"Bactéries plus coriaces, plus dangereuses" ?!
Menu de la page avec liens directs vers les articles de dernier mis en ligne tout en vas Mises à jour récentes : ¨ "Bactéries plus coriaces, plus dangereuses" En ce qui concerne ces autres microbes, les virus, le mythe dogmatique est en train officiellement de prendre du plomb dans l'aile ¨¨ Le "système immunitaire" mis en cause ¨ « Je n'ai pas peur du virus Ebola mais de la panique qu'il va provoquer »
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Dans ce qui suit, les commentaires de Baudouin Labrique, en italiques, sont entre [Ndlr :] ;
les illustrations
ont été ajoutées.
"L'élimination d'un type de micro-organisme ne fait que créer une niche pour d'autres pathogènes. (...)
La science réductionniste ne se soucie que des nuisibles et non de leur écologie.
La seule solution qui convienne à la fois à cette science et à l'industrie des pesticides est la production
et la vente de poisons pour éliminer les nuisibles. De même que les mineurs et les défricheurs
qui ont envahi l'Ouest américain pensaient qu' "un bon Indien est un Indien mort",
une compagnie de pesticides affirma dans une publicité à la télévision "un bon cafard est un cafard mort".
Ainsi s'exprimait le réputé Pr René Dubos. Ce grand microbiologiste peut être considéré comme le fondateur de l'écologie de la santé.
Il a été l'inventeur de l'antibiotique. Cf. L'Homme et l'adaptation au milieu (Ed. Payot, Paris, 1973).
René Dubos écrivait encore à juste titre: dans son livre Mirage of Health :
"Le monde est obsédé par le fait que la poliomyélite peut tuer d'infortunées victimes chaque année.
Mais ce qu'il y a d'extraordinaire c'est que des millions et des millions de jeunes enfants sont infectés par le virus de la poliomyélite
sans souffrir de la maladies [et on peut le dire analogiquement pour tous les autres virus ou bactéries].
Les virus et les bactéries ne sont pas les causes des
maladies, il s'agit d'autre chose."
« Béchamp avait raison, le microbe n'est rien, le terrain est tout ».
aurait dit Pasteur durant les derniers jours de sa vie à son mai le Dr Renon..
Il aurait même ajouté : « C'est Claude qui a raison », en parlant de Claude Bernard ».
"Malgré les travaux de Béchamp, la grande majorité des microbiologistes du début du 20ème siècle
furent influencés par les travaux de Pasteur, et la doctrine du monomorphisme microbien
est celle qui domine encore actuellement la pensée scientifique de la bactériologie moderne." (lire)
Béchamp découvrit l’élément primordial de la cellule vivante, le "microzyma"
(redécouvert actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE) :
celui-ci pouvait devenir bactérie ou virus d’où le polymorphisme bactérien.
Il dénonça l’erreur du monomorphisme de Pasteur qui entraînait la médecine v
ers la phobie du microbe et la négligence du terrain.
Considérez que le microbe n’est qu’une semence
qui ne développera qu’au pro rata de ce que le terrain le lui permet !
Voir, pour mieux en comprendre les subtilités, le "match Pasteur / Béchamp."
Bactéries, virus, mycobactéries : de prétendus ennemis alors qu'ils participent naturellement
et notamment à la reconstruction des cellules lors de la période de convalescence !
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"Il faut savoir que la quantité de bactéries contenues dans un corps humain correspond
à peu près à une masse aussi grosse qu'une tête d'homme.
La maladie ne vient donc pas de la présence de bactéries,
mais d'un système immunitaire [ ° ] affaibli qui ne peut plus maintenir l'équilibre."
Dr Laurence Badgley, cité dans Sida Espoir, Ed Vivez Soleil
En fait, c'est le cerveau lui-même qui mène le jeu concernant le rôle dévolu
à ces bactéries dans la seconde phase des maladies.
[°] Le système immunitaire est aussi un concept fondé sur un dogme
"Bactéries plus coriaces, plus dangereuses"
Titre du texte qui suit et tiré du Magazine Québec Science et écrit par Isabelle Girard
"Les antibiotiques ont de moins en moins d'effets, les bactéries
sont de plus en plus coriaces.
Sommes-nous à l'aube d'un immense bond en arrière ?"
Les commentaires de Baudouin Labrique sont entre crochets [Ndlr : ].
"En janvier 1997, un supermicrobe a frappé au Centre hospitalier régional du
Suroît, à Valleyfield, près de Montréal. Les médecins de l'établissement
étaient inquiets : il s'agissait de la deuxième alerte du genre en quelques
mois. Au total, 63 patients ont été contaminés par cette bactérie invincible,
qui a même réussi à déjouer la vancomycine, le plus costaud des antibiotiques.
Heureusement, les dégâts ont été limités. La bactérie en cause, l'entérocoque,
n'est pas très méchante. Habituellement, l'infection qu'elle provoque se
résout d'elle-même, lorsque la flore bactérienne normale de l'intestin prend
le dessus sur la bactérie pathogène.
Mais est-ce que cet événement sans précédent au Québec est le signe
avant-coureur d'un problème plus grave de santé publique ? Le docteur Patrice
Vigeant, microbiologiste et infectiologue à l'hôpital du Suroît n'est pas loin
de le penser. « L'entérocoque peut transmettre le gène de la résistance à la
vancomycine à une autre bactérie, beaucoup plus virulente celle-là, le
staphylocoque doré. » C'est une bien mauvaise nouvelle : le staphylocoque doré
est le plus grand responsable des infections nosocomiales, c'est-à-dire qui
sont contractées à l'hôpital. En fait, selon un rapport récent sur les
infections en émergence au Québec (décembre 1996), la moitié de nos hôpitaux
abritent une souche ou une autre de staphylocoque doré. Or, pour se défendre
contre ces bactéries, il n'existe qu'une seule arme : la vancomycine.
En savoir plus sur le staphylocoque doré (version officielle scientifique).
[Ndlr : Conforté par les (re)découvertes de la Psychobiologie moderne , on prend en compte AUSSI la stricte observation du vécu des patients, nous savons maintenant que c'est sur ordre du psychisme que les virus, les bactéries, les mycobactéries comme "ouvriers thérapeutiques" analogue à ce qui se passe dans le secteur du bâtiment ; cependant ces programmes de réparation peuvent conduire un patient, par exemple, à un épuisement tel qu'il en vient à mourir . Début 2007, pour la première fois sans doute dans une revue scientifique, on titre un article "Les virus, ennemis utiles", rendant implicitement quoiqu'involontairement hommage à la médecine chinoise qui avait déjà démontré le rôle actif et combien positif finalement des microbes (virus, bactéries, mycobactéries). Les choses bougent donc (enfin) dans le monde scientifique.
Cependant, il
faut savoir que plus la situation conflictuelle a duré, plus le cerveau aura
constitué un stock de microbes d'une importance proportionnelle à la durée et
à l'intensité de la situation conflictuelle qui se résout donc : prévoyant, comme il le fait analogiquement
avec le volume de cholestérol stocké, il "pense" déjà au
jour, durant la phase de réparation, où ces microbes se comporteront donc en "ouvriers thérapeutiques"
essentiels ! Ce volume mis alors en branle peut poser des problèmes par
rapport à ce qui énergétiquement est alors à disposition de l'organisme qui
bénéficie d'une telle réparation ; il est alors plus qu'indiqué et jusqu'à
même une question de survie de calmer le jeu de ces ouvriers (en ayant recours
aux antibiotiques par exemple), car, trop nombreux, ces ouvriers zélés peuvent
alors conduire l'organisme dans une situation d'épuisement qui peut lui être
fatal.]
Autrefois quasi magiques, les armes antibiotiques sont maintenant de moins en
moins efficaces pour lutter contre des bactéries de plus en plus « futées ». À
l'Institut de cardiologie de Montréal, le médecin et microbiologiste Richard
Marchand rappelle que les hôpitaux rassemblent maintenant les conditions
idéales pour un cocktail épidémiologique explosif. « Nos hôpitaux modernes ne
sont plus les forteresses antimicrobes qu'on imaginait durant les années 70,
explique le médecin. À l'époque, on se croyait invincibles... comme le
Titanic. »
[Ndlr : Comment
voulez-vous (et au nom de quoi d'ailleurs), lutter contre des éléments que le
cerveau a commandé lui-même et à qui il a donné l'autorisation expresse d'agir
? "Chassez le naturel, il revient au galop", ne dit-on pas ? N'est-il
donc pas
normal que ces bactéries etc. dont la fonction dans l'Univers comme pour toute
chose qui en fait partie est précisément d'agir d'une manière utile,
réagissent autrement qu'en développant leurs propres et de plus en plus ingénieux
mécanismes de défense face notamment aux antibiotiques ? Il en est de même pour chaque être vivant : mettre en
oeuvre constamment ses propres mécanismes de survie face à un danger.]
On sait maintenant que les grands établissements hospitaliers sont parfois de
véritables incubateurs à microbes. Les grands malades, dont le système immunitaire [ ° ] est affaibli par la chimiothérapie, la radiothérapie, la
corticothérapie ou les médicaments antirejet administrés aux greffés, sont des
proies faciles pour les bactéries. De plus, chaque fois qu'on introduit un
cathéter ou qu'on effectue une intervention chirurgicale, c'est une porte
d'entrée qu'on ouvre aux microbes.
À l'Hôpital général de Montréal, le docteur Michael Libman, directeur du
laboratoire de microbiologie, dit qu'il est même devenu normal de compter, en
tout temps, quatre ou cinq patients infectés par le staphylocoque doré. Même
scénario à l'Institut de cardiologie de Montréal, où le docteur Richard
Marchand identifie chaque semaine de deux à trois infections de staphylocoque
epidermis, une bactérie présente sur la peau qui profite des chirurgies pour
s'introduire dans l'organisme.
[Ndlr : Si
les bactéries pouvaient vraiment agir d'elles-mêmes, on ne comprend pas alors
pourquoi elles ne s'en prennent qu'à un nombre restreint de malades et
qu'elles ne sont alors localisées qu'à un seul endroit, malgré la prétendue
force incompressible des "épidémies": « Il faut savoir que la quantité de bactéries contenues dans un corps humain
correspond à peu près
à une masse aussi grosse qu'une tête d'homme. La maladie ne vient donc plas de
la présence de bactéries, mais d'un système immunitaire [ ° ] affaibli qui ne
peut plus maintenir l'équilibre. » (Dr Laurence Badgley, texte cité dans Sida
Espoir, Ed Vivez Soleil) Je préciserais qu'en fait c'est le cerveau lui-même
qui mène le jeu concernant le rôle dévolu à ces bactéries dans la seconde phase
des maladies.]
Paradoxalement, c'est l'utilisation massive des antibiotiques en milieu
hospitalier qui pourrait être en partie responsable du problème, croit le
docteur François Lamothe, chef du département de microbiologie et
d'infectiologie du pavillon Saint-Luc du Centre hospitalier de l'Université de
Montréal. « Aujourd'hui, on maintient en vie les cancéreux, les leucémiques et
les sidéens, mais, en même temps, la maladie affaiblit leur résistance aux
infections. Un cercle vicieux s'installe : pour combattre les infections, on
doit administrer des doses de plus en plus puissantes d'antibiotiques parce
que les bactéries apprennent à leur résister. »
[Ndlr : Je salue l'audace de ce professeur de l’université de Vienne, le Dr. PETTENKOFER, qui, durant un cours, avala le contenu d’un verre rempli de millions de germes vivants de choléra ; devant l'auditoire ahuri, il s’est contenté de dire : « Voyons si j’aurai le choléra ». Son assistant DE KRUIF a témoigné par écrit que le verre contenait des millions de "bacilles virgules" se tortillant assez pour "infecter" tout un régiment ; mais il ne développa aucun symptôme. L'expérience du Dr. PETTENKOFER est relatée dans le livre "Guerre et paix des microbes" de Bruno Latour.]
Voici ce qui le confirme encore : "La notion de contagion subsiste cependant dans notre système, mais combien atténuée !
Il ne peut y avoir contagion que lorsque le terrain est en quelque sorte en état de réceptivité (étincelle sur du bois sec) ou fin prêt (dernière goutte qui fait déborder le vase). Ainsi s’expliquent les expériences des hommes-cobayes : Fulton Parandel et autres, acceptant d’avaler des bouillons de microbes, sans aucun accident, la résistance de certains individus aux épidémies et la faiblesse de certains autres, même vis-à-vis des virus atténués (vaccins)".(Source).]
Le problème ne date pas d'hier. Les antibiotiques, ces substances chimiques
produites naturellement par des champignons ou d'autres bactéries, ont étouffé
pour un temps, mais pour un temps seulement, les bactéries responsables des
grandes épidémies de peste, de choléra, de diphtérie et de tuberculose.
Découverte en 1928 par le bactériologiste anglais Alexander Fleming, la
pénicilline a permis de sauver des milliers de vies lors de la Seconde Guerre
mondiale. Cependant, dès 1945, Fleming avait prévu que l'usage massif des
antibiotiques favoriserait la prolifération de bactéries résistantes. Non
seulement sa prophétie s'est réalisée, mais plusieurs espèces bactériennes
sont devenues résistantes aux quelque 200 antibiotiques mis au point depuis 60
ans. C'est ce qu'on appelle la multirésistance.
Résultat : depuis 60 ans, on a multiplié, en moyenne, par 250 la dose
d'antibiotique nécessaire pour venir à bout des microbes ! C'est un énorme
saut en arrière. De plus, même s'il existe actuellement une palette de quelque
200 antibiotiques, aucune nouvelle famille n'a été découverte depuis 20 ans.
Aujourd'hui, la course contre la montre que l'industrie pharmaceutique livre
aux microbes a pris une folle allure. « Il y a 20 ans, il fallait plusieurs
années avant qu'une bactérie devienne résistante à un antibiotique, résume le
docteur Marchand. Mais les bactéries ont pris des cours de rattrapage :
aujourd'hui, elles mettent à peine deux mois pour devenir résistantes à un
antibiotique. »
Faudra-t-il réviser nos stratégies d'attaque contre les microbes ? Un groupe
de travail chargé d'étudier le problème à la grandeur du Canada a recommandé
il y a quelques mois de « réduire globalement l'usage des antimicrobiens de 25
% en 3 ans, en se concentrant sur les infections respiratoires contractées
dans la communauté ».
[Ndlr : Le jour où on acceptera (parce que la majorité des décideurs l'auront compris) le rôle réel de ces bactéries, on ne tentera plus de mettre au point des "stratégies d'attaque" contre elles, mais seulement des stratégies de contrôle réfléchi sur le volume de leur développement ! ]
Les compagnies pharmaceutiques s'inquiètent aussi de la plus forte résistance
des bactéries aux antibiotiques. François Malouin, microbiologiste chez
Microcide, une entreprise établie en Californie, croit qu'il faut attaquer sur
plusieurs fronts. Il tente actuellement d'isoler des molécules pouvant
désamorcer les mécanisme de résistance des bactéries afin de restaurer
l'action des antibiotiques traditionnels. Faire du neuf avec du vieux, en
quelque sorte.
« Les classes d'antibiotiques existantes visent toutes la même cible sur la
bactérie. Les céphalosporines, par exemple, s'attaquent aux enzymes chargées
de fabriquer la paroi cellulaire. Puisque ces antibiotiques sont dérivés de
substances naturelles, les bactéries les reconnaissent et ont développé des
mécanismes de résistance pour les contrer. En mettant au point des
antibiotiques complètement artificiels, les bactéries seront prises de court
devant un ennemi qu'elles n'ont jamais eu à confronter. » C'est ainsi que les
vieilles armes antibiotiques comme les céphalosporines, les bêtalactames et
les glycopeptides retrouveraient leur efficacité contre les souches de
bactéries résistantes à la méthicilline et à la vancomycine.
François Malouin fonde également des espoirs sur la target genomic approach,
une technique qui consiste à isoler les gènes vitaux de la bactérie - une
bactérie possède à peine 200 gènes essentiels - et à concevoir un antibiotique
qui les attaquerait.
En été, chez tous les individus se retrouvent
des millions de bactéries sous les aisselles et
pourquoi donc ne sont-ils pourtant pas malades
dans leur énorme majorité ?
Sauf que la course aux nouveaux antibiotiques ne crée pas d'illusion chez les
scientifiques. Chercheur réputé à
l'Institut Pasteur de Paris, le docteur
Patrice Courvalin croit que la plupart de ces solutions sont transitoires. «
Les antibiotiques de demain feront probablement naître de nouveaux mécanismes
de résistance qu'il faudra contrer... et ainsi de suite. »
Il y a donc fort à parier que, même lorsqu'on aura décodé tout leur génome,
les bactéries, pathogènes ou pas, survivront à l'homme. Après tout, elles ont
déjà réussi à le faire durant 3,5 milliards d'années.
Elles sont blindées
[Ndlr : Etonnant
mais courant effet "miroir" que celui-là : en fait elles ne comportent qu'en
réponse au traitement autant vain qu'insensé de ceux qui, partant du
postulat qu'elles sont nuisibles, s'acharnent à les pourfendre, s'étant
entourés du blindage très rassurant et sécurisant qu'offre la "méthode
scientifique" (fortement remise en cause comme on le constatera sous
le lien proposé) et les fameuses statistiques auxquelles, comme vous le savez on
peut faire dire tout et n'importe quoi ! Armé du "bon sens", pourquoi
donc ne pas s'interroger enfin sur les raisons pour lesquelles Dame Nature
a autorisé ces bactéries à survivre durant 3,5 milliards d'années ?
Tout l'Univers survit grâce notamment au principe d'économie d'énergie : rien
ne se perd, rien n'est donc inutile.]
« Placez dans une éprouvette un milliard de bactéries sensibles à un
antibiotique et une seule bactérie résistante à cet antibiotique. En une nuit,
presque toutes les bactéries sensibles seront éliminées et la bactérie
résistante donnera naissance à un milliard de bactéries... résistantes. »
[Ndlr : Bravo et merci les bactéries ! Superbe exemple d'instinct de conservation comme en sont dotés tous les organismes vivants.]
Un blindage en fait tout ce qu'il y a de plus "légitime" !
Cette « recette » vient du docteur Patrice Courvalin, chef de l'unité des
agents antibactériens à l'Institut Pasteur de Paris. Il explique que les
antibiotiques bloquent l'un ou l'autre des processus physico-chimiques
indispensables à la survie des bactéries. Les pénicillines, les
céphalosporines et la vancomycine, par exemple, inhibent les enzymes chargées
de fabriquer la paroi de la bactérie. D'autres, comme les tétracyclines, les
aminosides et les macrolides, enrayent le mécanisme responsable de la synthèse
des protéines. Quant aux rifamycines et aux quinolones, ils s'attaquent soit
aux enzymes responsables du transport de l'information génétique contenue dans
les chromosomes de la cellule jusqu'à l'ARN messager (transcription), soit à
celles qui gouvernent la réplication de l'ADN bactérien. Bref, toutes ces
stratégies n'ont qu'un objectif : cibler et atteindre un point faible au coeur
de la bactérie.
Comment les bactéries se défendent-elles ? Selon le docteur Courvalin, la
première stratégie d'une bactérie consiste à « s'imperméabiliser » à
l'antibiotique. Elle y parvient en fermant les petites perforations de sa
paroi, ce qui empêche l'antibiotique de pénétrer, ou encore en laissant
l'antibiotique entrer, mais en l'expulsant aussitôt grâce à une sorte de
pompe. Dans certains cas, c'est une enzyme qui se charge du boulot en
détruisant le noyau de la bactérie. Enfin, la bactérie peut se transformer
pour éviter que l'antibiotique ne la reconnaisse.
Mais comment les bactéries apprennent-elles ces trucs ?
Grâce aux chercheurs se comportant à leur insu comme des enseignants ;
les bactéries sont donc " à bonne école" et
c'est en quelque sorte une autre histoire "d'arroseur arrosé" !
Parfois, grâce à une mutation ponctuelle d'un gène qui bloque la fabrication d'une protéine sur laquelle l'antibiotique agissait. Dérouté, l'antibiotique ne peut plus se lier à sa cible, et la bactérie résiste au traitement. Lorsqu'elle se reproduit, la bactérie transmet cette résistance à ses rejetons.
[Ndlr : Superbe
exemple de programme biologique de survie analogue à tous ceux qui gouvernent
d'un manière inaliénable l'Univers : les bactéries ayant une mission
bien précise sont bien équipées d'un système défense évolutif qui leur permettra
de résister efficacement aux agressions extérieures ; l'une des lois de
l'Univers est en effet la loi d'adaptation au milieu ; ceux qui n'y arrivent
pas, disparaissent ou plutôt sont recyclés, vu cette Loi naturelle : rien
en se perd dans l'Univers ; voyez l'évolution des espèces animales et autres
depuis la nuit des temps.]
Les bactéries s'échangent également des informations par le biais d'un
plasmide, une petite structure circulaire contenant une sorte de supplément
chromosomique. Si une bactérie possède un plasmide contenant des gènes de
résistance, non seulement elle transmettra ce « bouclier » supplémentaire à sa
descendance, mais elle peut même le partager avec ses voisines, qu'elles
soient ou non de la même espèce !
Livrer une bataille au XXIème siècle avec des machines de guerres obsolètes ?
on peut penser que les moyens développés par les chercheurs
actuellement ressemblent bien bel et bien à une dérisoire et vaine croisade !...
C'est exactement ce que redoutent les médecins depuis l'épidémie
d'entérocoques résistantes à la vancomycine.
[Ndlr : On peut
s'estimer content que les bactéries ne soient pas pourvue d'une intelligence
comparables à celles des humains, sinon elles auraient adopté elles aussi de
savantes stratégies de contre-attaque et cela aurait pu alors faire sonner le glas
du genre humain.]
Le scénario apocalyptique est le suivant : le staphylocoque entre en contact
avec l'entérocoque résistant; le plasmide qui confère la résistance chez
l'entérocoque se duplique; le staphylocoque en reçoit une copie. Cet échange
d'information est facilité par la présence d'intégrons, des structures
spécifiques qui ouvrent la porte du plasmide pour permettre à un ensemble de
gènes de s'y insérer. Selon le docteur Courvalin, le transfert de plasmide a
de graves conséquences sur la dissémination de la résistance parce qu'il fait
en sorte qu'une bactérie devient résistante à plusieurs antibiotiques. Et
toutes les résistances acquises risquent d'être transférées en bloc à d'autres
bactéries. Un processus dangereusement... contagieux.
[Ndlr : La
"contagion" : autre dogme scientifique ; cf. "Ne vous agrippez pas à la grippe !"]
"Je suis la grippe et je viens vous rendre visite"
[ Pr Jacqueline BOUSQUET : " Si les dogmes n’étaient pas aussi forts, on pourrait suggérer timidement
que les divers virus sont peut-être des effets et non des causes,
ou du moins qu’ils agissent en réponse à une ou plusieurs causes situées en amont : dénutrition,
et absence d’eau potable principalement, mais aussi endémies anciennes,
et...campagnes de vaccinations massives dans le tiers-monde.
Mais on n’a pas le droit, sous peine d’être qualifié d’hérétique."]
Des antibiotiques comme additifs alimentaires
Les antibiotiques « dispersés » dans l'environnement pourraient contribuer à
accélérer le processus de résistance des bactéries. À l'Institut canadien de
la santé animale, Jane Niky explique que l'usage d'additifs antibiotiques est
fréquent dans l'élevage au Québec depuis les années 40, soit lorsqu'on a
découvert que les poulets se développaient plus rapidement si on ajoutait de
petites quantités d'antibiotique à leur alimentation. Selon une étude
américaine, la moitié de tous les antibiotiques vendus actuellement visent le
marché des additifs alimentaires pour la volaille, le bétail, le porc ainsi
que le poisson élevé en bassin.
Le problème : même s'il manque de preuves, le docteur Patrice Courvalin,
chercheur à l'Institut Pasteur de Paris, croit que cette pratique accélère la
multiplication des bactéries résistantes aux antibiotiques. Songez-y bien
avant de planter la fourchette dans votre steak tartare
[Ndlr : C'est avec ce genre de phrase qu'on solidifie les plus terribles
croyances nocives cf.
Ce
que finit par entraîner la peur de...]
En expansion
Le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la santé signale que les
bactéries ont tué 17 millions de personnes en 1995. Aux États-Unis, les
maladies infectieuses sont passées de la cinquième à la troisième place sur la
liste des causes de décès depuis 1980, juste derrière les maladies
cardio-vasculaires et le cancer. Depuis 20 ans, de nouvelles maladies
bactériennes ont fait leur apparition - notamment, la maladie du légionnaire,
la colite hémorragique causée par la bactérie E. coli 0157 et la maladie de
Lyme. D'autres maladies connues depuis longtemps mais qu'on croyait sous
contrôle, comme la tuberculose et le choléra, font un retour en force. Sans
compter la montée des virus, responsables entre autres maladies du sida et des
hépatites C et E."
N.B. de Baudouin Labrique : voici la réponse que je propose à la question posée dans le sous-titre de cet article :
"Les antibiotiques ont de moins en moins d'effets, les bactéries sont de plus en plus coriaces.
Sommes-nous à l'aube d'un immense bond en arrière ?"
"Les antibiotiques ont de moins en moins d'effets, les bactéries sont de plus en plus coriaces. Sommes-nous à l'aube d'un immense bond en arrière ?". On s'obstine encore à considérer les bactéries etc. comme des ennemis à abattre alors que l'observation empirique faite en médecine chinoise (phase chaude des maladies) et des observations scientifiques ont démontré donc qu'elles ne sont là que pour rendre service : c'est leur fonction "bio-logique". "Chassez le naturel, il revient au galop" : il serait temps de redonner au "bon sens" la place irremplaçable qu'il aurait toujours dû conserver. C'est donc une chasse bien inutile, et surtout dommageable, coûteuse qu'on livre ainsi à la Dame Nature ; persister à en violer les lois fondamentales ne pourra que mener vers une impasse, dont on n'imagine pas les effets iatrogènes peut-être irréversibles, à la manière de ce qui se passe avec l'effet de serre qui fait fondre dangereusement, par exemple, les glaciers du Groenland...
Une autre façon de mieux comprendre le rôle des virus etc. "Ne vous agrippez pas à la grippe !" et "Ce qui se passe lorsqu'une brebis s'égare." et encore le "cas d'un cytomégalovirus qui fait une volte-face étonnante ! Lire aussi : "pour en finir avec la vaccination ; le mythe des microbes.".
immunite
¨¨ Le système "immunitaire" : mythe et réalité.
Comme on le démontera dans la suite ce cet article, la conception trop souvent dogmatique de la médecine" traditionnelle"
(entendez par là, dans sa partie matérialiste et rationaliste) avance l'existence
réelle d'un "système immunitaire" ; en phase (comme attendu) avec elle,
le Vulgaris médical donne de l'immunité la définition suivante : "un mécanisme ayant pour but
de prendre en charge la défense de l'organisme
contre les éléments étrangers (et plus
particulièrement les agents infectieux comme les bactéries, les virus ou
les parasites) à cet organisme ». Voici une
autre définition : "En biologie et en médecine, l'immunité, est la
capacité d'un organisme à se défendre contre des substances étrangères
et des agents infectieux. C'est l'une des principales
lignes de défenses
biologiques" (Wikipedia)
En fait, on sait maintenant grâce (notamment) à la
Psychobiologie moderne que les maladies, par exemple infectieuses,
tout comme ce à quoi est prétendue
conduire la séropositivité (quand elle se manifeste somatiquement),
atteste de la commande qui met
en jeu l'action des microbes et des parasites ; en ce qui concerne les
maladies infectieuses, leur présence attestent que le patient se trouve
bien dans la
phase de réparation (°) de sa maladie ;
certes, fonction de l'état physiologique du patient, cela peut le conduire à un épuisement fatal...
Prétendre qu'existent de tels mécanismes de "défense", c'est encore
tomber dans le dogme scientifique qu'il faille
lutter contre les microbes, les
parasites ou tout ce qui est encore (dogmatiquement) considéré alors comme des vrais
agresseurs, comme si la nature fabriquait des
éléments nuisibles à sa propre survie ! Certes, au niveau cellulaire, il
y a un tri qui s'opère entre les microbes utiles et ceux qui ne sont pas
à intégrer. Les microbes sont a la base de toute vie et constituent en
plus nos vraies origines ; pour ne parler que de certains d'entre eux,
les virus à ADN, ceux-ci pourraient être plus anciens que la première
cellule à ADN. Il faut savoir que les virus seraient apparus dans les toutes premières
étapes de la vie et qu’il est donc insensé de vouloir les éradiquer à
tout prix ! Les tentatives d'éradication conduisent d'ailleurs à la
difficulté croissante observée qu'ont les antibiotiques d'opérer leur
action bactéricide. Il est donc plus qu'incongru de considérer les
microbes comme
des agresseurs ou des ennemis nuisibles, dérive à laquelle s'adonne
sans sourciller, la science dans sa partie matérialiste et rationaliste,
ce qui constitue du pur révisionnisme scientifique. Penser
comme elle, c''est
de nouveau donner dans ce
fameux mythe du Microbisme faisant l'impasse inacceptable notamment sur
les découvertes d'Antoine Béchamp, lesquelles invalident les dogmes pasteuriens ;
ces dernières l'ont conduit à écrire très justement
: "le Microbisme’ est une doctrine fataliste monstrueuse qui
suppose qu'à l'origine des choses, Dieu aurait créé les germes des
microbes destinés à nous rendre malades". Soutenir ce Microbisme-là, c'est se livrer à la prétention que la Nature commet de réelles erreurs et que nous, la race supérieure, avons l'outrecuidance de prétendre les corriger !
A cet égard, le célèbre dramaturge Sir Bernard Shaw disait très
pertinemment : « Les gens intelligents s’adaptent à la nature, les
imb… cherchent à adapter la nature... C’est pourquoi ce que l’on appelle
le progrès est l’œuvre des imb… ». C'est d'ailleurs ce qu'avait déjà montré et sans conteste la médecine chinoise ancestrale : quand les causes des maladies froides (dont les cancers) se résolvent, apparaissent les maladies chaudes (infections, inflammation...) qui viennent parachever la réparation en nettoyant le terrain (mais, rappel, certes on peut en mourir faute des ressources e.a. physiologiques nécessaires pour y arriver).
"Il faut savoir que la quantité de bactéries contenues dans un corps humain correspond à peu près à une masse aussi grosse qu'une tête d'homme. La maladie ne vient donc pas de la présence de bactéries (…)" (Dr Laurence Badgley, Sida Espoir, Ed Vivez Soleil.)
En fait, 1° on sait que l’organisme ne doit en rien "se défendre" contre des agents infectieux (dogme comme décrit plus haut) : c’est le cerveau qui est responsable de leur mise en action en leur donnant en fait l’ordre ou le contre-ordre d'intervenir dans des buts on ne peut plus naturels et sensés ; 2° il ne s’agit pas (nécessairement) d’éléments étrangers (dogme) puisque le corps garde stratégiquement en réserve, en les faisant siens, des microbes et parasites en tous genres pour pouvoir les utiliser, comme il se doit, lors des secondes phases (donc réparatrices) des maladies. Si un tel système prétendument destiné à nous "défendre" de tels envahisseurs existait vraiment (comme lors des prétendues contagions ou épidémies sans qu'il y ait une sorte d'accord individuels pour qu'ils se "mettent à l'ouvrage"), nous serions donc en permanence fiévreux et voués à mourir (sans doute) à brève échéance, vu l’épuisement fatal de nos ressources ! Le Dr. PETTENKOFER serait sans doute déjà mort vu l'expérience à laquelle il s'est livré !
"Pourquoi un pharmacien qui ne voit que
des malades tout au long de sa journée, toute la semaine et même toute
l'année, ne tombe-t-il jamais malade ? Pourquoi, après avoir vu 20
personnes grippées en une seule journée, soit 100 en une semaine, un
généraliste ne l'attrape-t-il pas non plus ? " Se
pose, avec bon sens, notamment ce type de questions le
Dr
neurologue
Pierre-Jean Thomas-Lamotte, fort de son expérience médicale de
plusieurs décennies, dans son livre : "Et si la maladie
n'était pas un hasard...".
Début 2007, pour la première fois sans doute dans une revue
scientifique, ce texte éclairant, "Les virus, ennemis utiles", (dossier de
"Pour la Science", n° 55 d'avril-juin 2007) et qui fait
tomber un peu plus
ce mythe dogmatique des virus dangereux qui est donc en train officiellement de
prendre du plomb dans l'aile.
"Il ne faudrait pourtant pas oublier que ce n'est pas le médecin qui vient à bout de la maladie, mais le malade. Le malade se guérit lui-même, comme c'est par ses propres forces qu'il marche, pense, respire, dort et encore le désir refoulé se manifeste par la maladie " (Le célèbre psychologue Carl Jung)
C'est comme si analogiquement, considérant les microbes comme des graines, celles-ci avaient le pouvoir de se développer sur n'importe quel terrain et peu importe alors qu'il soit fertile ou aride ! En fait, il faut considérer qu'elles ne germeront que se elles trouvent un terrain propice à le faire. Voyant alors des prétendues mauvaises herbes pousser, on leurs attribuerait alors à elles seules le fait de s'être développées ! Il en va de même pour les microbes : la science médicale conventionnelle tombe dans le même dogme matérialiste et ne veut toujours pas prendre en compte non seulement la qualité particulière du terrain qui a permis cette végétation indésirable (en apparence), mais les raisons sous-jacentes (stress et psychisme) qui ont conduit ce terrain à s'oxyder pour permettre alors le libre jeu des microbes, qui ne sont en fait que les "amis" de l'organisme, vu leurs rôles utiles dans les phases de réparation des maladies, comme démontré plus haut dans cet article.
Il est paru dans le numéro de BioInfo de septembre 2008 une nouvelle étonnante mais bien rassurante à propos du prix Nobel Luc Montagnier à propos de son nouveau livre : "Les combats de la vie" ; voici l'introduction de cet article qui lui est consacré :
"Luc Montagnier en dissidence" : "La médecine bien-pensante taxe de négationnisme les 'dissidents du Sida' qui mettent en cause de rôle du virus HIV dans la genèse de la maladie. Or, le codécouvreur de ce virus, Luc Montagnier lui-même, s'est détourné de la piste virale pour s'intéresser aux 'cofacteurs', et notamment à l'étude du stress oxydant. Certes, le célèbre professeur n'a pas (encore) viré sa cuti pour embrasser la naturopathie. Mais dans l'ouvrage qu'il vient de publier, il se prononce clairement en faveur d'une médecine plus attentive au terrain des patients et d'une recherche plus ouvertes aux thérapies naturelles."
Dans « l’addition des phénomènes générateurs de stress oxydant », il
inclut des « facteurs psychologiques » (1) et précise que « le
système immunitaire lui-même est affaibli par les problèmes de stress
psychologique » (2) .
"Il paraît alors évident que pour faire une infection ou une affection néoplasique [Ndlr : cancer], il ne suffit pas d'un contact avec un microbe ou un virus ou un irritant local chroniquement subi. On a trop focalisé sur le microbe, le virus ou le toxique cancérogène et pas assez sur le sujet, sur son histoire passée et présente, ses rapports avec son environnement. Les toxiques eux-mêmes doivent sans doute présenter une toxicité variable suivant le contexte et le statut social de l'individu qu'ils atteignent.[...] Contentons-nous maintenant de rappeler que les schizophrènes parvenus au stade de la démence, isolés du contexte social par leur folie, sont parmi les populations les moins atteintes par les affections cancéreuses, infectieuses et psychosomatiques [...]."
"Au fur et à mesure que les trois histoires se développent, les interventions d'Henri Laborit (dans son propre rôle) nous renseignent sur certaines lois du comportement humain fondées sur l'étude du cerveau et de la physiologie animale. Ces théories, clairement exposées, soutiennent que les actes qu'accomplissent l'individu sont déterminés par le conditionnement de la petite enfance. Chacun réagit selon des pulsions de type primaire : la lutte avec le rival ou la fuite devant l'ennemi. Lorsque le sujet est incapable de choisir entre l'affrontement et la dérobade, il se produit un phénomène d'inhibition qui peut conduire à des réactions " limites " comme le suicide." (Source).
¨¨ Voici la définition que donne le Dr Mark R. du "système immunitaire", à l'occasion d'une interview relaté dans un article intitulé : « Vaccins : témoignage d’un repenti » (°) : "C’est vraiment le corps tout entier. Plus l’esprit. On pourrait dire que tout cela forme le système immunitaire. C’est pour ça, qu’au beau milieu d’une épidémie, on peut trouver des personnes qui restent en bonne santé." Elle est donc bien conforme à tout ce qui précède car elle est respectueuse de la réalité psychobiologique des choses dans ce qu'elle intègre le tandem interactif et inséparable : psychisme & corps (°) « Un jour, un chercheur en vaccinologie a vu son collègue perdre son enfant à la suite d’une vaccination. Le doute s’est insinué, et la réalité a fait le reste. Aujourd’hui à la retraite, il dévoile les dessous de l’une des plus grandes escroqueries de notre temps. » Jon Rappoport - Traduction : Christèle Guinot - Interview issue du magazine Nexus.
Il faut rappeler que les organes sont en aval et pas en amont de ce qui se passe dans le processus du "mal-à-dire"(c'est donc aussi ce qui se passe dans les autres systèmes : digestif, respiratoire…) : ils sont dépendants et non pas les premiers acteurs ou participants au premier chef dans le mécanisme, le moteur de ce processus qui active donc l'action des microbes (ce qui n'a donc rien d'aléatoire, comme on l'a vu plus haut). En effet, conformément à cette grande loi naturelle qui est que tout dans l’univers doit s’adapter pour survivre, la maladie doit alors être perçue comme le dit, selon moi, très bien Carl Jung comme un « effort que la nature fait pour me guérir ».
D'ailleurs, c'est ainsi qu'il faut considérer que chaque
personne est son meilleur antivirus à condition de veiller à soigner non
seulement son hygiène physique mais aussi psychique (Suite). A MÉDITER
A cet égard, voici l’avis très autorisé et malheureusement toujours d’actualité du Dr John Eccles (1903-1997), prix Nobel de physiologie et de médecine en 1963 : «
Ils
[la majorité des scientifiques] ont été formés à l'école du
matérialisme. C'est un moule extrêmement rigide composé d'un ensemble de
dogmes qui ne sont pas forcément expliqués scientifiquement ! Par
exemple, affirmer que notre existence n'est qu'un assemblage biologique,
sans essayer de comprendre tout ce qui n'entre pas dans ce cadre – sous
prétexte que ce n'est pas "scientifique" – est un dogme, pis, une
superstition ! La science est pleine de superstitions, de croyances de
toutes sortes... ». « On peut dire à juste titre qu'ils ont découvert une partie importante du lien entre le corps et l'esprit. [...] Les phénomènes émotionnels et psychiques influencent réellement nos fonctions corporelles. [...] Il fallait bien un prix Nobel pour prouver que la médecine se trompe, renverser le dogme qui sépare la vie psychique et la vie organique, montrer les bases scientifiques d'une médecine globale, 'corps et psyché inséparables'. » (Détails)
«
Il faut comprendre que le rationalisme, en
sa prétention scientifique, est particulièrement inapte à saisir, voire
même à appréhender l'aspect touffu, imagé, symbolique de
l'expérience vécue.
» Michel Maffesoli (Eloge
de la raison sensible, Ed. La Table Ronde) |
Ne s'est-on donc pas trompé de "guerre" ?
La bataille s'arrêtera elle (encore) faute de combattants
mais cette fois dans le camp des assaillants ?
N'st-on pas en train de placer au dessus de notre univers terrestre
une sorte d'épée de Damoclès ?...
"Les résultats de la recherche sur l'asthme montrent qu'à cause de l'aseptisation, le bébé n'est pas exposé au moment propice à la bactérie qui devrait se développer dans ses intestins et inciter le système immunitaire [ ° ] à se débarrasser des allergènes."
Clive Cookson, "Friendly Bacteria could wipe out lethal e.coli form" (Financial Times, 9 février 2001).
[ ° ] Le système immunitaire est aussi un concept fondé sur un dogme
"La vaccinologie, fer de lance de la médecine préventive, connaît actuellement une crise décisive. Avec elle, c’est toute la médecine moderne, issue des dogmes pasteuriens, qui se trouve confrontés à ses paradoxes et dès lors remise en question.(...) Pasteur s’est-il trompé ? Si ce n’est pas le cas, comment expliquer l’effondrement généralisé de l’immunité, les allergies, les pathologies auto-immunes, le sida, les nouveaux virus, les nouvelles épidémies... ? Aurions-nous fait fausse route ?(...) Les procaryotes ou microbes sont présents autour et à l’intérieur de nous depuis l’aube du monde. Sans leur présence et leurs multiples activités, aucun être vivant n’aurait pu apparaître et évoluer. Parmi tant d’autres fonctions ils sont garants de la composition de l’air que nous respirons, de la fertilité des sols, de la nutrition des arbres, de la digestion des herbivores, de la maturation de nos grands systèmes physiologiques. Dans notre relation avec eux, la maladie est, ou plutôt devrait être, une exception.(...) Pasteur et ses "découvertes" constituent sans aucun doute le premier grand mythe des temps modernes. Le mythe prométhéen de l’invulnérabilité, de l’immortalité grâce au progrès scientifique." .écrit le Dr Vétérinaire Eric Ancelet dans son livre " Pour en finir avec Pasteur ", Ed. Marco Pietteur, 1999.
"La raison essentielle de la persistance de l'infection réside dans notre mauvaise compréhension des relations entre l'homme et son environnement biologique. Il existe de nombreuses formes de maladies qui ne sont ni prévenues ni guéries par l'aseptisation, les médicaments et les vaccins... Les maladies microbiennes les plus répandues dans nos sociétés sont dues à l'activité de micro-organismes provenant de l'environnement, dans le corps sans y occasionner de dommages remarquables dans des circonstances ordinaires. Ces maladies entraînent des manifestations pathologiques seulement lorsque la personne affectée subit un stress physiologique. Dans ce type d'affection microbienne, l'infection même est moins importante que les manifestations cachées du processus infectieux latent et que les perturbations physiologiques qui transforment l'infection latente en symptômes pathologiques patents. C'est la raison pour laquelle les méthodes orthodoxes basées sur les doctrines classiques de l'épidémiologie, l'immunologie, la chimiothérapie ne suffisent pas pour traiter les maladies endogènes. Il est besoin de développer des procédés pour rétablir un équilibre entre l'hôte et le parasite."
Pr René Dubos, célèbre microbiologiste et inventeur du premier antibiotique, cité par Sarah Bosely The Guardian, 3 mai 2000.
A propos des soi-disantes épidémies, le Pr Jacqueline BOUSQUET observe d'ailleurs : "Les « épidémies » ne frappent que des gens ou des animaux fragilisés et s’arrêtent spontanément sans la moindre intervention médicale. D’autant mieux, d’ailleurs, qu’il n’y a pas d’intervention médicale."
Des avancées significatives dans le reconnaissance des médecines dites alternatives.
Match Pasteur / Béchamp (texte du Dr Michel Scohy) :
Monsieur Louis PASTEUR − 1822 / 1895 |
Professeur Antoine BECHAMP − 1816 / 1908 |
corps Agrégé de Physique et de Chimie Il a découvert la loi de polarisation des substances organiques (levogyre, dextrogyre, racémique) Spécialiste génial en relations publiques et marketing publicitaire. Il a sauvé la France de la honte de la défaite militaire contre les allemands par la dimension qu’il a su donner à ses prétendues découvertes scientifiques autour des vaccinations.
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Agrégé en Pharmacie, Licencié ès Sciences Physiques, corps Physiques, Docteur en Médecine, Professeur de Physique et Toxicologie de l’École Supérieure de Pharmacie à Strasbourg, Professeur de Chimie Médicale et de Pharmacie à la Faculté de Médecine de Montpellier, Doyen de la Faculté libre de Médecine et de Pharmacie de Lille, Professeur de Chimie Organique et de Chimie Biologique à Lille. |
BASE THEORIQUE DE TRAVAIL |
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L’unité de base de toute vie organique serait la cellule (Virchow, Pasteur). Les granulations microscopiques sont niées, elles ne seraient que des artéfacts. Nous retrouvons là une maladie bien connue, totalement incurable, de beaucoup de "scientifiques" : l'aveuglement volontaire... La cellule serait ASEPTIQUE. Il n’y aurait pas de germes dans l’intimité des organismes vivants complexes, à l’état normal ? (Il suffit d’observer un tissu vivant au microscope pour observer des microbes - dans le sang par ex.) Les « Biologistes » modernes étudient la vie en observant le « mort »... Les tissus sont préalablement : - fixés (= tués) par un bain de formol + acide, - déshydratés totalement (l'eau - c'est à dire 65 90% de la matière vivante est remplacée par de l'alcool), - dégraissés (toluène ou trichloréthylène), - inclus dans de la paraffine, du plastique, ou congelés, - coupés en tranches ultrafines = dilacérés, fripés, - chauffés (600°) - baignés à nouveau dans le toluène ou trichloréthylène, - réhydratés artificiellement, - mordancés (bains dans de l’acide),
- colorés, etc. |
L’unité de base de toute vie organique est la granulation microscopique (visible à un grossissement d'au moins 750) - bien connue à l'époque de Pasteur et de Béchamp - baptisée "microzyma (redécouverte actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE)" par Béchamp. Elle est redécouverte actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE ! Le microzyma (redécouvert actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE) est capable de se reproduire. Il a son métabolisme propre. Il est capable de fermenter et transformer certaines substances. Il est capable de bâtir des tissus fibreux, membraneux... Il est capable de construire des germes ou mycèles (comme le bacille de Koch) pour effectuer certains travaux particuliers. Ces derniers sont en quelque sorte des « machines-outils » (tractopelles, bulldozers) ! Il est capable de bâtir les cellules afin de créer un milieu favorable aux échanges (nutrition - respiration - métabolisme) au sein des organismes vivants complexes et de permettre la cohésion de l’ensemble par la création de forces électromagnétiques puissantes (différences de concentration en électrolytes de chaque côté des membranes cellulaires). |
LA PANSPERMIE ATMOSPHERIQUE ? |
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Toute maladie proviendrait d’un microbe spécifique venant de l’extérieur. Ou par extension d'un prétendu virus, d'un prétendu prion, d'une cellule cancéreuse, d'une mutinerie de l'armée défensive qu'est le système immunitaire [ ° ] ... C’est une agression, dans une dialectique de guerre. D’où l’intérêt des vaccins, des antibiotiques (anti-vie), des anti-inflammatoires (anti-réparation), des chimiothérapie (artillerie lourde), des armes atomiques (bombe au cobalt, radium...). D'où le mythe du SIDA qui présuppose cette dynamique de guerre et l'existence du système immunitaire [ ° ] . Cette politique est à l’origine de nouvelles maladies plus graves encore : les maladies auto-immunes par dérèglement de ce système immunitaire [ ° ] (vaccins) et toutes les maladies liées à l’empoisonnement par des toxiques chimiques divers – antibiotiques, anti-inflammatoires, aluminium des vaccins (vache folle), mercure des plombages, etc. ! |
L’évolution du microzyma (redécouvert actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE) est fonction de la qualité du milieu dans lequel il se trouve : >>> éléments nutritifs, oxygène, >>> constantes bioélectroniques (qualité de l’eau) : pH, rH2, résistivité.
Les maladies sont toujours des processus de sauvetage ou de réparation — et de vie. Elles ne sont graves que lorsque le milieu est déficient : carences en vitamine C, en eau, en repos ou en nutriments, déséquilibre bioélectronique, etc.. « Rien n’est la proie de la mort,
tout est la
proie de la vie »
|
Un microbe serait immuable. Il ne pourrait changer sauf par mutation accidentelle et en général pour devenir « résistant » ou plus agressif. La « vie » serait immobile et immuable, comme ces tissus tués, dilacérés et fixés par le formol ! C’est la théorie du MICROBISME. |
Un microbe, une cellule, un tissu, peut toujours redevenir microzyma (redécouvert actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE)s. Ces microzyma (redécouvert actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE)s pourront − selon les besoins et le milieu − bâtir d’autres germes, tissus ou cellules... D’où une notion de POLYMORPHISME bactérien, qui passe obligatoirement par le microzyma (redécouverte actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE)s. |
« Le ‘Microbisme’
est une doctrine fataliste monstrueuse qui suppose qu'à l'origine des
choses, Dieu aurait créé les germes des microbes destinés à nous rendre
malades. »
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Découvrir l'article dans Biocontact écrit par le Dr Vétérinaire Eric Ancelet au sujet du Pasteurisme (mythe encore en vogue au sujet
des microbes et qui a encore cours dans la science médicale officielle.
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"LES VIRUS, ENNEMIS UTILES"
Parmi les chapitres de ce dossier : "DECOUVRIR Leur place dans le vivant
- Leur rôle dans l'évolution - Leur capacité à soigner"
Le mythe dogmatique des "virus à abattre à tout prix"
est officiellement en train de prendre du plomb dans l'aile :
"Les virus, ennemis utiles" : c'est le titre du dossier de "Pour la Science" - n° 55 d'avril-juin 2007. C'est sans doute la première fois qu'une revue scientifique (l'édition française de Scientific American) se permet un tel titre. On peut constater p. 60 par exemple que des essais cliniques ont montré l'efficacité (régression d'une tumeur cérébrale) par l'injection de virus (de la maladie de Newcastle).
"« – Mais quel dieu es-tu, comment te décrire, Janus à la double forme? (…)
– La garde du vaste monde me revient à moi seul, et le droit de faire
tourner l’axe de ses portes m’appartient tout entier. »
Ovide (– 43 à 17)
Pour les Romains et le poète latin Ovide, cet être à la double apparence,
aussi ancien que le monde, gardien des portes et des moyens de communication,
patron de la guerre et de la paix, c’est Janus.
Ni mort ni vivant. Si ancien qu’il aurait côtoyé les cellules
primordiales dont nous sommes issus. Capable de transmettre de l’information
génétique. Générateur des pires dérèglements, mais aussi maillon essentiel de
l’évolution. Janus ? Non, un virus.
Simple association de molécules, les virus sont inertes. Pourtant, quand un
virus pénètre dans une cellule, dont il détient la clé, il prend « vie », au
sens où il se réplique, se multiplie, mute et évolue. Se pose alors une
question essentielle qui préoccupe les biologistes : un virus est-il vivant ou
est-il inerte ?
Tout au long de l’évolution, les virus ont transmis des séquences
génétiques aux organismes qu’ils ont infectés, enrichissant leurs génomes. À
une époque reculée, les virus auraient même « inventé » l’ADN – le code de la
vie – , et introduit le noyau dans les cellules eucaryotes, dont sont
notamment issus les mammifères.
En transférant des gènes entre individus et entre espèces, les virus
dévoilent leurs deux faces. Le Janus malveillant cause les maladies virales.
Les virus provoquent des dégâts au sein des organismes qu’ils envahissent, en
détruisant les cellules qu’ils infectent pour se multiplier puis se
disséminer. Encore faut-il que le virus aient « inventé » des stratégies pour
déjouer les défenses cellulaires et les réactions immunitaires. Le virus
est créatif et adroit : il doit se répliquer en infectant un hôte, mais pas
trop violemment pour que son incubateur ne périsse pas trop vite !
Le Janus bienveillant, c’est celui qui confère leur capacité d’évolution
à tous les organismes vivants. C’est aussi celui qui jouerait un rôle dans
certaines thérapies ciblées : transmettre des gènes pour réparer une
anomalie génétique ; détruire des bactéries devenues résistantes aux
antibiotiques ; éliminer des cellules cancéreuses. Les virologues (Janus des
temps modernes ?) ont un double regard, tourné à la fois vers le passé et vers
l’avenir de leur objet d’étude : le passé leur permettra de mieux comprendre
les maladies virales, et l’avenir apportera de nouvelles thérapies fondées sur
les virus."
Découvrir l'article dans Biocontact écrit par le Dr Vétérinaire Eric Ancelet au sujet du Pasteurisme (mythe encore en vogue au sujet
des microbes et qui a encore cours dans la science médicale officielle.
Menu de la page avec liens directs vers les articles de dernier mis en ligne tout en vas Mises à jour récentes : ¨ "Bactéries plus coriaces, plus dangereuses" En ce qui concerne ces autres microbes, les virus, le mythe dogmatique est en train officiellement de prendre du plomb dans l'aile ¨¨ Le "système immunitaire" mis en cause ¨ « Je n'ai pas peur du virus Ebola mais de la panique qu'il va provoquer »
|
Prendre aussi connaissance des autres avancées significatives dans le reconnaissance des médecines dites alternatives.
Ce qui expliquerait la survenance des maladies :
Ce qui se passe lorsque la peur de... (exemple : attraper une maladie) ne se résout pas.
Un cas surprenant : un cytomégalovirus qui fait une volte-face étonnante !
Exemple de guérison avec l'aide de la psychobiologie (col de l'utérus)
D'autres cas de mal-à-dire qui se forgent dans le ventre maternel
Les hamsters enfumés (tabac) attrapent-ils le cancer ?
Le cerf qui perd son territoire et l'infarctus ?
"Le langage de la guérison" (J.-J. Crèvecoeur)
Ce qui se passe lorsqu'une brebis s'égare.
Ne vous agrippez pas à la grippe !
Là où la psychobiologie moderne rentre en résonance avec les médecines primitives :
"Que notre vie intérieure s’enlaidisse et nous risquons fort de tomber malades ? (...)
On sait bien que les traumatismes affectifs, les ruptures, les non-dits graves, les amertumes, les haines…
sont autant de “laideurs intérieures”, qui provoquent notamment des cancers" :
"Les Clés de la santé indigène" (Jean-Pierre Barou & Sylvie Crossman aux éd. Balland)
En savoir plus sur la psychobiologie.
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Santé -
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