas des mutations provoquées au hasard par l'environnement.
La progression vers la malignité est un phénomène qui se déroule de façon
programmée et qui ne doit rien au hasard.
( ... )" "Cancer : un programme de survie", extrait de la revue «
Médecines Nouvelles » no 98, 3e trimestre 2000, pp 5.
Dans « Le cancer, aujourd’hui », il écrit encore
« L’impuissance de la chirurgie à guérir le cancer est illustrée par un
fait frappant : 20% des opérés meurent d’une récidive locale, 80% meurent de
métastases à distance. »
"Aujourd'hui,
la science a remplacé la chiromancie, avec sa boule de cristal ultime,
son marc de
café suprême : l'ADN. Tout est écrit dans l'ADN, tout est dans le gène"
lit-on dans un article du NouvelObs.
De plus on ne se
retient pas d'essayer de le modifier à grand renfort de budget,
mais en
pure perte,
7° L'extrait
suivant provient de Tim O'Shea du site Internet "The Doctor Within"
: "Un épidémiologiste allemand de la Heidelberg/Mannheim Tumor Clinic, le
Dr. Ulrich Abel, a réalisé un examen et une analyse détaillés de toutes les
grandes études et tous les grands essais cliniques jamais effectués sur la
chimiothérapie. Quiconque sur le point de s'embarquer à bord du Chimio
Express devrait lire, ses conclusions. Pour être sûr d'avoir passé en revue
tous les documents jamais publiés sur la chimiothérapie, Abel a écrit à plus
de 350 centres médicaux à travers le monde, en leur demandant de lui envoyer
tout ce qu'ils avaient publié sur le sujet. Abel a analysé des centaines
d'articles : il est peu probable qu'il y ait quelqu'un au monde qui en sache
plus que lui sur le sujet.
L'analyse lui a pris plusieurs années mais les résultats
sont stupéfiants : Abel a découvert que le taux de réussite global de la
chimiothérapie à travers le monde était "consternant" parce qu'il n'y avait
tout simplement aucune preuve nulle part indiquant que la chimiothérapie
pouvait "prolonger de façon sensible la vie de patients souffrant des
cancers organiques les plus courants". Abel souligne que la chimiothérapie
améliore rarement la qualité de vie. Il décrit la chimiothérapie comme un
"terrain vague scientifique" et affirme qu'au moins 80 pour cent de la
chimiothérapie administrée à travers le monde est inutile et s'apparente aux
"habits neufs de l'empereur" - ni le docteur ni le patient ne souhaitent
renoncer à la chimiothérapie, même si rien ne prouve que ça marche !
(Lancet, 10 août 1991). Aucun média du courant de pensée majoritaire n'a
jamais mentionné cette étude détaillée : elle a été étouffée. " Le Dr.
Ulrich Abel a conclu qu’il n’y avait aucune évidence directe que la
chimiothérapie avait prolongé la vie des patients. «Beaucoup de
cancérologues tiennent pour acquis, écrivait-il, que la chimiothérapie
prolonge la vie des patients. C’est une opinion fondée *sur une illusion qui
n’est étayée par aucune des études cliniques» ("Abel U. Chemotherapy
of advanced epithelial cancer, a critical review". Biomed Pharmacother/.
1992;46(10):439-52).
Retour au début de
cette page
"Le paradoxe de
la science est qu'il n'y a qu'une réponse à ses méfaits et à ses périls :
encore plus de science." Romain Gary
8° "MEDLINE (la banque de données médicales sur
ordinateur de la Grande Bibliothèque nationale du gouvernement des
Etats-Unis) contient plus de 7000 articles, rapports, et documents
scientifiques depuis 1966 qui montrent qu'un nombre considérable de patients
sont tombés victimes de troubles causés par leur traitement et d'effets
secondaires nocifs dus aux médicaments. Ces effets secondaires nocifs, qui
peuvent être graves, voire même mortels, sont associés à toutes les facettes
de la médecine moderne, que ce soit les médicaments de synthèse ou n'importe
laquelle des autres thérapies médicales, y compris les méthodes de
diagnostique et la chirurgie". (article du Dr Charles
Barry).
9°
Le New England Journal of Medicine (n°314 de 1986)
) qui est
considéré comme une référence dans tout le milieu médical, contient
un article signé John C. Bailar et Elaine M. Smith de la Harvard School
of Public Health. A partir de données épidémiologiques officielles, les
auteurs décryptent qu'après trente ans de recherche, la mortalité liée au
cancer, et ceci compte tenu de la pyramide des âges, a augmentée de 25%.
Leur conclusion : "La conclusion essentielle que nous tirons est la
suivante : trente-cinq années d'efforts intenses, centrés essentiellement
sur l'amélioration des traitements, doivent être considérées comme un échec
patent. Les résultats n'ont pas été ceux qu'on espérait. Nous pensons qu'il
serait très riche d'enseignements d'entreprendre une analyse objective et
argumentée des raisons de cet échec.
Aujourd'hui, par rapport à 1986, nous savons que cette progression s'est
dramatiquement aggravée ... si vous n'êtes pas aveugle et que vous regardez
autours de vous, vous avez constaté que la situation n'est plus seulement
grave, comme se plaisent à le dire les politiques, mais bien explosive ! Et
ce constat peut être étendu à bien d'autres maladies : SIDA, autisme,
sclérose en plaque, arthrite rhumatoïde, etc."
10°
"Les
antidépresseurs trop souvent prescrits " : "Les
prescriptions d'antidépresseurs sont trop fréquentes, selon le magazine Test
Santé daté du mois d'août/septembre. De 1996 à 2006, le nombre de patients
qui ont bénéficié d'une telle prescription est passé de 390.000 à 860.000.
Bref, en 10 ans, le nombre d'utilisateurs a plus que doublé. Le traitement
est souvent interrompu trop tôt, alors qu'il doit être suivi plusieurs mois
pour être réellement efficace, ajoute Test Santé. Le magazine santé de
Test-Achats entend mettre en garde contre les prescriptions trop fréquentes
d'antidépresseurs. L'association de consommateurs demande "que des
études indépendantes soient entamées d'urgence sur les antidépresseurs, leur
mode d'action et leurs effets secondaires, mais aussi sur l'utilité des
approches non médicamenteuses, comme les psychothérapies", indique-t-elle
jeudi dans un communiqué."
11°
"Le pouvoir des antidépresseurs remis en cause" : "Selon une étude américaine, les publications
scientifiques sur les nouveaux psychotropes exagèrent leur action. C'est un
pavé dans la mare. L'efficacité des nouveaux antidépresseurs mis sur le
marché depuis le milieu des années 1980, avec pour chef de file la
fluoxétine (alias Prozac), est mise en doute par des experts américains de
la FDA, la toute puissante agence américaine du médicament. Une étude du New
England Journal of Medicine
[qui est
considéré comme une référence dans tout le milieu médical]
démontre que des publications
ont exagéré l'efficacité de ces médicaments parés de toutes les vertus par
les laboratoires, les médecins et même les malades."
On peut donc aisément, légitimement et analogiquement se
poser la question pour tout ce qui concerne les autres traitements
médicamenteux : on ne voit pas ce qui expliquerait le confinement de telles
dérives au (seul) domaine des antidépresseurs ! ¨¨ Voir aussi
les "Risques de
suicide liés au Seroxat"
et
"Le Prozac ne marche pas"
et peut même provoquer des suicides ... Lire aussi "EFFETS SECONDAIRES DES DROGUES PSYCHOTROPES."
et "Les anti-dépresseurs
bordés de noir en Amérique".
"Aucun médicament ne peut nous renseigner sur les CAUSES
de nos malaises ou maladies. Un médicament peut seulement brouiller ces
causes et soulager la douleur – pour quelque temps. Mais les causes qui
n’étaient pas reconnues restent toujours actives et continuent leur travail
de signalisation jusqu’à ce que la maladie récidive. Et elle sera traitée
par les autres remèdes qui, eux aussi, négligeront les raisons de la
maladie. Pourtant, ces raisons ne sont pas introuvables si la personne
malade s’intéresse à la situation de l’enfant qu’elle a été. C’est cet
intérêt qui lui permettra non seulement de vivre ses émotions mais aussi de
les comprendre. Il est bien entendu que je parle ici des médicaments qui
suppriment les émotions et en même temps les souvenirs. Il y a bien sûr des
médicaments dont on ne peut pas se priver et qui ne sont pas inhibiteurs des
émotions comme les antidépresseurs."
Alice Miller.
12° "Psychiatrie
: des experts trop liés à l'industrie " : "LE SOUPÇON circulait
depuis vingt ans dans le milieu psychiatrique. Mais la preuve vient d'en
être administrée par une chercheuse américaine : la moitié des experts
psychiatres qui ont participé à la rédaction du plus célèbre manuel de
classification diagnostique des maladies mentales (le DSM4 *) sont payés par
l'industrie pharmaceutique, qui fabrique justement les médicaments utiles
dans ces maladies. Lisa Cosgrove, chercheuse à l'université du Massachusetts
de Boston, a publié le 21 avril, dans la revue Psychotherapy and
Psychosomatics, le résultat d'une enquête très fouillée sur les liens des
experts avec l'industrie : sur les 170 membres des groupes de travail ayant
participé à l'élaboration de ce manuel, 95 (soit 56%) ont une ou plusieurs
attaches financières avec des firmes. Une enquête révélée jeudi dernier par
le New York Times.(...) Depuis vingt ans, le DSM4 est l'objet de
critiques renouvelées régulièrement d'une minorité active de psychiatres
«classiques». Ceux-ci accusent l'American Psychiatric Association d'avoir
fait disparaître la psychiatrie clinique «au profit de classifications,
manifestement non plus basées sur le discours des patients sur leur
souffrance, mais plutôt sur l'efficacité des médicaments». (...)
les psychoses maniaco-dépressives sont devenues dans le DSM4 des troubles
bipolaires, censés être bien plus fréquents : chaque patient peut ainsi
s'approprier ce diagnostic, pour réclamer un traitement à son médecin ! (...) Or le DSM4 est devenu une bible
qui sert notamment lors des conférences de consensus sur les pathologies
mentales : il influence donc profondément le mode de pensée, les décisions
thérapeutiques et les stratégies de santé publique de la plupart des pays."
Cherchez donc à qui
profite le "crime" !
"La chercheuse
et ses collègues ont établi que les liens financiers des membres des groupes
du DSM4 appartiennent à des catégories très différentes : des simples
honoraires aux salaires de consultants, en passant par des paiements en
actions industrielles ; les psychiatres peuvent être au conseil
d'administration d'une petite compagnie start-up liée à un géant de la
pharmacie, ou directement membres payés d'un conseil scientifique d'une
firme ; ou recevoir des crédits ou des contrats de recherche."
13° "(...)
l’enquête nationale BVA-FF2P-Psychologies de 2001, la psychothérapie
permet de réduire de manière sensible la consommation de médicaments
psychotropes (49 % des personnes en thérapie en consommaient au départ,
contre 27 % après une année de thérapie). Or les médecins français en
prescrivent trois à quatre fois plus que ceux des pays voisins (Allemagne,
Grande-Bretagne, Italie), entraînant des dépenses considérables, ainsi
qu’une dépendance éventuelle — pouvant aller jusqu’à l’addiction ." On
ne le dira pas assez : la prise continue de médicaments, alors qu'il existe
donc ce que permet la psychothérapie, entraîne une dépendance qui est non
seulement dangereuse pour l'individu mais qui en plus est avéré comme
facteurs importants d'accidents notamment routiers !
14° "Les médecins prescrivent aussi des substances inactives" (hôpitaux) : "• Si en France,
aucune véritable étude sur l'emploi des placebos n'a été réalisée, aux
États-Unis, 466 spécialistes ont été consultés sur leur utilisation au
quotidien dans la pratique médicale. (...)
45 % des médecins hospitaliers américains prescrivent des placebos. (...)
Que traitent-ils avec ces placebos ? Des plaintes vagues non spécifiques,
les demandes «injustifiées» d'ordonnances médicamenteuses. Ils cherchent
aussi à contrôler la douleur, ou encore à couper court aux plaintes
chroniques. Près de 34 % des médecins présentent le placebo au malade comme
une substance « qui peut vous aider et n'aura pas d'effet indésirable » et
19 % des docteurs leur disent que « c'est un médicament». Environ 9 % se
contentent d'un «c'est une médication sans effet bien spécifique». Seuls 4 %
des médecins avertissent qu'il s'agit d'un placebo pur. Sur un plan éthique,
ils ne sont que 12 % à estimer que l'usage du placebo devrait être
totalement prohibé. "
15° "Une analyse de tous les essais cliniques des antidépresseurs
de dernière génération ne montre pas de différence avec les placebos".
"Comment les Français réputés pour leur boulimie de «pilules roses du
bonheur» vont-ils réagir à cette nouvelle ? Deux scientifiques réputés,
Irving Kirsch, de l'université de Hull (Royaume-Uni), et Blair Johnston, de
l'université du Connecticut (États-Unis), viennent de passer en revue la
totalité des essais cliniques des six antidépresseurs de nouvelle génération
les plus prescrits : le Prozac, l'Effexor, le Deroxat, le Zoloft et le
Seropram (le Serzone a été retiré du marché en 2003). Leur verdict est sans
appel. Ces médicaments, qui appartiennent tous à la catégorie dite des
inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, ne sont pas plus efficaces
qu'un placebo ! Autrement dit, un médicament ne contenant pas de principe
actif…"Pour le Pr Jean-Michel Ougourlian, psychiatre à l'Hôpital
américain de Neuilly, «le drame de ces nouveaux antidépresseurs, c'est
qu'ils sont mal prescrits. Les gens y ont fait appel pour un amour déçu, une
période de chômage, un coup de blues… C'est l'ignorance des médecins : une
mélancolie grave ne répond pas à ces drogues. Le problème est en amont : les
psychiatres ne sont pas formés et les diagnostics ne sont pas assurés»."
Pour nous psychothérapeutes, rien d'étonnant à cela : comment en effet
peut-on prétendre avoir pu ou pouvoir soigner des dépressions en ne
recourant qu'à des effets chimiques sur le cerveau et en faisant donc
l'impasse sur le traitement des causes réelles (psychiques) ? Mais est-ce
le boulot de cette psychiatrie qui ne
recourt qu'à des médicaments pour soigner les maux de "l'âme", de s'occuper
donc de psychisme ?!
16° Repris de "CANCER : VEUT-ON GAGNER
CETTE GUERRE ?":
"de fameux cancérologues français, non inféodés aux laboratoires
pharmaceutiques, osent exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par
les voies classiques :
« Le diagnostic précoce n'a souvent pour effet que d'allonger la durée de la
maladie avec son cortège d'angoisse [Ndlr :effet nocebo]. Cela contredit
bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques »
(cf. Dr J-Cl Salomon, dir. de recherche CNRS, cancérologue, et National
Center for Health Statistics USA).
Le Dr Salomon précise qu'on comptabilise sans distinguer
vrais cancers et tumeurs qui n'auraient sans doute jamais provoqué de
maladie cancéreuse vraie, ce qui augmente artificiellement le pourcentage
des cancers "guéris" (et aussi, évidemment, celui des cancers "déclarés").
« Il y a de plus en plus de cancers parce que le
dépistage est beaucoup plus précoce mais on ne les maîtrise pas aussi bien
qu'on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les
chimiothérapeutes et par les laboratoires. Et pour cause : ils en vivent. Si
j'avais une tumeur, je n'irais pas dans un centre anticancéreux.» Pr. G.
Mathé, L’Express 4/10/85
« Ce sont des intérêts financiers gigantesques qui
permettent d'expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd'hui
trop souvent occultée. 85% des chimiothérapies sont contestables, voire
inutiles ». Pr. Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier. (...)
Pour E. Pommateau et M. d'Argent, la chimiothérapie n'est
qu'un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la
radiothérapie, et que les seuls cas de guérison sont des cas qui peuvent
guérir spontanément, c'est-à-dire dans lesquels l'hôte peut organiser ses
propres défenses. (cf. « Leçons de cancérologie pratique »).
« L'impuissance de la chirurgie à guérir le cancer est
illustrée par un fait frappant : 20% des opérés meurent d'une récidive
locale, 80% meurent de métastases à distance » Pr. Lucien Israël in « Le
Cancer aujourd'hui » [Ndlr :Ceux qui ne font pas de récidives sont ceux
qui entre-temps ont résolu la situation
conflictuelle qui avait généré la maladie.]
« La chirurgie n'est valable que lorsque la tumeur
provoque des hémorragies qui épuisent le malade ou lorsqu'elle comprime
dangereusement un organe. Autrement, elle est inutile. » Dr Pierre Solignac,
médecin psychosomaticien attaché à l'hôpital Saint-Michel.
En outre, personne ne peut affirmer que les cellules
enlevées préventivement auraient donné une tumeur et, considérant
l'évolution souvent très lente des tumeurs ainsi détectées, la rémission
déclarée ne signifie rien. Sauf cas particuliers, enlever ou détruire la
tumeur est bien souvent inutile."
17° "La Justice malade du cancer - Emmanuel Ludot"
"Le "médicalement correct " et l'édition française : Ce
livre devait tout d'abord paraître chez un " grand " éditeur... qui a
finalement renoncé pour ne pas risquer de " fâcher " de grands pontes de la
médecine française !
Le cancer tue aujourd'hui près de 135 000 Français par an, soit un toutes
les quatre minutes. Toutes les minutes un Européen meurt du cancer. Il ne
peut plus être dissimulé que la mortalité cancéreuse s'accroît
inexorablement.
Un constat terrifiant s'impose sur le territoire
français : le cancer est soigné, il est rarement guéri. Pudiquement, les
cancérologues emploient le mot de rémission et lorsque le mot guérison est
prononcé, on sous-entend qu'il y a à l'évidence un facteur temps.
Le monde du Cancer est complexe : c'est un système de
Pouvoirs, de jalousies, d'oppositions violentes, de mandarinats et de
certitudes organisés en réseau. Lorsque le malade pénètre dans un centre
anticancéreux, sait-il que sa santé dépendra notamment de cette complexité
et de ce jeu de Pouvoirs ? Le malade cancéreux peut même rencontrer sur son
chemin le Juge ! Ce peut être le Juge des enfants, le Juge correctionnel, le
Procureur de la République... Pourquoi le Juge est-il appelé au secours par
les acteurs parfois en difficultés de cette mécanique implacable ?
Est-ce pour permettre précisément de la remettre en
marche, lorsqu'elle est exceptionnellement grippée ? Quel est le grain de
sable capable de gripper une telle entreprise laquelle fonctionne de manière
souvent admirable, mais paradoxalement avec si peu de résultat ? C'est
souvent lorsque le malade lui-même se révolte qu'il refuse cette logique de
Pouvoir qui mène à la mort, que le juge est amené à intervenir. Juge ami ?
Juge ennemi ? Juge collabo ? Juge aveugle ? Le traitement institutionnalisé
du cancer est aujourd'hui à la dérive. Le pouvoir judiciaire doit assumer sa
part de responsabilité.
Emmanuel Ludot dénonce des scandales étouffés, des
vérités dissimulées sur des affaires qui sont la honte d'un monde inconnu du
Grand Public."
Retour au début de
cette page
18° L'avis de la psychothérapeute Alice
Miller par rapport aux médicaments :
"Aucun médicament ne peut nous renseigner sur les CAUSES
de nos malaises ou maladies. Un médicament peut seulement brouiller ces
causes et soulager la douleur – pour quelque temps. Mais les causes qui
n’étaient pas reconnues restent toujours actives et continuent leur travail
de signalisation jusqu’à ce que la maladie récidive. Et elle sera traitée
par les autres remèdes qui, eux aussi, négligeront les raisons de la
maladie. Pourtant, ces raisons ne sont pas introuvables si la personne
malade s’intéresse à la situation de l’enfant qu’elle a été. C’est cet
intérêt qui lui permettra non seulement de vivre ses émotions mais aussi de
les comprendre. Il est bien entendu que je parle ici des médicaments qui
suppriment les émotions et en même temps les souvenirs. Il y a bien sûr des
médicaments dont on ne peut pas se priver et qui ne sont pas inhibiteurs des
émotions comme les antidépresseurs."
"La dépression ou l'art de se leurrer" :
"(...) Le fait que la dépression compte au nombre des maladies les plus
courantes de notre époque n'est plus un secret parmi les spécialistes. C'est
un sujet qui est souvent abordé dans les médias, où l'on discute de ses
causes et des différents types de traitements. Dans la plupart des cas, on a
l'impression que la seule chose qui compte, c'est de trouver la prescription
médicale appropriée à chaque individu. Dans les milieux psychiatriques, on
affirme aujourd'hui que des médicaments qui ne rendent pas dépendants et ne
présentent pas d'effets secondaires on enfin été mis au point. Du coup, le
problème semble résolu. Mais pourquoi alors tant de gens se plaignent-ils
malgré tout de souffrir de dépressions, si la solution est si simple ?
Naturellement il y a des gens qui souffrent de dépression et qui ne veulent
pas prendre de médicaments, mais même parmi ceux qui en prennent, il en est
qui sont malgré tout toujours sujets à des accès de dépression, et que même
des années de psychanalyse, différents types de psychothérapies ou des
séjours en centre de soins n'ont pu aider à se libérer.
Qu'est-ce qui caractérise une dépression ? Avant tout l'absence d'espoir, la
perte d'énergie, une grande fatigue, la peur, le manque de motivation, de
centres d'intérêt. L'accès à ses propres sentiments est bloqué. Tous ces
symptômes peuvent être présents ensemble ou isolément, même chez un individu
qui de l'extérieur semble bien fonctionner, qui est même très productif au
travail, qui éventuellement peut même avoir une activité thérapeutique et
chercher à aider les autres. Mais à lui-même, il ne peut apporter aucune
aide.(...)"
"Une personne qui connaît son histoire n'est pas obligée de devenir
dépressive avec l'âge. Et si elle traverse des phases dépressives, il lui
suffit de laisser ses sentiments authentiques s'exprimer pour les faire
disparaître. Car à tout âge, la dépression n'est rien d'autre que la fuite
devant la masse des sentiments que les blessures de l'enfance pourraient
faire remonter. C'est ce qui crée un vide intérieur chez la personne
touchée. Quand il faut éviter à tout prix les souffrances psychiques, il n'y
a finalement pas grand-chose qui soit capable de maintenir la vitalité. Des
prestations hors du commun sur le plan intellectuel peuvent aller de paire
avec une médiocre vie intérieure d'enfant sous-développé émotionnellement.
Cela est vrai à tout âge.
La dépression, qui reflète ce vide intérieur, est, je le répète, le
résultat de l'évitement de toutes les émotions qui sont reliées aux
blessures précoces. Cela conduit à ce qu'une personne dépressive ne soit
pour ainsi dire pas capable d'éprouver des sentiments conscients, à moins
que, déclenchés par un événement extérieur, il ne soit débordé par des
sentiments qui restent totalement incompréhensibles, parce que l'histoire
véritable et non idéalisée de son enfance lui est inconnue, et qu'il vit
cette irruption des sentiments comme une catastrophe soudaine.(...) "
¨¨
19° « Des millions d’être humains sont tués chaque année par des
thérapeutiques qui étaient sensées les guérir. Et personne ou presque ne
s’en émeut ; Le bon sens et l’esprit critique étant submergés par les
conditionnements psychologiques de la vie moderne. » Dr A. PASSEBECQ (
R.Bickel : « Le malade déchaîné », Ed. A.L.T.E.S.S.,1996.)
¨¨
20° « Le Dr P.D. DESAI pense que les dommages infligés à
l’humanité par les puissants médicaments modernes, les vaccins, les
radiations et les actes chirurgicaux inutiles sont très supérieurs à ceux
qui ont résulté de la bombe atomique. Les dommages de la bombe atomique ont
été limités dans l’espace et le temps, alors que ceux qui résultent des
médicaments, etc. atteignent en permanence tous les pays de toute la
planète. » (Coen Van Der Kroon : "L’Elixir de vie", Ed. Jouvence
. 1998).
¨¨
21° « En 1973, les médecins d’Israël firent la grève
pendant un mois, et ne s’occupèrent durant cette période que des cas
d’urgence. Le taux de mortalité dans le pays chuta de 50 pour cent – la plus
grosse baisse de mortalité depuis la grève précédente vingt ans auparavant!
À Bogota, en Colombie, les médecins furent absents du travail pendant 52
jours avec une baisse concomitante du taux de mortalité de 35 pour cent.
Durant une grève à Los Angeles, il y eut une baisse de 18 pour cent du taux
de mortalité, et ce taux de mortalité retourna à son niveau habituel lorsque
la grève prit fin. » (Extrait du livre "Medical
Armageddon" de Michael L. Culbert, DSc, PhD).
Des scientifiques innovants, qu'on pourrait aussi qualifier d'indépendants
des lobbies pharmaceutiques, voulant investiguer plus loin que le bout du
nez des dogmes scientifiques en place (mais aux profits financiers certains
!), et parmi lesquels il faut compter les incontestables Pr Henri Laborit et
son "'Inhibition de l'action",
le Dr Hans Selye et son SGA ("syndrome général d'adaptation" au
stress) ont confirmé le
caractère éminemment psychosomatique des
maladies. il n'y a aucune raison qui tienne la route, vu ce que la Physique
Quantique et des scientifiques du haut du pavé ont encore découvert
récemment pour qu'il faille encore s'obstiner à ne pas reconnaître la
prédominance du psychisme.
Le Pr Laborit écrivait déjà : "La séparation entre l'esprit et le corps
est sans doute un des concepts les plus difficiles à détruire, car fondé sur
une apparente évidence."Un peu avant lui,
Erwin Schrödinger, un des pères
de la mécanique quantique écrivait dans "Science and Humanism" (1952)
: "L’idée
que nous sommes séparé en corps, esprit et autre entité supérieure [Ndlr
:indépendantes]
est un concept typique de nos cultures et religions judéo-chrétiennes."
En effet, dans la religion catholique, par exemple, il y a manichéennement
et dogmatiquement deux "clans" : les "purs" esprit (désincarnés comme il se
doit !) et les êtres de "chair" (d'où le "péché de la chair" !).
«J'ai toujours pensé que le seul problème de la médecine scientifique,
c'est qu'elle n'est pas suffisamment scientifique. La médecine moderne ne
deviendra vraiment scientifique que lorsque les médecins et leurs patients
auront appris à tirer parti des forces du corps et de l'esprit qui agissent
via le pouvoir de guérison de la nature.» René Dubos, microbiologiste et
(paradoxalement) inventeur du premier antibiotique.
Malheureusement, la science médicale officielle réagit
encore trop avec ses oeillères matérialistes : elle persiste à nous faire
croire encore à des purs dogmes fondés sur la prédominance et/ou de
l'indépendance de la matière, comme si elle était dotée d'une sorte de
mauvais esprit malfaisant (cf. les dogmes encore très en vogue tels que "le
stress ne crée pas le cancer", "le cancer fait ce qu'il veut" ou
encore "il n’y a pas d’alternative à la médecine conventionnelle en
matière de traitement du cancer" véhiculés à grand renfort médiatique
par David Servan Schreiber (cf. son livre "Anticancer")
! Partant de là, certaine arrière garde scientifique persiste encore à
vouloir trouver les origines de nos maux dans ma matière devenue en quelque
sorte folle (comme, sans doute, l'est, pour sûr, Dame Nature ?!) et pas dans
le psychisme qu'elle évacue d'un coup de cuiller à pot ! Ainsi que le disait
Jean-Jacques Crèvecoeur "C’est la génétique qui est le reflet de l’état
de santé du corps, et non la santé qui est le reflet du déterminisme
génétique."(in "Le langage de la
guérison")
Retour au début de
cette page
« La
science a
fait de nous des dieux avant de faire de nous des hommes.
»
Jean Rostand
Le problème encore c'est que cette vison matérialiste et
rationaliste est donc et encore réductrice de la réalité. Au travers de ces
fameuses expériences scientifiques matérialistes, on croit analyser le "territoire"
et on en a en fait devant soit qu'une "carte" de la réalité comme le
dit encore le Pr Jacqueline Bousquet : "Nous sommes fondamentalement
englués dans la superstition du matérialisme qui nous dit que l'expérience
sensorielle est le test décisif de la réalité. Par conséquent, toutes nos
méthodes de guérison sont également fondées sur cette superstition. (...) La
science a été une méthode pour explorer la représentation commune de ce que
nous pensons être la vérité. Et la carte n'est pas le territoire" !
"La méthode scientifique permet seulement de construire
des théories provisoires et fragmentaires ayant pour vertu de faciliter
l'action dans des domaines étroits et précisément délimités. Elle ne saurait
en aucun cas prétendre fournir une description fidèle de la réalité. Elle
n'est finalement guère différente de la perception, ce qui n'est pas pour
surprendre si l'on songe que les dispositifs expérimentaux ne sont rien
d'autres que des extensions de nos organes sensoriels. C'est également pour
cette raison que derrière toutes les constructions théoriques, nous trouvons
un Modèle du Monde implicite donné a priori, le modèle de la machine." ("Nos pensées
créent le monde", Martine Castello et Vahé Zartarian).
"Il faut
comprendre que le rationalisme, en sa prétention scientifique, est
particulièrement inapte à saisir,
voire même à
appréhender l'aspect touffu, imagé, symbolique de l'expérience vécue."
Michel Maffesoli ("Eloge de la raison sensible" Ed. La Table Ronde).
Voici ce qu'écrivait feu le Pr Paul Feyerabend,
professeur de philosophie des Sciences à Berkeley :
"L'idée que la science peut, et doit, être organisée selon des règles
fixes et universelles est à la fois utopique et pernicieuse. Elle est
utopique, car elle implique une conception trop simple des aptitudes de
l'homme et des circonstances qui encouragent, ou causent, leur
développement. Et elle est pernicieuse en ce que la tentative d'imposer de
telles règles ne peut manquer de n'augmenter nos qualifications
professionnelles qu'aux dépens de notre humanité.
En outre, une telle idée est préjudiciable à la science, car elle néglige
les conditions physiques et historiques complexes qui influencent en réalité
le changement scientifique. Elle rend notre science moins facilement
adaptable et plus dogmatique : chaque règle méthodologique étant associée à
des hypothèses cosmologiques, l'usage de l'une nous fait considérer la
justesse des autres comme allant de soi. "
"Le falsificationisme naïf tient ainsi pour acquis que les lois de la
nature sont manifestes, et non pas cachées sous des perturbations d'une
ampleur considérable; l'empirisme, que l'expérience des sens est un miroir
du monde plus fidèle que la pensée pure; le rationalisme, enfin, que les
artifices de la raison donnent de meilleurs résultats que le libre jeu des
émotions"
" La science est beaucoup plus proche du mythe qu'une philosophie
scientifique n'est prête à l'admettre. C'est une des nombreuses formes de
pensée qui ont été développées par l'homme, mais pas forcément la meilleure
(...) "
"La science
[Ndlr :matérialiste et rationaliste] est la plus récente,
la plus
agressive et la plus dogmatique des institutions religieuses."
Pr Paul Feyerabend.
Retour au début de
cette page
"La connaissance isolée, obtenue par un groupe de spécialistes dans un
champs étroit n’a en soit aucune valeur, mais seulement si elle est
associée, synthétisée avec les autres connaissances. Son apport varie selon
sa contribution a la question"
("Qui sommes nous ?" de
Erwin Schrödinger, un des pères de la Mécanique Quantique).
Au vu des échecs de la science médicale, il faut résolument et d'une manière
responsable se poser les bonnes questions comme celles que sepose
Jean-Jacques Crèvecoeur : "Pourquoi la médecine est-elle dans une impasse
? Au début des années 1980, mes conversations privées avec des collègues
chercheurs dans le domaine de la médecine et de la biologie m’avaient déjà
mis la puce à l’oreille. « En médecine, nous sommes dans une impasse. Nous
le savons depuis quelques années, et nous ne savons pas dans quel sens
orienter nos recherches. » Ces propos concernaient l’ensemble de la
recherche médicale, et pas un seul petit secteur isolé, malheureusement. Ces
confidences « off record », personne n’osait les faire en public, ni dans
les congrès scientifiques, de peur de se voir immédiatement privé des
subventions indispensables pour poursuivre les travaux du laboratoire. "
"Le langage de la guérison : histoire d’une
révolution scientifique dans le domaine de la médecine"
"Les « épidémies » ne frappent que des gens ou des
animaux fragilisés et s’arrêtent spontanément sans la moindre intervention
médicale. D’autant mieux, d’ailleurs, qu’il n’y a pas d’intervention
médicale. Les autorités, conseillées par des « experts » (ces savants
de l’ignorance selon la revue Marianne) continuent à nous imposer les
vaccinations — acte anti-scientifique s’il en est — faisant preuve de
l’inculture et de l’irresponsabilité du corps médical qui, depuis Pasteur,
répète sans jamais les remettre en question des dogmes éculés, depuis
longtemps rejetés par nos voisins européens par le danger qu’ils
représentent ! "Pr
Jacqueline BOUSQUET (Plus de détails
concernant le rôle réel et pas intrinsèquement négatif des microbes).
Interpellant de constater que dans des pays comme la Norvège
ou la vaccination n'est pas obligatoire (depuis 1995), il n'y a pas plus de
malades que là où elle est obligatoire ! Accrochez-vous ! Pour la Norvège :
"Globalement, un état de santé meilleur que celui des autres pays
européens, à l’exception des maladies cardiovasculaires pour lesquelles la
Norvège est mal placée. C’est probablement lié à des questions de nutrition."
(Source)
Si cela n'est pas en soi un désaveu de la prétendue efficacité des vaccins
comme légitimement d'un aveu de sa nocivité, que les partisans de la
vaccination à tous crins m'expliquent alors cela !
"les méthodes orthodoxes basées sur les doctrines
classiques de l'épidémiologie, l'immunologie, la chimiothérapie ne suffisent
pas pour traiter les maladies endogènes. Il est besoin de développer des
procédés pour rétablir un équilibre entre l'hôte et le parasite."
Pr René Dubos, célèbre microbiologiste et inventeur du premier antibiotique, cité par Sarah Bosely, The Guardian, 3
mai 2000.
On a beau jeu alors de détourer l'attention sur des
approches non conventionnelles ce qui est renforcé par les
médias asservis à la pensée dominante. Je
défie quiconque de pouvoir faire une liste dépassant la centaine de
personnes qui en un an seraient avérées être décédées à cause des
traitements non conventionnels !
En revanche, il est dès lors important de se (re)poser la question "Où
sont les [Ndlr :vrais] charlatans ? " comme le fait
le site "Innovation-Santé"... et comme déjà mentionné, résolument
se pencher sur les raisons pour lesquelles les
traitements médicaux constituent la 2ème cause de mortalité... Sinon
c'est (encore) se tromper de cible. du côté des pratiques conventionnelles,
il y a donc des dérives iatrogènes et mortifères sans commune mesure à tout
ce qui pourrait être reproché dans le chef de la pratique non
conventionnelle de la santé dont la psychothérapie et qui est diabolisée et
dénoncée tendancieusement comme générant des dérives de type sectaire.
Saint Augustin disait déjà que "Les miracles ne violent pas les lois de
la nature, mais le PEU que nous en savons". Grâce à la
psychobiologie doublé d'une
psychothérapie efficace, des milliers de
patients se guérissent ; cependant de telles guérisons faisant désordre dans
le paysage médiatique asservi à la pensée unique lobbyisée, elles n'y ont
donc pas mérité une juste diffusion et la mauvaise foi prévalant fait dire à
certains qu'il faut trouver dans une erreur de diagnostic (!) la survenance
de prétendues (à leurs yeux) guérisons, mais en fait c'est parce qu'elles
échappent à leur entendement matérialiste et rationaliste, voire contrarient
leurs intérêts financiers (moindre recours à des médications) !
"Celui qui base ou croit baser sa conduite - interne ou externe, de
sentiment ou d'action -
sur un dogme ou un principe théorique qu'il estime
indiscutable, court le risque de devenir un fanatique."
(Miguel de Unamuno / 1864-1936 / Le sentiment tragique de la vie)
---------------------------------------
Retour au début de
cette page
¨¨
Voici des extraits d'un livre ("Le déclin du cancer")
écrit par M. Haddad
qui est directeur de recherches médicales aux
laboratoires Fractal
CRITIQUES DE LA CHIMIOTHÉRAPIE
« La stratégie furieuse que la médecine classique
applique dans le traitement du cancer ou quand il y a suspicion de cancer,
torture,
mutile et tue de loin beaucoup plus de personnes que ne le ferait l’absence
de traitement. »
Pr. Dr . J. HACKETAL ("Keine Angst vor Krebs").
"primum non nocere" (en premier lieu ne pas nuire)
disait pourtant Hippocrate...
"Les inconvénients des traitements chimiques sont innombrables et bien
connus. Leur efficacité est mise en cause vu les résultats obtenus.
Inefficacité due, entre autre, à la capacité des cellules malignes à donner
des descendances résistantes aux traitements chimiques. Ces cellules peuvent
parfois même les utiliser à leur avantage à un certain stade de la
progression tumorale.
Les cellules cancéreuses ne se divisent pas tout le temps. En effet,
certaines se mettent en stase (repos) pour reprendre la division plus tard,
tandis que d'autres se divisent. La chimiothérapie n'aura donc pas d'effet
sur les cellules qui ne se divisent pas. Parmi les inconvénients de la
chimiothérapie, on cite l'action simultanée des produits utilisés sur les
cellules malignes ainsi que sur les cellules saines, sans distinction, comme
c'est le cas avec les cellules hématopoïétiques ( cellules produisant les
globules du sang), qui se trouvent souvent altérées suite à des cures
répétées de chimiothérapie. La personne ainsi traitée risque de souffrir
d'anémie et devra subir transfusion sur transfusion... D'ou nécessité de
réduire les doses.
A noter que l'on peut en effet augmenter les doses en chimiothérapie jusqu'à
venir à bout de toutes les tumeurs cancéreuses et de leurs métastases, mais
la personne malade y laissera aussi sa vie.
Parmi les effets secondaires et à part l'anémie, on cite le déficit en
plaquettes occasionnant des hémorragies internes, les diarrhées, les
nausées, les vomissements, la cachexie... Tous ces effets influencent
négativement le moral du malade, qui est pourtant essentiel au processus de
la guérison.
On est toujours en quête d'autres molécules pour la thérapeutique cancéreuse
comme l'Angiostatine, les Perforines ou les inhibiteurs des protéiases qui
sont actuellement testés par les grandes firmes pharmaceutiques; cette
recherche nécessite des moyens financiers énormes...
On prétend guérir actuellement un cancer sur deux, cela est vrai, mais ces
statistiques sont toujours établies sur cinq ans. Mais après ce délai, qu'en
est-il ?
Les seuls résultats que la médecine officielle qualifie de succès sont ceux
obtenus avec la maladie de Hodgkin ou certains cancers d'origine
embryonnaire, comme les lymphomes et certaines leucémies de l'enfant.
Autrement, les guérisons durables dans le temps (plus de cinq ans) sont
aussi rares que les guérisons spontanées des cancers. Chaque année, au moins
150 000 personnes meurent prématurément de cancer en France.
La voie de la recherche génétique a été privilégiée car on y voit une lueur
d'espoir, mais ce qu'on oublie, c'est que si la cellule a su déjouer les
thérapeutiques depuis plus d'un siècle, elle le fera toujours tant qu'on
n'aura pas considéré qu'elle est une créature vivante munie d'une
intelligence et programmée, de par sa mutation, à la survie en réponse à
certains ordres: en d'autres termes, tant qu'on n'aura pas compris le
pourquoi du cancer, on pataugera de plus en plus dans les marécages de la
recherche.
Qualifier une créature vivante biochimiquement par ses protéines, son
alimentation, ses moyens de communications et ses sécrétions est comme si on
essayait de connaître les hommes à travers ce qu'ils mangent et ce qu'ils
rejettent dans la nature. Une analyse philosophique s'imposerait pour
comprendre le pourquoi.
Pourquoi la cellule retourne-t-elle au stade embryonnaire ? Pourquoi se
met-elle à disséminer ses métastases ? La recherche allopathique voudrait
influencer le comportement des cellules cancéreuses avec des produits
chimiques et cela n'a pas l'air de marcher.
On a toujours essayé de modifier par des produits chimiques les
comportements de l'homme en cas de dépressions nerveuses ou autres troubles
psychiques, mais quel bilan pourra-t-on établir après toutes ces années ? En
admettant que l'on trouve des documents d'études cliniques impartiales pour
en juger. L'utilisation des virus à ARN comportant un génome modifié,
agissant comme inhibiteur dans certaines phases de la progression
cancéreuse, constitue l'axe d'une branche de la recherche anticancéreuse. Ne
voit-on pas là une orientation vers l'aide de la nature ? Pourquoi ne
cherche-t-on jamais à comprendre comment on est programmé pour guérir de
cancers spontanés de manière naturelle ?
Pourquoi ne s'est-on jamais posé de questions à propos des carcinomes en
sommeil, qu'on décèle chez les personnes autopsiées ?
La réponse est que ceci ne rapportera rien à personne, ne générera pas de
profit. D'ailleurs qui financerait de tels travaux ? Les labora- toires
pharmaceutiques ? Ce serait pour eux comme se jeter dans la gueule du loup !
La recherche de remèdes contre le cancer dans la nature des choses, est
l'objectif de la médecine parallèle depuis plus d'un siècle. Bien que des
résultats intéressants soient obtenus avec diverses thérapeutiques, certains
trouvent toujours le moyen de les discréditer en prétextant que ces
recherches ne respectent pas les protocoles expérimentaux requis par la
recherche elle-même ou encore que les découvreurs ne sont pas du métier.
S'ils sont médecins, ils ne peuvent être pharmaciens et mettre au point des
médicaments; s'ils sont pharmaciens ils ne peuvent traiter des malades
n'étant pas médecins. Et s'ils sont à la fois pharmaciens et médecins, ils
n'auront pas le droit d'appliquer des thérapeutiques "non suffisamment
prouvées". Mais si par malheur ces découvreurs ne font pas partie du corps
médical et qu'ils sont chimistes, physiciens ou mathématiciens... l'affaire
sera plus vite classée, ils seront catalogués comme charlatans.
Les protocoles expérimentaux qu'exige la législation, ne sont qu'à la portée
des laboratoires pharmaceutiques, vu les moyens financiers que cela
nécessite.
Que faire alors des autres découvertes ? C'est comme si on voulait se
présenter à des élections où la condition de participation serait de payer
plusieurs millions. De ce fait, même si on est la personne qui convient pour
la société, faute de moyens financiers, on ne sera jamais élu, car les gens
qui vont voter ne verront jamais notre nom sur la liste.
La recherche est basée sur des principes scientifiques pondérables et
cartésiens. Elle dispose de moyens financiers considérables, qui lui
permettent de mettre au point un produit, de lui faire passer tous les
stades expérimentaux qui s'échelonnent de un à quatre, selon des protocoles
de tests, en simple, en double aveugle voire même en modes aléatoires, sur
des milliers de personnes. C'est une procédure raisonnable et judicieuse,
qui assure dans sa forme, la sécurité des produits aux utilisateurs en
l'occurrence les malades. Mais après une si longue période de recherche en
cancérologie on n'a pas abouti aux résultats escomptés. Ne serait-il pas
grand temps de chercher dans une autre voie et de déclarer la faillite de
l'itinéraire de la recherche entreprise ?
Il faut reconnaître que dans tous les services hospitaliers, les médecins
luttent pour sauver les malades. Ces personnes qualifiées, sont souvent
déçues et effondrées à chaque décès d'un malade. Il faut croire à la bonne
foi et à la volonté de ces gens qui sauvent des vies humaines tous les
jours. Mais ce n'est pas à leur niveau qu'il faudrait réoeuvrer pour
harmoniser les recherches (officielles et parallèles), mais plutôt avec les
législateurs qui malheureusement ont eu affaire à des charlatans qui
essayent de profiter du désespoir des gens malades. Ces malhonnêtes et
charlatans n'existeraient pas si tout le monde se mettait autour d'une table
pour présenter ses résultats et expliquer le "comment ça marche". Ce qui
compte pour les malades, ce sont les résultats. Le but de la recherche
n'est-il pas de trouver plutôt que de chercher ?
Dans la recherche parallèle, on a dans la plupart des cas des personnes
isolées munies de diplômes, médecins, professeurs de médecine, pharmaciens,
chirurgiens dentaires, etc. ou tout simplement des personnes sans diplômes
universitaires mais qui ont trouvé des idées utiles pour la thérapeutique
anticancéreuse; citons Antoine Prioré, qu'une des sommités de la
cancérologie officielle a qualifié de "bricoleur". En réalité on préfère le
bricoleur qui sait guérir, à l'apprenti sorcier qui ne comprend pas
l'étendue de ce qu'il bricole en génétique! Certes, une évaluation clinique
de leurs résultats devrait être entreprise afin de vérifier la crédibilité
de leur prétendue découverte avant de l'utiliser à une vaste échelle. Mais
encore faudrait-il encore que quelqu'un prenne en compte leurs dires, ce qui
appellera à la création d'un service spécial au Ministère de santé par
exemple.
Avouons tout simplement qu'il n'existe pas de service pouvant évaluer les
travaux de ces chercheurs marginaux, malgré leurs qualifications. Ces
personnes investissent leur temps et leur argent dans cette recherche, mais
ne disposent certainement pas de moyens financiers pour mener des études
cliniques de grande envergure. Dans ces cas- là, l'irréparable se produit.
Persuadés des résultats positifs de leurs découvertes, ils transgressent la
loi pour faire bénéficier les malades de leurs remèdes sous la pression de
la demande, parfois même à titre gratuit.
Ils empruntent cette voie pour porter secours et pour guérir, mais rarement
pour s'enrichir.
Ces Don Quichotte font figure de héros d'autant plus qu'ils sont réprimés
dans le cadre d'une législation intransigeante. N'est-il pas un héros celui
qui par ses actes ou ses idées sauve des vies humaines ?
La suite est prévisible. Un confrère jaloux de voir un malade condamné,
sauvé par une autre personne que lui, la dénonce et la justice fera son
travail. Ce qui est important à noter, c'est que rarement une de ces
personnes déjà condamnées par la justice ne l'a été pour empoisonnement
ayant mis la vie de ses malades en danger. Ce scénario s'est reproduit à
maintes reprises depuis un siècle. Il est grand temps de trouver une
solution à ce dilemme: transgresser les lois n'est pas un comportement
civilisé, mais laisser mourir des malades abandonnés par la médecine
officielle sans leur porter secours, n'est pas conforme à la morale et même
criminel.
Si les autorités européennes examinaient de plus près la question il y
aurait certainement une issue pour le plus grand bénéfice des malades. Fort
heureusement certaines personnes oeuvrent dans ce sens au niveau du
parlement européen. Si des chefs d'états meurent encore du cancer, c'est que
les clefs de la guérison ne sont pas en leurs mains."
Autres sources qui confirment ce qui précède
:
- Extrait de l’article :The
contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult
Malignancies de la revue Clinical Oncology, 2004 ; 16
:549-560 et qui est référencé sur
PUB MED,
l'encyclopédie mondiale des articles scientifiques (ce qui est une
garantie de sérieux) : son contenu conduit à faire ce consternant constant : au bout de 20 ans
de recherche, le taux moyen de succès des chimiothérapies tourne autour des
2,2 (malheureux) pourcents.
Les auteurs de cet article sont trois professeurs
australiens qui ont étudié les données d’études cliniques avec
chimiothérapie au cours des 20 dernières années en Australie et aux USA. Le
résultat est tout simplement accablant.
"En ce qui concerne la survie au bout de 5 ans, et bien qu’en Australie
seuls 2,3 % des patients tirent profit d’une chimiothérapie et qu’aux USA,
il n’y en ait que 2,1 %, on continue malgré cela à proposer ces mêmes
thérapies aux patients cancéreux.
Au total, ce sont les données de 72.964 patients en Australie et de 154.971
aux USA, tous traités par chimiothérapie, qui ont été étudiées. Ici,
personne ne peut plus prétendre qu’il ne s’agit que des données de quelques
patients et, par conséquent, insignifiantes.
Les auteurs demandent avec raison, comment il se fait qu’une thérapie qui a
si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années,
ait dans le même temps un tel succès dans les statistiques des ventes.
Et cela devient vraiment très dur, lorsque l’on considère une par une les
différentes sortes de cancer. C’est ainsi qu’aux USA, depuis 1985, il y a eu
exactement 0 % de progrès dans les cancers suivants :
• Cancer du pancréas
• Sarcome des parties molles
• Mélanome
• Cancer des ovaires
• Prostate
• Cancer des reins
• Cancer de la vessie
• Tumeurs cérébrales
• Myélomes multiples
Pour le cancer de la prostate, par exemple, rien qu’aux USA, 23.000 patients
ont été analysés. Mais au vu des « taux de succès », on ne peut que sourire
: ils étaient de 1,4 % pour le cancer du sein, de 1,0 % pour le cancer de
l’intestin, et de 0,7 % pour le cancer de l’estomac. Et ceci au bout de 20
années de recherches intensives dans le domaine de la chimiothérapie et
l’investissement de milliards provenant de fonds pour la recherche et de
dons faits aux grandes organisations pour le cancer.
Logiquement, tout un chacun devrait maintenant changer sa façon de penser.
Mais à quelle réaction devons nous nous attendre à présent ? A l’inverse,
c’est certain. A l’avenir, il y aura encore plus d’« efforts » pour prouver
que l’on a fait ce qu’il fallait au cours des dernières décennies, car dans
le cas contraire, la perte de prestige serait immense et dévastatrice.".
Cette information a aussi été diffusée dans la revue Univers Spirale n°55 du
printemps 2009
- L'extrait suivant provient de Tim O'Shea du site Internet
"The
Doctor Within" :
"Un épidémiologiste allemand de la Heidelberg/Mannheim
Tumor Clinic, le Dr. Ulrich Abel, a réalisé un examen et une analyse
détaillés de toutes les grandes études et tous les grands essais cliniques
jamais effectués sur la chimiothérapie. Quiconque sur le point de
s'embarquer à bord du Chimio Express devrait lire, ses conclusions. Pour
être sûr d'avoir passé en revue tous les documents jamais publiés sur la
chimiothérapie, Abel a écrit à plus de 350 centres médicaux à travers le
monde, en leur demandant de lui envoyer tout ce qu'ils avaient publié sur le
sujet. Abel a analysé des centaines d'articles : il est peu probable qu'il y
ait quelqu'un au monde qui en sache plus que lui sur le sujet.
L'analyse lui a pris plusieurs années mais les résultats
sont stupéfiants :
Abel a découvert que le taux de réussite global de la
chimiothérapie à travers le monde était "consternant" parce qu'il n'y avait
tout simplement aucune preuve nulle part indiquant que la chimiothérapie
pouvait "prolonger de façon sensible la vie de patients souffrant des
cancers organiques les plus courants". Abel souligne que la chimiothérapie
améliore rarement la qualité de vie. Il décrit la chimiothérapie comme un
"terrain vague scientifique" et affirme qu'au moins 80 pour cent de la
chimiothérapie administrée à travers le monde est inutile et s'apparente aux
"habits neufs de l'empereur" - ni le docteur ni le patient ne souhaitent
renoncer à la chimiothérapie, même si rien ne prouve que ça marche !
(Lancet, 10 août 1991). Aucun média du courant de pensée majoritaire n'a
jamais mentionné cette étude détaillée : elle a été étouffée. "
Le Dr. Ulrich Abel a conclu qu’il n’y avait aucune
évidence directe que la chimiothérapie avait prolongé la vie des patients.
«Beaucoup de cancérologues tiennent pour acquis, écrivait-il, que la
chimiothérapie prolonge la vie des patients. C’est une opinion fondée *sur
une illusion qui n’est étayée par aucune des études cliniques»"
"Abel U. "Chemotherapy of advanced epithelial cancer, a critical
review". Biomed Pharmacother/. 1992;46(10):439-52).
Toutefois et encore pour ne pas jeter l'enfant avec l'eau du bain, certains
ont pu pertinemment avancer qu'une séance de chimiothérapie
pouvait être indiquée au départ pour freiner le processus du développement
cellulaire à condition que la personne bénéficie d'un accompagnement
thérapeutique (je préciserais psychothérapeutique) appropriée lui permettant
donc de s'inscrire dans un processus qui lui permettra de se guérir des
situations conflictuelles ayant généré les somatisations. Malheureusement, les médecins s'accrochent a leurs protocoles
qui "imposent" de recourir à de multiples séances de chimiothérapie avec les
regrettables effets qu'on connaît et d'immanquables quasi échecs !.
- Le Dr en Médecine Albert Braverman écrit dans "La Cancérologie
dans les années 1990", (Ed. Lancet (1991, vol. 337, p.901) :"De
nombreux cancérologues recommandent la chimiothérapie pour pratiquement
toutes les tumeurs, avec un optimisme non découragé par un échec quasi
immanquable" et Professeur G. Mathé dit dans "L’Express" du 4/10/1985 :
« Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup
plus précoce mais on ne le maîtrise pas aussi bien qu’on le dit, malgré la
chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les
laboratoires. Et pour cause : ils en vivent. Si j’avais une tumeur, je
n’irais pas dans un centre anti-cancéreux. »
- Le Dr en Médecine Allen Levin : "La plupart des patients
atteints de cancer dans ce pays meurent de la chimiothérapie. La
chimiothérapie ne fait pas disparaître le cancer du sein, du côlon ou du
poumon. Cela est prouvé depuis plus d'une décennie et pourtant les docteurs
utilisent toujours la chimiothérapie pour traiter ces tumeurs." (in "The
Healing of Cancer" 1990).
- Le Dr en médecine Thomas Dao : "Malgré l'usage répandu de la
chimiothérapie, le taux de mortalité par cancer du sein n'a pas changé ces
70 dernières années" (in "'New England Journal of Medicine",
revue qui est considérée comme une référence dans tout le milieu médical,
mars 1975, vol. 292, p.707).
-
Résistance à la chimiothérapie
"Un grand nombre de cellules cancéreuses résistent à la
chimiothérapie. Cette découverte a été réalisée par Massoud Mirshahi,
chercheur à l’université Pierre et Marie Curie et son équipe.Malgré le traitement des malades atteints d’un cancer, deux problématiques
se posent : la résistance à la chimiothérapie des cellules cancéreuses et
les récidives ou l’apparition de métastases. De nouvelles cellules du
microenvironnement tumoral seraient impliquées dans ces deux problématiques.
Cette découverte a été réalisée par Massoud Mirshahi, chercheur à
l’université Pierre et Marie Curie et son équipe. Ces grandes cellules
possèdent de nombreux pseudopodes et filopodes. Elles ont la propriété de
fixer un grand nombre de cellules cancéreuses et de les protéger de l’action
de la chimiothérapie.
Ces cellules du microenvironnement ont été appelées “Hospicells” car elles
servent de véritables “niches” pour les cellules cancéreuses où
celles-ci sont protégées." Claire de THOISY-MECHIN (06.02.2009).
- Le très sérieux "Journal of the
American Medical Association" (JAMA) (N° 284 du 26
juillet 2000) a établi que la 3ème cause de mortalité, aux Etats-Unis, était
"les médecins et la pharmacie" (effets mortels des traitements et
médicaments) : 250.000 morts par an, sur la seule prise en compte des
malades hospitalisés ; mais lorsqu'on décompte la totalité des morts de «
maladies » iatrogéniques, à l’hôpital, ce chiffre dépasse les 280.000 morts
par an. Avec les morts provoqués par la chimiothérapie et la
radiothérapie, cela devient alors la 2ème cause de mortalité (USA) !
De tels chiffres sont transposables en France vu l'apparentement des
systèmes officiels de santé ; avec une proportion de 1/1000 on arrive alors
au moins à 60.000 morts par an et donc quelque chose comme le crash total
d'un avion de la capacité d'un Airbus A 320 tous les trois jours, rien que
pour la France !
Une statistique plus récente fait placer sans doute de la seconde place à la
première place la médecine conventionnelle comme cause de mortalité :
Un rapport
américain,, publié en mars 2004 dans /Life
Extension Magazine/, a fait le point de cette évolution, en rassemblant
toute la littérature médicale des États-Unis dans une étude rigoureuse et
détaillée. Selon ce rapport, intitulé "La Mort par la médecine/" établi par
le Dr Gary Null, le Dr Carolyn Dean, le Dr Martin Feldman, le Dr Debora
Rasio et Dorothy Smith, corps, "la médecine conventionnelle
est devenue LA PREMIÈRE CAUSE DE MORTALITÉ HOSPITALIÈRE aux Etats-Unis", qui
comptaient 230 millions d’habitants en 1990 et un peu plus de 281 millions
au recensement d’avril 2000.
Voici les chiffres de ce rapport :
"1) Patients souffrant d’effets
secondaires des prescriptions de l’hôpital : 2,2 millions par an.
2) Antibiotiques inutiles prescrits pour infections virales : 20 millions
par an.
3) Procédures médicales et chirurgicales inutiles : 7,5 millions par an.
4) Hospitalisations inutiles : 8,9 millions par an.
5) Morts causées par la médecine conventionnelle 783.936 dans l’année 2003."
- Repris de
"CANCER : VEUT-ON GAGNER
CETTE GUERRE ?":
«
De fameux cancérologues français, non inféodés aux laboratoires
pharmaceutiques, osent exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par
les voies classiques :
« Le diagnostic précoce n'a souvent pour effet que d'allonger la durée de la
maladie avec son cortège d'angoisse [Ndlr :effet nocebo]. Cela contredit
bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques »
(cf. Dr J-Cl Salomon, dir. de recherche CNRS, cancérologue, et National
Center for Health Statistics USA).
Le Dr Salomon précise qu'on comptabilise sans distinguer
vrais cancers et tumeurs qui n'auraient sans doute jamais provoqué de
maladie cancéreuse vraie, ce qui augmente artificiellement le pourcentage
des cancers "guéris" (et aussi, évidemment, celui des cancers "déclarés").
« Il y a de plus en plus de cancers parce que le
dépistage est beaucoup plus précoce mais on ne les maîtrise pas aussi bien
qu'on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les
chimiothérapeutes et par les laboratoires. Et pour cause : ils en vivent. Si
j'avais une tumeur, je n'irais pas dans un centre anti-cancéreux.» Pr. G.
Mathé, L’Express 4/10/85
« Ce sont des intérêts financiers gigantesques qui
permettent d'expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd'hui
trop souvent occultée. 85% des chimiothérapies sont contestables, voire
inutiles ». Pr. Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier. (...)
Pour E. Pommateau et M. d'Argent, la chimiothérapie n'est
qu'un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la
radiothérapie, et que les seuls cas de guérison sont des cas qui peuvent
guérir spontanément, c'est-à-dire dans lesquels l'hôte peut organiser ses
propres défenses. (cf. « Leçons de cancérologie pratique »).
« L'impuissance de la chirurgie à guérir le cancer est
illustrée par un fait frappant : 20% des opérés meurent d'une récidive
locale, 80% meurent de métastases à distance » Pr. Lucien Israël in « Le
Cancer aujourd'hui » [Ndlr :Ceux qui ne font pas de récidives sont ceux
qui entre-temps ont résolu la situation
conflictuelle qui avait généré la maladie.]
« La chirurgie n'est valable que lorsque la tumeur
provoque des hémorragies qui épuisent le malade ou lorsqu'elle comprime
dangereusement un organe. Autrement, elle est inutile. » Dr Pierre Solignac,
médecin psychosomaticien attaché à l'hôpital Saint-Michel.
En outre, personne ne peut affirmer que les cellules
enlevées préventivement auraient donné une tumeur et, considérant
l'évolution souvent très lente des tumeurs ainsi détectées, la rémission
déclarée ne signifie rien. Sauf cas particuliers, enlever ou détruire la
tumeur est bien souvent inutile."
Dans une
lettre
adressée à la presse, l'écrivain et physicien
Jean-Jacques Crèvecoeur écrit :
«
II est effectivement criminel de faire croire
aujourd'hui, à un patient atteint d'un cancer, que son seul salut est dans
la chirurgie, la radiothérapie ou la chimiothérapie (alors que les
statistiques nous montrent que pour certains cancers, les traitements
classiques débouchent sur 90 % de mortalité à moins de 5 ans !).
Il est criminel, aujourd'hui, d'encore faire croire au
patient qu'il n'a que 30 % de survie s'il a tel cancer.
Il est criminel de lui faire croire que la maladie lui
tombe dessus comme une fatalité, alors que des centaines de publications
viennent confirmer (sans aller jusqu'au bout de leurs conclusions) le rôle
déterminant des chocs psychologiques
brutaux mal vécus [attention: dans tous les cas c'est au patient qu'il
appartient de donner le sens qui lu convient à ses maux, mais pas au
thérapeute d'induire quoi que ce soit : découvrir en quoi consiste une
psychothérapie appropriée : un thérapeute
digne de ce nom ne peut jamais se poser en maître à penser ni en directeur
de conscience !. La manière dont les approches comme la
Médecine Nouvelle du Dr Hamer et la
Biologie Totale du Dr Sabbah sont diffusées
et pratiquées sont la plupart du temps entachée de tels graves écueils]..
Il est criminel de faire passer des chercheurs
avant-gardistes pour gourous dangereux, parce que leur seul crime est de
proposer une vision plus globale de la santé et de l'être humain, vision qui
intègre non seulement la dimension physiologique et physique, mais aussi
psychologique et spirituelle.
Il est criminel d'utiliser les médias pour réaffirmer
avec force une idéologie médicale à bout de souffle, incapable d'améliorer
la santé des citoyens, malgré l'augmentation exponentielle de ses coûts de
fonctionnement.
Il est criminel d'utiliser les médias pour diaboliser,
pour calomnier des thérapeutes dont le souci n'est pas leur compte en banque
ou le pouvoir, mais le service et l'écoute de patients en détresse qui n'ont
plus confiance (je les comprends) en la médecine scientifique.
»
N.B. La référence ici à Jean-Jacques Crèvecoeur
n'implique pas de notre part une adhésion totale à ses prises de position (exemple).
Le Dr Line Martin, médecin en France, spécialisée en
naturopathie et auteur du livre Guide des anti-inflammatoires naturels
paru en 2008. fait observer :
« Quand l’establishment insinue l’idée que le cancer est une fatalité et que
la trithérapie (chirurgie, chimio, radiothérapie)
est une panacée qui guérit (quand elle ne tue pas), je suis tentée de penser
comme Aristote
que "les hommes sont devant les idées simples comme les chauves-souris
devant la lumière : ils sont aveugles" ».
(Retour au début de cette
page consacrée aux "sources provenant des milieux médicaux et
scientifiques dont chacun devrait prendre connaissance à propos de
chimiothérapie, radiothérapie et autres traitements conventionnels").
|
conventionnels
Retour au début de
cette page
"Traitements
conventionnels inefficaces
et sans
fondements scientifiques (cancer)"
par
Walter Last
Revue Science &
Actualité Nexus N°34, sept/oct 2004
(pp. 18-24)
N.B. 1° Seuls les mises entre crochets avec
trois points de suspension [...], le [qui] dans le
paragraphe qui suit, la mise en rouge et le soulignement ont été
ajoutés
2° Toutes les
revues médicales citées dans cet article sont reconnues par le
monde scientifique conventionnel et dès lors, les contenus des
articles qu'elles diffusent et qui sont repris ici (cf. tout en
bas de l'article, les notes de fin) sont a priori
aussi dignes de foi que d'autres études publiées et qui répondent
aux même critères élevés de sérieux et de crédibilité.
Études techniques et analyses statistiques impartiales [qui] montrent
que les traitements anticancéreux orthodoxes tels que chirurgie
radicale, chimiothérapie ou radiothérapie n’ont aucun fondement
rationnel et sont souvent plus nocifs que bénéfiques. Malgré de
nombreuses publications dans des revues scientifiques
internationalement reconnues, leur utilisation reste la règle.
Le milieu médical s’enorgueillit de la rigueur des recherches
scientifiques qui étayent son approche des traitements du cancer.
Le patient diagnostiqué cancéreux subit une énorme pression de la
part du système de soins, l’incitant à commencer sur le champ un
protocole de soins médicaux impliquant diverses combinaisons de
chirurgie, chimiothérapie et radiothérapie. Effrayés et sous le
choc, la plupart des gens qui se retrouvent dans cette situation
ne font pas le poids face au pouvoir écrasant des autorités
médicales.
Comment
réagiriez-vous dans un tel cas ? Peut-être avez-vous tendance à
vous tourner vers les thérapies naturelles lorsqu’il s’agit de
problèmes de santé bénins, mais pour une chose aussi grave que le
cancer, vous vous sentiriez sans doute davantage rassuré par les
méthodes éprouvées des traitements médicaux reconnus. Néanmoins,
puisque vous en avez l’occasion, lisez ce qui suit avant d’assoir
un jugement définitif. Vous pourrez peut-être ainsi vous faire une
meilleure idée des traitements plus naturels.
Dans cet article, j’ai voulu rassembler les faits les moins connus
de cette science qui sous-tend les traitements conventionnels.
Dans la recherche sur le cancer, le succès – estimé sur un taux de
survie supérieur ou égal à cinq ans – est établi en comparant
d’autres formes et associations de traitements avec les résultats
de la seule chirurgie. Toutefois, le taux de succès de la
chirurgie n’a été que rarement comparé au taux de survie de
patients non traités et n’a jamais été comparé à celui de patients
ayant opté pour des thérapies naturelles.
Par conséquent, l’estimation des traitements orthodoxes n’est au fond que peu
scientifique. Ce taux global et supposé de guérison n’est pas
supérieur à celui pouvant s’expliquer par des rémissions
spontanées et l’effet placebo. Pour étayer ma position, je vais
vous faire part de quelques conclusions et déclarations clés
extraites de publications médicales et scientifiques.
”Les études semblent montrer qu’il est utile d’intervenir
tôt, parce qu’on inclut dans les ablations précoces les lésions
précancéreuses qui, souvent, ne deviendraient pas
cancéreuses si on n’y touchait pas [l’emphase a été mise par
l’auteur].“ En d’autres termes,
l’intervention précoce semble
utile parce qu’on élimine des lésions non cancéreuses mais
comptabilisées comme telles, améliorant les statistiques de
survie.
“En
outre, peu importe qu’on enlève une grosse ou une petite partie du
sein ; le résultat est toujours le même.“1
Cette déclaration indique bien que la chirurgie n’augmente pas les
chances de survie, suggérant l’absence de différence de résultat
entre mastectomie et tumorectomie.
Des chercheurs ont qualifié de purement complaisante l’attitude
encourageant la soumission d’au moins 70 % des femmes atteintes
d’un cancer du sein à une vaine procédure de mutilation.2
En outre, il n’existe aucune preuve montrant qu’une mastectomie
précoce a une incidence sur le taux de survie ; si les patientes
le savaient, elles refuseraient très probablement la chirurgie.3
En 1993, l’éditeur de la revue Lancet soulignait que,
malgré diverses modifications apportées aux traitements du cancer
du sein, les taux de mortalité étaient restés inchangés. Il
reconnaissait que, en dépit des découvertes "miraculeuses"
annoncées quasi hebdomadairement, la profession médicale, avec son
extraordinaire faculté d’aveuglement (c’est lui qui le dit, pas
moi !) s’était en vérité fourvoyée. En même temps, il rejetait le
point selon lequel le mieux consiste à augmenter la chimiothérapie
post-chirurgicale jusqu’au seuil juste inférieur au seuil létal.
Il s’interrogeait alors :
”Ne serait-il pas plus scientifique de
se demander pourquoi notre approche a échoué ?“
Il était temps de s’interroger après avoir mutilé des femmes
pendant un siècle, non ? Le titre de cet éditorial, fort
approprié, est
”Cancer du sein :
nous sommes-nous fourvoyés ?”4
Finalement, tous les types et toutes les combinaisons de
traitements conventionnels contre le cancer du sein semblent
présenter les mêmes faibles taux de survie à long terme. Pire
encore, Michael Baum, grand chirurgien britannique spécialiste du
cancer du sein, a découvert que dans le cas d’atteinte de cet
organe, la chirurgie avait tendance à augmenter le risque de
rechute ou de décès dans un délai de trois ans. Il a également
établi que la chirurgie accélérait le développement de la maladie
en stimulant la formation de métastases dans d’autres parties de
l’organisme.5
Une étude comparative allemande
antérieure a révélé que les femmes ménopausées atteintes d’un
cancer du sein et ne suivant aucun traitement vivent plus
longtemps. L’étude recommandait donc à celles répondant à ce cas
de figure de s’abstenir.6 Cet avis confirme la
découverte d’Ernst Krokowski, professeur de radiologie allemand
qui démontra de façon concluante que la métastase était
généralement provoquée par une intervention médicale, dont parfois
la seule biopsie ou une chirurgie sans rapport avec le cancer.7
L’intervention sur une tumeur fait passer un nombre beaucoup plus
important de cellules cancéreuses dans le sang, tandis que la
plupart des procédures médicales (en particulier la
chimiothérapie) détruisent le système immunitaire.
En
associant ces différents traitements, on court droit au désastre.
Ce sont les métastases qui tuent, alors que les tumeurs primitives
en général, et celles du sein en particulier, peuvent s’avérer
relativement inoffensives. Ces découvertes sont confirmées par de
récentes recherches qui montrent que la chirurgie, même si elle
n’avait rien à voir avec le cancer, pouvait déclencher une
propagation explosive de métastases et entraîner une mort
prématurée.8 Cette analyse fait écho aux rapports
antérieurs d’une tendance à la progression de la maladie dans les
cas de cancers de la prostate traités radicalement par chirurgie.
A vrai dire, les premiers essais cliniques aléatoires ont porté
sur le cancer de la prostate, représentatif de n’importe quel type
de cancer. Au bout de 23 ans, aucune différence n’est observée
entre les taux de survie des patients ayant subi une chirurgie et
les autres. Mais ceux qui s’étaient fait opérer avaient davantage
de problèmes de santé tels que ceux liés à l’impuissance ou
l’incontinence.9
Feu H. B. Jones, professeur de
physique médicale et célèbre statisticien américain spécialiste du
cancer, déclarait lors d’un discours, prononcé devant l’American
Cancer Society en 1969, qu’aucune étude n’avait prouvé
l’augmentation des chances de survie par une intervention précoce
et qu’au contraire, les données recueillies montraient de façon
concluante que les patients cancéreux non traités vivaient jusqu’à
quatre fois plus longtemps et avaient une qualité de vie bien
meilleure que ceux ayant suivi un traitement.10 Inutile
de préciser qu’on ne l’a jamais réinvité !
Manipulations des statistiques
Une
étude épidémiologique a confirmé la valeur contestable de la
thérapie conventionnelle en concluant que ”les interventions
médicales contre le cancer ont un effet négligeable voire nul sur
la survie“.11 La revue médicale conservatrice New
England Journal of Medicine a même publié un article intitulé, ”Le cancer invaincu“.12
Voyez
plutôt comment on parvient à rendre les statistiques médicales
plus favorables. Les patients qui meurent au cours d’un traitement
de chimiothérapie ou de radiothérapie prolongé ne sont pas
comptabilisés dans les statistiques parce qu’ils n’ont pas reçu
l’intégralité du traitement. Dans le groupe témoin, par contre,
chaque victime est comptabilisée. En outre, le succès d’une
méthode est généralement mesuré au pourcentage de tumeurs en
régression, sans tenir compte du taux de survie des patients ;
mais si l’on mesure le taux ou le temps de survie, alors cela ne
concerne en général que les décès liés à la maladie traitée
proprement dite. On ne tient habituellement pas compte du
nombre
des patients meurent à cause du traitement lui-même.
La
tendance actuelle consiste à détecter des états précancéreux très
tôt et à les traiter comme des cancers.
Même si cela augmente
statistiquement le nombre de personnes atteintes d’un cancer, cela
prolonge aussi artificiellement les temps de survie et fait
diminuer les taux de mortalité, faisant ainsi paraître les
traitements médicaux plus efficaces. Toutefois, il existe
peut-être un facteur authentique à l’origine d’une meilleure
survie, étant donné que de plus en plus de patients atteints de
cancer optent pour des thérapies naturelles complémentaires. Un
examen des dossiers de 1,2 million de patients atteints de cancer
révèle que le taux de mortalité attribué à une cause autre que le
cancer lui-même peu de temps après le traitement est supérieur de
200 % au taux auquel on aurait pu normalement s’attendre.
Deux
ans après le diagnostic et le traitement, ce taux de mortalité
excessif était tombé à 50 %. La cause la plus fréquente de ce taux
de mortalité excessif était un arrêt cardiaque ou respiratoire.
Cela signifie que, au lieu de mourir plusieurs années plus tard du
cancer, ces patients mouraient des effets du traitement et
contribuaient grandement à améliorer les statistiques, la maladie
du cancer à proprement parler n’étant pas retenue comme cause du
cancer.13 Cette façon trompeuse de présenter les décès
liés au cancer a conduit à réclamer un peu plus d’honnêteté dans
les statistiques.14 Après qu’une analyse de plusieurs
vastes études du dépistage par mammographie eut révélé que
la
mammographie conduisait à un traitement plus agressif, sans aucun
avantage en matière de survie, l’éditeur de la revue Lancet
lui-même fut obligé d’admettre que les vastes essais aléatoires
menés n’avaient apporté aucune preuve fiable venant appuyer les
programmes de dépistage par mammographie.15
L’importance de cette déclaration dépasse largement cette
procédure de dépistage.
Les partisans de la médecine
conventionnelle reconnaissent ouvertement ne disposer d’aucun
moyen efficace pour aider les patients atteints d’un cancer
avancé. Jusqu’à présent, le slogan a toujours été ”Plus un cancer
est détecté tôt, plus il a de chances de guérir“.
Ces études sur
l’utilité de la mammographie démontrent que le moment où le cancer
est détecté n’a aucune importance ; les méthodes conventionnelles
sont inefficaces et surtout utiles à l’industrie de la
cancérologie qui pèse plusieurs milliards de dollars (ma
conclusion).
Une
étude canadienne réalisée sur 13 ans et impliquant 40 000 femmes a
comparé des femmes ayant subi un simple examen clinique du sein et
des femmes ayant subi un examen plus une mammographie. Le groupe
ayant subi un examen et une mammographie a connu beaucoup plus
d’ablations et d’interventions chirurgicales que l’autre, avec un
taux de mortalité de 107 contre 105 dans le groupe n’ayant subi
qu’un simple examen clinique.16 Le
carcinome canalaire in situ (DCIS) est une forme fréquente, non
infiltrante, de tumeur mammaire. La plupart des cas de DCIS sont
détectés grâce à la mammographie. Chez les femmes les plus jeunes,
92 % des cancers détectés par mammographie sont de ce type.
Néanmoins, en moyenne, 44 % – et parfois jusqu’à 60 % – de ces
tumeurs sont traitées par une mastectomie. Etant donné que la
plupart d’entre elles sont inoffensives, ce traitement inutile
suscite des statistiques fallacieuses.17
Tandis que le
diagnostic conventionnel gagne du terrain et peut contribuer à
étendre le cancer, un autre genre d’examen électrodermal – le test
Biofield – développé par une équipe de chercheurs issus de huit
universités et hôpitaux européens, a été présenté dans Lancet
comme fiable à 99,1 % pour le diagnostic de la malignité des
tumeurs mammaires.18 Une vaste méta-analyse des
résultats de la radiothérapie dans le cas du cancer du poumon a
montré qu’après de deux ans, le groupe ayant subi une
radiothérapie post-chirurgicale affichait 21 % de décès en plus
que celui n’ayant subi que la chirurgie. L’article de Lancet19
rappelait que le principe retenu est bien celui de la nécessité de
tuer toute cellule cancéreuse restante après la chirurgie ;
dommage que les faits ne confirment pas cette théorie.
La
chimiothérapie : la roulette russe médicale
La
chimiothérapie pour les enfants atteints de leucémie et de la
maladie de Hodgkin affiche fièrement le succès apparent de la
thérapie anticancéreuse orthodoxe. Or une étude prospective à long
terme montre que ces enfants développent 18 fois plus de tumeurs
malignes secondaires au cours de leur vie. Pire encore,
les filles
ont un risque de cancer du sein 75 fois supérieur à l’âge de
quarante ans.20 L’un des principaux problèmes semble
être le développement d’infections profondes ou systémiques par le
champignon Candida albicans peu de temps après le début de la
chimiothérapie.21 Si ces infections ne sont pas
correctement traitées, il y aura probablement des rechutes ou des
problèmes de santé à l’avenir. Une étude sur le cancer des ovaires
a révélé que le risque de développer une leucémie après une
chimiothérapie était 21 fois plus élevé. L’incidence du dosage
apparaît ici crucial. Le taux de leucémie s’est avéré doubler
entre les groupe ayant reçu de faibles doses ou modérées puis
quadruplait entre ce dernier et celui ayant reçu de fortes doses.
En outre, il est fréquent que d’autres tumeurs se développent
après un traitement des tumeurs malignes par la chimiothérapie.22
Dans un essai réalisé sur le myélome multiple,
l’usage de la
chimiothérapie n’a révélé aucun avantage par rapport à une absence
de traitement.23
Le biostatisticien allemand estimé
Ulrich Abel a présenté une analyse détaillée de plus de 3000
essais cliniques sur l’intérêt de la chimiothérapie dans le cas
d’un carcinome avancé (par exemple, un cancer du sein) [Les
oncologues ont tendance à employer la chimiothérapie parce qu’elle
peut réduire temporairement la tumeur, en réaction ; elle tend
toutefois à manifester aussi des effets secondaires désagréables].
Abel en conclut qu’il n’existait aucune preuve directe montrant
que la chimiothérapie prolongeait la survie dans de tels cas. Il
déclara : ”De nombreux oncologues considèrent comme allant de soi
qu’une réaction à la thérapie prolonge la survie, opinion qui se
base sur un raisonnement faux et n’est étayée par aucune étude
clinique.“24
Dans
Questioning Chemotherapy, Ralph W. Moss, PhD, offre une analyse
détaillée du sujet. La conclusion du livre se résume à
l’observation de l’absence de toute preuve d’une prolongation de
la vie dans la majorité des cas de cancer.25
Toutefois, même si cela était le cas, quelle serait la qualité
d’un tel sursis ? Tom Nesi, ancien directeur des affaires
publiques chez le géant pharmaceutique Bristol-Myers Squibb,
évoqua dans le New York Times du résultat positif du traitement sa
femme, qui lui a permis théoriquement de prolonger sa vie de trois
mois.26 Pourtant, deux semaines après sa chimio, elle
griffonnait sur un carnet : ”déprimée – arrêtez – s’il vous plaît“. Je ne suis pas étonné d’entendre dire que la plupart des
oncologues ne laisseraient pas des membres de leur famille suivre
ces traitements.
Le traitement complet
Dans
son livre, Cancer : A New Breakthrough, Virginia
Livingston (plus tard Livingston-Wheeler), remarquable chercheur
et thérapeute sur le cancer, raconte le cas de l’une des
nombreuses patientes venues vers elle après avoir subi le
traitement complet contre le cancer du sein : 27
”Après
avoir découvert chez elle une petite tumeur mammaire, une
mastectomie radicale fut pratiquée sur elle. Aucun des ganglions
lymphatiques prélevés sous l’aisselle [n’était] concerné ; on
avait enlevé avec succès l’intégralité du cancer. Afin de
s’assurer qu’il n’y aurait aucune récidive dans les cicatrices, on
lui a fait des rayons et ses ovaires furent retirés.
À sa
grande consternation, un an plus tard, plusieurs petits nodules
sont apparus dans l’ancienne cicatrice du sein. On lui a refait
des rayons. D’autres tumeurs apparurent dans le cou, nécessitant
encore d’autres rayons. En outre, on lui a administré des hormones
mâles, entraînant de l’acné et une sévère pilosité faciale. Cela
n’empêcha pas les nodules de revenir. Aujourd’hui, elle suit une
chimiothérapie, avec tous les effets secondaires habituels.”
”Avant
que ses cheveux ne repoussent, elle se plaignit de douleurs
osseuses. Le diagnostic est tombé : cancer des os. Un supplément
de chimiothérapie et de testostérone était supposé l’aider.
Toutefois, plusieurs mois plus tard, les lésions osseuses ont
empiré et on lui retira les glandes surrénales. Avec un peu de
chance, cela allait prolonger ses souffrances pendant un an de
plus. Ensuite, en lui enlevant l’hypophyse, elle aurait trois à
six mois de plus à vivre.”
”Sa
confiance en ses médecins étant désormais suffisamment ébranlée,
elle s’est tournée vers le Dr Livingston. Elle demanda à être
examinée sans que son mari soit présent, car elle voulait lui
épargner la vision atroce de son corps nu, déformé, mutilé et
ratatiné, avec un abdomen affreusement gonflé et des jambes toutes
maigres. Elle finit par murmurer : ‘Docteur,
dois-je en finir moi-même ?’ “
L’Omerta médicale
Pourquoi font-ils ça ? (par ”ils“, je fais référence à ce que
l’on pourrait appeler communément ”le petit monde de la
cancérologie“) Je pense que la réponse a été donnée par l’éminent
commentateur médical et ancien éditeur du New Scientist, le Dr.
Donald Gould, dans un article toujours d’actualité intitulé ”Cancer : A Conspiracy of Silence“.28 Le titre résume sa
position :
”Les cancers les plus fréquents sont aussi résistants au
traitement aujourd’hui qu’il y a 40 ou 50 ans. On n’a aucun
intérêt à prétendre que la lutte contre le cancer est en train
d’être gagnée lentement mais sûrement.”
Cette vérité a été
délibérément cachée au grand public. Selon Gould,
la raison de
cette conspiration du silence n’est autre que financière. Le monde
de la cancérologie doit conserver une image de gagnant aux yeux du
public afin de continuer à en percevoir les subsides. L’un des
scientifiques cités affirmait qu’étant donnés les dizaines de
milliers de radiologues et les millions de dollars de matériel, on
prescrit des rayons même si les études successives montrent qu’ils
font plus de mal que de bien.
Gould
pense également que les patients pourraient avoir une vie
confortable jusqu’à leur mort inévitable s’ils ne suivaient aucun
traitement médical. Or le traitement leur fait vivre un enfer dans
une vaine tentative de retarder leur mort de quelques malheureuses
semaines. Mais, bien entendu, c’est là que l’on se remplit le plus
les poches. Gould a l’impression qu’on empoisonne les patients
avec des médicaments et des rayons et qu’on les mutile avec une
chirurgie inutile dans une tentative désespérée de traiter
l’intraitable.
Peu de
choses ont changé depuis que Gould a écrit cet article en 1976.
Dans une édition récente de The Moss Reports, nous pouvons lire
que la survie à long terme après des cancers courants, tels que
ceux de la prostate, du sein, du poumon ou encore le cancer
colorectal, ”a à peine bougé depuis les années 1970“.29
En résumé, cela signifie qu’il n’y a pas eu d’amélioration
significative dans ce domaine au cours de ces 70 à 80 dernières
années.
La base
scientifique de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) des
médicaments
Il est également intéressant de connaître la base scientifique de
l’autorisation des médicaments anticancéreux. La plupart de ces
médicaments viennent au départ des Etats-Unis. Par le passé, une
compagnie devait soumettre deux vastes essais aléatoires
favorables pour obtenir l’autorisation de la Food and Drug
Administration (FDA). ”Favorable” signifie qu’il doit y avoir
un
certain taux de régression des tumeurs pendant au moins un mois.
Il n’était pas nécessaire de démontrer une prolongation de la vie
pas que de faire état des résultats défavorables issus d’autres
essais. Ces directives ”scientifiques strictes” ont été
assouplies sous l’administration Clinton et les laboratoires
pharmaceutiques peuvent désormais obtenir l’AMM sur la base de
légers essais préliminaires, même si un vaste essai randomisé peut
s’avérer défavorable.30 Dans une déclaration marquante
sur l’AMM des médicaments, un porte-parole de la FDA a souligné
que tout retard dans la procédure d’autorisation n’impliquait pas
forcément des morts inutiles parce que ”tous ces traitements
contre les cas de cancer avancé ne guérissent pas les gens“.31
Peut-être la situation est-elle encore pire que cela. Peut-être ne
s’agit-il pas simplement de traitements inefficaces. Un groupe de
chercheurs respectés a examiné toutes les preuves statistiques
publiées sur les résultats des traitements médicaux et a montré
que le système médical était désormais la première cause de décès
et de préjudices aux Etats-Unis. En 2001, les décès imputables à
une maladie cardiaque s’élevaient à 699 697. Pour le cancer, ce
chiffre était de 553 251 tandis que pour les interventions
médicales il était de 783 936 ! Fort à propos, cette étude
s’intitule ”Mort sur ordonnance“.32
Vous devez
sûrement vous interroger sur les raisons poussant les autorités
médicales à fermer les yeux sur ces décès massifs, la plupart dus
aux médicaments, et à préférer concentrer leurs énergies dans la
lutte contre les suppléments alimentaires et les remèdes naturels.
La récente saga de Pan Pharmaceuticals illustre bien l’attitude
officielle. En 2003, le gouvernement australien a obligé le plus
gros fabricant national de remèdes naturels à déposer le bilan,
soi-disant parce que ces produits risquaient de rendre les gens
malades voire de les tuer.
A mon avis, cette attitude tendancieuse s’explique par le fait que
les services de santé et les autorités de réglementation sont
dominés par des médecins en titre qui ont été formés (en partie
avec l’argent des compagnies pharmaceutiques) à croire que les
médicaments sont bénéfiques et que les remèdes naturels sont
potentiellement nocifs. Bien qu’une majorité des populations
occidentales préfère les remèdes naturels, pratiquement
tous les
partis politiques encouragent la pharmacodépendance.
Par conséquent, nous avons besoin de toute urgence d’un parti
politique qui encourage les remèdes naturels plutôt que la
pharmacodépendance. C’est la première étape indispensable si l’on
veut changer ce climat politique tyrannique Nous pouvons trouver
un indice de la cause de ces statistiques consternantes de ”Mort
sur ordonnance” dans un éditorial de Richard Smith publié dans le
British Medical Journal : ”Pourtant seulement 15 % des
interventions médicales sont justifiées par des preuves
scientifiques solides” et ”Cela résulte du fait que seul 1 % des
articles publiés dans les revues médicales s’avère
scientifiquement fondé et que de nombreux traitements n’ont
absolument jamais été évalués“.33 Le récent fiasco de
l’hormonothérapie substitutive (HTS) est un bel exemple de la
nature peu scientifique de la recherche médicale. Il y a plusieurs
décennies, des recherches ”scientifiques rigoureuses” montrèrent
qu’elle était sans risque et efficace ; sinon, elle n’aurait pas
été autorisée. Il a été dit et répété qu’elle protégeait contre
les maladies cardiaques et le cancer. Aujourd’hui, chaque nouvel
essai révèle que l’HTS est dangereuse et augmente le risque de
maladies cardiaques et de cancer.
Qu’est-ce qui a cloché ? Pourquoi ne s’en est-on pas aperçu plus
tôt ? L’explication est très simple. Les premières recherches ont
été menées dans l’objectif de générer des profits, tandis que les
récentes enquêtes ne participent pas à ces bénéfices. Par
conséquent, je ne fais pas confiance aux recherches effectuées
dans une optique de rentabilité. Malheureusement, c’est
aujourd’hui le cas de la plupart des études médicales .
Perspectives d’avenir
Cela
fait maintenant 32 ans que le Président Nixon a déclaré la guerre
au cancer. Depuis, on a dépensé 2 billions de dollars pour la
recherche et les traitements anticancéreux conventionnels, avec
pour conséquence un nombre plus important que jamais de personnes
mourant du cancer.34 Même si de nombreuses évaluation
des effets de divers nutriments furent menées sur différents
cancers, les naturopathes n’ont eu droit à aucun centime pour
réaliser des essais sur des thérapies anticancéreuses holistiques.
A l’opposé, ils ont dû affronter un siècle de persécution, la
plupart s’étant fait traîner devant les tribunaux et ayant fini en
prison. Ne serait-ce pas plus scientifique d’évaluer
impartialement leurs méthodes anticancéreuses que de les envoyer
en prison ? La plupart des centres anticancéreux alternatifs des
Etats-Unis ont été obligés de se réimplanter au Mexique (pour une
liste de ces centres dans le monde, voir le site Internet
http://www.cancure.org.)
L’approche anticancéreuse holistique inclut la nutrition avancée,
les plantes, l’électromédecine et la médecine vibratoire ou
énergétique, les psychothérapies émotionnelles ou mentales. La
seule étude connue d’une approche holistique chercha à évaluer la
portée de la thérapie Gerson en mesurant les taux de survie à cinq
ans de 153 patients atteints de mélanomes. Ici, 100 % des patients
atteints de cancers de stade I et II ont survécu alors que seuls
79 % de ceux ayant suivi une thérapie conventionnelle ont survécu.
Avec des cancers de stade III (métastases régionales), ces
chiffres étaient respectivement de 70 % et 41 % ; avec des cancers
de stade IVa (métastases distantes), ils étaient de 39 % et de 6
%.35 De nombreux naturopathes affirment avoir réussi dans plus de
90 % des cas à stopper et à faire régresser le cancer, à condition
que les patients n’aient pas suivi de traitement orthodoxe au
préalable. Les traitements les plus préjudiciables semblent être
la chimiothérapie et la radiothérapie.
[...].
A
propos de l’auteur :
Walter Last travailla comme biochimiste et chimiste-chercheur dans
les services médicaux de plusieurs universités allemandes ainsi
qu’aux Bio-Science Laboratories de Los Angeles, aux Etats-Unis. Il
s’installa ensuite comme nutritionniste et naturopathe en Nouvelle
Zélande et en Australie, où il est désormais basé.
Il a écrit de nombreux articles en lien avec la santé ainsi que
plusieurs livres, parmi lesquels Heal Yourself et Healing Foods (
Penguin Books). Son nouveau livre, The Natural Way to Heal
(Hampton Roads Publishing, 2004), figure dans la rubrique Livres
de ce numéro.
[...] Wlater Lost est à la retraite et ne possède pas de
clinique [...].
Notes
de fin
1 Skrabanek, P., "False
Premises and False Promises of Breast Cancer Screening", The
Lancet 2:316-19 (1985)
2 Baum, M., "The Curability of Breast
Cancer", British Medical Journal 1:439-42 (1976)
3 Cunningham, L., "Mastectomy
for so-called lobular carcinoma in situ", The Lancet 1 (8163):306
(9 février 1980)
4 Editorial, "Breast Cancer : Have we lost our way ?",
The Lancet 341:343-44 (1993)
5 Baum, M., "Does surgery disseminate
or accelerate cancer ?", The Lancet 347:260 (27 janvier 1996)
6 Gregl, A., "Die Lebenserwartung des unbehandelten Mammakarzinoms"
(" L’espérance de vie des carcinomes mammaires non traités[ cancer
du sein] "), Klin. Wschr. 41:67 6 (1963) 7 Krokowski, E.H., "Is the
Current Treatment of Cancer Self-Limiting in the Extent of its
Success ?", J. Int. Acad. Preventive Medicine 6(1) 23-39 (1979)
8 Tagliabue, E. et al., "Role of HER2 in wound-induced breast
carcinoma proliferation", The Lancet 362 : 527-533 (16 août 2003)
9 Iversen, P. et al., "Radical Prostatectomy versus Expectant
Treatment for Early Carcinoma of the Prostate", Scand. J. Urol.
Nephrol.172:65-72 (1995)
10 Jones, H.B., Lecture at the American
Cancer Society Conference, New Orleans, 3 juillet 1969
11 McKinlay,
J.B. et al., "A Review of the Evidence Concerning the Impact of
Medical Measures on Recent Mortality and Morbidity in the United
States",Int. J. Health Services 19(23):181-208 (1989)
12 Bailar, J.C.
III, Gornik, H.L., "Cancer undefeated", New England Journal of
Medicine 336:1569-1574 (1997)
13 Brown, B.W., Brauner, C., Minnotte,
M.C., "Noncancer deaths in white adult cancer patients", J.
Nat.Cancer Inst. 85:979-987 (1993)
14 Welch, H.G., Black, W.C., "Are
Deaths Within 1Month of Cancer-Directed Surgery Attributed to
Cancer ?", J. Nat. Can. Inst. 94:1066-70 (2002)
15 Olsen, O., Gotzsche, P.C., "Cochrane review on screening for breast cancer
with mammography", The Lancet 358:1340-42 (20 octobre 2001) et
Editorial, pp. 1284-85
16 Miller, A.B. et al., "Canadian National
Breast Cancer Screening Study-2 : 13-year results of a randomised
trial in women aged 50-59 years", J. Nat. Cancer Inst.92 :
1490-99
(20
sept 2000)
17 Ernster, Virginia L. et al., "Incidence of and
treatment for ductal carcinoma in situ of the breast", Journal of
the American Medical Association275(12):913-18 (27 mars 1996) ;
Page, David L., Jensen, Roy A., "Ductal carcinoma in situ of the
breast", JAMA, ibid., pp. 948-49
18 Cuzick, Jack et al., "Electropotential
measurements as a new diagnostic modality for breast cancer", The
Lancet 352:359-63 (1er août 1998)
19 PORT Meta-analysis Trialists
Group, "Postoperative radiotherapy in non-small-cell lung cancer :
systematic review and meta-analysis of individual patient data
from nine randomised controlled trials", The Lancet
352(9124):257-63,250-51 (25 juillet 1998)
20 Bhatia, S., Robison, L.L.
et al., "Breast cancer and other second neoplasms after childhood
Hodgkin’s disease", New England J. Med. 334(12):745-51 (21 mars
1996)
21 Klingspor, L., Stintzing, G., Tollemar, J., "Deep
Candida infection in children with leukaemia", Acta Paediatr.
86(1)30-6 (1997)
22 Klein-Szanto, A.J.P., "Carcinogenic effects of
chemotherapeutic compounds", Prog. in Clinical and Biological
Research 374:167-74 (1992)
23 Riccardi, A., Mora, O. et al., "Long-term
survival of stage I multiple myeloma given chemotherapy just after
diagnosis or at progression of the disease :
a multicentre
randomised study", Br. J. Cancer 82(7):1254-60 (avril 2000)
24 Abel,
U., "Chemotherapy of advanced epithelial cancer : a critical
review", Biomed. Pharmacother.46 (10) : 439-52 (1992)
25 Moss, Ralph
W., PhD, Questioning Chemotherapy, Equinox Press, NY, 1995
26 Nesi,
Tom, "False hope in a bottle" (Op. Ed.), New York Times, 5 juin
2003
27 Livingston, Virginia, Cancer : A New Breakthrough, Cancer
Book House, LA, 1972
28 Gould, D., "Cancer : A Conspiracy of
Silence", New Scientist, 2 décembre 1976
29 Moss, R.W., The Moss
Reports, no. 127, 4 avril 2004, http://www.ralphmoss.com /
30 Moss, R.W., The Moss Reports, no. 86, 7 juin 2003
31 Moss, R.W., The Moss
Reports, no. 122, 28 février 2004
32 Null, G., Dean, C. et
al., "Death
by Medicine", Nutrition Institute of America, November 2003, http://www.nutritioninstituteofamerica.org/
33 Smith, R. (editor),
"The poverty of medical evidence", British Medical Journal, vol.
303, 5 octobre 1991
34 Begley, Sharon, "New statistics show increase
in cancer rates : cancer rates go up, not down", Wall Street
Journal, 16 octobre 2002, p. B1
35 Hildenbrand, G.L. et al., "Five-year
survival rates of melanoma patients treated by diet therapy after
the manner of Gerson : A retrospective review", Alt. Therapies 1
(4) : 29-37 (sept 1995)
refus
"75 % des médecins
refusent la chimiothérapie pour eux-mêmes et leurs proches"
Vu ce qui précède, comment
pourrait-il en être autrement ?
"Les recherches à l’aide de
sondages et de questionnaires continuent de montrer que 3 médecins
et scientifiques sur 4 refuseraient la chimiothérapie en raison de
ses effets dévastateurs sur le corps entier et le système
immunitaire et de son taux de réussite extrêmement faible. De
plus, seulement 2 à 4 % de tous les cancers (moyenne globale)
répondent même à la chimiothérapie ou s’avèrent être des cancers
qui ''prolongent la vie'', mais ils sont prescrits pour presque
tous les types de cancer." (Suite)
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
based
Une réflexion que je vous propose à la suite de
la lecture de cet article
(Voir aussi les autres sur
des sujets analogues repris sur cette page Web)
Le fait que la médecine n’est pas une science
exacte mais certes un art (“l’art de guérir”), ne la dispense
aucunement, et au contraire, de cette obligation déontologique de ne
se baser que sur ce qu’impose l’E.B.M. :
« L' "Evidence-Based Medicine"
(EBM ou médecine factuelle) se définit donc comme l'utilisation
consciencieuse et judicieuse des meilleures données (preuves)
actuelles de la recherche clinique dans la prise en charge
personnalisée de chaque patient (Sackett, 1996). Ces preuves
proviennent d'études cliniques systématiques, telles que des
essais contrôlés randomisés, des méta-analyses, éventuellement des
études transversales ou de suivi bien construites. » (Extrait du site de l’Université de Liège :
Introduction
à l' 'Evidence-Based Medicine' (EBM) )
Pourtant, la plupart des médecins préconisent
sans vergogne des traitements qui ne répondent pas à de tels
critères comme la chimiothérapie et la radiothérapie ; en cela,
ils enfreignent leur code de déontologie ; extrait de
Quand les
thérapeutes dérapent :
C’est un phénomène amplifié par l’effet blouse blanche : le
médecin, nanti de l’Art de guérir,
serait tenté d’abuser de son puissant rôle d’autorité, vu le
pouvoir exagéré que lui attribue habituellement le
« patient-dépendant-potentiel »,
mû par la colossale attente du "docteur, guérissez-moi !"
Une telle situation devrait rendre tout médecin beaucoup plus
prudent et respecter le précepte de d’abord ne nuire en rien.
D’ailleurs, pour ne citer que lui, le Code (français) de
déontologie médicale avertit clairement :
L'article 39 – Charlatanisme – [...] le
malade ne doit pas être trompé, et l'article 39 met en garde les
praticiens contre l'utilisation imprudente de médications
incertaines, de procédés illusoires et les affirmations
abusives. Il n'est pas admissible qu'un médecin s'écarte dans
ses propos d'une exactitude rigoureuse, lorsqu'il propose un
traitement. […]. D'une manière plus générale, l'article 39
condamne "toute pratique de charlatanisme". Le charlatanisme,
c'est l'exploitation de la crédulité publique.
--------------------------------------------------------
(Retour au début de cette
page consacrée aux "sources provenant des milieux médicaux et
scientifiques dont chacun devrait prendre connaissance à propos de
chimiothérapie, radiothérapie et autres traitements conventionnels").
|
Retour au début de
cette page
Certains rétorqueront qu'ils connaissent des
personnes
qui sont sorties guéries en cours ou suite à
certains traitements médicaux
(exemples :
chimiothérapie, radiothérapie)
dont de nombreux scientifiques (courageux)
ont donc dénoncé
l'inefficacité et même de manifestes effets mortifères.
Je ne suis pas le seul a avoir observé ce qui suit dans le
cadre de ma pratique que de telles guérisons attribuées en l'apparence à de
tels traitements.
Parmi de telles personnes qui se
sont donc ainsi guéries, ils s'en trouvent peut-être :
1° qui ont pu résoudre (consciemment ou pas) ce qui avait généré
psychologiquement le malaise. Certes, c’est sans garantir qu’un tel symptôme
ne réapparaisse ensuite étant donné, en l’espèce, que la/les situation(s)
conflictuelle(s) qui est/sont à l'origine de la somatisation n’aura/aient donc
pas été solutionnée(s) en profondeur, cela arrive souvent, car les médecins ne
sont généralement pas formés à assurer un accompagnement psychothérapeutique
adapté (analytique & comportementaliste, voir plus haut) qui permettrait
d’annuler les effets de telles situations ;
2° qui ont été en contact avec des événements qui ont apporté (consciemment ou
pas) une solution temporaire ou définitive à ce qui a généré leurs maux sur le
plan psychologique (même remarque que dans le point précédent) ;
3° qui ont bénéficié de l’effet placebo tributaire du charisme de celui qui a
préconisé le médicament ou le traitement (même remarque que sous le point 1°)
;
4° qui ont reçu d'autres effets bénéfiques (non conscientisés) comme par
exemple, le fait d’avoir été hospitalisés et d’avoir pu profiter ainsi de ce
que la vie aura apporté de ce fait ou concomitamment, comme solutions
temporaires ou définitives aux situations conflictuelles (qui s’étaient donc
somatisées en maladies). Cependant, en l’occurrence, le symptôme disparu
pourra réapparaître plus tard à la faveur d’une situation conflictuelle
(récidive) propice à redéclencher la somatisation au cas où ce qui est donc
sous-jacent n’aurait pas été résolu en profondeur.
Un médecin
légiste qui commençait à comprendre le mécanisme
psychobiologique des maladies
me déclarait alors, fier de sa juste découverte, qu’il comprenait maintenant
pourquoi il découvrait un tas de cancers guéris (enkystements…) au cours de ses
interventions, alors qu'on n'en trouvait pas la moindre trace dans les dossiers
médicaux des autopsiés. CQFD.
Récemment, était diffusée une information officielle importante qui confirme
en quelque sorte le fait qu’on puisse guérir sans conscientiser : un article
scientifique très récent publié dans
Archives of Internal Medicine et qui suggère fortement une régression
spontanée des cancers « infiltrants ou invasive en anglais » du sein autrement
dit, des cancers canalaires. En fait, de tels cas et qui ne sont certes pas
limités à ce type de cancer, l'auto-guérison de ces patients prouvent si
besoin en était qu'ils sont donc à reprendre dans les trois groupes cités
avant.
En fait, en psychobiologie on constate que
tous nous avons et aurons encore des cancers et autres maladies dont bien
souvent nous ne percevrons pas la réalité, ce qu'un médecin légiste m'a
confirmé d'ailleurs puisque très souvent, observant par exemple des
enkystements qui étaient la preuve de cancers qui s'étaient guéris, il n'en
découvrait aucune trace dans le dossier médical des personnes autopsiées ! Pourquoi ? Parce qu'entre-temps le
ou les conflits psychiques qui les avaient produits (= programmes de survie)
ont tout simplement disparus et se sont résolus par le fait d'événements
extérieurs ...
Le monde animal regorge de cas d'autos-guérisons : hors contexte impliquant
l'intervention humaine, les animaux guérissent plus facilement de leurs
conflits psychologiques dans la mesure d'abord où ils vivent dans le présent
et que le passe ("familial", transgénérationnel...)
n'exerce alors aucune influence ; de plus, changer de territoire leur permet
de ne plus être confronté à la situation conflictuelle, ce qui l'annule
purement et simplement. Tout au plus, suivant le principe analogue au réflexe
pavlovien comme celui du "chat échaudé qui craint l'eau froide",
confronté de nouveau à une situation conflictuelle analogue, ils vont s'en
écarter (pour autant qu'ils en aient la possibilité : ce qui n'est pas le cas
lorsque les hommes s'en mêlent comme dans ces expériences de laboratoire
où les animaux sont ainsi malmenés
; dans de tels cas, on a alors beau jeu de faire croire qu'il s'agit alors de
tel ou tel produit injecté etc. qui a donc entraînés les pathologies observées
ensuite, alors qu'on a fait fi des incidences déterminantes sur le psychisme
de tels traitements, a la manière de ce qui se passe, trop souvent d'ailleurs,
en expérimentation scientifique matérialiste et rationaliste.
C'est
ce qui s'est également (bien évidemment) produit lors d'expériences faites en géobiologie, en relation avec les
noeuds pathogènes.
Il faut aussi comprendre de la même
façon les conséquences produites par le surstress dont souffrent les animaux
dans les élevages industriels se traduit en maladies infectieuses comme la
tentative de résolution ; les éleveurs avec la complicité de "responsables" de
la santé publique permettent ne surconsommation d’antibiotiques,
antidépresseurs, vaccins divers qui changent leur terrain ; c'est que nous
explique en détail le Pr Jacqueline Bousquet dan cet article : "L'élevage industriel responsable de
listériose et ESB" (encéphalopathie spongiforme bovine)
Ce qui me concerne (par rapport à l'ostéoporose et la recalcification de la
mâchoire), ce n'est que plus tard que j'en ai pris conscience
de ce qui suit : après mon divorce
je me suis restructuré, revalorisé tous azimuts ; cela m'a conduit à comprendre
d'abord ce qui s'était passé et, ensuite, étudier la psychobiologie
à Paris ; c'est une facette importante de mon travail de thérapeute qui a
été ainsi créée. Plusieurs années après ces cours, je fais une chute
importante dans un escalier et dont s'ensuivent des douleurs importantes au
point de croire que j'avais rompu des os. Apres avoir radiographié tout le
dos, et posant la question de savoir s'il y avait quelque trace d'ostéoporose,
le médecine me lance "quelle ostéoporose ?" Ce fut la confirmation
d'une totale guérison !
Rien,
selon moi,
ne se fait au hasard.
Un cas analogue s'est produit au
début de mon adolescence adolescent par rapport à la
guérison aux yeux et qu'on pourrait qualifier de
miraculeuse. On peut donc guérir sans conscientiser les origines
psychobiologiques des maux, ce qui fait alors (faussement) croire au patient comme au médecin
ou praticien de thérapies alternatives qu'il faut mettre de telles guérisons sur le compte du
traitement ou de l'accompagnement prodigués.
(Retour au début de cette page
consacrée aux "sources provenant des milieux médicaux et scientifiques
dont chacun devrait prendre connaissance à propos de chimiothérapie,
radiothérapie et autres traitements conventionnels").
Retour au début de
cette page
-----------------------------------
La
démarche scientifique matérialiste et rationaliste
aboutit à une immanquable
impasse.
Je n'ai jamais fait une seule de mes
découvertes par un processus de pensée rationnelle. Einstein
Tant que la science
médical s'obstinera à ne prendre en compte que la
physiologie et dont la (seule) matière pour traiter les cancer, on ne pourra
alors que constater ce qui suit :
«Le
cancer résiste à la science» suivant le titre d'un article du journal
"La Recherche" de
février 1996, et constatait déjà que
les progrès des techniques de détection, de chirurgie, de radiothérapie et
des médicaments, qui contrastent avec l'absence de révolution thérapeutique,
n'ont pas abouti à faire globalement régresser ce fléau
:
« 20 ans
après la date fixée et malgré les quelques 40 milliards de dollars de
dotations diverses injectés dans la recherche des deux côtés de
l'Atlantique, il faut se rendre à l'évidence:
non seulement la bataille n'est pas gagnée,
mais, d'une manière générale, le cancer a plutôt tendance à progresser».
«Les espoirs placés dans
l'immunothérapie se sont révélés vains, et les perspectives de la thérapie
géniques paraissent illusoires ». Laurent Schwartz, cancérologue
à l'hôpital Tenon à Paris.
Est-ce que le diagnostic cancer permet-il de
guérir davantage ? Voici ce que répondent des cancérologues
non inféodés aux laboratoires
pharmaceutiques :
"Le diagnostic précoce n'a
souvent pour effet que d'allonger la durée de la maladie avec son cortège
d'angoisse [effet "nocebo"].
Cela contredit
bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques."-
Docteur J-Cl Salomon, directeur de recherche CNRS, cancérologue, et
National Center for Health Statistics USA.
"Il y a de plus en
plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce mais on
ne les maîtrise pas aussi bien qu'on le dit, malgré la
chimiothérapie
qui
est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires. Et
pour cause: ils en vivent. "Si
j'avais une tumeur, je n'irais pas dans un centre anti-cancéreux."- Professeur G. Mathé,
"L’Express" - 4/10/85.
"Ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent
d'expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd'hui trop
souvent occultée:
85% des chimiothérapies sont
contestables, voire inutiles."- Professeur Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier.
"L'impuissance de la
chirurgie à guérir le cancer est illustrée par un fait frappant:
20% des opérés meurent d'une récidive locale, 80% meurent de métastases à
distance." - Professeur Lucien Israël dans "Le cancer,
aujourd'hui".
"La chirurgie n'est valable que lorsque la tumeur provoque des
hémorragies qui épuisent le malade ou lorsqu'elle comprime dangereusement
un organe. Autrement, elle est inutile." - Dr Pierre Solignac,
médecin psycho-somaticien, hôpital Saint-Michel
Pour plusieurs
cancérologues, la chimiothérapie n'est qu'un procédé de destruction de
cellules malignes comme la chirurgie ou la radiothérapie.
Les seuls cas de réelle guérison
sont des cas de guérison spontanée,
c'est-à-dire lorsque le malade peut
organiser ses propres défenses"
(Source
de ce qui précède).
J'aouterais que ce la se fait grâce la résolution consciente ou pas des
situations conflictuelles sous-jacente à ce qui a généré les maladies ;
voici comment expliquer cela.
La démarche scientifique
matérialiste ne peut tenir compte des facteurs psychiques à cause de leurs caractères
insaisissables et non isolables et, de ce fait, ne pourrait être d'aucune utilité
(notamment) en matière de thérapie..
Les facteurs psychiques qui ne
sont pas / ne peuvent pas être pris en compte de ce fait, sont des variables contaminantes,
comme on les appelle dans l’expérimentation scientifique
(Variable qui ne fait pas partie du plan de recherche mais qui peut exercer
une forte influence sur les variables étudiées.).
Une bonne recherche doit autant
que possible neutraliser l'effet nuisible de ces variables
en utilisant des mesures ou des procédures de contrôle.
Dans le cas inverse, ce seront alors d'authentiques variables incontrôlées qui invalideront ipso facto les
résultats des recherches qui en auront été entachés.
C'est ce qui se passe quant la
Science prétend pouvoir valablement s'occuper de phénomènes
où intervient le psychisme en les
mesurant comme il le feraient pour de la matière. Comme le dit si bien le
Dr Jacqueline
Bousquet.
"Nous sommes fondamentalement englués dans la
superstition du matérialisme qui nous dit que l'expérience
sensorielle est le test décisif de la réalité".
Seule compte la vérité de chacun ;
la prendre en compte en priorité dans toute démarche (auto)thérapeutique est la
plupart du temps couronné de succès et s'en suit une vraie et profonde
libération et un plus grand bonheur.
D'ailleurs, qu’est-ce qui est
scientifique et qu’est-ce qui ne l'est pas ? La notion de science
varie historiquement et la façon dont elle établit ses « preuves » change
selon les époques : ce qui était sûr avant devient souvent caduc après ; ce qu’on croyait dur comme fer est
alors remis en question sans sourciller et d’un coup de cuiller à pot.
LA science est ce qui est reconnu
comme tel par une autorité scientifique en place ; d’une époque à l’autre,
ses critères changent et il n'y a rien de moins stable... Les erreurs
scientifiques qui sont alors légion n’empêchent pas les choses de
fonctionner.
Retour au début de
cette page
---------------------------------------------------------------
"Le scandale de
l'industrie pharmaceutique"
"La plupart des médicaments mis
sur le marché sont inefficaces ou dangereux, et parfois les deux. S'appuyant
sur plusieurs livres parus récemment aux Etats-Unis, le magazine français
BOOKSMAG a publié ce dossier accablant." (Source)
Le serment d'Hippocrate aurait-il été
remplacé parc celui d'Harpagon ou celui d'hypocrite ?...
Lors d'une émission récente (23 avril 2013) sur
FR3 (C
dans l'air, voir aussi la vidéo de l'émission) et consacrée
aux scandales sanitaires (notamment le Médiator), on a pu apprendre la façon
manipulatrice et donc falsificatrice dont usent couramment les laboratoires
pharmaceutiques lorsqu'ils testent l'efficacité et les effets secondaires
des médicaments qu'ils veulent introduire sur le marché ; sur un panel (°)
de 60.000 personnes qui pourraient faire l'objet du test, ils éliminent
toutes celles qui sont en mauvaise santé ou présenteraient, vu leur profit
médical, des risques de réactions secondaires au médicament à tester ; ils
n'en extraient alors qu'un toute petite partie (un dixième environ) qui,
pourtant censée représenter une partie objective de la population, ne pourra
alors que présenter des effets secondaires quantitativement et
qualitativement (fallacieusement) très fortement réduits, ce qui achèvera de
convaincre ceux qui sont chargés des autorisation de mise sur le marche !
(°) La constitution d'un panel de personnes
testées doit être représentatif de la population d'une manière objective, ce
qui n'est alors pas le cas et constitue une enfreinte évident aux règles
scientifiques, ce qui invalide ipso facto les résultats que pourrait
fournir une pareille étude contaminée de la sorte.
---------------------------------------------------------------
dommageable confusion entre corrélation
("facteur de risque"...) et "lien de cause à effet"
(ce qui révèle en fait un effet
cigogne...)
Tombant dans le même piège éculé d'un raisonnement faussé
commun à beaucoup de gens,
voici comment la recherche en science médicale
conventionnelle (dans sa partie matérialiste et rationaliste) manifestant
encore
son impuissance (comme attendu car inévitable)
à établir des vrais liens de cause à effet,
persévère dans des errances
dogmatiques
:
elle nuit finalement à la santé, car elle détourne les
gens des vrais objectifs
qui leur permettraient d'améliorer leur santé en les
aidant
à prévenir efficacement les maladies
grâce à une hygiène émotionnelle accrue,
parent (très) pauvre du discours médical conventionnel !
Nous sommes régulièrement bombardés de la part
des grands médias de la relation de prétendues études scientifiques qui
avancent par exemple, que le risque de devenir obèse (ne riez-pas) dépend de
la région où l'on vit ou encore, que la prise régulière de tel complément
ou de tel aliment nous protègerait du cancer...
A l'analyse, de telles "études" ne se fondent pas sur des liens avérés de
cause à effet, mais faute d'y parvenir, elles se livrent à des sortes de
pronostics sur les effets de prétendus
facteurs favorables ou défavorables.
C'est aussi le cas concernant les tests
d'efficacité des médicaments qui ne peuvent se baser que sur de telles
études : plusieurs scandales sanitaires ont éclatés concernant notamment le
manque d'efficacité des antidépresseurs.
Si certaines études prêtent à sourire, d'autres semblent en apparence
crédibles vu l'estampille "scientifique" qui leur est affublée.
Pour tenter de débrouiller le vrai du faux,
questionnons-nous d'abord sur les critères obligés d'une authentique
expérimentation scientifique.
L'établissement scientifique du lien de cause à effet
L'expérimentation scientifique digne de ce nom
impose différentes règles pour qu'un lien de cause à effet puisse
être sans conteste
établi . Par exemple, analogiquement à ce qui se passe lorsqu'on
tient un objet en mains et qu'ensuite on le lâche, il tombera
dans tous les cas par terre (à 100 %) et si c'est dans l'eau, il y provoquera
toujours des cercles concentriques autour de son impact. Comme de juste, la recherche scientifique impose
aussi qu'on puisse reproduire à volonté ce type d'expérience pour qu'un
réel lien
de cause à effet soit prouvé et comme suit.
Le
critère de reproductibilité
Extrait de
Quand les thérapeutes dérapent
:
"La validation
scientifiquement reconnue des expériences n’est garantie que si elle
répond au critère de reproductibilité : « Cette condition part du
principe qu'on ne peut tirer de conclusions que d'un événement bien
décrit, qui est apparu plusieurs fois, provoqué par des personnes
différentes…Un phénomène que l'on peut reproduire à volonté devient un
phénomène reproductible au sens scientifique .» [Source]
Surgit ensuite un paradoxe de taille : le neurologue
Pierre-Jean Thomas-Lamotte souligne qu’il « est impossible d’étudier et
de quantifier une cohorte de malades ou une série de cas-témoins quand
il faut inclure le psychisme humain » [Source]
; « […] on ne peut pas divorcer six fois de suite du même
partenaire […] » [Suivant ce qu’il précise
à ce sujet dans son livre Et si la maladie n’était pas un hasard,
Éd. Le Jardin des Livres, Paris, 2008, p. 203].
Ainsi, étudier une maladie comme « un phénomène que l'on peut
reproduire à volonté » s’avère impraticable. L’étude de telles
observations sort donc manifestement du cadre de l’expérimentation
conventionnelle lorsqu’elle impose le critère de la
reproductibilité ; un tel principe est dépassé notamment dans les cas où
il est exigé comme condition sine qua non à remplir, dans la
vérification des observations empiriques de nature psychologique."
On comprendra dès lors toutes les imparables difficultés auxquelles
est confrontée la recherche scientifique quand elle s'enferre à vouloir
trouver exclusivement dans ce qui est matériel (biologique,
physiologique...) les causes réelles des maladies ; dans de telles
conditions, ses adeptes n'ont alors d'autre "choix" que de se livrer à
des études prétendument scientifiques, qui ne peuvent mettre en avant que
des corrélations à grands renforts de statistiques-poudre-aux-yeux : un tel pourcentage de personnes qui s'adonnent à
un tel
ou tel traitement semblent ne pas développer (mais sur une période forcément
limitée) de cancer, par exemple. Il faut rappeler qu'on n'a jamais pu démontrer quelque
lien de cause à effet entre tel toxique, tel aliment... et le cancer,
par exemple.
Devant un tel échec, les scientifiques se sont adonnés à des études
statistiques qui induisent en erreur : ils ont créé le fallacieux concept de facteur
de risque et son tandem le facteur qu'on pourrait appeler de chance
(prendre tel aliment ou complément préviendrait d'attraper telle maladie,
par exemple).
Parmi les études statistiques ainsi réalisées, aucune ne révèle un
réel lien de cause à effet (qui implique le fait que la totalité
ou presque des cas relevés entraînent à 100 % un même effet déterminé).
Ainsi l’expérience accessible à tous qui montrerait qu’en plongeant un
solide (non soluble) dans l’eau, il déplace une quantité d’eau égale à
son propre volume : cela se produit sur 100 % des cas. Les études statistiques sur
lesquelles se basent notamment les prétendus effets cancérigènes de
produits ou à l’inverse l’effet prétendument protecteur du cancer,
d’autres, ne font état que chiffres partiels (jamais à 100 % et même pas s'y approchant) : au
travers notamment du fallacieux concept de facteur de risque qu’on avance
de la sorte, on induit malgré tout, l'existence d'une relation causale
dans l'esprit du public, lequel adapte alors son comportement comme si
un lien effectif de cause à effet était présent !.
Le Dr Thomas-Lamotte déjà cité ajoutait : "Il est évident que, si je supprime
la neige, les skieurs ne vont plus se casser la jambe sur la neige. Mais
ne me dites pas que c’est la neige qui casse les jambes ! Si le tabac
n’est qu’un facteur de risque, l’interdiction de fumer va déplacer le
problème du fumeur. Dans vingt ou trente ans, on en sera peut-être à
rechercher la substance responsable d’une véritable épidémie de
lymphomes thoraciques ou abdominaux voire de maladies de Parkinson (les
parkinsoniens sont en règle générale non-fumeurs)".
Le
Dr Thomas Lamotte faisait ainsi remarquer qu’ "un
scientifique qui confond facteur de risque et la cause d'une maladie est
un imposteur ou un ignorant de la logique, la base du raisonnement
scientifique ». « Les scientifiques en sont venus à amalgamer
facteur de risque de la maladie et cause de la maladie. Leur recherche
échoue puisqu’ils n’ont plus une démarche scientifique".(Source)
"Il faut
faire table rase des conceptions et des propos manifestement erronés
d’où qu’ils viennent. Un médecin, un scientifique n’a pas le droit de
confondre un facteur de risque avec la cause d’une maladie. C’est très
différent. Le facteur de risque nous indique un terrain de prédilection
où la maladie est plus fréquente, la cause implique que l’effet soit
présent dans tous les cas, sans exception. C’est un principe intangible
de la logique base de la science. Je n’invente rien. Il n’est pas
possible de se référer à la science et d’en piétiner les principes. Les
enquêtes sur les cohortes de malades ne mettent en évidence que des
facteurs de risque car jamais le 100 % n’est atteint. L’étude d’une
cohorte ne permettra jamais de trouver la cause d’une maladie." (Source)
La corrélation prise pour un
lien de cause à effet
Ce qu’on tire malhonnêtement de telles statistiques (qui n'atteignent
donc jamais 100 %) ne sont en fait
que des corrélations et rien d 'autre. Une corrélation signifie
étymologiquement une "relation avec" entre deux choses et comme par
exemple le fait qu’il y un lien entre le port des lunettes et les coups de
soleils (c’est le soleil), mais pas de lien de cause à effet prouvé entre
le port de lunettes et les coups de soleil. De telles
statistiques ne montrent en fait avec certitude, aucune influence de tel
élément sur ce qui prémunirait du cancer ou le favoriserait, par
exemple. Pire, diverses études de ce type, faites dans les mêmes
conditions, n'aboutissent jamais aux mêmes conclusions. Ce qu'on leur
fait dire abusivement ne repose que sur des sophismes et est donc
fallacieux :
"'Cum hoc ergo propter hoc' (latin signifiant 'avec ceci, donc à
cause de ceci' : c'est un sophisme qui consiste à prétendre que si deux
événements sont corrélés alors il y a un lien de cause à effet entre les
deux. La confusion entre corrélation et causalité est appelé effet
cigogne en zététique [voir plus bas] ; en science et
particulièrement en statistique, cette erreur est sanctionnée par
l'évidence :
« la corrélation n'implique pas la causalité »." (Wikipédia).
Dans l'analyse historique de facteurs désignés abusivement comme
causals, ces corrélations ne sont alors que de simples relations
temporelles : cela fait partie pourtant des pièges enseignés en dans les
cours de statistiques !
Pire, on a même observé que suivant l'effet Rosenthal (prouvé) de
telles études étaient influencées par leurs promoteurs : le Pr Robert
Rosenthal a démontré que les expérimentateurs en psychologie, en
éducation, en médecine et en sciences de la matière peuvent affecter
inconsciemment les résultats des études entreprises dans le sens de ce
qu’ils attendaient, par contamination des hypothèses émises.
(Jo Godefroid, Psychologie,
science humaine et cognitive,
éd.
De Boeck Université, Bruxelles, 2008, p. 105). Cela
explique en partie les différences de résultats de ce genre d'expériences
faites ici et là et notamment le fait que, lorsque ce sont les laboratoires
pharmaceutiques (conflit d'intérêt) qui les réalisent, ils obtiennent alors
des résultats bien plus favorables que dans le cas de laboratoires
indépendants. On réclame d'ailleurs de plus en plus que le commanditaire des
expérimentations scientifiques soit clairement libellé.
croire que ce sont les
cigognes qui apportent les nouveauX-nés (effet cigogne)
Une légende alsacienne relatait que ce sont les cigognes qui
livrent les nouveaux-nés : on avait observé que dans les communes où
se trouvait un nombre élevé de cigognes, il y avait plus de naissances
que dans l'ensemble du pays. La conclusion suivante est absurde car basée sur une
simple corrélation : ce sont donc les cigognes qui apportent les bébés
! Ceci expliquant cela, tout le monde sait que la préférence des cigognes est de faire
leurs nids dans les villages plutôt que dans les
grandes agglomérations où certes, la natalité est toujours moins forte que dans
les campagnes.
En logique et donc en science, on a donc appelé
effet cigogne,
cette tendance à confondre corrélation et causalité, comme referment
à souhait toutes ces études prétendument scientifiques aboutissant à
l'établissement de fallacieux facteurs, qu'il faudrait mieux
appeler terrain de prédilection, suivant ce qu'en analyse le
Dr Thomas-Lamotte, sous oublier les autres qui mettent en avant des "facteurs"
favorables (matériels) jugés comme
prémunissant de telle ou telle maladie !
On abuse les gens par un tel fallacieux discours, mais cela a certes
des vertus hautement puissantes sur le plan financier : outre la
puissante vertu de remplir les caisses du secteur pharmaco-industriel, la sortie de livres à
succès à grand renfort de marketing comme
Anticancer (David Servan-Schreiber) et son concurrent Le Vrai Régime anticancer
(sic) ; cela
"justifié"
surtout les milliards d'investissements au profit de ce type de
recherche "scientifique". N.B. Malgré tous le efforts que le
Pr David Servan Schreiber a fait pour rassembler des études qui ne
peuvent et pour cause que mettre en avant des prétendus facteurs de
risques liés à une alimentation inadéquate et observant lui-même ces
préceptes (donc dogmatiques), il est tout de même mort d'une récidive
d'un cancer au cerveau !...On fourvoie les gens en leur faisant croire que l’attitude la
plus juste face au risque notamment de cancer, c’est de mobiliser toute son attention
sur l’alimentation, l'hygiène de vie… Certes, globalement, la mise en
pratique qui conduit au mens sana in copore sanum, fait
apparaître des personnes qui sont en d'autant meilleure santé, qu'elles
sont aussi soucieuses de veiller à leur hygiène émotionnelle, les soucis
d'hygiène se portant en général aussi bien sur le plan physique que sur
le plan psychique ! Les
études incriminées déresponsabilisent les gens par rapport à la nécessaire hygiène
émotionnelle qui conduit notamment à ne pas laisser le stress à se
somatiser, mais de veiller à l’exprimer sous forme de ressentis et
d’émotions, pour éviter les maladies. Le stress
oxydatif ou oxydant a été identifié scientifiquement comme étant à l’origine des maladies
et au cœur, les facteurs psychologiques sine qua non :
Extrait de Quand les
thérapeutes dérapent :
"Des scientifiques réputés se sont déjà affranchis de cet ancrage
au tout–au-physiologique, en identifiant le stress oxydant comme à
l’origine du cancer. Parmi eux, le célèbre Pr Luc Montagnier – prix
Nobel de médecine 2008 pour sa codécouverte du VIH (SIDA) – en est «
arrivé à la notion de "champ oxydant" ». Dans « l’addition des
phénomènes générateurs de stress oxydant », il inclut des « facteurs
psychologiques » [Luc Montagnier, Les Combats de la vie,
Éd. Jean-Claude Lattès, Paris, 2008, pp. 190-191.] et précise que «
le système immunitaire lui-même est affaibli par les problèmes de stress
psychologique » [Interview du Pr Montagnier, propos recueillis par
Céline Andrillon pour la revue Bio-énergie n°27.]."
Dessin célèbre de Léonard de Vinci
En science médicale conventionnelle, les conditions d'apparition des
maladies sont donc évaluées statistiquement en fonction de comportements
à risque, mais de telles "observations" statistiques et même
cumulatives (d'ailleurs certaines se contredisent) n'expliquent donc
pas ce qui fait préside réellement à la survenance des maladies ; elles
n’expliquent en fait pas grand-chose, si ce n’est faire prendre des «
vessies pour des lanternes » : les facteurs ou les comportements à
risque désignés veulent se faire passer pour des CAUSES et donc établir
de fallacieux liens de cause à effet.
Question d'éthique, il faudrait davantage se questionner sur la
crédit qu'on peut mettre en une pratique médicale qui se borne la plupart du
temps à ne suivre que de vagues indications statistiques tout en
prétendant asseoir des rapports de causalité... . Quand la recherche
médicale conventionnelle peut
faire état de liens de causalité (ce qui est rarissime), on peut donc
penser qu'elle se comporte comme une science exacte ; en revanche, vu
son incapacité à le faire, dans les études qu'elle avance et sur
laquelle elle fonde finalement toute sa crédibilité, il
n'est question que de facteurs de risque et de rapports
bénéfices-risques et rappel, qu'on fait passer sur le terrain clinique
comme des liens de causes à effet (faute de mieux) !
A méditer
"Des études cliniques, effectuées sur des malades dont on a pu
établir tous les antécédents biographiques, ont montré l’existence d’un
rapport chronologique entre l’évolution de leur maladie et les
événements retentissant sur leur vie affective. La situation qui
précipite le sujet dans la maladie revêt pour ce malade une
signification affective particulière, parce qu’elle est liée à son passé
ou à une problématique conflictuelle non résolue. C’est en raison de ces
liens qu’elle a pour lui un effet de stress."
(Ary Becache, Psychologie Pathologique, 2004, Abrégés
Masson, 9ème Édition, p. 219).
"C'est
la médecine tout entière qui doit s'ouvrir à la psychologie et devenir
psychosomatique. Ou pour mieux dire, avec WEISS et ENGLISH [°] :
" Toute maladie relève à la fois de l'esprit et du corps et toute
thérapeutique est, de ce fait, de la médecine psychosomatique. Lorsqu'on
en sera dûment persuadé, le terme psychosomatique pourra disparaître,
les données qu'il traduit étant désormais impliquées dans le terme
médecine ". Mais pour cela il faut que tous les médecins et psychiatres
soient authentiquement formés à la psychologie et aient renoncé au
préjugé organiciste. »
(Marc-Alain Descamps. Corps et psyché, Ed. Desclée De
Brouwer, 1992, p. 16).
° Ouvrage de référence : Médecine Psychosomatique. L'Application
de La Psychopathologie aux Problèmes Cliniques de Médecine Générale.
difficulte
N.B. La difficulté en recherche médicale d'établir de vrais liens de
cause à effet s'explique ainsi : la preuve scientifique en matière
médicale exige un groupe homogène de patients, mais on ne pourra jamais
établir de lien de cause à effet vu les particularités notamment
immatérielles de chaque patient et donc la présence de facteurs
contaminants (c'est-à-dire, des variables qui ne
font pas partie du plan de recherche mais qui peuvent exercer une forte
influence sur les variables étudiées. C'est ainsi que cette science-là
ne prenant en compte que des éléments matériels, tombe dans les pièges
des visions mécaniste et newtonienne du monde mais aussi dans cet autre
piège qui est la division cartésienne et mythique entre matière et
esprit. (Retour au début de cet article)
|
recherches
Retour au début de
cette page
"Pourquoi la plupart des conclusions
des recherches scientifiques publiées sont fausses"
("Why
Most Published Research Findings Are False")
Il faut comprendre que le
rationalisme, en sa prétention scientifique,
est particulièrement inapte à saisir, voire même à appréhender
l'aspect touffu, imagé, symbolique de
l'expérience vécue.
Michel Maffesoli (Eloge de la raison sensible, Ed. La Table
Ronde)
« Les réfutations d’études et les controverses (autour des résultats
d’études) sont constatées parmi tous les types de recherches, des essais
cliniques et des études épidémiologiques traditionnelles jusqu’aux recherches
molécules les plus modernes. La préoccupation est en train de montrer que dans
la recherche moderne, les fausses découvertes sont la majorité ou même la
grande majorité des allégations publiées. Cependant, cela n’est pas étonnant.
Il peut être prouvé que la plupart des découvertes prétendument faites par les
chercheurs sont fausses. »
Ce n'est pas moi qui le dis : je ne reprends ici que le titre et un
extrait d'un article
scientifique dont le contenu est d'autant moins suspect, qu'il a non seulement été publié sur
Plos Medecine qui
jouît d'une solide réputation de sérieux, mais en plus cet article est
avalisé par la bible de référence en matière de publications scientifiques
médicales
PubMed (cette dernière offre la base de données bibliographiques
de référence mondiale et est produite par la National Library of Medicine - USA).
L'article reprend le contenu d'une célèbre étude de la renommée université de
Stanford (USA).
Comme les grands médias se contentent, sans esprit critique suffisant, de
relayer tels quels les résultats de diverses recherches scientifiques, nous
sommes donc enclins à les prendre "pour argent comptant" et à leur donner un
crédit souvent inconditionnel mais fort exagéré, et de plus, comme on le verra
ci-après, à mettre
désormais
chaque fois en question..
On avait déjà pointé sur cette page, le fait que trop, pour ne pas dire la plupart, des études scientifiques mettent en avant d'un côté, des facteurs de
risques concernant la survenance de maladies et de l'autre côté, les
prétendues vertus thérapeutiques de tel traitement ou tel médicament, mais en ne
se reposant en fait que sur des études statistiques qui ne font état que
d'approximations dans ce qu'elles n'arrivent jamais à établir un vrai lien de cause
à effet (cf. lire l'article).
On a aussi pointé plus haut que
"La plupart des médicaments mis
sur le marché sont inefficaces ou dangereux, et parfois les deux. S'appuyant
sur plusieurs livres parus récemment aux Etats-Unis, le magazine français
BOOKSMAG a publié ce dossier accablant." (Source).
A la faveur des derniers scandales sanitaires (cf. le Médiator, les
autres qui ont suivi et à suivre immanquablement), on
a pu prendre conscience que les études scientifiques qui avaient permis
d'autoriser la mise sur le marché de tels médicaments, en avaient sciemment
occulté les effets secondaires mortifères pourtant avérés (connus d'ailleurs de longue date,
mais sciemment écartés). L'efficacité de certains médicaments
vendus ne dépassait
pourtant pas l'effet d'un placebo, ce qui entraine normalement une
impossibilité de mise sur le marché ;
extrait de
Quand les thérapeutes
dérapent (p. 39) :
L’efficacité des antidépresseurs est mise en doute.
Selon une
étude américaine, les publications scientifiques sur les nouveaux
psychotropes exagèrent leur action. […]
L'efficacité des nouveaux antidépresseurs mis sur le marché depuis le
milieu des années 1980 […] est mise en doute par des experts américains
de la FDA [nda : Food
and Drug Administration], la
toute-puissante agence américaine du médicament. Une étude du New England
Journal of Medicine montre que des publications ont exagéré l'efficacité de
ces médicaments parés de toutes les vertus par les laboratoires, les médecins
et même les malades..
Les
antidépresseurs de la dernière génération ne montrent pas de différence par
rapport aux placebos.
Voici le
verdict "sans appel" de deux scientifiques réputés (Irving Kirsch
de l’université de Hull au Royaume-Uni, et Blair Johnston de
l’université du Connecticut aux USA), qui ont passé en revue la
totalité des essais cliniques des six antidépresseurs de nouvelle génération
les plus prescrits : « Ces médicaments […] ne sont pas plus
efficaces qu'un placebo ! Autrement dit, un médicament ne contenant pas de
principe actif… ».
Pire encore, d'autres scandales avaient aussi défrayé la chronique dans ce qu'ils
faisaient état de falsifications pharaoniques à échelle mondiale ;
extrait de
Quand les thérapeutes
dérapent (pp. 56-57) :
Falsification scientifique : les « médicamenteurs »
Le Dr Scott Reuben, l’un des chercheurs américains prolifiques dans le
domaine du traitement de la douleur postopératoire, a manipulé dès 1996 un
grand nombre de données de ses recherches, au profit de plusieurs
multinationales pharmaceutiques. Des millions de patients ont été concernés
dans le monde. Les sociétés pharmaceutiques finançant des études sur les
médicaments, les résultats se révèlent porteurs et donc en faveur de la source
de financement, mais ils trahissent un manifeste conflit d’intérêts et un
manque évident d’indépendance. Cependant, « il existe des dizaines de cas
semblables » [Suivant l’analyse
faite par Sylvie Simon dans Autisme et vaccination].
De nombreux scientifiques s’élèvent contre de telles manipulations : la revue
médicale allemande Deutsches Ärzteblatt International a publié un
article reprenant une vaste étude réalisée par un groupe de recherche sous la
direction du président de la Commission sur les Médicaments de
l’Association Médicale Allemande, le
Pr Wolf-Dieter Ludwig
[The
Financing of Drug Trials by Pharmaceutical Companies and Its Consequences,
2010, n° 107(16), p. 279 et p. 285].
Il y est démontré l’influence des sources de financement sur les résultats,
les protocoles et la qualité des études sur les médicaments. Dans ses
conclusions, le groupe constate que les sociétés pharmaceutiques manipulent
les expériences sous divers aspects et il apporte des preuves de l’ingérence
directe des organes de financement de l’industrie pharmaceutique dans le
contenu des protocoles des études !
L'article dont fait référence dans le titre de cette rubrique (Pourquoi
la plupart des conclusions des recherches scientifiques publiées sont fausses)
donne encore d'autres raisons qui expliquent une telle (effarante) réalité ;
extrait de l’article
de
G. Berteloot qui reprend en partie de contenu de cet article
paru sur
Plos Medecine :
«
[..] une autre erreur provient de la façon même dont on évalue
généralement les résultats. En effet, on emploie généralement une valeur p de
0.05, c’est à dire que l’on a 5% de chances d’obtenir un faux positif (une
étude qui confirmera une hypothèse alors que celle-ci est fausse). Si le
risque ne semble pas si élevé, il n’est pas non plus négligeable. De plus,
Ioannidis propose quelques pistes simples à garder en tête avant d’aborder une
publication médicale :
• Moins il y a de sujets dans l’étude, plus celle-ci a de chances
d’être fausse.
• Plus l’effet est faible, moins l’étude a de chances d’être vraie :
ainsi, les liens entre cancer et consommation de tabac sont bien plus
plausibles que l’influence d’un gène sur une maladie multi-génétique.
• Plus le nombre de paramètres testés est grand, moins l’étude a de
chances d’être vraie.
• Plus les critères sont flexibles, moins l’étude a de chances d’être
vraie : cette flexibilité peut en effet faire passer un résultat négatif pour
un positif.
• Plus il y a d’intérêts financiers et de préjugés dans le domaine de
l’étude, plus celle-ci a de chances d’être fausse.
• Plus le sujet est « chaud », moins l’étude a de
chances d’être vraie : on pourrait penser que l’effet est inverse puisque le
nombre d’équipes différentes est plus élevé, mais les études sont faites au
même moment, le timing faisant tout. C’est ainsi que l’on constate souvent un
grand enthousiasme pour un domaine après quelques publications phares, suivi
du contrecoup une fois les vérifications faites ».
Cependant trop souvent ignorés, d'autres facteurs présents à la source
expliquent aussi pourquoi il est quasi fatal que les expérimentations et
études scientifiques soient entachées de résultats biaisés ; extrait de
Quand les thérapeutes dérapent (p.
31)
Le
Pr Robert Rosenthal [psychologue
américain d’origine allemande et professeur à l'université de Californie
(Riverside)]
a
démontré que les expérimentateurs en psychologie, en éducation, en médecine et
en sciences de la matière peuvent affecter inconsciemment les résultats des
études entreprises dans le sens de ce qu’ils attendaient, par contamination
des hypothèses émises
[Jo Godefroid,
Psychologie, science humaine et cognitive,
éd.
De Boeck Université, Bruxelles, 2008, p. 105].
En
phase avec ce qui précède, la Physique Quantique avait pu prouver que la
matière se comporte différemment en fonction des outils de celui qui l’observe
et quoi qu’il fasse ; c’est en contradiction avec l’un des principes immuables
des sciences dites exactes qui exige que l’expérimentateur ne se mette
jamais en posture d’influencer ce qu’il teste. Dans de telles conditions,
on peut mesurer la fragilité de ce qui fonde toute la recherche
scientifique : on frémit à l’idée de ce qu’il advient de la crédibilité à
donner encore à cette partie de la Science à visée rationaliste et
matérialiste et à la validité de ses découvertes. [alors qu'il existe des
scientifiques comme le Pr Laborit
qui ont dépassé avec succès le carcan matérialiste dans l'exercice de leurs
recherches.]
Dès lors, voici la conclusion que je vous propose : tout ce qui précède
devrait conduire les fervents, voire les inconditionnels de la méthode scientifique
–
tels que le sont les Zététiciens par exemple, qui se comportent souvent comme
des scientistes, élevant ainsi la science au statut d'un religion
–, à bien plus
d’humilité par rapport à la portée réelle des études scientifiques et à bien plus d’ouverture concernant tout ce qui ne peut s’y
soumettre, lorsqu’il s’agit, par exemple d’approches thérapeutiques non
conventionnelles et qui échappent par leur nature pour un grand
nombre d'entre elles,
à toute vérification scientifique (source)..
Que ce soit pour l’homéopathie ou pour les approches thérapeutiques non
conventionnelles, on assiste en effet à une forme d’intégrisme de nature
scientiste (n’accepter
comme preuves que celles fournies par les expérimentations scientifiques, ce qui est
dogmatique).
Voici l’avis très autorisé et malheureusement toujours d’actualité du Dr John
Eccles (1903-1997), prix Nobel de physiologie et de médecine en 1963
pour la découverte des processus chimiques responsables de la propagation de
l’influx nerveux (synapse) :
«
Ils [la majorité des scientifiques] ont été formés à
l'école du matérialisme. C'est un moule extrêmement rigide composé d'un
ensemble de dogmes qui ne sont pas forcément expliqués scientifiquement ! Par
exemple, affirmer que notre existence n'est qu'un assemblage biologique sans
essayer de comprendre tout ce qui n'entre pas dans ce cadre - sous prétexte
que ce n'est pas "scientifique" - est un dogme, pis, une superstition ! La
science est pleine de superstitions, de croyances de toutes sortes... Le plus
navrant, c'est que le public est persuadé que la science a réponse à tout
».
(Revue française Psychologies n° 100, juillet-août 1992, pp. 54-55)
Cette sorte d'impérialisme scientifique est d'autant plus puissant qu'il
bénéficie de la part des grands médias
–
eux-mêmes asservis à des lobbies
industriels qui ont un fort ancrage au dogme du tout-au-scientifiquement reconnu
– ,
d'un relai inconditionnel ; ils manquent de l'esprit critique
requis et ce, d'autant plus grave et inadmissible qu'il s'agit de santé !
La science est la plus récente, la plus agressive et la plus dogmatique des
institutions religieuses.
Paul Feyerabend, Pr de
Philosophie des Sciences à Berkeley
Retour au menu de cette page
fier
"Peut-on vraiment se fier aux recherches scientifiques
publiées dans la presse ?"
C'est le titre d'un
article et dont le contenu s'ajoute aux observations
confondantes faites dans l'article précédent intitulé
"Pourquoi la plupart des conclusions des
recherches scientifiques publiées sont fausses" et dont la
lecture préalable est conseillée.
Un étude publiée dans le British Medical Journal. a été relayée
par le Times et, au vu des critiques faites précisément à
l'encontre de l'attitude des journalistes de presse, la
publication de cet article par un organe de presse est à saluer ;
en effet, n'appliquant pas à elle-même le même traitement qu'elle
inflige aux autres, la presse est extrêmement peu encline à faire son autocritique.
L'étude observe que :
-
«
40 % des communiqués de presse
contiennent des conseils exagérés
».
- «
33 % ont établi des liens de
cause à effet à la suite d'une simple corrélation
» : c'est un
écueil récurrent et malheureusement
le public
embraye trop facilement en confondant pourcentage de probabilité
et lien de cause à effet
(lire cet
autre article plus haut qui l'explique en
détail).
- «
36 % ont tiré des conclusions pour la
santé humaine suite à des expériences sur les animaux
». Il est
important comme l'a fait
le
Pr Henri Laborit de
montrer en effet comment se transposent de tels résultats sur les
humains et notamment au travers du film
primé à Cannes
Mon Oncle d'Amérique.
-
La presse a largement emboité en
se basant sur les versions défectueuses des communiqués de presse;
regrettablement
sans aucun
esprit critique et sans une quelconque investigation.
-
«
30 % des scientifiques admettent
quand même que leurs communiqués étaient exagérés, même lorsqu'ils
les avaient écrits
eux-mêmes
» et ce
faisant, ils agissent en tant qu'imposteurs et décrédibilisent un peu
plus ce que la science peut apporter
comme avancées ;
certes,
«
La science ne prouve que dans l’instant présent, ce qui pourra
être faux dans le futur »,
observait avec pertinence Isabelle Burnier
Retour au menu de cette page
|
citations
QUELQUES REFLEXIONS, CITATIONS
ANIMEES DE BON SENS
à propos de la
Science
dans sa
prégnante partie
matérialiste
et rationaliste
"La
science
[dans sa partie matérialiste]
ne prouve que dans l’instant présent,
ce qui pourra être faux
dans le futur."
Isabelle Burnier
"Il faut comprendre que le rationalisme, en sa prétention scientifique,
est particulièrement inapte à saisir, voire même à appréhender
l'aspect touffu, imagé, symbolique de
l'expérience vécue."
Michel Maffesoli ("Eloge de la raison sensible" aux Ed. La
Table Ronde)
"L'approche matérialiste et
rationaliste du vivant ne peut permettre l'appréhension de la vie dans son essence et sa
globalité, et donne une idée fausse, très
réductionniste de la réalité [citant D. Chopra :]
- "Nous sommes
fondamentalement englués dans la superstition du matérialisme qui nous dit que l'expérience
sensorielle est le test décisif de la réalité. Par conséquent, toutes nos
méthodes de guérison sont également fondées sur cette superstition"-
Si vous comprenez vraiment ce
qu'est la science, alors la science - au moins jusqu'à présent -
n'a pas été une méthode pour
explorer la vérité.
La science [matérialiste] a été une méthode
pour explorer la représentation commune de ce que nous pensons être la
vérité.
Et la carte n'est pas le
territoire" ! [recitant D. Chopra:]
-"Si notre carte est
incomplète, alors ce qui ne se trouve pas à l'intérieur de la
structure de cette carte
nous échappe et nous ne pouvons l'explorer"-
Jacqueline BOUSQUET
(docteur ès Sciences, Biologie,
Biophysique,
chercheur honoraire au C.N.R.S., chargée
d'enseignement à la Faculté Privée des sciences Humaines de Paris,
Conférencière, Ecrivain - Source originale
disparue du Net)
"La science
[dans sa partie matérialiste]
est la plus récente, la plus agressive
et la plus
dogmatique des institutions religieuses."
Paul Feyerabend, Pr de Philosophie des sciences à Berkeley : dans une
citation en exergue
d'un article du Dr ès sciences Jacqueline Bousquet et de Sylvie Simon rédigé
à
l'occasion de la sortie de leur dernier livre "Le réveil de la
conscience" ;
ce
livre traite de Matière, information et champs magnétiques, maladies,
vaccins etc.
Plus que dans "l'air du temps"...
«
Ils [la majorité des scientifiques] ont été formés à l'école du
matérialisme. C'est un moule extrêmement rigide composé d'un ensemble de
dogmes qui ne sont pas forcément expliqués scientifiquement ! Par exemple,
affirmer que notre existence n'est qu'un assemblage biologique sans
essayer de comprendre tout ce qui n'entre pas dans ce cadre - sous
prétexte que ce n'est pas "scientifique" - est un dogme, pis, une
superstition ! La science est pleine de superstitions, de croyances de
toutes sortes... Le plus navrant, c'est que le public est persuadé que la
science a réponse à tout.
»
John ECCLES, Prix Nobel de Médecine pour
la découverte des processus chimiques responsables de la propagation de
l'influx nerveux (1963) (Source "Psychologies" n° 100- juillet & août 1992,
pp. 54-55).
Extrait du
discours inaugural pour la remise du triple prix Nobel de médecine
et de physiologie 1977 par le Pr Rolf Luft de l'Institut
Médico-Chirurgical Karolinska à Stockholm (°) :
"On
peut dire à juste titre qu'ils ont découvert une partie importante du
lien entre le corps et l'esprit. [...]
Les phénomènes
émotionnels et psychiques influencent réellement nos fonctions
corporelles."
Commentaire du
Dr Jean-Michel Crabbé : "Il fallait bien
un prix Nobel pour prouver que la médecine se trompe,
renverser le dogme
qui sépare la vie psychique et la vie organique,
montrer les bases scientifiques d'une médecine globale, 'corps et
psyché inséparables'." (Détails)
(°)
L'institut
Karolinska est une université médicale, basée à Stockholm en Suède. Il est
l'un des centres de recherche médicale et de groupements universitaires les
plus importants et les plus réputés du monde. Il décerne tous les ans les prix
Nobel de physiologie et de médecine.
«
En général,
les dogmes matérialistes n’ont pas été édifiés par des gens qui
aimaient les dogmes, mais par des gens qui pensaient que rien de moins
net ne leur permettrait de combattre les dogmes qu’ils n’aimaient pas.
Ils étaient dans la situation de gens qui lèvent des armées pour
défendre la paix.
»
(
«
La science est la plus récente, la plus agressive et la plus dogmatique des
institutions religieuses.
»
(Paul Feyerabend, Pr de
Philosophie des Sciences à Berkeley)
«
Nous sommes
notre meilleur anti-cancer » , car « il existe un lien très sérieux
entre les émotions que nous vivons et l’apparition d’un cancer » .«
Le stress serait un élément à la fois déclencheur mais aussi aggravant
d’un cancer. » (Dr David Khayat, cancérologue, septembre 2018)
« Il ne faudrait pourtant pas oublier que ce
n'est pas le médecin qui vient à bout de la maladie, mais le malade.
Le malade se guérit lui-même, comme c'est par ses propres forces qu'il
marche, pense, respire, dort
et encore le désir refoulé se manifeste par la maladie. » (Le
célèbre psychologue Carl Jung)
«
L'on ne peut guérir la partie sans soigner le tout.
L'on ne doit pas soigner le corps séparé de l'âme,et pour que l'esprit et le corps retrouvent la Santé,
il faut commencer par soigner l'âme.
Car c'est une erreur fondamentale des médecins actuels
de, dès l'abord, séparer l'âme et le corps. [...]c'est la plus grande erreur dans le traitement de la maladie, que
l'esprit et le corps soient tenus séparés,
puisqu'ils ne peuvent être séparés
[...] cependant, c'est
ignoré par les médecins grecs
[...]
Ils devraient prendre soin du tout, car là où le tout est malade, une
partie ne peut jamais être en santé. -Peut-être as-tu déjà entendu dire à de bons médecins, quand on
vient les trouver pour un mal d'yeux,
qu'il leur est impossible d'entreprendre une cure exclusivement pour
les yeux et qu'il faut soigner la tête en même temps si l'on veut remettre les
yeux en bon état et que de même, imaginer que l'on puisse soigner la tête seule, indépendamment de tout
le corps, est une pure folie.»
(Platon - 427-347av. J.- C - "Les Charmides")-
N.B. Une partie du travail en psychothérapie réalisé par Anne De Vreught
et Baudouin Labrique intègre l'anglé
psychobiologique
qui permet
précisément d'unir corps et esprit ; c'est certes en lien
avec la psychosomatique (médicale) dont l'étendue du champ d'investigation
est bien trop restreinte en médecine dans ce qu'elle se cantonne la
plupart du temps dans une indécrottable vision matérialiste et
rationaliste
(pourtant de nature
révisionniste).
Entre autres
autoguérisons que leur approche incluant un tel angle a facilitées,
voici la relation
remarquable de deux cas
de patients
parkinsoniens que Baudouin et Anne ont accompagnés dans la guérison .
Lire aussi : "La
démarche scientifique matérialiste et rationaliste aboutit à une immanquable
impasse".
|
Retour au début de
cette page
Réaction à l'article
"La chimiothérapie change
le métabolisme du cerveau"
voir
http://www.7sur7.be/hlns/cache/fr//det/art_270948.html
Voici en substance la réponse que j'a envoyée à ce journal
"Bonjour,
Je pense
que diffuser une telle information peut engendrer de graves conflits de
diagnostic chez des personnes qui, ayant "bénéficié" d'une chimiothérapie
n'en ont apparemment pas eu de tels effets à supposer qu'il faille mettre
sur le compte de la chimiothérapie la responsabilité de tels effets !
En
psychothérapie, nous appelons un conflit de « diagnostic » ou de
« pronostic » une réaction souvent suivie d’une somatisation (maladie,
aggravation de symptômes, dépression etc.) liée au fait qu’on croit alors
par exemple être atteint de ce qui est écrit, en l’occurrence, la « confusion
mentale ».
De plus, il
s'agirait (encore) de nous faire avaler (encore) une de ces "vérités
révélées" dont la Science
officielle
s'évertue trop souvent, à mon goût, à nous balancer , aussi je rejoindrais
le professeur de philosophie des sciences (Berkeley) Paul Feyerabend
quand il
dit :
" La science est la plus récente, la plus
agressive et la plus dogmatique des institutions religieuses."
(...)
"L'idée que la science peut, et doit, être organisée selon des règles
fixes et universelles est à la fois utopique et pernicieuse. Elle est
utopique, car elle implique une conception trop simple des aptitudes de
l'homme et des circonstances qui encouragent, ou causent, leur
développement. Et elle est pernicieuse en ce que la tentative d'imposer de
telles règles ne peut manquer de n'augmenter nos qualifications
professionnelles qu'aux dépens de notre humanité. En outre, une telle idée
est préjudiciable à la science, car elle néglige les conditions physiques et
historiques complexes qui influencent en réalité le changement scientifique.
Elle rend notre science moins facilement adaptable et plus dogmatique :
chaque règle méthodologique étant associée à des hypothèses cosmologiques,
l'usage de l'une nous fait considérer la justesse des autres comme allant de
soi. Le falsificationisme naïf tient ainsi pour acquis que les lois de la
nature sont manifestes, et non pas cachées sous des perturbations d'une
ampleur considérable; l'empirisme, que l'expérience des sens est un miroir
du monde plus fidèle que la pensée pure; le rationalisme, enfin, que les
artifices de la raison donnent de meilleurs résultats que le libre jeu des
émotions (...)" (...)" La science est beaucoup plus proche du mythe
qu'une philosophie scientifique n'est prête à l'admettre. C'est une des
nombreuses formes de pensée qui ont été développées par l'homme, mais pas
forcément la meilleure (...) "
Scientisme
"Le scientisme est défini comme le triomphe prétendu de la science
contre toute forme de subjectivité. Sa confiance en l’unité des savoirs
n’a d’égale que sa confiance en l’avenir de l’humanité (ce sont là deux
formes de finitisme). Par sa méthode, sa rigueur, son langage univoque, il
prétend unifier tous les savoirs en un seul discours, le plus souvent
physique, et orienter socialement et politiquement sa théorie pour
s’emparer du monopole de l’universel, du sens unique de l’absolu et de
l’avenir construit de l’humanité tout entière." Benoît Spinosa, Quelques
remarques sur la notion de scientisme (conférence)
Voici un extrait d'un livre (°) qui résume à merveille l'état d'esprit au
sujet du rôle de la Science, d'un nombre trop important de posteurs sur les
forums scientifiques comme ceux des Zététiciens, et repris sous le
sous-titre « Le scientisme et la méthode miraculeuse » :
"Etant
donné l’influence du scientisme, plusieurs d’entre nous ont aussi tendance à
douter de tout, sauf de ce qui est scientifiquement prouvé, et à croire à
tout ce qui est scientifiquement prouvé."
(°) Il appartient à la collection intitulée "Méthodes en sciences humaines"
:
La démarche d'une recherche en sciences humaines : De la question de
départ à la communication des résultats, par François Dépelteau, aux Ed. De
Boeck Université (spécialisées dans les sujets scientifiques et attachée à
l'Université Libre de Bruxelles), p.8.
Voici l’avis de
Ivan
Krakowski, directeur du service interdisciplinaire de soins de
supports en oncologie au Centre Alexis Vautrin (CLCC de Nancy),
auditionné en commission d'enquête du Sénat français (19 décembre 2012):
« L’absence de preuve n’est pas la preuve de l’absence d’efficacité » ;
il est donc fallacieux, comme le font les scientistes et autres Zététiciens,
de vouloir décréter que seules les thérapies ayant prouvé scientifiquement
leur efficacité sont efficaces, ce qui exclut donc les autres.
Voici l’avis du Pr Nicolas Duruz, (Institut de Psychologie de l’université
de Lausanne) concernant l’évaluation des psychothérapies et qui est tronqué
lorsqu'on veut les faire passer sous les fourches caudines des
expérimentations scientifiques :
[...] depuis quelques années, on assiste à un retour quasi
fondamentaliste de type scientiste,
qui cherche à nettoyer le champ psychothérapeutique de toute pratique non
scientifique. [...] La preuve scientifique de l’efficacité d’un
traitement est considérée comme acquise dans la mesure où cette efficacité a
été mise en évidence dans le cadre de dispositifs expérimentaux [...] qui
exigent un groupe homogène de patients, lequel doit être comparé à un groupe
contrôle sans traitement, avec
placebo
ou traitement alternatif, et être soumis à un processus thérapeutique
standardisé et contrôlé par un manuel [...]. L’application de la
méthode expérimentale pour apporter la preuve scientifique de l’efficacité
ne convient pas à certaines formes de psychothérapie où les critères de
changement, comme la nature du processus thérapeutique, ne se laissent pas
objectiver aussi simplement, voire naïvement. Utiliser ces seuls critères
pourrait conduire à ce que ces psychothérapies, ne pouvant pas être l’objet
de recherches dites scientifiques selon la méthode expérimentale, soient
ipso facto exclues de la liste des traitements reconnus.
Rien ne
prouve en plus " ad vitam aeternam" que derrière ce que les scientifiques
appellent de la "confusion mentale" cela soit dû uniquement à cause de
substances chimiques etc.
Plus de sagesse, d'humilité voire de bon sens seraient à
mettre en avant :
"La science ne prouve que dans
l’instant présent, ce qui pourra être faux dans le futur."Isabelle
Burnier
Exemples extraits du Larousse de 1909 : "Aviation: utopie de certains
chercheurs"
et en 1914 on faisait la guerre avec
!
La société des sciences de l'époque à décrété "nous ne serons pas
dupe d'un ventriloque"
lorsque le premier gramophone lui fut présenté.
Dans l'éditorial d'un N° de la revue de sociologie de ULB en 1980 on
pouvait lire
sous la plume d'un brillant chirurgien de l'époque .
"Il est temps que l'on arrête ces pratiques de sorcelleries comme
l'acupuncture et l'homéopathie"
Dans
l’approche psychobiologie qui est la mienne et qui s’inspire des découvertes
d’éminents scientifiques comme le Pr Henri Laborit, Hans Selye etc. (MN
et, BT etc.), on observe que lorsqu’un conflit psychique n’arrive pas à se
résoudre rapidement, il se traduit par une somatisation (malaise, mal-être,
maladie etc.).
Nous observons
alors que cela est un sorte de transfert symbolique dans le corps de ce
conflit psychique :
c’est alors
l’expression d’un programme de survie.
(plus de
détails sur
www.retrouversonnord.be/Psychobiologie.htm
et sur les
recherches du Pr Henri Laborit :
www.retrouversonnord.be/InhibitionActionLaborit.htm)
Nous sommes
davantage enclins à voir
ans ce type
de symptôme qu’est la « confusion mentale »
l’expression d'un conflit psychobiologique
(transfert du psychisme dans la biologie), le cerveau restant le seul maître
du jeu dans près de 100 % des cas.
Voir aussi ce que la peur au strict niveau biologique
risque d'entraîner comme somatisation.
cf.
www.retrouversonnord.be/peur.htm
Dès lors,
je pencherais plutôt pour croire qu'il s'agit d'une réaction psychique du
patient suite à sa chimiothérapie
et de la
manière dont il l'a vécue, mais comme en psychothérapie, selon mon approche,
il ne faut s'en tenir qu'aux stricts ressentis du patient, il faut se garder
donc de toute projection, interprétation...
Pour moi le
patient sait tout et il me dira tout si j'arrive à bien faire mon travail et
s'il m'en donne effectivement l'accès (conscient et inconscient).
D'ailleurs
le fait que les scientifiques ne sont déjà pas d'accord en eux (science
"exacte" vous avez dit !) et qu'ils obtiennent donc des "résultats" la
plupart du temps très divergents, est de nature à penser que le facteur
psychique est sinon, le seul à prendre en compte, du
moins incontournable dans l’analyse des malaises et autres maladies.
Cette
divergence est d’ailleurs présente dans cet article :
"Les spécialistes estiment qu'au moins
25% des femmes ayant eu un cancer du sein et
traitées par chimiothérapie ont des
symptômes de confusion mentale et, selon une étude récente de l'université
du Minnesota, ce taux serait de 82%" ; cherchez encore
la logique supérieure qui préside à cela i
Il faut
aussi tenir compte qu'en science, ce qui est vrai aujourd'hui ne sera plus
nécessairement vrai demain, nos chers scientifiques nous en ont donné des
exemples à profusion et sans que cela ne les gêne en aucune manière ! (voir
P.S.)
Alors
prudence évidente donc à diffuser ce type d'article voire ne pas le
diffuser du tout !
"Primum nil
nocere" (d’abord ne nuire en rien) et qui ne devrait pas être
seulement réservé à la gent médicale !
Ne tombons
pas dans le piège de prendre les arguments de la science a contrario pour
(faire) croire qu'on pourra ainsi légitimer l'approche psychobiologique dans
ce qu'elle n'engendre (notamment) pas d'effet toxique quand elle est
bien menée bien sûr ! Voir les dérives de la
Biologie-Totale, entre autres !
cf.
www.retrouversonnord.be/BTouimais1.htm
Bien à
vous, Baudouin Labrique, psychothérapeute"
(Aucune réponse reçue à ce jour).
Retour au début de
cette page
humour
rigueur
HUMOUR
LA RIGUEUR SCIENTIFIQUE
selon Pierre Desproges
Textes de scènes (1988)
Ce n'est pas moi qui l'affirme, Dieu me retourne,
c'est Fucius qui l'a dit (et il avait oublié d'être con) : "Une civilisation
sans la Science, ce serait aussi absurde qu'un poisson sans bicyclette".
Aussi bien allons-nous procéder scientifiquement.
Pour savoir si Nantes est bien en Bretagne, prenons une Nantaise. Une belle
Nantaise. L'oeil doit être vif, le poil lisse. Portons-la à ébullition. Que
constatons-nous ? Nous constatons que la Nantaise est biodégradable. De
cette expérience nous pouvons immédiatement tirer une conclusion extrêmement
riche en enseignements, que je résumerai en une phrase : "Nantaise bouillue,
Nantaise foutue".
C'est prodigieusement intéressant direz-vous, pour
peu que vous soyez complètement tarés, mais cela ne nous dit pas avec
précision si la Nantaise est bretonne, ou con, ou les deux.
Qu'à cela ne tienne.
suite
Nous allons procéder à une deuxième expérience. Pour
cette expérience, nous n'aurons pas besoin d'une Nantaise. Son petit chat
suffira (quand je dis chat, je pense au minou, pas à la chatte). En effet,
comme tout le monde le sait, les chats authentiquement bretons sont les
seuls chats au monde qui transpirent. Si nous arrivons à démontrer que les
chats de Nantes transpirent, nous aurons par là même prouvé au monde médusé
par tant de rigueur scientifique que les chats de Nantes sont bretons. Or si
les chats sont bretons, les Nantaises aussi, ou alors il y a de quoi se
flinguer.
Donc prenons un chat nantais, que nous appellerons A
pour plus de commodité. A l'aide d'un entonnoir que nous appellerons
Catherine, en hommage à Catherine de Médicis dont la contenance stupéfia son
époque, et que nous lui enfonçons profondément dans la bouche, gavons-le de
deux ou trois litres de white spirit. Attention : la pauvre bête va souffrir
atrocement, c'est pourquoi nous vous conseillons de lui couper préalablement
les pattes ou de mettre des gants de cuir avant de commencer le gavage.
Quand minou est gonflé de white spirit, prenons un
mérou, que nous appellerons François, parce que certains l'appellent
François. Portons-le à ébullition. Tandis que le mérou bout, approchez-vous
du chat. Enflammez une allumette. Que se passe-t-il ? Eh bien c'est simple,
quand le mérou bout le chat pète, alors qu'au contraire, quand le chat bout,
le mérou... pauvre animal.
Alors, alors, bande de nullités ignares, qu'est-ce
que cela prouve scientifiquement ? Tout simplement, cela prouve à l'évidence
que le chat nantais est bien un chat breton. Car si ce chat gavé d'essence
explose près d'une flamme, cela prouve bien qu'il transpire, non ? Et s'il
transpire, c'est qu'il s'agit bien, CQFD, d'un chat breton, car seuls les
chats véritablement bretons sont poreux, comme le souligne magnifiquement le
splendide hymne de la Bretagne libre :
Ils ont des chats poreux, vive la Bretagne.
Ils ont des chats poreux, vivent les Bretons.
[En fait, titre de la chanson populaire ancienne :
"Ils ont les chapeaux ronds vive la Bretagne ils ont les chapeaux ronds vive
les Bretons"]
Croyez-moi, seule la science...
Lisez, relisez...
Vivons heureux en attendant la mort,
Pierre Desproges, © Editions du Seuil, Novembre 1983
|
Varella
Retour au début de
cette page
------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Ce qui expliquerait la survenance des maladies :
Ce qui se passe lorsque la peur
de... (exemple : attraper une maladie) ne se résout pas.
Un cas
surprenant : un cytomégalovirus qui fait
une volte-face étonnante !
Exemple de guérison avec l'aide de la psychobiologie (col de l'utérus)
D'autres cas de mal-à-dire qui se forgent dans le
ventre maternel.
Les
hamsters enfumés (tabac) attrapent-ils
le cancer
Le cerf qui perd son territoire et l'infarctus
?
"Le langage de la guérison"
(J.-J. Crèvecoeur)
Ce qui se passe lorsqu'une
brebis s'égare.
Ne vous agrippez pas à la grippe !
Là où la psychobiologie moderne rentre en résonance avec les médecines
primitives :
"Que notre vie intérieure s’enlaidisse et nous risquons fort de tomber
malades ? (...)
On sait bien que les traumatismes
affectifs, les ruptures, les non-dits graves, les amertumes, les haines…
sont autant de “laideurs intérieures”, qui provoquent notamment des
cancers" :
lire le
passionnant article de Nouvelles Clés en annonce du livre
"Les Clés de
la santé indigène" (Jean-Pierre Barou & Sylvie Crossman aux éd.
Balland).
Cette page est classée en tête sur Google sous
la recherche "chimiothérapie"
Retour au début de
cette page
Principaux domaines abordés sur le site Retrouver son Nord :
Santé -
Dépendances - Couple -
Famille -
Habitat - Développement personnel
Si vous voulez faire connaître ce site à des connaissances,
avertissez-les en cliquant
ici
et envoyez leur tel quel le message
ou avec un petit mot d'accompagnement.