Comment se forgent les croyances limitantes
dans le ventre maternel et ensuite...
(avec des exemples vécus)
Foetus à quatre mois
Ignorer les événements qui se sont passés avant votre naissance, c'est rester
toujours enfant.
Cicéron (106-43 av. J.C.)
Les travaux de Pinel ont permis de comprendre que le champ morphique immatériel qui nous constitue
(résultat de nos croyances) est une grande partie de ce qui est constitué par le "formatage"
réalisé pendant notre période CGN (conception-grossesse-naissance)
puis lors de notre enfance et plus tard généré l'environnement
et modifiant tout en l'adaptant ce qui constitue en partie notre propre "terrain"
Tout cela laissera peu de place à notre libre arbitre, ce qui fait dire au grand mathématicien Pinel que
"Nous sommes le résultat de nos pensées passées non adaptées
au présent".
C'est ainsi que notre personnalité etc. qui changent à chaque instant
en fonction des informations "acceptées", engrammées la plupart du temps inconsciemment
et s'expriment dans l'espace temps de la matière.
On sait qu'une des lois de survie de la nature est précisément l'adaptation au milieu ;
à nous d'en prendre librement conscience et surtout de l'actualiser au quotidien
pour reprendre davantage les rennes de notre existence... car :
" la plus importante et la plus négligée de toutes les conversations,
c'est l'entretien avec soi-même. " Chancelier Oxenstiern.
Quant au thérapeute digne de ce nom, il doit pratiquer constamment ce que Jacques Salomé disait
« Ecouter quelqu’un, c’est lui permettre d’entendre ce qu’il dit »
Un gamin
regarde sa mère enceinte se dévêtir...
« Dis Maman, pourquoi tu as un gros ventre ? »
Sa maman répond : « C'est parce que papa m'a donné un petit bébé. »
Le gamin sort de la chambre et s'en va retrouver son père
pour lui demander :
« Papa, c'est vrai que tu as donné un petit bébé à maman ? »
« Oui », lui répond tendrement son papa.
« Hé bien, elle l'a mangé ! »
Contenu de cette page avec des liens directs vers les sujets : Dernières mises à jour :¨ Quelles sont les perceptions du fœtus ? L'importance de la parole adressée à l'enfant durant la grossesse. Pourquoi le couple est-il chargé de si fortes attentes ? Relation mère/fœtus et mère/bébé (jusqu'à un an) L'importance de la relation précoce mère/bébé dans la vie conjugale. Le père transmet aussi ses comportements au foetus (découverte scientifique) ¨ Ce que cette page apporte sur le plan thérapeutique
ou des mémoires stockées dans le "ventre maternel" : Des
promenades en forêt problématiques. Un cytomégalovirus qui fait une volte-face surprenante. Un cancer du sein après le départ du mari. ¨ Sommeil perturbé, secret de famille et mémoire des murs, des objets |
Pour mieux comprendre et saisir l'importance et la portée future de tout ce qui est vécu durant cette période
voici les observations suivantes prise d'un cours de psychologie (sous le titre 1)
et des extraits du livre de Vivre heureux en couple de Jacques et Claire Poujol ( sous le titre 2) :
1. Extraits d'un cours de psychologie :
"
Les perceptions du fœtus
On peut supposer qu'à partir du 3° mois le foetus est sensible à tout ce que
la mère vit et ressent à l'intérieur de son corps ; les joies et les angoisses
ainsi que les modifications physiologiques du ventre maternel.
Conjointement à ces perceptions internes, l'enfant ressent également des perceptions
venant de l'extérieur du ventre maternel ; les ondes du rythme cardiaque ou
les sons et les bruits (la voix de la mère, mais aussi tout ce qui constitue
l'environnement sonore proche).
L'enfant existe donc déjà par sa sensibilité à son environnement qui le prépare
à la naissance, il s'ouvre déjà au monde et aux autres qu'il rencontrera et
avec qui il communiquera.
L'importance de la parole adressée à l'enfant durant la grossesse
° Nikos Drakos Computer Based Learning Unit University of Leeds. March 26, 1999
2. Ces lignes sont extraites du livre Vivre heureux en couple de Jacques et Claire Poujol :
LA RELATION DU BEBE AVEC LA MERE
Pourquoi
le couple est-il chargé de si fortes attentes (ce qui d’ailleurs le fragilise)
? Pourquoi beaucoup en espèrent-ils le nirvana sexuel et émotionnel, l’extase
d’une fusion amoureuse sans faille ? Pourquoi attendons-nous de notre partenaire
l’épanouissement personnel, l’ accomplissement de nos rêves et de nos idéaux,
le bonheur absolu, la symbiose parfaite ? Mais pourquoi, aussi, changeons-nous
si vite d’opinion au sujet de la personne qui partage notre vie, la considérant
à un instant donné comme totalement bonne » et, l’instant d’après, comme «
totalement mauvaise » ? Tout simplement parce que ce bonheur et cette symbiose,
nous les avons déjà vécus une fois dans notre existence, dans le ventre de
notre mère, mais que très vite nous avons été désillusionnés : la symbiose,
la fusion totale, n’ont pas duré longtemps, neuf courts mois seulement. Dès
notre venue au monde, notre mère nous a alternativement satisfait et frustré,
et nous a semblé tour à tour « toute bonne » ou « toute mauvaise ».
A. LA RELATION MERE/FOETUS ET MERE/BEBE (JUSQU’A UN AN)
Pendant
la vie intra-utérine, le foetus vit une situation extraordinaire qui ne se
reproduira jamais plus : sans même qu’il ait à exprimer ses besoins, quatre
éléments à la fois réels et symboliques le comblent : le cordon ombilical
lui permet d’expérimenter la relation, l’acceptation, le placenta le nourrit,
il flotte en toute sécurité dans le liquide amniotique (ne dit-on pas « ça
baigne » pour exprimer une entente parfaite ?). Enfin il satisfait son désir
de plaisir auto-érotique en suçant, déjà, son pouce. A la naissance, qui est,
selon Otto Rank , un « traumatisme », il quitte pour toujours cette plénitude,
ce paradis. Mais il va instaurer un lien privilégié avec sa mère, lien qui
a passionné les psychanalystes. Il est entièrement dépendant de sa mère, au
point que Winnicott a pu dire : « Un enfant seul, ça n’existe pas. »
Pour Freud, le bébé aime sa mère non pas comme étant distincte de lui, mais
comme étant lui-même. Il n’aime en réalité que lui-même, c’est le narcissisme
primaire.
Pour Michael Balint, l’amour que le tout-petit porte à sa mère est un amour
primaire. Lorsqu’il vit les inévitables frustrations (la tétée tarde à venir
ou bien elle ne le prend pas dans ses bras lorsqu’il le voudrait), naît le
défaut fondamental », qui restera en lui pour toujours. C’est comme la cicatrice
que laisse la désillusion de la symbiose parfaite. Le bébé retourne son investissement
sur lui-même, c’est le narcissisme. Et surtout il lui en restera une nostalgie
qui le poussera à rechercher sans cesse la relation parfaite. Chacun de nous
sait que cette relation parfaite (appelée unité-couple par R. Barande ) existe,
puisqu’il l’a vécue un jour. Il recherchera dans le couple la cicatrisation
de cette désillusion de l’union parfaite.
L’originalité de Mélanie Klein , psychanalyste d’enfants, est d’avoir montré
que la relation mère-enfant est imprégnée de tragique : le bébé ressent pour
sa mère, très tôt et simultanément, de l’amour et de la haine. Il l’ aime
totalement ( il lui sourit ) quand elle le satisfait et la déteste aussi totalement
l’instant d’après ( il hurle de rage ) quand elle le frustre, par exemple
en lui retirant le sein et en le recouchant après la tétée.
- L’amour : Le nourrisson expérimente une plénitude comblante où l’on retrouve
trois éléments : la relation à une personne, le fait d’être nourri et la satisfaction
érotique (succion du pouce). Cette plénitude est oubliée par sa mémoire consciente,
mais définitivement inscrite dans son inconscient. Plus tard, il sera ainsi
poussé à lier dans un même bonheur le plaisir et l’amour. A cause de cette
expérience primitive, aucun être humain ne recherche le plaisir sans un partenaire.
R. Barande dit que notre personne comporte un creux, qui est la place de l’
autre. Si cet autre n’est pas (ou plus) réel, il est rêvé. La masturbation,
par exemple, dite « plaisir solitaire », est en réalité accompagnée de fantasmes
de relation à un autre. Celui qui s’attable devant un repas gastronomique
tout seul en ressent un certain malaise, un manque. Si une personne dit :
« Je n’aime pas » ou « Je n’aime plus », on peut se demander : « Qui aime-t-elle
? » Car forcément quelqu’un, ou quelque chose, remplit le creux, même si c’est
un « autre » inconscient, irréel, idéalisé.
- La haine : Les recherches de Mélanie Klein l’ont amenée à distinguer deux
périodes dans la première année du tout-petit. Jusqu’à trois ou quatre mois,
le sein maternel (c’est-à-dire la mère, ou la personne qui s’occupe de lui),
n’est pas reconnu par le nourrisson dans son unité, il est clivé, partagé
en un bon sein et en un mauvais sein :
Lorsqu’il apporte plaisir et amour, il est le « bon sein aimé », sur lequel
le bébé projette les pulsions de vie qui sont en lui, sa libido.
Lorsqu’il se refuse, ne satisfait pas et frustre, il est le « mauvais sein
haï et persécuteur », sur lequel il projette son agressivité, tout ce qu’il
sent en lui-même de mauvais et de dangereux pour son « bon moi ». Ayant ainsi
mis en dehors de lui-même ce mauvais sein, il se donne la permission de le
détester. Si l’enfant juge que ce sein est méchant, c’est parce que sa pulsion
de mort lui donne la capacité d’imaginer la méchanceté. En même temps qu’il
clive (partage) le sein maternel, l’enfant se clive aussi lui-même en un bon
moi et un mauvais moi.
Il va s’efforcer de garder en lui, protéger, aimer, le bon moi contenant ce
qui est bon, la pulsion de vie.
Quant au mauvais moi, qui contient ses pulsions d’agression et de persécution,
il le « projette » sur le sein de la mère et ainsi l’expulse. Ainsi il met
en place un mécanisme de défense contre l’angoisse que son bon moi soit persécuté
et anéanti.
En général, dans la vie d’un nourrisson, les bons moments de fusion, de plaisir,
d’amour, sont plus fréquents que les mauvais, ce qui lui permet de comprendre
peu à peu que sa propre pulsion de vie (son bon moi) est plus forte que sa
pulsion de mort (son mauvais moi). Il deviendra ainsi apte à aimer et à s’aimer.
Le souvenir de ces mécanismes qui lui ont été utiles va rester dans son inconscient.
Devenu enfant ou adulte, chaque situation nouvelle, difficile ou angoissante
l’incitera à intérioriser un bon objet, et à repousser sur des mauvais objets,
des boucs émissaires, ce qui ne lui plaît pas en lui, dans son couple ou dans
son groupe. Vers le quatrième mois et jusqu’à douze mois, une meilleure organisation
des perceptions permet à au bébé de mieux se situer. Il appréhende sa mère
dans sa totalité, en tant que personne distincte de lui, parfois présente
et parfois absente, et qui a des relations avec d’autres que lui. Il découvre
que la mauvaise mère et la bonne mère ne font qu’une, que le sein qui le frustre
est le même que celui qui le satisfait, que sa mère est tour à tour bonne
et méchante. Cette ambivalence qu’il expérimente, en aimant sa mère et en
la haïssant tout à la fois, en projetant sur elle aussi bien sa pulsion de
mort que sa pulsion de vie, est génératrice de culpabilité. D’où le développement
du désir de réparer les dommages qu’il lui crée dans ses fantasmes. Cette
mère, puis-je l’aimer pour ce qu’elle donne et la haïr pour ce qu’elle refuse
? Suis-je normal de ressentir pour elle deux sentiments aussi opposés que
l’amour et la haine ? (Cette culpabilité inconsciente sera réactivée au moment
de l’oedipe, quand la mère sera l’objet désiré mais interdit.)
Si la mère reste nourricière et continue à donner la même qualité de soins
au bébé, celui-ci sera sécurisé par ses paroles, ses retours fréquents et
bienfaisants vers lui. Il verra qu’elle n’a pas été détruite par son agressivité
: celle-ci n’est pas mauvaise, il peut l’exprimer. Enfant puis adolescent,
il devra apprendre qu’il peut exister en dehors de sa mère, sans que celle-ci
cesse d’exister. Cette culpabilité qui est l’expression d’une ambivalence
affective doit être considérée comme un élément normal de la personnalité.
Si elle est bien gérée par la mère (elle continue à s’occuper du bébé même
s’il hurle et trépigne de rage), elle va le construire. Si elle est mal gérée
(la mère ne réapparaît pas, elle donne des soins insuffisants et de manière
irrégulière), elle risque de le détruire.
B. L'IMPORTANCE DE LA RELATION PRECOCE MERE/BEBE DANS LA
VIE CONJUGALE
Renée
Marti, psychologue clinicienne et psychothérapeute de couple, écrit : « Prototype
de toute relation, celle du bébé à sa mère éclaire ce que nous savons de la
relation amoureuse. Cette relation est non seulement la première dans le temps,
mais aussi primordiale par son intensité et son aspect total. Elle va tracer
dans le psychisme de l’être humain un sillage qui ne s’effacera plus. Première,
cette relation le restera dans nos fantasmes. Les mécanismes qu’elle aura
mis en place ne cesseront de fonctionner. »
Effectivement, nous revivons (inconsciemment) avec notre conjoint la relation
primitive avec celle qui nous a donné la vie. Le premier intérêt d’étudier
cette relation est qu’elle explique le mélange d’amour et de haine que les
partenaires éprouvent l’un pour l’autre. Mélanie Klein affirme qu’à cause
du lien précoce avec sa mère, tout être humain garde dans son inconscient
à la fois le désir de faire du mal à l’ être aimé et la peur de lui nuire.
Nous ressentons vis-à-vis de celui-ci la même ambivalence amour/haine que
nous éprouvions vis-à-vis de notre mère.
Si c’est la peur qui domine, tout attachement sera impossible, comme c’est
le cas pour les « don Juan » pour qui aimer durablement serait risquer de
détruire la mère, détruire l’être aimé. Il nous faut accepter et intégrer
cette ambivalence amour/haine. Si nous n’ admettons pas notre pulsion d’agressivité
et de mort, nous ne pouvons pas vivre non plus notre pulsion d’amour et de
vie. Mais si nous trouvons le compromis entre la sexualité agressive, dangereuse,
et celle qui rend heureux, soigne et guérit, nous trouvons notre équilibre
amoureux et affectif.
Pourquoi n’admettons-nous pas nos pulsions agressives ? Pour Freud, c’est
parce que nous les refoulons. Il avait déjà perçu ce lien constitutionnel
entre l’amour et la haine : « Toute relation affective intime entre deux personnes
laisse un dépôt de sentiments hostiles dont on ne peut se débarrasser que
par le refoulement. » Or si notre Surmoi (l’instance morale en nous) nous
fait refouler les fantasmes de haine envers notre conjoint, par crainte de
culpabiliser, cela peut conduire à nous interdire tout fantasme, donc aussi
celui de l’amour. On ne peut se laisser aller à aimer si on s’interdit de
haïr. C’est pourquoi consulter un conseiller conjugal est si utile à des partenaires
en crise. En effet le psychothérapeute leur rend le droit d’ exprimer leurs
fantasmes de haine, et donc aussi leurs fantasmes d’amour. Ils ont la permission
de le haïr, car il entend et supporte l’agressivité en toute sérénité ; celle-ci
peut donc s’exprimer librement, soit entre les conjoints, soit vis-à-vis de
lui. Ils apprennent que leur haine ne l’effraie pas, et ne le tue pas. L’agressivité
lui semble normale et utile.
Un second intérêt d’étudier l’interaction mère/enfant est que celle-ci aide
à comprendre l’évolution de la vie amoureuse. Le clivage entre le bon sein
et le mauvais sein correspond, pour le couple, à la période où l’homme et
la femme « tombent amoureux ». Les moments de fusion totale alternent avec
des crises de colère. Les amoureux croient ne faire qu’un et exigent que leurs
souhaits soient exaucés sans même avoir à les exprimer : « Si tu m’aimais
vraiment, tu aurais deviné que j’avais envie de » . Pourquoi dois-je toujours
te dire quand j’ai besoin que tu t’occupes de moi ? »
Le rapport à l’être aimé, comme celui à la mère, s’apparente alors à la toute-puissance
magique, le langage étant même superflu. « Nous nous comprenons même sans
nous parler. » Puis la réalité du « défaut fondamental » va s’imposer. De
même que l’enfant découvre qu’il n’est pas sa mère, que sa mère n’est pas
lui, qu’il doit apprendre un langage pour exprimer ses désirs, de même je
découvre que l’ être aimé est autre, qu’il faut parler, communiquer avec lui,
demander pour obtenir. Il faut se situer en Sujet désirant, dire JE. La désillusion
est dure. Il ne devine pas tout ! Je vais devoir surmonter les malentendus,
m’exprimer clairement, écouter aussi ce qu’il me dit. J’avais épousé ce qu’il
me semblait être un « bon conjoint idéalisé ». Mais je dois accepter le fait
que mon « conjoint réel » n’est pas « tout bon » (ni d’ailleurs « tout méchant
»). L’être aimé à la fois me donne et me frustre, exactement comme le faisait
ma mère. J’aime une personne qui n’est pas parfaite et je l’accepte, sans
sombrer dans la haine. « Ce n’est qu’au-delà de cette acceptation du réel
que le plaisir et la satisfaction redeviennent possibles, car c’est en dernier
ressort la résistance à la frustration qui conditionne notre aptitude au bonheur
», dit Freud. Je sais que notre lien amoureux inclut l’amour et la haine,
la fusion et l’agressivité, et j’accepte cette ambivalence, car les bons moments
où je revis l’extase de la fusion amoureuse (l’intimité sexuelle par exemple)
sont plus intenses que les mauvais. C’est ce qui fait que dans mon couple
les pulsions de vie, d’amour ont le dessus sur les pulsions de mort, de destruction.
Un couple mûrit lorsqu’il intègre ces réalités. Il perdure lorsqu’il apprend
à passer continuellement de la fusion (sexuelle, affective) à la distanciation,
de la dépendance à l’autonomie et réciproquement. Car le désir renaît sans
cesse du manque, et s’il n’y a pas de manque, si on est toujours ensemble,
dans la fusion, le désir s’éteint. Mais que se passe-t-il si le couple n’y
parvient pas ? S’il m’est insupportable de découvrir que l’être aimé n’est
pas le « conjoint idéalisé » que j’attendais ? Si de « tout bon », j’en suis
venu à le considérer comme étant « tout mauvais » ? Si je n’arrive pas à passer
du stade des clivages au stade de l’ambivalence ? Alors il ne me reste plus
que l’issue de la haine. Et si je ne pouvais pas changer de mère, en revanche
je peux changer de partenaire ! Je me sépare donc de lui, et je me remets
en couple avec quelqu’un d’autre. Cette fois, c’est sûr, ce sera le bon !
Mais tôt ou tard le même problème se reposera avec lui, et avec d’autres encore
éventuellement. Ou alors, en nous disant « Ça va souder notre foyer », nous
décidons d’avoir un enfant. En réalité nous transférons sur ce dernier cette
quête de fusion parfaite, mais la venue d’un enfant n’a jamais fait passer
un couple du stade infantile au stade adulte.
C’est un des rôles d’un conseiller conjugal ou d’un psychothérapeute que
d’aider les époux à ne plus vivre d’images idéalisées, mais à accepter la
réalité de l’autre tel qu’il est. "
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LA RELATION DU FOETUS AVEC LE PERE : une (re)découverte scientifique (2008)
Des biologistes ont démontré qu'une altération dans l'expression des gènes, sans qu'il n'y ait de changement dans les gènes eux-mêmes, suffit à transmettre des valeurs et des comportements du père au foetus et ce, même si le père est totalement absent de la vie de l'enfant après la naissance. (Article disparu du Net, de Mathieu Perreault, )
Les pères ne lèguent pas seulement leurs gènes à leurs enfants. Ils leur
transmettent aussi leurs valeurs et des comportements issus des expériences
qui les ont marqués. Ces dernières années, des biologistes ont montré que
cette transmission se fait directement au foetus, même si le père est
totalement absent de la vie de l'enfant après la naissance. On a pu aussi
scientifiquement démontrer que les vécus de toute la famille côté père et côté
mère sont transmis aussi dans les gènes (la
"mémoire" génétique d'un événement peut traverser les générations).
« Quand j'ai vu mes premiers résultats, dans les années 70, je n'y croyais pas
moi-même », explique Gladys Friedler, professeure à l'École universitaire de
médecine de Boston, en entrevue au congrès annuel de l'Association américaine
pour l'avancement des sciences.
« J'avais rendu des rats dépendants à la
morphine. Puis, je les ai accouplés avec des femelles parfaitement saines. Les
souriceaux qui sont nés avaient un faible poids, et avaient des problèmes de
comportement, comme si leur mère avait pris de la morphine durant la
grossesse. »
Le problème, c'est que la prise de morphine ne peut théoriquement pas
endommager le matériel génétique des spermatozoïdes. L'effet observé par Mme
Friedler était « épigénétique »: le père transmettait à ses enfants une
altération dans l'expression de ses gènes, sans qu'il n'y ait de changement
dans les gènes eux-mêmes. « Mes collègues trouvaient que ça ressemblait trop
aux thèses de Lamarck, zoologiste français du début du XIXe siècle qui croyait
que les traits acquis pouvaient être transmis aux générations futures tout
autant que les traits innés. Si tel était le cas, l'évolution irait beaucoup
plus vite. »
Depuis, plusieurs autres études, sur des animaux comme sur les humains, ont
confirmé que des transmissions épigénétiques sont possibles de génération en
génération. Des ouvriers travaillant avec des substances toxiques comme le
plomb ou certains pesticides ont eu des enfants qui avaient des
caractéristiques similaires à celles qu'ils auraient eues si leur mère avait
été exposée à ces substances pendant la grossesse.
Transmissions de toutes sortes
Rien ne permet de supposer que la transmission épigénétique s'arrête aux
drogues et aux polluants, selon Mme Friedler. Un stress important vécu par un
homme, par exemple des mauvais traitements durant l'enfance ou un choc
post-traumatique à la guerre, pourrait provoquer des effets chez leurs enfants
à venir. Et ce, même s'ils ne sont jamais en contact avec leur père. Ce serait
en quelque sorte un équivalent des liens émotionnels entre une mère et son
foetus, avant la naissance.
Tout ce que la mère et le père transmettent,
c'est bien sûr aussi toutes les mémoires de l'arbre familial.
Oùtils complémentaires :
- Plus de détails sur le projet de nais-sens.
- Pour achever de vous convaincre de le pleine conscience du foetus et de son étonnante réactivité ,
découvrir ce qui est arrivé à ce célèbre chirurgien en train d'opérer un foetus de 21 semaines.
- Voir aussi le montage "De l'embryon à l'homme adulte, tout l'histoire de l'évolution",
en couleurs magnifiques.
- Mieux comprendre les lois de la transmission intergénérationnelle (famille) de la mémoire systémique grâce à la psychogénéalogie.
- "QUAND L’AUTRE VIT EN SOI…" (Greffe d’organe et mémoire cellulaire) : les “Changements de personnalité chez les transplantés
du cœur faisant écho à celle de leur donneur” qui sont des preuves incontestables de l'existence
et de la transmission de la mémoire
systémique.
- Identifier ce qui se trouve en amont des répétitions indésirables (la
plupart du temps basée sur des croyances inconscientes)
grâce aux Cycles Biologiques Cellulaires Mémorisés du Cerveau (CBCMC).
1° Des promenades en forêt problématiques
A la fin d'une conférence à Namur sur les conditions de naissance, une personne me fait part d'un problème qu'elle éprouve quand elle se promène en forêt ; chaque fois que le chemin qu'elle s'apprête à parcourir est en ne fût-ce que très légère descente, elle panique au point de ne pouvoir l'aborder qu'en se cramponnant aux arbustes qui le jouxtent. Je lui demande de me dire ce que sa mère a vécu, a ressenti au moment où elle sortait de son ventre. Immédiatement elle m'a dit "Ma mère m'a toujours dit qu'elle avait alors eu peur que je tombe par terre" et, se l'entendant dire, elle déclare alors avoir compris pourquoi elle avait à ce point peur quand elle devait entamer un chemin en descente. Une quinzaine de jours après, elle m'annonça que, dès le lendemain de la conférence, elle n'avait quasiment plus eu peur lorsqu'elle devait descendre en forêt.
2° Un corps "amputé"
A la fin de cette même conférence, une autre personne me demande les raisons pour lesquelles elle est née avec un bras en moins. Question posée : quel était le ressenti, entre autres la peur que sa mère a pu avoir durant la grossesse ; réponse qu'elle en fait et qui lui permet, se l'entendant dire, de comprendre l'origine de son infirmité : "ma mère m'a dit qu'elle avait eu peur que je naisse en morceaux !".
3° Une existence de misère
Une famille de parents millionnaires ont quatre fils ; adultes, trois d'entre eux vivent dans l'opulence. Le troisième de ces garçons est au chômage avec très peu de ressources financières etc. Comme on ne trouve rien qui explique cela dans son enfance et ce quia suivi, au cours de la séance en thérapie familiale qui suit, il demande à ses parents ce qui s'est passé durant sa grossesse et en quoi elle a été différente pour ses trois autres frères. Les parents ont alors déclaré qu'alors, le père avait fait faillite et on craignait le pire étant donné la subit survenance de pauvres moyens d'existence. Peu après sa naissance, le père a retrouvé toute sa fortune mais le "mal" était fait : la croyance limitante des parents a été bien engrammée dans le foetus. Une thérapie appropriée a permis à cet homme de se mettre sur le chemin de l'abondance.
A l'issue d'une conférence suivante où je raconte cette histoire, une dame me déclare qu'elle vient de comprendre pourquoi sa vie est aussi une existence de misère : son père disait toujours qu'avoir des enfants c'était apporter la misère ; elle portait donc sur elle la misère et ne pouvait ainsi que l'actualiser durant sa vie.
N.B. Un exercice salutaire que je vous propose est celui de 'identifier nos croyances limitantes pour mieux en débusquer les origines et ainsi se mettre sur le chemin de s'en libérer totalement (cf.cet outil).
4° Perclus d'eczéma
Un tout jeune garçon de moins de deux ans est perclus d'eczéma ("ex-aima") surtout au visage au point de se gratter "à sang". Les parents ont tout essayé : rien n'y a fait ; le garçon bénéficie alors d'une séance de Microkinésithérapie ; le microkinésithérapeute (Laurent Calderara) arrive à identifier un 'choc subi' et à le dater précisément, en très peu de temps : un conflit de séparation ("ex-aima") au sixième mois de grossesse et, ensuite, il l'efface en le apportant une correction appropriée grâce à cette technique (cela ne prend en tout que quelques minutes). Le thérapeute demande après à la mère ce qui a bien pu se passer comme choc subi durant le sixième mois de grossesse ; réponse : un accident de voiture suivi d'un coma durant plusieurs heures...
Chez les tous jeunes enfants, la libération d'un « mal à dire » se fait très rapidement, sans passer par une conscientisation autre que le fait d'en parler devant lui et/ou avec sa mère et d'en libérer les émotions rentrées (mémoire émotionnelle) ; en effet, le bébé, le tout jeune enfant sont en dépendance quasi totale de leur mère, voire en fusion psychologique : ce que la mère pourra faire de son côté avec succès (séance de psychothérapie appropriée, Constellations familiales...) pour se libérer d'une croyance, d'un conflit etc. qu'exprime l'enfant, libèrera celui-ci.
Si devenu adulte, il n'a pas bénéficié de cette libération, avec l'aide d'un psychothérapeute-accoucheur (maïeute), il peut encore se guérir de tels maux en présence de sa mère qui lui exprimera si possible avec émotions et ressentis exprimés, tout ce qu'il ignore sur la période C.G.N (conception-grossesse-naissance).
5° Un cytomégalovirus qui fait une volte-face surprenante
Un monsieur me fait part que sa femme, qu'il avait rencontré récemment, se retrouve rapidement enceinte de lui ; ils ne s'y attendaient absolument pas et penchent alors pour faire une I.V.G. ; il avaient certes projeté d'avoir un jour un enfant mais c'était trop tôt. Suite à des analyses médicales de routine, on découvre la présence d'un cytomégalovirus (CMV) chez la mère ; suivant ce que le corps médical en dit, la présence d'un tel virus entraîne dans la majorité des cas, la perte du foetus ou des malformations du foetus etc. (voir plus d'infos sur le cytomégalovirus au niveau médical). Entre-temps, le couple décide tout de même de garder l'enfant, fort de la nouvelle conviction qu'ils nourrissent alors : s'ils décident de le garder, réellement, le virus disparaîtra et n'aura causé aucun dégât ; je les invite à en faire la demande dans le cadre d'un rituel à mettre au point personnellement en activant alors toutes les "Energies" auxquelles ils adhèrent.
Grâce aux découvertes scientifiques notamment du Pr Henri Laborit, on sait maintenant que c'est le cerveau qui en fait ordonné la présence active des virus ; les virus et les bactéries "responsables" des maladies sont, soit, présents à l'état latent dans l'organisme ou, soit, captés à l'extérieur et c'est le cerveau qui, centrale commande, va leur donner l'ordre d'intervenir suivant le "travail" à effectuer, comme des ouvriers "thérapeutiques".
Peu de temps après avoir pris la décision de le garder, de nouvelles analyses médicales révèleront que le cytomégalovirus à "mis les voiles", à la très grande stupéfaction du gynécologue et du service médical auquel il est attaché ! Les virus n'avaient donc plus d'utilité et suivant donc la grande loi d'économie d'énergie de l'univers, ils doivent "disparaitre". Notez bien que l'enfant qui a ainsi pu naître en parfaite santé avait une taille plus grande que la normale et porta le prénom (choisi AVANT sa naissance) de MAXIME ; pour moi, c'est encore un exemple de ce que les prénoms sont aussi porteurs de sens, de projections, de programmations, de mémoires, entre autres, familiales. La croyance que le virus allait mettre en danger le foetus, si elle avait perduré, aurait sans doute pu faire son effet : l'enfant aurait pu mourir rapidement (fausse couche ou mort-né) en l'absence d'une I.V.G., risque augmenté par la crainte des parents d'une issue fatale (cf. "Ce que finit par entraîner la peur de...").
Cerise sur le gâteau et expression de la "langue des oiseaux" propre au cerveau, analogue à ce qui se passe aussi pour le cerveau suivant ce que la P.N.L. a découvert de son côté (programmation - neuro - linguistique) : initialement, les parents projetaient bien de faire un enfant, mais pas tout de suite : cytomégalovirus = "si tôt..." (enfant arrivé) trop tôt ! De plus, il y a une parenté entre mégalo (megalos = grand en grec) et Maxime (maximus = le plus grand en latin) ; enfin, on peut aussi entendre dans ce prénom : « max aimé » : aimé, désiré par dessus tout. D'autres exemples ayant en commun ce dernier détail complémentaire permettraient de se poser alors la question de sa pertinence, par rapport au "choix" du cerveau de ce type de virus.
Suite à la lecture de ce texte, j'ai reçu un autre témoignage d'une maman qui cette fois n'a pas pu échapper aux conséquences entraînées par la présence d'un CMV ce qui a conduit son enfant à naître handicapé. Voir le détail de ce qu'elle a relaté et ce qu'on peut alors en dire à la lumière de la psychogénéalogie et de de la psychobiologie, sachant que cet enfant souffre d'un comportement associé à une forme d'autisme.
6° Un cancer du sein après le départ du mari
Plusieurs cas similaires mettent en scène une femme qui, durant sa propre grossesse, subit le départ brusque et conflictuel de son père. Adulte, elle épouse un homme et plusieurs années après celui-ci part aussi brusquement. L'explication qu'en a donnée la patiente c'est que cela constitue donc un déclencheur de la situation conflictuelle originelle engendrée par le départ du père., La somatisation consécutive est l'apparition d'un cancer du sein gauche ; suivant les découvertes de la psychobiologie moderne suivant 'observation sur le terrain thérapeutique, le cancer du sein gauche chez une femme droitière correspondrait à une situation conflictuelle dont le teneur (à vérifier au travers le filtre des ressentis propres du patient) de ne plus pouvoir nourrir un enfant (le sien, soi ou quelque chose qu'on considère être comme son enfant : filleul, voisin, élève etc. ou une création artistique, entreprise etc.). En effet, une femme droitière tient généralement son enfant à allaiter, avec la tête contre le sein gauche, alors qu'elle vaque à ses occupations ménagères par exemple en utilisant le bras droit.
Dans le cas
présent, le départ de l'époux a été la réactivation du conflit qui était d'être séparée de son père. Donc, il s'agit bien d'un enfant
: son enfant intérieur ; c'est dans ce ressenti-là qu'elle a vécu le drame
de la séparation de son mari, un homme qui faisait écho au premier homme de
sa vie : le ressenti est identique. La guérison est intervenue quand la personne
a pu résoudre les situations conflictuelles qui se cumulaient : le déclencheur (faire le deuil du mari) et le conflit
primal
(faire le deuil du père).
"Séparation" de Dionne Haroutunian
7° Sommeil perturbé, secret de famille et mémoire des murs, des objets
L'approche de la
Géobiothérapie peut aussi permettre l'émergence de secrets liés à la naissance de quelqu'un et qui peuvent, dans l'exemple suivant, générer un inconfort permanent comme un sommeil perturbé et ce, depuis la naissance. En fait, cette approche bien conduite permet de mettre au jour les informations stockées dans la mémoire des murs, des objets et des empreintes énergétiques diverses associées. Lors d'un travail en géobiothérapie, je veille à ignorer les raisons pour lesquelles on me fait intervenir et il en vas de même à propos de l'histoire et du vécu des habitants ; cela permet de travailler à l'aveugle, ce qui rend les résultats d'autant plus crédibles et interpellants pour les habitants.Lors de l'une de ces interventions, je découvre un champ électromagnétique subtil qui exprime une mémoire de mort (2,0 sur l'antenne de Lecher) dans une armoire jouxtant à moins de 50 cm la tête de lit de la fille (unique) de la maison. Parti à la recherche de ce qui garde une telle mémoire stressante, on ne trouve rien. Suivant la demande des habitants, à la fin de ma visite, je questionne ce que cela pourrait bien signifier par rapport au vécu de leur fille. Rapidement, sa mère livre avec émotions ce qui constituait des secrets pour sa fille : les conditions de sa naissance (cordon autour du cou et décès brutal de son grand-père maternel à la fin de la grossesse). Quelques semaines plus tard, le père me téléphone et fier de sa découverte, m'annonce, qu'intrigué par ce "signal de mort", il a précédé à une fouille minutieuse de l'armoire concernée : tout au fond en dessous du carton protecteur, une enveloppe qui contenait.... le cordon ombilical séché et donc aplati de leur fille ! Il faut savoir que la fille avait des fortes difficultés à s'endormir au lit mais pas dans un divan (à demi couchée) : la vision qu'a eu de s amère alors enceinte d'elle en découvrant brutalement le corps de son père mort couché par terre, avait imprimé une croyance que couché on pouvait mourir. Bien rapidement après avoir bénéficié d'un psychothérapie brève, la fille a pu enfin trouver un sommeil normal.
AVERTISSEMENT IMPORTANT : nous n'adhérons en aucun cas à la Biologie-Totaleque nous refusons vu les dérives qu'elle génère par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées. (Voir notre avis). Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière les comportements intégristes et outranciers du Dr Hamer. Deux chapitres du livre écrit par Baudouin Labrique, "Quand les thérapeutes dérapent" y sont consacrés.
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Ce qui expliquerait la survenance des maladies :
Ce qui se passe lorsque la peur de... (exemple : attraper une maladie) ne se résout pas.
Un cas surprenant : un cytomégalovirus qui fait une volte-face étonnante !
D'autres cas de mal-à-dire qui se forgent dans le ventre maternel.
Les hamsters enfumés (tabac) attrapent-ils le cancer
Le cerf qui perd son territoire et l'infarctus ?
"Le langage de la guérison" (J.-J. Crèvecoeur)
Ce qui se passe lorsqu'une brebis s'égare.
Ne vous agrippez pas à la grippe !
Là où la psychobiologie moderne rentre en résonance avec les médecines primitives :
"Que notre vie intérieure s’enlaidisse et nous risquons fort de tomber malades ? (...)
On sait bien que les traumatismes affectifs, les ruptures, les non-dits graves, les amertumes, les haines…
sont autant de “laideurs intérieures”, qui provoquent notamment des cancers" :
"Les Clés de la santé indigène" (Jean-Pierre Barou & Sylvie Crossman aux éd. Balland)
En savoir plus sur la psychobiologie.
Contenu de cette page avec des liens directs vers les sujets : Dernières mises à jour :¨ Quelles sont les perceptions du fœtus ? L'importance de la parole adressée à l'enfant durant la grossesse. Pourquoi le couple est-il chargé de si fortes attentes ? Relation mère/fœtus et mère/bébé (jusqu'à un an) L'importance de la relation précoce mère/bébé dans la vie conjugale. Le père transmet aussi ses comportements au foetus (découverte scientifique) ¨ Ce que cette page apporte sur le plan thérapeutique
ou des mémoires stockées dans le "ventre maternel" : Des
promenades en forêt problématiques. Un cytomégalovirus qui fait une volte-face surprenante. Un cancer du sein après le départ du mari. ¨ Sommeil perturbé, secret de famille et mémoire des murs, des objets |
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