DEPENDANCES
LES PISTES DE COMPREHENSION DE RETROUVER SON NORD
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Nous savons bien que ceux qui succombent à un mouvement de dépression, qui perdent l’espoir, se consolent parfois en régressant vers le plaisir du boire qui fait triompher la rêverie dans leur imaginaire, comme lorsqu’ils étaient tout petits et que leur mère les avait en charge. Leurrés par cet apaisement factice, ils s’arrêtent alors d’aller de l’avant vers la vie et de se prendre en charge. Entrés dans ce processus, angoisse, dépression, boisson, leur sentiment de solitude oublié dans la rêverie, ils croient avoir trouvé la solution à leur épreuve mais l’alcool les intoxique, annihile leur volonté et détruit leur corps.
(Françoise Dolto, L’Évangile au risque de la psychanalyse)
Heureusement, nous faisons souvent l'expérience que ce n'est pas une fatalité lorsque le dépendant fait le pas d'entreprendre une psychothérapie...
Le paradoxe des "solutions" conventionnelles pour sortir des dépendances,
c'est qu'on propose la plupart du temps un autre dépendance (celle à l'abstinence à vie ou aux médicaments comme le baclofène) !
Vous découvriez sur cette page comment en sortir vraiment, sans tomber dans quelqu'autre dépendance
et aussi sans quelque privation a terme...
L'indépendance
est un choix personnel, la dépendance est une contrainte implacable
(Josiane Criscuolo).
C'est souvent un choc psychologique, une forte prise de conscience
qui convainc de se faire accompagner pour se libérer d'une dépendance
EN CAS DE MALAISE OU DE MALADIE, CONSULTEZ D'ABORD UN MÉDECIN OU UN PROFESSIONNEL DE LA SANTÉ EN MESURE D'ÉVALUER ADÉQUATEMENT VOTRE ÉTAT DE SANTÉ.
En effet, les informations fournies sur ce site sont destinées à améliorer en complémentarité, non à remplacer, la relation qui existe entre le visiteur du site et son médecin etc., mais ne s'y substitue en aucune manière. (cf. notre déontologie)
Ce que nous proposons comme séances
Ni
En revanche, ce à quoi je fais plutôt référence sur ce site, ce sont les outils utilisés en filigrane dans les séances de psychothérapie et qui proviennent des incontestables apports de la Physique Quantique et de la psychobiologie moderne dans ce qu'ils mettent en lumière les rapports du psychisme sur le corps et inversement, d'une manière bien plus sensée et bien plus complète que n'a su le susciter la Biologie-Totale et qui a plutôt démontré une piètre capacité à "former" des thérapeutes dignes de ce nom (fréquentes carences criantes et dangereuses vu notamment
leurs comportements iatrogènes et les enfreintes relatives à l'éthique et à la déontologie).
"L'alcool est l'aspirine de l'âme." Gauthier Louis
"J'ai retiré plus de choses de l'alcool que l'alcool ne m'en a retirées." Winston Churchill
Que peut bien apporter thérapeutiquement les enseignements repris sur cette page ? La mise au jour des origines conflictuelles qui ont installé un code psychologique lui-même engendrant une dépendance particulière et les maladies qui y sont associées (comme celles que l'on croit faussement provoquées par le tabagisme), est la première étape qui permet à tout dépendant de pouvoir vraiment se libérer de son assuétude. On court tout droit à l''échec en recourant seulement à de telles approches comme l'hypnose ou à d'autres techniques comportementales si on se prive d'en analyser les vraies causes, qui sont toujours psychobiologiques, qui expriment aussi les conflits liés à notre incarnation et qui sont en lien également avec l'histoire de la famille. "Une grande partie des thérapeutes offrent des thérapies comportementales pour combattre les symptômes des patients sans chercher leurs significations et leurs causes, parce qu’ils sont persuadés qu’elles sont introuvables. Pourtant, dans la plupart des cas elles le sont mais elles sont toujours cachées dans l’enfance, et rares sont les personnes qui veulent la confronter. " Alice Miller Comme le tabac, l'alcool etc. l'objet de la dépendance est une sorte de drogue (= "médicament", en grec) qui a son utilité comme l'aurait la prise d'un médicament pour combattre le stress etc. sans toutefois résoudre les causes de son apparition. En considérant l'objet même de la dépendance et des effets qu'elle produit et qui sont autant de "solutions" apportées par rapport au stress initial dont on n'a pas réussi à se libérer. Comme toute maladie qui est une solution temporaire pour solutionner un conflit, la dépendance est également une tentative de solutionner dans l'instant un conflit alors occulté. Voici une fiche-mémo (à adapter) qui vous permettra de voir qu'elles sont les étapes suggérées pour arriver à sortir enfin de l'alcoolisme. Voir la foire aux questions. |
MISE EN GARDE : ce que ce site est et n'est pas
Toute dépendance est l'expression d'une solide dynamique biologique de survie,
la plupart du temps bien cachée !
« Ne juge
jamais un homme avant d'avoir marché un mile dans ses souliers. »
Proverbe sioux
"L'indépendance est un choix personnel, la dépendance
est une contrainte implacable" (Josiane
Criscuolo).
Se défaire d'une dépendance n'a rien à voir avec une simple question de volonté ! C'est ce qui explique l'échec des méthodes purement comportementales à long terme, comme celle du TSN (traitement substitutif à la nicotine) dans les cas de dépendance au tabac ou les nouveaux médicaments pour tenter d'arrêter de boire. Bien sûr qu'au départ, la volonté de démarrer un processus de sevrage est indispensable, mais comme pour tout "mal à dire", il est important d'en découvrir les vraies causes psychobiologiques et transgénérationnelles : d'abord dans le vécu personnel et puis (éventuellement) dans les dynamiques en résonance qui sont la plupart du temps cachées : les "valises" transgénérationnelles? On pourra alors mettre au jour leurs fonctions en allant par exemple identifier quel est précisément le sens de notre incarnation familiale ; ce n'est qu'ensuite qu'on pourra les remplacer par de nouveaux projets de Vie, sa vraie voie, librement choisis : en déconnection totale avec les passés personnel et familial.
Si on se contente de supprimer en se faisant ainsi violence, une dépendance sans aller en rechercher pour les guérir les causes profondes, on verra émerger la plupart du temps une autre dépendance ; on comprend alors, par exemple, pourquoi beaucoup de gens qui arrêtent de cette et unique façon de fumer, de trop manger ou de boire prennent du poids ou se mettent à fumer ou à boire par exemple : le vide que comblait la fumée, la nourriture, l’alcool est alors remplacé par ce que la dépendance permet de remplir...
Le professeur Henri Laborit (1914-1995) a démontré scientifiquement que la maladie était l'expression d'une situation où on ne peut pas agit ("L'inhibition de l'action", qui est aussi le titre d'un de ses livres) ; le recours à l'une des diverses assuétudes constitue en fait une des tentatives d'évitement de l'angoisse et du stress générés par l'impossibilité d'agir : soit en fuyant, soit en résistant activement. Ne jugeons donc pas ceux qui s'installeraient dans une dépendance, quelle qu'elle soit. Seulement informons-les en toute responsabilité que cela a une influence directe et déterminante sur la qualité de leur "terrain" et donc sur la manière dont les maladies vont apparaître : rapidité, qualité et volume des somatisations.
Le Pr Laborit dit
encore "(...) pour faire une infection ou une affection néoplasique [Ndlr
:cancer], il ne suffit pas d'un contact avec un microbe ou un virus ou un
irritant local chroniquement subi. On a trop focalisé sur le microbe, le virus
ou le toxique cancérogène et pas assez sur le sujet, sur son histoire passée
et présente, ses rapports avec son environnement. Les
toxiques eux-mêmes doivent
sans doute présenter une toxicité variable suivant le contexte et le statut
social de l'individu qu'ils atteignent. (...)." (C'est B. Labrique,
auteur de cette page qui a souligné et a mis en rouge).
Voici, qui le confirme, une autre remarque pertinente du Dr Thomas-Lamotte, neurologue et auteur du livre "Et si la maladie n'était pas un hasard" répondant à une question relative aux statistiques du cancer et le fait qu’on l'attribue erronément à des toxiques :
« (…) j’aimerais parler du cancer du larynx qui est classiquement et presque unanimement attribué à l’intoxication alcoolo-tabagique. En France, dans la population générale, on retient le chiffre de 1,2 % de cas. Dans une population francophone, ce chiffre atteint 9% chez les religieuses cloîtrées ! (Dr Michel Moirot). Devoir se taire pendant des années devant une mère prieure semble un facteur de risque bien plus grave que l’intoxication alcoolo tabagique. Mais ce genre de statistique n’intéresse pas les scientifiques. Il dérange leur croyance. »
Voici une autre source (sur passeportsante.net mais supprimée) où il explicite ce qui précède :
« Seuls les conflits psychiques rendent malades. Les facteurs de risque ne sont pas les causes des maladies. L'enfant sait bien que ce n'est pas la neige qui casse la jambe du skieur! Huit jésuites étaient présents à Hiroshima lors de l'explosion de la bombe atomique. Ils étaient européens, pas impliqués dans le conflit. Trente ans après, ils étaient toujours en bonne santé. Pourtant c'est bien connu: les radiations atomiques, c'est hyper dangereux. [Il faut certes ici nuancer passé certaines doses radioactives, l'effet toxique est tel qu'il aura de toutes façons des effets somatiques indépendant de l'influence du psychisme ; on ne sait évidemment pas quel était le taux de radioactivité subi par ces Jésuites.]
Questions subsidiaires: l'alcool et le tabac sont les facteurs de risque majeur du cancer du larynx, mais ils ne sont pas la cause! On comprend mieux que ce soient des religieuses cloîtrées qui fassent le plus de cancer du larynx (9% contre 1% à 2% dans la population générale). Le tabac que l'on respire est un facteur de risque du cancer du poumon, mais pas la cause. On comprend mieux que les fumeurs qui inhalent profondément la fumée fassent 50 fois moins de cancer du poumon que ceux qui crapotent. Un scientifique qui confond facteur de risque et la cause d'une maladie est un imposteur ou un ignorant de la logique, la base du raisonnement scientifique »
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Et c'est vrai : à un moment donné, comme toute dépendance, l'alcool est devenu
la seule solution de survie trouvée, à portée de la main.
Abstenons-nous alors de juger ceux qui y ont recours.
"Immanquablement, presque immanquablement, vient un
moment dans la vie où ça ne va plus, mais alors plus du tout. Nous sommes
confrontés à une invincible défaite, à un sentiment d'échec que l'on ne peut
plus vaincre en soi ? » (...) Nous nous croyons réellement victimes des
autres, de nos parents et de nos enfances, nous dit-il, alors que nous sommes
principalement les bourreaux inconscients de nous-mêmes. Nos besoins et
nos peurs nous tyrannisent de l'intérieur plus adroitement que n'importe qui.
(...) notre personnalité est constituée d'un ensemble de programmations qui
nous renferment en nous-mêmes, réduisent notre vitalité et sabotent nos
possibilités réelles de développement. Nous nous lançons ensuite à la
poursuite de compensations extérieures qui finissent par nous épuiser au
lieu de nous satisfaire." (Guy Corneau "Victime des autres,
bourreau de soi-même")
"(…) la tentation est souvent grande d'endosser le costume de
victime et de faire porter la faute de notre malaise aux autres. En s'appuyant
sur le mythe d'Isis et Osiris, Guy Corneau nous montre que nous sommes
généralement nos propres bourreaux, souvent par souci de nous constituer une
personnalité factice. Il nous guide à travers les étapes de notre
transformation intérieure, afin de nous réconcilier enfin avec nous-mêmes.
» (source)
Il y pourtant des possibilités d'en sortir ; souvent, la collaboration de la famille est plus qu'indiquée ; en effet, au vu de ce que nous rencontrons en psychothérapie et en thérapie familiale, nous constatons que celui qui souffre d'une dépendance est en fait le fusible qui saute à cause des tensions, mal-être etc. présents dans la famille et souvent depuis plusieurs générations (voir plus bas).
Ce que nous proposons comme séances
Voir aussi la foire aux questions sur les dépendances
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"Alcool chez les jeunes : la dangereuse hypocrisie des industriels"
"Les industriels de l'alcool soignent leur image, notamment en finançant les campagnes de prévention. Mais dans le même temps, ils redoublent d'effort pour piéger les jeunes : publicités, marketing, sponsorisation" met en exergue cet article du "Vif-l'Express" (disparue du Net) ; 'Le Centre de recherche et d'information des organisations de consommateurs (Crioc) et des associations de prévention et d'éducation viennent de s'en prendre à InBev (Jupiler, Stella...) : ils ont sévèrement condamné sa récente campagne de sensibilisation,"
Selon le Crioc, "nous serions au cœur même d'une grande stratégie de
diversion : les fabricants en profiteraient, notamment, pour se présenter
comme des partenaires éthiques et responsables. Ils occulteraient leur part de
responsabilité dans les consommations nocives d'alcool d'une partie de la
population, et tout particulièrement les jeunes - que les brasseurs visent
spécialement.
Ils chercheraient aussi à confirmer l'actuel statu quo législatif qui les
autorise à mener de fructueuses campagnes de pub, de marketing et de
sponsorisation. L'enjeu de ce débat était de taille : les sept ministres
belges de la Santé se réunissaient, cette semaine, pour réfléchir au « plan
alcool » et aux « mesures à prendre contre les dommages liés à l'alcool »."
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Quand la consommation accrue de sucre masque en fait
le déplacement d'une dépendance...
Vouloir supprimer simplement ce qui fait l'objet de la dépendance, c'est la reporter sur un autre objet, comme ce qui est soulevé dans cet article du Vif intitulé : Le sucre serait-il le nouveau tabac ?. L'article pose ensuite la question : "Le sucre a pris la place des graisses comme accusé principal de nombreuses maladies. À raison ?" Nous avions déjà pointé le mauvais procès fait au cholestérol erronément réputé comme responsable notamment de nombreuses maladies cardiaques. Cette fois, il semble n'y avoir aucun doute que le sucre ajouté reste un aliment des plus toxiques pour le corps, mais on ne s'interroge pour autant pas sur les raisons qui font en fait accroître sa consommation. En effet, reportant l'arrêt d'une dépendance (alcool, tabagisme...) sur une autre (l'alimentation dont le sucre) , faute d'en avoir résolu les causes profondes, c'est ce qui explique ainsi que beaucoup de personnes qui arrêtent de fumer grossissent, car elles mangent d'avantage et, se reportent sur la consommation de sucre, voire commencent à se droguer ou à prendre trop de psychotropes ce qui leur procure alors un effet similaire.
On court tout droit à l''échec, si on se prive d'analyser les vraies causes des dépendances, de la dépression etc., et qui sont toujours psychobiologiques :
"Une grande partie des thérapeutes offrent des thérapies comportementales pour combattre les symptômes des patients sans chercher leurs significations et leurs causes, parce qu'ils sont persuadés qu'elles sont introuvables. Pourtant, dans la plupart des cas elles le sont mais elles sont toujours cachées dans l'enfance, et rares sont les personnes qui veulent la confronter. "
Alice Miller, psychothérapeute.
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« La société dans laquelle nous vivons est "psychotoxique", elle contamine nos âmes et nos façons de penser et pas dans le bon sens […] Aujourd’hui quand nous sommes heureux, nous avons envie d’acheter quelque chose et quand nous sommes malheureux… nous avons envie d’acheter autre chose. La publicité nous vend la promesse du bonheur au travers de marchandises […] Plus une société est matérialiste, plus elle engendre des individus insatisfaits, anxieux, tendus, tristes. »
(Le psychiatre Christophe André)
En fait, il faudrait que celui qui est ainsi prisonnier du consumérisme compulsif s'interroge sur les raisons profondes qui l'expliquent dans sa propre histoire et en désactive les effets, s'il veut s'affranchir de tels comportements qui font de lui finalement un perdant, ce qui l'éloigne du vrai bonheur...
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L'OMS reconnaît l'addiction aux jeux vidéo comme maladie en 2018
"Tous les joueurs de jeux vidéos ne sont pas malades, heureusement. Pour que le jeu vidéo soit reconnu comme addiction, il faudra remplir certains critères.
95 % des jeunes âgés de 10 à 14 ans jouent à des jeux vidéos, 91 % des 15-18 ans, 88 % des 19-24 ans, et si le pourcentage diminue en vieillissant, on trouve encore 38 % des plus de 55 ans qui s'adonnent aux jeux vidéos. Toutefois, tous ne sont pas addicts, heureusement.
Quels critères pour reconnaître l'addiction ?
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) reconnaîtra, courant 2018,
l'addiction aux jeux vidéos comme une maladie. Cette addiction fera partie des
troubles liés aux comportements addictifs avec plusieurs catégories de
dépendance. Finalement, cela ne concernera que très peu de joueurs.
Pour qu'un joueur soit reconnu addict aux jeux vidéos, il faudra :
* qu'il ait une altération du contrôle face au jeu ;
* que le jeu prenne le pas sur ses autres activités
quotidiennes ;
* que le jeu altère la vie sociale et familiale.
L'addiction aux jeux vidéos peut conduire à un état dépressif, à des difficultés scolaires chez les jeunes, à une inversion du rythme jour/nuit..." (Source)
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FAQ (foire aux questions) Consulter la liste complète des FAQ (tous les thèmes de ce site) Dernière mise à jour :¨ - Peut-on arriver à guérir de dépendances par la psychothérapie ? - Pourquoi la drogue plutôt que l'alcool ou la nourriture en excès etc. ? - Y a t-il différentes sortes d'alcoolisme ? - Est-ce que l'abstinence est une solution ? - Est-ce que choisir des supports de la dépendance moins nuisibles freine-t-il la dépendance ? - Que penser du système des groupes d'alcooliques anonymes ? - Dépendances émotionnelles : "quand on ne parvient pas à se libérer des sentiments qu'on ressent pour quelqu'un, existe-t-il un remède, un truc ou un chemin à suivre ? Bref, existe-t-il une solution active ou faut-il simplement attendre (peut-être toute sa vie) que le temps fasse son travail ?" - Combien de temps faut-il pour se libérer d'une dépendance grâce à une psychothérapie adaptée ?
Une autre question à nous soumettre ?
Consulter la liste complète des FAQ (tous les thèmes de ce site)
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Une autre page d'humour ici
L'alcoolisme : alcoolisme.htm : CE QUE TROP BOIRE VEUT DIRE mais aussi ce que vivre avec un dépendant
veut-bien vouloir dire... Des pistes essentielles pour en sortir plus
rapidement
Problématiques du (sur)poids :
- poids.htm : conférence et atelier : et si le surpoids, c'était comme une maladie guérissable ?
- silhouette.htm : comment se crée et s'entretient le conflit de silhouette.
- gommerouajouter.htm : Christian Flèche nous explique pourquoi certains grossissent
alors que d'autres maigrissent.
Le tabagisme : - cf&atcigarette.htm présentation de la conférence et des ateliers organisés régulièrement sur le sujet.
- pourquoi certains hamsters enfumés n'attrapent-ils pas le cancer alors que d'autres oui ?
Réponses à des questions posées à Baudouin Labrique sur des forums au sujet du tabagisme :
- Les vrais dangers du tabagisme sont-ils ceux que l'ont croit ?.
Adevreughtthemes.htm : les Constellations Familiales Intégratives : une technique thérapeutique puissante pour libérer
les valises transgénérationnelles et leurs conséquences néfastes sur la santé, le couple,
la famille, le travail etc. (stages d'un jour).
sujet par sujet, au fil de l'actualité, des commentaires faits à propos de annonces "Santé"
du site "7Jour7". C'est l'occasion aussi d'y ajouter les vôtres.
Voir aussi la section SANTE
Découvrir ce que nous proposons en séance (individuelle ou collective) ?
“Les Français sont en train de se poser la question de savoir s’ils ne devraient pas imprimer sur les paquets de cigarettes
la photo d’un fumeur atteint du cancer du même nom ainsi que la mention “le tabac tue”.
L’effet sera-t-il suffisamment dissuasif que pour décourager les futurs consommateurs
ou faire baisser la fréquence d’inhalation des adeptes de Jean Nicot (1530-1600).
L’idée n’est pas bête et pourrait faire des petit, à savoir...
On ferait imprimer sur les sachets de bonbons des photographies de dents
gâtées
et sur les étiquettes des bouteilles de bière ou de whisky des clichés d’accidentés de la route
perdant leurs derniers litres de sang dans le bas fossé.
Sur chaque emballage plastique, chaque canette, chaque bouteille d’eau
minérale,
une
vue de décharge publique où s’entassent pour les siècles des siècles les
rebuts de notre société d’hyper consommation.
Sur nos T-Shirts, casquettes et chaussures de sport, on verrait le portrait
des enfants esclaves
qui, dans des caves obscures quelques part en Asie, pour quelques centimes d’euro,
cousent de leurs petits doigts les vêtements que nous porterons
seulement quelques fois avant de les bazarder parce que le coloris ne sera
plus de saison.
Il faudrait aussi apposer sur chaque litre d’essence l’image d’une mouette
mazoutée
et sur chaque baril de pétrole, celle des terres inondées par les océans
qui vont bientôt déborder suite au réchauffement de la planète
ou celle de populations martyrisées par des guerres
dont le seul but est de préserver l’approvisionnement d’or noir
des
pays les plus riches et les plus égoïstes du monde
Excusez-moi je m’énerve.
Au fond la meilleure solution serait peut-être tout simplement de faire
imprimer sur les billets de banque cette mention
“peut nuire gravement à l’humanité” "
Philippe Geluck
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SEANCES INDIVIDUELLES,
CONSULTATIONS :
Anne et Baudouin vous proposent des thérapies brèves dont l'un des
buts est de vous fournir pour la vie
des outils autothérapeutiques ; en étant conduit dès la première séance à vous retrouver dans l'action vers la guérison,
vous vous permettrez alors de vous dégager plus rapidement de situations indésirables présentes et à venir.
Extraits de la FAQ sur les séances individuelles : Que peut-on résoudre avec une thérapie individuelle ?
Quels sont les rapports entre la médecine et la psychothérapie ?
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Autres principaux domaines abordés sur le site Retrouver son Nord :
Santé -Couple - Famille - Habitat - Développement personnel - Autarcie énergétique
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FAQ (foire aux questions)
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- Peut-on arriver à guérir de dépendances par la psychothérapie ? Oui, parce que les dépendances activent des dynamiques biologiques de survie d'une manière analogue à ce que font les maladies ; la psychothérapie est performante et adéquate pour tout ce qui touche au traitement des (vraies) causes de toutes les somatisations. - Pourquoi la drogue plutôt que l'alcool ou la nourriture en excès etc. ? Nous avons tous nos "entrées" somatiques spécifiques : elles sont elles-mêmes dépendantes de notre vécu, de notre histoire familiale (avoir par exemple eu un proche parent qui souffrait, par exemple, d'une dépendance analogue et ce qui constitue alors une "solution" connue et donc disponible et par rapport à laquelle la famille a pu, sinon aider à résoudre, du moins supporter tant bien que mal). Découvrir ce qui les activent est déjà très libérateur dans un premier temps et permet de se sentir déjà sur la voie de la guérison. - Y a t-il différentes sortes d'alcoolisme ? Il y a autant de sortes d'alcoolisme que de personnes qui en souffrent, En effet, la prise excessive et compulsive d'alcool qu'elle soit continue ou épisodique agit comme un médicament pris alors pour tenter de solutionner un conflit. Les addictions sont alors les seuls moyens trouvés par les personnes pour essayer de résoudre leurs malaises, leurs conflits ... - Mon conjoint, mon enfant souffre d'une dépendance et je n'arrive pas à ce qu'il suive une thérapie. Que faire ?
Celui qui vit avec un dépendant est souvent
aussi quelqu'un qui souffre de ce qui est appelé la codépendance. C'est un
programme qui s'emboîte parfaitement avec le programme de celui qui souffre
de dépendance. La plupart du temps, lorsqu'un codépendant se libère de son
programme, on observe que c'est l'un des chemins les plus rapides pour que
le dépendant (avec qui il vit) et rétif à suivre une thérapie individuelle
ou autre s'engage alors dans un processus de libération de sa propre
dépendance. Une
L'abstinence (de ce qui fait l'objet de la dépendance) prônée comme solution est un leurre et en plus, elle crée une autre dépendance (celle de s'abstenir de recourir à l'objet de la dépendance) : on prend alors l'effet pour la cause et de plus, on maintient, certes involontairement, mais réellement, un sentiment dommageable de culpabilité chez le dépendant. Ici encore "l'enfer est pavé de bonnes intentions" car le recours à l'abstinence verrouille la culpabilité en lui donnant davantage de poids et qui restera lourd à porter :
"La société actuelle titube, voire s'écartèle,
se déchire entre deux modèles, un modèle humaniste, la promotion de la santé
et la réduction des risques et un modèle totalitaire, surprotecteur, le
“tout à l'abstinence”.
Ce n'est pas,
en fabriquant - Que penser du système des groupes
d'alcooliques anonymes ? - Que se risque-t-il de se passer si on a recours à la seule abstinence ou aux seules techniques purement comportementales ? La personne risque, par exemple, de remplacer le tabac par l'excès de nourriture, voire de la boisson etc. On ne fait alors que déplacer la problématique en augmentant le sentiment d'impuissance, car, le programme n'étant pas résolu, il ne fait que changer de code. - Pourquoi une personne qui a résolu sa problématique en profondeur n'abuse plus de ce qui faisait l'objet de sa dépendance ? L'objet de l'assuétude constitue un CODE qui permet à la personne de survivre ; une fois, la problématique résolue, le code n'a plus besoin d''être actif ; il y a alors toujours un retour à la "normale" et donc vers une vie qui est davantage une existence plénière qu'une survie. - Dépendances émotionnelles : "quand on ne parvient pas à se libérer des sentiments qu'on ressent pour quelqu'un, existe-t-il un remède, un truc ou un chemin à suivre ? Bref, existe-t-il une solution active ou faut-il simplement attendre (peut-être toute sa vie) que le temps fasse son travail ? "
Les dépendances
émotionnelles sont aussi à l'origine d'une problématique analogue à celle
des autres dépendances : c'est une solution de survie. Les dépendances sont
présentes comme une sorte de médicament qui nous permet de mieux supporter
la souffrance. C'est une solution d'attente. Pour s'en libérer, il est
nécessaire de résoudre le ou les conflits conscients ou inconscients
sous-jacents (cf. ce que nous en dit la
psychobiologie). C'est en effet un mal-à-dire qui,
certes, ne se somatise pas en maladie, au sens médical du terme. Nous avons
le choix d'attendre que le "temps fasse son travail" de deuil, mais on peut
aussi (plus rapidement) recourir à l'aide d'une
psychothérapie adaptée qui permettra de : - Combien de temps faut-il pour se libérer d'une dépendance grâce à une psychothérapie adaptée et comment sait-on qu'on y est arrivé ? Tous les patients qui ont bénéficié de notre approche en allant jusqu'au bout de la thérapie ont pu, non seulement résoudre en profondeur les causes de leur dépendance, mais, de plus, après un nécessaire temps de sevrage, s'en libérer complètement ; suivant le type de dépendance, l'investissement de celui qui en souffre, il faut compter en moyenne de 4 à une dizaine de séances. Ensuite, ces personnes pu comme tout le monde, de nouveau être en contact à ce qui alimentait leur dépendance, mais sans en abuser, signe d'une véritable guérison en profondeur. Enfin, ils ont alors acquis des outils autothérapeutiques dont ils pourront se servir encore sans se rendre dépendants alors de thérapeutes, ce qui serait le piège à éviter à tout prix, car il substituerait une dépendance à une autre. Découvrir comment se passent les séances individuelles.
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Quand on vous disait que l'alcool ("a- colle") permet de dé-coller d'un problème ! ...
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dangereuse hypocrisie des industriels" Quand la consommation accrue de sucre masque en fait le déplacement d'une dépendance... ¨ L'OMS reconnaît l'addiction aux jeux vidéo comme maladie en 2018
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Merci à Philippe Geluck
Que peut bien apporter thérapeutiquement de tels enseignements ? La mise au jour des origines conflictuelles de ce qui engendre le recours à une dépendance et les maladies qui y sont associées comme celles que l'on croit (faussement) provoquées par le tabagisme, est la première étape qui permet à tout dépendant de pouvoir vraiment se libérer de son assuétude. On court tout droit à l''échec en recourant seulement à de telles approches comme l'hypnose ou à d'autres techniques comportementales si on se prive d'en analyser les vraie causes, qui sont toujours psychobiologiques, qui expriment aussi les conflits liés à notre incarnation et qui sont en lien également avec l'histoire de la famille. "Une grande partie des thérapeutes offrent des thérapies comportementales pour combattre les symptômes des patients sans chercher leurs significations et leurs causes, parce qu’ils sont persuadés qu’elles sont introuvables. Pourtant, dans la plupart des cas elles le sont mais elles sont toujours cachées dans l’enfance, et rares sont les personnes qui veulent la confronter. " Alice Miller Comme le tabac, l'alcool etc. l'objet de la dépendance est une sorte de drogue (= "médicament", en grec) qui a son utilité comme l'aurait la prise d'un médicament pour combattre le stress etc. sans toutefois résoudre les causes de son apparition. En considérant 'objet même de la dépendance et des effets qu'elle produit qui sont autant de "solutions" apportées par rapport au stress initial dont on n'a pas réussi à se libérer. Comme toute maladie qui est une solution temporaire pour solutionner un conflit, la dépendance est également une tentative de solutionner dans l'instant un conflit alors occulté. Voici une fiche-mémo qui vous permettra de voir qu'elles sont les étapes suggérées pour arriver à sortir enfin de l'alcoolisme. Voir la foire aux questions. |
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