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LES PISTES DE COMPREHENSION DE RETROUVER SON NORD
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Aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre,
c'est regarder ensemble dans la même direction.
Antoine de Saint-Exupéry
C'est le titre d'un article paru le 10 octobre 2012 dans l'hebdomadaire belge FEMMES D'AUJOURD'HUI écrit par Christelle Gilquin et auquel Baudouin Labrique, psychothérapeute et thérapeute de couple a participé.
N.B. Contrairement à ce que le titre de l'article pourrait faire croire, aucune personne autre que faisant partie des membres du couple en question (et de commun accord sine qua non) ne peut prétendre sauver un couple. Il n'appartient en aucun cas à celui qui accompagne professionnellement un couple (psychothérapeute, conseiller conjugal, médecin, psychiatre, sexologue voir coach...) d'y arriver de son côté (°), ni même de prétendre le faire ou d'en avoir la mission ; l'accompagnant qui le soutiendrait déraperait en se rendant coupable d'une importante enfreinte à l'éthique et à la déontologie en vigueur, en ce que cela notamment s'assimile à une promesse de guérison. (°) Tout autant concernant quelque problématique de santé que ce soit ; en effet, n’ayant aucun devoir de résultats mais de moyens, le facilitateur que doit rester le thérapeute vise à ce que le patient SE guérisse : "Le vrai médecin est le médecin intérieur. La plupart des médecins ignorent cette science qui, pourtant, fonctionne si bien", soulignait le Dr Schweitzer ». (Extrait de Quand les thérapeutes dérapent. p. 41).
Extraits
Exemple (cas vécu) de la responsabilité (inconsciente) du conjoint de celui qui est infidèle...
Le mari d'un couple au bord de la rupture prend rendez-vous en séance : il me dit qu'il se sent fort coupable, car c'est la troisième fois qu'il trompe sa femme et celle-ci n'en peut plus ! Sur son insistance de vouloir sauver son couple, elle accepte de venir en séance avec lui. Le jour venu, le mari complètement déprimé vient pourtant seul, m'annonçant déconfis, que sa femme l'a finalement quitté. Tant qu'à faire, il veut comprendre les raisons qui le poussent ainsi et par trois fois, à tromper sa femme. Lors de la séance, il se rend compte qu'il l'a fait à des moments identiques et très interpellants : peu après la naissance de chacun de leurs trois enfants et durant quelques mois ! Mis en situation de pouvoir se remémorer ce qu'il a pu alors ressentir de souffrant , il me raconte qu'après chaque naissance, sa femme avait (d'autorité) placé le bébé dans le lit conjugal, entre lui et elle, durant quelques mois. De plus, il m'exprime que durant cette période, il souffrait d'une perte importante d'attention et de manifestation d'affection de sa femme, tellement elle était rivée sur son bébé. Rapidement, il se rend également compte, que manquant de cette précieuse nourriture affective (cf. la pyramide de Maslow, analogiquement au besoin de se nourrir sur lequel on ne peut d'ailleurs pas faire l'impasse), il a été inévitablement poussé à rechercher dans les bras d'une autre de quoi combler ce vital et irrépressible besoin. Il faut savoir que lorsqu'après quelques mois, le bébé dormait finalement dans un lit séparé, le mari retrouvait l'attention de sa femme et arrêtait ipso facto sa liaison externe... . Fortement soulagé et surtout déculpabilisé d'en avoir compris les ressorts cachés, il s'en va le raconter à son épouse. Celle-ci prend heureusement conscience de la responsabilité qu'elle a eue dans son parcours d'infidélité et d'elle-même, elle lui propose un rendez-vous en thérapie de couple. D'entrée de jeu dans la séance, elle reconnaît devant lui qu'elle avait donné trop d'attention à son bébé au détriment de son époux. Comme on le dit dans l'article, c'est encore le cas ici où un conjoint "participe, mais inconsciemment, à l'émergence de la problématique". Le couple renforcé s'est alors remis sur les rails, car chacun a pu "se remettre en question sans accuser l'autre et repartir et repartir sur une nouvelle base avec une nouvelle forme de communication...
Outil : les BESOINS, comment identifier ses besoins, mettre des mots dessus quand ils ne viennent pas aisément et favoriser ainsi une meilleure communication notamment dans le couple : - quand ils ne sont pas couverts : EMOTIONS / RESSENTIS SOUFFRANTS, STRESSANTS ; - quand ils sont couverts : EMOTIONS / RESSENTIS vécus comme bénéfiques.
Extrait de la FAQ à propos des dépendances :
Mon conjoint, mon enfant souffre d'une dépendance et je n'arrive pas
à ce qu'il suive une thérapie. Que faire ? COMMUNICATION : consulter et surtout appliquer la fiche pratique Le tu tue !
Tentative Bernard Werber (L'encyclopédie du savoir relatif et absolu, Le Livre de Poche)
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"LE PARISIEN" du Dimanche 7 août 2005
La preuve :
"Le couple heureux qui se reconnaît dans l'amour défie l'univers et le temps ;
il se suffit, il réalise l'absolu." Simone de Beauvoir
"Aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre,
c'est regarder ensemble dans la même direction."
Antoine de Saint-Exupéry
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Ce que nous proposons comme séances individuelles et en thérapie de couple
« Une grande partie des thérapeutes offrent des thérapies comportementales pour combattre les symptômes des patients sans chercher leurs significations et leurs causes, parce qu’ils sont persuadés qu’elles sont introuvables.
Pourtant, dans la plupart des cas elles le sont mais elles sont toujours cachées dans l’enfance,
et rares sont les personnes qui veulent la confronter. »
Il est en effet
indispensable lorsqu'on veut régler les problèmes en profondeur de sorte
que leurs effets soient désactivés, de suivre un accompagnement
psychothérapeutique; ce dernier, sans tomber dans les travers d'une psychanalyse
(passivité du thérapeute, durée...),
offrira l'occasion aux patients, d'aller rechercher les causes profondes
des maux (analyse la plus courte possible) pour ensuite et le plus
rapidement possible en désactiver les effets grâce à des changements de
comportements librement exprimés (non induits par le psychothérapeute). Le
seul comportementalisme ici ou ailleurs
ne se révélera au mieux que comme un emplâtre sur une jambe de bois,
car ce qui n'aura pas été résolu en profondeur se traduira dans des
situations souffrantes et répétitives... Analogiquement à ce qui se passe
lorsqu'on ne veut traiter des maux psychiques qu'avec des médicaments,
voici encore ce que la psychothérapeute Alice Miller faisait observer :
dans Les raisons trouvables :
« Aucun médicament ne peut nous renseigner sur les CAUSES de
nos malaises ou maladies. Un médicament peut seulement brouiller ces
causes et soulager la douleur – pour quelque temps. Mais les causes qui
n’étaient pas reconnues restent toujours actives et continuent leur
travail de signalisation jusqu’à ce que la maladie récidive. Et elle sera
traitée par les autres remèdes qui, eux aussi, négligeront les raisons de
la maladie.
Pourtant, ces raisons ne sont pas introuvables si la personne malade
s’intéresse à la situation de l’enfant qu’elle a été. C’est cet intérêt
qui lui permettra non seulement de vivre ses émotions mais aussi de les
comprendre. Il est bien entendu que je parle ici des médicaments qui
suppriment les émotions et en même temps les souvenirs. Il y a bien sûr
des médicaments dont on ne peut pas se priver et qui ne sont pas
inhibiteurs des émotions comme les antidépresseurs .».
Dans le choix du partenaire et la manière dont le couple va vivre, on retrouve la plupart du temps des causes logées dans l'enfance, voire dans le ventre maternel, mais aussi révélées au travers du projet de "nais-sens" que chacun active à la faveur des événements souffrants de sa vie ; personne n'y échappe, à l'image du couple parental voire des différentes images des couples présents dans la famille (cf. la psychogénéalogie).
Exemple n° 1 : c'est le cas de beaucoup de femmes qui sont nées en présence du projet ("nais-sens") de la mère de sortir leur futur père d'une dépendance comme l'alcoolisme. Dans le meilleur des cas, dès la naissance de leur fille (premier enfant du couple), le conjoint sort apparemment de son assuétude. Malheureusement, dans tous les cas rencontrés en thérapie, quelques mois après la naissance, le père plonge de nouveau dans sa dépendance ; en effet, (telle qu'elle apparaît lorsqu'une personne qui en souffre l'expose en thérapie), la dépendance est une réponse particulière à une situation dont elle offre la seule aide immédiate (perçue comme telle par le patient). La plupart du temps, elle exprime aussi une sorte de mission transgénérationnelle et active la plupart du temps une solution, un scénario déjà connus dans la famille (le père, un ancêtre s'était adonné à une dépendance pour tenter de sortir d'une situation stressante ou pour en calmer les effets indésirables).
Les répétitions transgénérationnelles de certains comportements s'explique par une loi naturelle et telle que démontrée dans le Théorème du Singe.
Ces femmes qui sont nées avec la mission de sauver leur père de sa dépendance, se mettront en ménage la plupart du temps avec un homme qui est en forte souffrance (dépendance...) ; ayant échoué avec leur père, elle tenteront (inconsciemment) de réussir avec leur conjoint la mission qui leur a été dévolue à la naissance. Malheureusement, très souvent, échouant de nouveau, elle quitteront la plupart du temps leur partenaire pour de nouveau former un couple avec une problématique similaire ; cela en sera ainsi tant qu'elles n'auront pas pris conscience qu'elles activent à travers de tels choix de couple une sorte de loyauté familiale invisible (suivant l'appellation donnée par le Pr Ann Ancelin Schutzenberger, professeur à l'Université de Nice qui a inventé le concept de psychogénéalogie ) ; la thérapie individuelle et/ou de couple peuvent les aider à en sortir plus rapidement.
En fait, lorsque deux personnes tombent amoureuses,
ce sont deux arbres généalogiques qui s'unissent,
ce qui réactive les conflits familiaux non résolus.
(Image reprise de Se libérer du destin familial de Elisabeth Horowitz)
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Exemple n° 2 : c'est le cas de beaucoup d'hommes
qui sont nés pour remplir une rôle de bébés-médicaments ; généralement fils
uniques ou aînés, ils arrivent souvent dans un couple où la conjointe souffre d'un
manque profond d'attention, de tendresse de la part de son conjoint (ce dont
elles ont généralement souffert plus jeunes). Un garçon
est alors fortement souhaité par la future mère ; dès la naissance, toute
l'attention de la mère se rive sur cet enfant chargé d'une mission
inconsciente de lui apporter le bonheur via toutes les marques d'affection
dont elle a eu un cruel manque de la part de son partenaire. Une fusion
excessive s'installe alors entre la mère et l'enfant, ce qui l'étouffe. Devenu adulte, le
garçon, soit restera dans le girond de sa mère (sorte de Tanguy du célèbre film), prisonnier de cette relation qualifiée souvent de couple
virtuel entre lui et sa mère, soit s'empressera de quitter rapidement le nid
familial, lorsqu'il tombera amoureux d'une personne qui ressemblera à sa mère
ou à l'extrême opposé (une femme très, indépendante ou encore qui se laisse
dominer par lui) ou encore avec toutes sortes de nuances intermédiaires....
C'est ainsi que nous choisissons
souvent un conjoint qui, à l’expérience, semble ne pas nous convenir du tout.
Là non plus le hasard n’existe pas. En fait, au travers de tous les couples
que nous formons ou tentons de former, s'activent des programmes, des
identifications qui viennent de notre enfance et qui ont été véhiculés par
notre famille. Chantal Rialland attire l'attention
sur le fait que faire l'impasse sur un réel travail sur soi nous condamne "à
reproduire ultérieurement nos identifications d’enfant. Parfois à notre insu".
Pour comprendre comment tout cela est possible,
il faut se souvenir que la famille est à l'image d'un troupeau animal. Elle a
ses lois et ses croyances qui lui permettent de survivre (rappel cf. le
Théorème du Singe, expérience
scientifique).
Pour chacun, la première image de l'homme qu'il
a, c'est celle de son père et la première image de la femme, c'est celle de sa
mère. Qu'on le veuille on non, ces images influencent nettement, sciemment ou
pas, nos choix de couple : comment nous allons nous comporter avec l'autre ou
comment nous allons tomber amoureux de quelqu'un qui est en lien psychique
avec l'image de nos parents au travers du couple qu'ils formaient. Tout comme
dans la nature où les animaux apprennent par mimétisme, dans le troupeau
humain, se reproduisent des solutions apprises, même si elles génèrent de la
souffrance. Plus fondamentalement encore, la Nature et l'Univers ne
reproduisent en fait que des comportements "gagnants" dans ce qu'ils
permettent de continuer à vivre, à progresser, à se perpétuer. Les changements
n'apparaîtront que lors de bouleversements fondamentaux comme de nouveaux
programmes de survie remplaçant alors ceux qui ne convenaient plus.
Exemple d'un tel bouleversement : bien avant
l'apparition de l'homme sur terre, lors du retrait progressif d'une grande
partie de l'eau sur le globe terrestre, il a été démontré scientifiquement que
les poissons, en contact donc plus fréquent avec l'air, ont développé pour
respirer l’oxygène de l’air, deux poumons à côté de leurs branchies : il
s'agissait bien non pas d'une maladie mais d'un programme psychobiologique de
survie qui leur permettait alors de s'adapter à leur nouvel environnement.
Nous portons nous-mêmes de telles branchies, résidus à côté de nos poumons,
signes d'une adaptation due à un bouleversement fondamental de notre
environnement primitif. C'est ce qui est aussi arrivé à l'escargot
'petit-gris' (Helix aspersa) qui a dû
s'adapter à la vie terrestre grâce à la présence de poumons et non plus de
branchies, ce qui fait de lui un membre de la classe des pulmonés.
Escargot "petit-gris"(Helix aspersa)
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Dans la famille humaine,
en dehors de tels bouleversements, on voudra, par exemple, ressembler ou pas psychologiquement
à l'un de nos parents, voire à un membre plus éloigné de la famille, et en activer ou
pas des croyances, des comportements similaires, en tout ou en partie. Ressembler
pourrait alors signifier perpétuer l'image de l'homme ou de la femme qu'a été
l'un de nos deux parents : pour faire mieux qu'eux, pour les honorer ou
exprimer leurs valeurs, principes de vie..., en respectant ainsi cette grande
loi que Ann Ancelin
Schützenberger appelle la "loyauté
familiale invisible".
La rencontre d'un homme et d'une femme sont
à l'image de ce double emboîtement :
pour l'homme : famille de son père et famille de sa mère
pour la femme : famille de son père et famille de sa mère
ce qui provoque la rencontre en fait de quatre familles
et l'activation de leurs propres programmes
transgénérationnels, mais dans la stricte mesure
où ils sont compatibles.
On peut aussi rechercher un conjoint qui pourra, par exemple, ressembler à l'un de ses parents, dans ce que précisément il a pourtant souffert. Cela peut paraître paradoxal, mais, ce faisant, on recherche, ni plus ni moins, l'occasion de résoudre les conflits qu'on a eus avec ce parent, au travers de cette tentative, certes vouée à l'échec ; en effet, il n'est pas possible de résoudre un conflit par personne interposée. La solution rencontrée en thérapie (non induite mais qui doit rester celle initiée par les partenaires) sera par exemple de se rendre compte de ce qui est réactivé au travers de cette union souffrante et de rechercher des moyens concrets pour résoudre la situation conflictuelle avec le parent en question, qu'il soit vivant ou décédé. La solution mise en œuvre peut en effet se réaliser d'une manière symbolique et ce, tout aussi efficacement.
Exemple de cet homme prénommé Gaétan (voir ce que la langue des oiseaux révèle sur le choix entre autre de ce prénom) qui tombe amoureux systématiquement de femmes qu'il ressent comme froides, inaccessibles, peu aimantes... En psychothérapie, il apparaîtra naturellement que sa mère lui paraissait (trop) froide... et il la réactive alors en quelque sorte dans le choix de ses partenaires.
Enfin, combien de femmes ne se lient-elles pas avec un homme qui les abandonnera ou dont elles se sentent constamment délaissées et qui n'ont en fait pas connu leur père ou qui ont été abandonnées par celui-ci à un moment ou à un autre !
A l'image de ce qui se passe dans la nature où tout conflit doit être résolu, chacun de nous tente ainsi aussi à travers des choix de couples, en apparence inappropriés, de résoudre des problématiques de son enfance ou de son adolescence.
Homme >>>>>>>>>>>> Femme
Femme >>>>>>>>>>>> Homme
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Cependant, dans tous les couples, la problématique de l'un s'emboîte aussi parfaitement avec la problématique de l'autre. Il n'y a en effet d'émetteur pouvant valablement émettre que s'il y a un récepteur pour l'accueillir, sur la même fréquence ! Quand un couple vient en thérapie, par exemple, parce qu'un des partenaires en a plus qu'assez de subir le comportement alcoolique de l'autre, on pourrait croire qu'il en est donc la pure victime (voir plus haut).
Aussi surprenant que cela puisse paraître, il peut y avoir aussi dans le jeu des prénoms des messages par rapport à la manière dont le couple aura été choisi, se sera constitué. Qu'est-ce que cela voudrait-il donc dire pour un conjoint, lorsque son beau-père et son père ou lorsque sa belle-mère et sa mère portent le même prénom ou que les prénoms ont une certaine ressemblance ? Très souvent j'ai pu remarquer dans ce genre de cas que le beau-père était très différent du père ou la belle-mère très différente de la mère. La personne qui se retrouve avec une telle configuration me dit par exemple qu'elle apprécie beaucoup un tel beau-père qui lui apporte ce que son père ne lui a pas apporté en suffisance, ce dont elle a souffert la plupart du temps en silence (souvent un manque d'affection, d'attention, de soutien ...).
Le choix du partenaire peut alors être guidé par ce que représente et apporte donc un des beaux-parents. Souvent même alors la place de la belle-mère, parce qu'elle apporte comme une réparation transgénérationnelle, est perçue par l'autre partenaire comme beaucoup trop importante ; des conflits peuvent alors survenir. Cependant, ici encore, cet autre partenaire (qui "subit" donc ce qu'il pourra percevoir comme un envahissement du beau-parent) verra en fait se mettre en route un programme souffrant ; la plupart du temps caché, ce programme s'emboîte parfaitement fréquemment, pour ne pas dire à coup sûr, avec celui de son partenaire (suivant l'observation empirique). Une thérapie de couple permet alors de mettre au jour de tels programmes et permet aux conjoints souffrants de résoudre ensuite leurs problématiques familiales : mettant en lumière les résonances transgénérationnelles de tels programmations, ils s'en détachent plus facilement.
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au menu de ce chapitre sur le couple
Que de souffrances répétées, que de séparations douloureuses pourraient être évitées si nous comprenions réellement le sens émotionnel et/ou transgénérationnel de ces unions conjugales, dans ce qu'elles expriment des situations conflictuelles non résolues. Nous remémorer nos vécus souffrants à la fois dans nos enfances respectives et dans nos familles propres est toujours une source de multiples libérations. Les événements qui suscitent ces souffrances renferment en eux-mêmes autant de messages et d’outils libérateurs. C'est faute d’en être conscients que les mêmes plats sont resservis inlassablement, comme pour nous inviter à en décrypter les messages.
Le couple est donc étroitement lié aux programmations familiales en les exprimant d'ailleurs la plupart du temps à son insu ; se rendre aussi sur la page Famille pour y découvrir d'autres pistes.
Le travail en thérapie de couple est puissant et permet de se dégager très rapidement de conflits qui pourraient paraître insurmontables parce que, par exemple, très anciens ou présents dans chacun des couples successifs.
Photo prise par le Dr François Ruttens
(restaurant "La pie qui chante" dans le village perché de DAUPHIN,
pas loin de Sisteron en France).
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Voir aussi, l'article paru dans La Nouvelle Gazette.
Foire aux questions (FAQ) sur les Thérapies de couple
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Couple.htm : "Aie mon couple !" et "Ce qui met en péril une relation de couple" par Christiane Perreau
à la lumière de ce qu'apportent les Constellations Familiales.
Adevreughtthemes.htm : les Constellations Familiales Intégratives : une technique thérapeutique puissante pour libérer
les valises transgénérationnelles et leurs conséquences néfastes sur la santé, le couple,
la famille, le travail etc. (stages d'un jour).
At&CfDechiruresDates.htm : guérir des conflits, des déchirures du couple
Psychogenealogie.htm : mieux comprendre les transmissions transgénérationnelles des conflits pour mieux résoudre les conséquences néfastes sur la vie en couple et la vie en famille.
CBCMC_Pres.htm : en quoi les Cycles Biologiques Cellulaires Mémorisés découverts par Marc Frechet nous permettent de
comprendre pourquoi nous répétons les événements souffrants de notre vie et puis comment s'en libérer.
Sexualite.htm : de nombreux liens pour une sexualité plus épanouie.
Voir ce que nous proposons comme séances pour les couples
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Article paru dans La Nouvelle Gazette du 15 février 2005 :
cliquer ici pour mieux voir cet article
La journaliste qui m'a interviewé a pris beaucoup plus de notes que ce qui se trouve finalement
dans son article ; cela rend le propos un peu "court", un peu abrupt..., j'en conviens.
Si cet article vous a interpellé, voire surpris, il aura rempli sa mission : vous inviter à approfondir le sujet.
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SEANCES INDIVIDUELLES, CONSULTATIONS :
Anne et Baudouin vous proposent des thérapies brèves dont l'un des buts est de
vous fournir pour la vie
des outils autothérapeutiques ; en étant conduit dès la première séance à vous retrouver dans l'action vers la guérison,
vous vous permettrez alors de vous dégager plus rapidement de situations indésirables présentes et à venir.
Extraits de la FAQ sur les séances de couple :
- En quoi consiste une thérapie de couple ?
- Que peut-on résoudre avec une thérapie de couple ?
- Quelle est la différence entre "thérapie familiale "
et " thérapie de couple " ?
Une petite fille dit à un petit
garçon : «Quand on sera grand, on se mariera».
Le petit garçon lui répond : «Impossible, chez nous, on se marie dans la
famille.
Mon père a épousé ma mère, mon grand-père a épousé ma grand-mère, etc.»
"Ce qui met en
péril une relation de couple"
par Christiane Perreau
"Nous avons vu (...) l’importance des
premiers partenaires dans l’existence d’une personne et dans la réussite
d’une relation de couple.
Réussir une relation de couple est un souhait
profond et échouer dans cette relation constitue une peur fondamentale et
est source de difficultés voire de traumatismes. Vivre des difficultés de
couple réactualise la plupart du temps des conflits de l’enfance qui ne sont
pas terminés et le bonheur tant attendu se transforme en cauchemar.
Voici quelques exemples de sources d’intrications qui vont polluer les
relations d’un couple, malgré l’amour et la bonne volonté des partenaires.
La plupart du temps, le fait de voir ces dynamiques et de remettre de
l’ordre dans le système actuel et/ou le système d’origine va permettre au
couple de retrouver un nouveau souffle, d’évoluer vers des relations plus
paisibles et constructives. Et si la séparation s’avère inévitable, les
partenaires pourront la vivre avec plus de tranquillité, moins de
culpabilité. Chacun se reconnaîtra, assumera sa part de torts et honorera
tout ce qu’il aura reçu de bon de cette relation. Ainsi ils pourront se
détacher l’un de l’autre et se retrouver libres pour autre chose, une
nouvelle relation si tel est leur souhait." |
Violences conjugales : il y a
peu de différences entre les sexes !
"Les études internationales démontrent qu'une femme sur quatre subit une forme de violence conjugale, mais aussi qu'un homme sur cinq vit une expérience similaire. Certaines études affirment même qu'il y a très peu de différence entre les sexes." (Source)
Quand on constate de telles violences, le politiquement correct et la bien-pensante dictent des remèdes uniquement comportementalistes, comme s'il suffisait aux partenaires d'adopter tout simplement de nouveaux comportements cette fois convenables, pour que la paix revienne durablement dans leur couple ! Ici encore c'est faire l'impasse sur l'incontournable prise en compte des vraies causes profondes de la violence conjugale et familiale et elles se trouvent toujours dans les familles d'origine : : « Les enfants battus et humiliés dès le début de leur vie et qui grandissent sous des conditions totalitaires ne connaissent que l'état de guerre et ils l'imposent aux autres car ils ne connaissent pas d'autres façons de communiquer. L'apprentissage de la communication pacifique et respectueuse commence dans le berceau. C'est pourquoi l'éducation sans violence est indispensable. » (Détails) Grâce à une thérapie individuelle, de couple et une thérapie familiale (s'il y a des enfants, par exemple), on pourra rapidement désactiver les sources des comportements violents intrafamiliaux et aussi s'en prémunir pour les générations futures...
A lire aussi : Violences conjugales : les enfants aussi sont des victimes C'est le creuset familial qui engendre des terroristes Retour au menu de ce chapitre sur le couple
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Sacha d'Etang - Photos du journal | Facebook
*
Un homme rentre chez lui à l'improviste et trouve sa femme au lit avec un nain
!
- Mais enfin chérie, tu m'avais promis de ne plus me tromper !
- Ben tu vois, je diminue la dose....
*
Un grand-père prend sa petite fille sur ses genoux et lui demande :
- Alors que vas-tu demander comme cadeaux au Père Noël ?
- Moi, répond la fillette, je voudrais recevoir la Barbie divorcée !
Plutôt étonné, le grand-père demande :
- La Barbie divorcée, et pourquoi ?
- Ben, c'est simple, hein Papy, avec la Barbie divorcée,
tu reçois aussi la maison de Ken, la voiture de Ken, le cheval de
Ken, ......
*
Découvrir
un tout nouveau et gratuit "cours de
formation pour homme".
Messieurs, n'oubliez pas votre "Droit de réponse", je suis preneur ! ...
* Un professeur d’anglais demanda à ses élèves de mettre la ponctuation dans cette phrase :
"Woman without her man is nothing"
Les garçons écrivirent : "woman, without her man, is nothing" (la femme sans son homme n’est rien)
Les filles écrivirent : "women ! without her, man is nothing" (la femme ! sans elle, l’homme n’est rien).
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Si la quadrithérapie ne donne pas les effets escomptés, essayez,
il existe un générique le "DIKELLARAISON" mais son goût est, parait-il,
conseiller
* CONSEILLER CONJUGAL :
Après quinze ans de mariage et de fréquentes disputes, un couple se
décide à consulter un conseiller conjugal.
L'épouse se lance immédiatement dans une longue tirade
passionnée,
elle détaille chaque petit problème de couple survenu pendant ces 15 années.
Et encore, et encore, et encore :
· il ne m'aime plus,
· il me néglige,
· il me laisse seule,
· il ne me donne pas d'affection,
· etc. etc.
Finalement, après l'avoir patiemment écoutée, le thérapeute se
lève, fait le tour de son bureau,
demande à la femme de se lever et il l'embrasse longuement, avec fougue et
passion.
La femme, enfin silencieuse, se rassied calmement, l'air béat, comme sur
un nuage.
"Voilà", dit le thérapeute au mari, "voilà ce dont votre
épouse a besoin, chaque jour".
Et j'insiste : chaque jour de la semaine ! Sommes-nous
bien d'accord ?"
Le mari, après quelques instants de réflexion :
"Du lundi au vendredi, pas de problème, je peux vous l'amener ici chaque
matin, mais le week-end je fais du vélo".
* Voir aussi ce "Guide
de la Bonne Epouse"
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MOTS D'ENFANTS A PROPOS DU MARIAGE
COMMENT CHOISIR
AVEC QUI SE MARIER ?
Il faut trouver quelqu'un qui aime les mêmes trucs. Si tu aimes le foot, elle
devra aimer que tu aimes le foot
et t'amener des chips et de la bière.
Alain,
10 ans
On ne décide pas vraiment avec qui on va se marier. Dieu décide tout bien
avant et tu vois après qui il t'a collé.
Kirsten, 10 ans
QUEL EST LE BON AGE POUR SE MARIER ?
Le meilleur âge c'est 23 ans, parce que tu connais ton mari depuis au moins
10 ans. Camille, 10 ans
Il n' y a pas de bon âge pour se marier. Il faut être stupide pour avoir envie
de se marier. Freddie, 6 ans
QU' EST-CE QUE TES PARENTS ONT EN COMMUN ?
Ils ne veulent pas d'autres enfants. Laure, 8 ans
QU' EST-CE QUE LES GENS FONT A UN RENDEZ-VOUS ?
Les rendez-vous, c'est pour s'amuser, et les gens devraient en profiter pour
se connaître mieux.
Même les garçons
ont quelque chose d' intéressant à dire... si tu écoutes assez longtemps.
Linette, 8 ans
Au premier rendez-vous, ils se disent des mensonges intéressants, comme ça ils
sont d'accord
pour avoir un
deuxième rendez-vous. Martin, 10 ans
QUE FERAIS-TU SI TON PREMIER RENDEZ-VOUS SE PASSE MAL ?
Je rentrerais à la maison et je ferais semblant d'être mort.
Et j'appellerais les journaux pour leur demander
d'imprimer que
je suis mort. Craig, 9 ans
QUAND EST-CE PERMIS D' EMBRASSER QUELQU'UN ?
Quand ils sont riches ! Pamela, 7 ans.
Si tu embrasses quelqu'un, il faut se marier et avoir des enfants avec elle. C'est comme ça.
Henri, 8 ans
EST-IL MEILLEUR D' ETRE CELIBATAIRE OU MARIE ?
Je ne sais pas ce qui est mieux, mais je ne ferai jamais l'amour avec ma
femme.
Je ne veux pas qu'elle devienne grosse. Théodore, 8 ans
C' est mieux d'être célibataire pour les filles. Mais les garçons ont besoin
de quelqu'un pour nettoyer. Anita, 9 ans
... et, peut-être, la meilleure de toutes.... :
COMMENT FAIRE POUR QUE TON MARIAGE MARCHE BIEN ?
Il faut dire à ta femme qu' elle est jolie, même si elle a l'air d' un camion. Richard, 10 ans
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mariagemariage
DÉFINITIONS DU MARIAGE
- DÉFINITION RELIGIEUSE
|
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