Un cytomégalovirus (CMV) qui fait une volte-face surprenante

mais ce qui n'est pas toujours le cas ... et pour "cause"...

 

Les Miracles ne violent pas les lois de la nature

mais le peu que nous en savons.
(Saint Augustin)

 

 

© Baudouin Labrique

 

 

 

 

Ce qui suit ne doit en aucun cas constituer une recette qui permettrait à coup sûr de décoder

l'origine de cette pathologie ; tout est en effet une question de "terrain" personnel.

Rappelons que ce virus n'est présent que sur 1% des personnes enceintes et

que seulement 1 pour 1000 enfants à naître en seraient affectés,

donc pas de panique !

 

AVERTISSEMENT IMPORTANT :

nous n'adhérons en aucun cas à la Biologie-Totale

que nous refusons vu les dérives qu'elle génère

par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.

(Voir notre avis).

Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière les comportements intégristes et outranciers du Dr Hamer.

Deux chapitres du livre écrit par Baudouin Labrique,

"Quand les thérapeutes dérapent" y sont consacrés.

 

 

"Ignorer les événements qui se sont passés avant votre naissance, c'est rester toujours enfant."
Cicéron (106-43 av. J.C.)

 

 

        Un monsieur me fait part que sa femme, qu'il avait rencontré récemment,  est enceinte de lui ; ils ne s'y attendaient absolument pas et penchent alors pour faire une I.V.G. ; ils avaient certes projeté d'avoir un jour un enfant mais cette grossesse, c'était trop tôt selon ce qu'ils m'en avaient dit. Suite à des analyses médicales de routine, on découvre la présence d'un cytomégalovirus (CMV) chez la mère ; suivant ce que le corps médical leur en a dit, la présence d'un tel virus, s'il est présent dans le foetus, peut entraîner sa perte, des malformations etc. (voir plus d'infos sur le cytomégalovirus au niveau médical). Entre-temps, le couple décide tout de même de garder l'enfant et fort de la conviction qui est la leur, ils décident de le garder avec pour conséquence que le virus disparaîtra vraisemblablement et n'aura causé aucun dégât ; je les invite se mettre dans l'action dans le cadre d'un rituel à mettre au point personnellement où ils mettront en oeuvre toutes les Énergies auxquelles ils croient.

 

        Grâce aux redécouvertes scientifiques notamment du Pr Henri Laborit, on sait maintenant que c'est le cerveau qui en fait ordonne l'enclenchement des maladies et notamment l'activation des virus ; les virus et les bactéries "responsables" des infections ; ils sont, majoritairement présents à l'état latent dans l'organisme (nous possédons neuf fois plus de bactéries dans le corps que de cellules !) ou, soit, minoritairement, captés à l'extérieur ; cependant, c'est le cerveau qui, centrale commande, va leur donner l'ordre d'intervenir suivant le "travail" à effectuer, comme des ouvriers "thérapeutiques". Aussi surprenant que cela puisse paraître, à partir du moment où, par exemple, le cerveau a reçu l'ordre du psychisme d'évacuer ce "qui n'est plus utile" (en l'occurrence le foetus, suite à la décision d'une 'I.V.G.), un virus spécifique est alors chargé de mettre en route le "recyclage" ; l'univers est en effet notamment basé sur la loi d'économie d'énergie : ce qui n'est plus utile doit disparaître. D'ailleurs, grâce à la Psychobiologie moderne et qui prend sa source dans la médecine chinoise traditionnelle, on sait que le rôle des virus et des bactéries rentre en jeu lors de la phase de réparation des maladies (voir ce qui se produit avec la grippe même aviaire) : ici le conflit, qui est causé par l'existence du foetus, se résout directement par la décision de ne pas le garder et pour y arriver les virus sont appelés par le cerveau pour "libérer" le terrain. Le mythe dogmatique du rôle négatif des virus est en train officiellement de prendre du plomb dans l'aile

 

 

 

Rôle de recyclage par les virus de ce qui est devenu inutile pour être de nouveau utilisable

 à l'image de ce qui se passe dans la nature ; l'Univers ne gaspille rien.

 

 

        Peu de temps après avoir pris la décision de le garder, de nouvelles analyses médicales révèleront que le cytomégalovirus à "mis les voiles", à la très grande stupéfaction du gynécologue et du service médical auquel il est attaché ! Les virus n'avaient donc plus d'utilité, et suivant donc la grande loi d'économie d'énergie de l'univers, ils doivent partir. L'enfant qui a ainsi pu naître en parfaite santé avait une taille plus grande que la normale et porta le prénom (choisi AVANT sa naissance) de MAXIME ; pour moi, c'est encore un exemple de ce que les prénoms sont aussi porteurs de sens, de projections, de programmations, de mémoires, entre autres, familiales. La croyance que le virus allait mettre en danger le foetus, si elle avait perduré, aurait sans doute pu faire son effet : l'enfant aurait pu mourir rapidement (fausse couche ou mort né) en l'absence d'une I.V.G.  risque augmenté par la crainte des parents d'une issue fatale (cf. "Ce que finit par entraîner la peur de...").

 

        Cerise sur le gâteau et expression de la "langue des oiseaux" propre au cerveau, analogue à ce qui se passe aussi pour le cerveau suivant ce que la P.N.L. a découvert de son côté (programmation - neuro - linguistique °°) : initialement, les parents projetaient bien de faire un enfant, mais pas tout de suite : cytomégalovirus = "si tôt ..." (enfant arrivé) trop tôt ! De plus, il y a une parenté entre mégalo (megalos = grand en grec) et Maxime (maximus = le plus grand en latin) ; enfin, on peut aussi entendre dans ce prénom : « max aimé » : aimé, désiré par dessus tout.  En rapport et comme point commun supplémentaire avec l'exemple suivant, il faut savoir que le mère de Maxime était aussi nettement plus âgé que sa mère.  D'autres exemples ayant en commun ce dernier détail complémentaire permettraient de se poser alors la question de sa pertinence, par rapport au "choix" du cerveau de ce type de virus.     

 

        Une personne qui a lu cette page m'a fait parvenir le témoignage suivant qu'elle m'a autorisé à reproduire ; il apporte encore une confirmation de ce qui précède ; ici, c'est la famille qui n'a pas désiré l'enfant. Le projet de nais-sens est aussi dicté par les familles respectives ; en effet, l'enfant porte deux "sacs à dos" : celui de maman et de sa famille et celui de papa et de sa famille. Il faut ici encore voir la famille comme un clan, mieux comme un troupeau où la place de chacun est conditionnée à tout l'ensemble.

 

"J'ai eu mon fils à 19 ans c'est "assez tôt" ,  il était désiré plus que tout et pourtant j'ai fait une primo infection à cmv et mon fils [Ndlr :âgé de 5 ans] (...) est reconnu handicapé à plus de 80 % et si nous avons obtenu d'aussi bons résultats, c'est grâce à sa motivation à la mienne et de sa kiné. (...) mon fils se bat, il est volontaire ; (...)  la signification des prénoms : car mon fils se renomme Killian qui veut dire l'assaut du guerrier et bien oui il se bat tel un guerrier... et moi aussi d'ailleurs... (...)

 

J'ai alors questionné par écrit cette maman  :

1° est-ce qu'il a été désiré réellement par les familles respectives ; n'a-t-on pas trouvé (tacitement ou ouvertement)
    que vous étiez par exemple trop jeune,
2° est-ce qu'il a été au moment de la conception (lors de la découverte qu'il était là) tout à fait bien accueilli
    par son père par exemple ?
3° quelqu'un est-il décédé durant la période de deux ans avant sa naissance, ou quelqu'un est-il mort après
    dont on redoutait déjà la disparition durant cette période ?

Réponse de la maman :

" (...) dans votre réponse je suis interpellée par les questions à se poser que vous me dites : c'est mon mari qui le désirait avant moi mais il ne venait pas aux consultations prénatales sauf sur les dernières ou lorsqu'il fallait se déplacer sur (...)  car je n'avais pas encore de permis de conduire, puis ma mère me disait sans cesse que j'étais très jeune et ma grand-mère aussi (je précise que le papa de Killian est de 11 ans mon aîné) et puis le dernier point sur la mort, le papa de Killian vient d'une famille de "suicidaires", si je puis m'exprimer ainsi , sur 7 oncles et tantes, 5 se sont suicidés de diverses manières, le dernier étant le parrain du père de Killian qui lui avait fait la promesse de ne pas faire de bêtise avant la venue de mon fils et il s'est pendu alors que j'étais enceinte de 4 mois. (...)." (...) le problème est que mon fils ne parle pas et ne comprend pas grand chose (raison pour laquelle nous apprenons le langage coghamo ) il à énormément de comportement autistique et j'ai de plus en plus de mal à le gérer."
 

         Je ne pense pas qu'on dispose suffisamment de recul ou d'exemples pour affirmer à coup sûr que ce soit le virus lui-même qui engendre ou pas des malformations, des handicaps divers ou pas. On observe souvent, si j'en crois les liens parcourus sur le Net, des risques de malformation ou de handicap "suite" à la présence du cmv.
 
        Comme il faut se garder de tomber dans le piège de prendre "l'effet pour la cause", j'émettrais l'hypothèse plus que vraisemblable que, sans doute, il a fallu la présence d'un ou de plusieurs conflits surajoutés pour que cela entraîne une somatisation telle qu'un handicap, par exemple. On peut imaginer en effet que l'annonce de la présence d'un tel virus génèrera ipso facto chez les parents, la famille diverses peurs, dont (notamment) le fait que l'enfant en soit affecté, renforcé ce que pourra alors en dire, croyant "bien" faire, le corps médical, et donc, apparaîtra alors une sorte de conflit de diagnostic ou de pronostic par personne interposée et alors comme "solution parfaite" : l'enfant n'a donc d'autre "choix" que de somatiser l'objet de la peur. Dans le cas de Killian, il s'en est suivi une sorte d'autisme dont on sait en Psychobiologie, qu'il a souvent comme origine un grave conflit de communication avec deux conflits simultanés :
        1. conflit de la "vésicule biliaire" :  qui pourrait être par exemple un conflit d'injustice, de rancoeur  dans ce qui est la symbolique de

               son territoire ou encore une  humiliation,... (°)
        2. conflit du "larynx" :  qui pourrait être par exemple un conflit de peur bleue, peur frontale

              dans quelque chose d'indicible ("secret de famille") (°)

            (°) Att! Tout dépendra de ce que la personne qui en souffre, aura ressenti lors de la survenance du conflit

                        (ne pas tomber dans la "décodite" !)

        N.B. Cela ne veut pas dire que cela va se somatiser à coup sûr au niveau organique : c'est alors leur symbolique qui "parle"

                 ("mal-à-dire") au travers de ce à quoi renvoie symboliquement les fonctions "bio-logiques" de l'organe,

                 et de ce fait alors "psycho-bio-logiques".


        Voici d'autres suggestions par rapport à des ressentis et de "terrains" familiaux particuliers de celui qui en souffre, à la lumière de ce qu'on a observé en la matière : "Je ne peux pas exister dans le monde extérieur." C'est alors un conflit d'isolement. Le modèle de l'autisme dans l'univers, c'est le "trou noir", le "noir" faisant alors référence à la mort, à l'absence de vie.... Le projet des parents est un rejet total de communication, c'est le transposé du bannissement. L'enfant adhère au désir inconscient familial d'être celui qui est la preuve vivante de l'exilé. C'est lui qui sacralise l'histoire de la brebis galeuse (voir la loi de "loyauté familiale invisible" qu'à mise au jour Ann Ancelyn Schützenberger. Pour faire un autiste, il faudrait 4 générations ; on sait en effet à la lumière de la psychogénéalogie, que tout conflit transgénérationnel doit en tout cas réapparaître comme pour tenter de se résoudre, ce qui est toujours un échec, ou du moins de trouver une nouvelle expression somatique, matérielle, au plus tard à la quatrième génération.

 

 

        Dans son ouvrage "Secrets de famille, mode d'emploi",  Serge Tisseron explique la problématique des psychoses (autistes) :
                - 1ère génération: "ce n'est pas imaginable", "Je ne peux pas imaginer qu'il puisse m'arriver telle chose !".
                - 2e génération : elle vit dans le secret précédent exprime ce qui n'est pas dicible.
                - à partir de la 3e génération c'est impensable.

        (lire le dossier remarquable réalisé par Alternative Santé et qui comprend une interview de Serge Tisseron).

 

        Dans le cas de Killian, on peut déjà commencer à comprendre, à la lumière de ce qui précède et au regard de son lourd passé familial, les raisons pour lesquelles il a pu donc développer un comportement autistique. Dans les deux cas rencontrés et relatés ici, il est étonnant de constater que l'enfant a naître ne jouissait pas d'une acceptation totale de sa venue jugée anachronique
 
         Pour souligner encore les solutions parfaites qu'exprime alors l'enfant à naître, Claude Sabbah relate un histoire d'enfant né aveugle parce qu'il ne fallait pas "qu'on voit que la mère était enceinte". En séance, après avoir relaté cette anecdote à une dame pour lui faire comprendre simplement ce qu'en échange de la vie l'enfant à naître est prêt à faire, à subir, à somatiser par amour etc., elle se demande avec émotion pourquoi je raconte cela ; en effet, mais je ne pouvais pas le savoir, sa mère aussi, très coquette et soucieuse de son apparence, ne voulait pas que cela se voie qu'elle était enceinte d'elle et elle est alors née ... avec l'oeil gauche aveugle (!),  (sans que le commun des mortels ne s'en rende compte à première "vue", si je puis dire) ! Pour achever de convaincre les sceptiques sur ce type de somatisations liées au conditions de naissance ("nais-sens"), je les invite à découvrir d'autres exemples vécus.

 

 

 

Articles intéressants sur le sujet des secrets de famille et de leurs conséquences souffrantes ::

Secrets de famille, confidentialité et thérapies : par le Dr Jean Yves Hayez, pédopsychiatre,

   docteur en psychologie, responsable de l'Unité de pédopsychiatrie

    aux Cliniques Universitaires Saint  Luc (Bruxelles)

 

 

°) "« Programmation neuro-linguistique » ? Quel nom bizarre ! effectivement, la légende dit que Bandler, co-fondateur de la PNL a crée ce terme pour impressionner des forces de l’ordre qui s’inquiétaient de son activité professionnelle. De la même manière ce terme aurait été gardé, ajouté à une kyrielle d’autres termes alambiqués pour impressionner des éditeurs frileux.
Programmation : tout au long de notre vie, nous programmons des façons d’être, de penser, de se comporter en fonction de ce nous vivons, rencontrons.
Neuro : cette capacité de nous programmer repose sur nos capacités neurologiques. Cerveau, système nerveux nous permettent d’appréhender le monde extérieur, de percevoir, stocker et organiser l’information et de mettre en place telle ou telle réponse.
Linguistique : langage verbal et non verbal reflètent cette manière de se représenter et d’appréhender le monde.
La PNL va se fonder sur ces phénomènes, à travers une exploration précise des comportements, schémas de pensée et états internes, une analyse des stratégies mises en place ou le recadrage du contenu et/ou du sens du vécu, pour aider le sujet à modifier sa palette de réponses, à évoluer ou changer sa perception." (plus de détails). Attention ! la PSN n'est pas une thérapie mais seulement un outil a intégrer éventuellement dans un accompagnement (psycho)thérapeutique digne de ce nom !

 

Voir aussi tout ce qui touche à la naissance ("projet de nais-sens") et aux conséquences la plupart du temps inconscientes dans la vie de la personne.

 

Voir aussi tout ce qui touche à la famille et aux transmissions transgénérationnelles.

 

 

 

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Deux chapitres du livre écrit par Baudouin Labrique,

"Quand les thérapeutes dérapent" y sont consacrés.

 

 

Ce qui expliquerait la survenance des maladies :

Ce qui se passe lorsque la peur de... (exemple : attraper une maladie) ne se résout pas.

Exemple de guérison avec l'aide de la psychobiologie (col de l'utérus)

D'autres cas de mal-à-dire qui se forgent dans le ventre maternel.

Les hamsters enfumés (tabac) attrapent-ils le cancer

Le cerf qui perd son territoire et l'infarctus ?

"Le langage de la guérison" (J.-J. Crèvecoeur)

Ce qui se passe lorsqu'une brebis s'égare.

Ne vous agrippez pas à la grippe !

 

 

 

Là où la psychobiologie moderne rentre en résonance avec les médecines primitives :

       "Que notre vie intérieure s’enlaidisse et nous risquons fort de tomber malades ? (...)

 On sait bien que les traumatismes affectifs, les ruptures, les non-dits graves, les amertumes, les haines…

         sont autant de “laideurs intérieures”, qui provoquent notamment des cancers" :

"Les Clés de la santé indigène" (Jean-Pierre Barou & Sylvie Crossman aux éd. Balland)

 

En savoir plus sur la psychobiologie.

 

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