"Bactéries plus coriaces, plus dangereuses" ?!

 

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"Bactéries plus coriaces, plus dangereuses"

En ce qui concerne ces autres microbes, les virus, le mythe dogmatique

est en train officiellement de prendre du plomb dans l'aile

¨¨ Le "système immunitaire" mis en cause

"LES AGRESSEURS IMAGINAIRES"

¨ « Je n'ai pas peur du virus Ebola mais de la panique qu'il va provoquer »

 

 

 

Dans ce qui suit, les commentaires de Baudouin Labrique, en italiques, sont entre [Ndlr :] ;

les illustrations ont été ajoutées.
 

 

"L'élimination d'un type de micro-organisme ne fait que créer une niche pour d'autres pathogènes. (...)

La science réductionniste ne se soucie que des nuisibles et non de leur écologie.

La seule solution qui convienne à la fois à cette science et à l'industrie des pesticides est la production

et la vente de poisons pour éliminer les nuisibles. De même que les mineurs et les défricheurs

qui ont envahi l'Ouest américain pensaient qu' "un bon Indien est un Indien mort",

une compagnie de pesticides affirma dans une publicité à la télévision "un bon cafard est un cafard mort".

Ainsi s'exprimait le réputé Pr René Dubos. Ce grand microbiologiste peut être considéré comme le fondateur de l'écologie de la santé.

Il a été l'inventeur de l'antibiotique. Cf. L'Homme et l'adaptation au milieu (Ed. Payot, Paris, 1973).

 

René Dubos écrivait encore à juste titre: dans son livre Mirage of Health :

"Le monde est obsédé par le fait que la poliomyélite peut tuer d'infortunées victimes chaque année.

Mais ce qu'il y a d'extraordinaire c'est que des millions et des millions de jeunes enfants sont infectés par le virus de la poliomyélite

sans souffrir de la maladies [et on peut le dire analogiquement pour tous les autres virus ou bactéries].

Les virus et les bactéries ne sont pas les causes des maladies, il s'agit d'autre chose."

 

 

 

« Béchamp avait raison, le microbe n'est rien, le terrain est tout ».

aurait dit Pasteur durant les derniers jours de sa vie à son mai le Dr Renon..

Il aurait même ajouté : « C'est Claude qui a raison », en parlant de Claude Bernard ».

"Malgré les travaux de Béchamp, la grande majorité des microbiologistes du début du 20ème siècle

furent influencés par les travaux de Pasteur, et la doctrine du monomorphisme microbien

est celle qui domine encore actuellement la pensée scientifique de la bactériologie moderne." (lire)

Béchamp découvrit l’élément primordial de la cellule vivante, le "microzyma"

(redécouvert actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE)  :

celui-ci pouvait devenir bactérie ou virus d’où le polymorphisme bactérien.

Il dénonça l’erreur du monomorphisme de Pasteur qui entraînait la médecine v

ers la phobie du microbe et la négligence du terrain.

Considérez que le microbe n’est qu’une semence

qui ne développera qu’au pro rata de ce que le terrain le lui permet !

Voir, pour mieux en comprendre les subtilités, le "match Pasteur / Béchamp."

 

 

 

 

Bactéries, virus, mycobactéries : de prétendus ennemis alors qu'ils participent naturellement

et notamment à la reconstruction des cellules lors de la période de convalescence !

 

 

 

  • "LES AGRESSEURS IMAGINAIRES"

    "Le Terrain crée la maladie"

    par le Pr Jacqueline BOUSQUET

  • « La science est la nouvelle religion, et le désinfectant, son eau bénite »  disait George Bernard Shaw.

    On pourrait compléter par :

    "Impuissante à guérir, elle crée un nouveau dogme : le génome, détenteur du programme vital."

     

    N.B. de Baudouin Labrique : les bactéries qui font partie des microbes sont la première trace de vie présente au fond des océans et sont donc à l’origine de ce que nous sommes. Elles sont responsables de 90 % des réactions chimiques.  Nous avons plus de 1000 milliards de microbes par m² de peau et se serrant la main, 34 millions de microbes passent d'une personne à l'autre ! Les microbes sont des milliards a être en chacun de nous sans que nous ne soyons pour autant pas malades  et de plus, ils sont partout. C’est ce qui explique que la présence de porteurs sains de tous les microbes.   Les microbes ne s'activent en maladies que sur ordre du cerveau et que s'il y a un programme psychique sous-jacent. Ils n'interviennent seulement que dans la seconde phase (réparation) des maladies.
     

    "La science matérialiste traque et tue sans relâche des « agresseurs » imaginaires qui ne sont autres que les constituants naturels de l’organisme dont la stéréochimie a changé, alors qu’ils ne sont que les témoins du terrain  des individus ! Après les bactéries, microbes et autres virus qui sont des constituants normaux de la cellule, voici que l’on invente la chasse au PRION ! Si l’on voulait bien chercher, une multitude d’autres constituants cellulaires seraient de bons candidats à se replier différemment ! L’escalade est loin d'être terminée !

     

    Combien de temps supporterons-nous encore des nuées de chercheurs dûment subventionnés pour injecter à qui mieux-mieux des cellules cancérisées ou des prions dans le foie, la rate, les ovaires, les testicules ou le cerveau d’animaux martyrs ? Comme si le fait de consommer des protéines ou de les injecter dans le cerveau était la même chose au niveau des résultats obtenus ! Et on laisse faire cela au nom de «  La Science » ?

     

    Les «  épidémies » ne frappent que des gens ou des animaux fragilisés et s’arrêtent spontanément sans la moindre intervention médicale. D’autant mieux, d’ailleurs, qu’il n’y a pas d’intervention médicale. Les autorités, conseillées par des «  experts » (ces savants de l’ignorance selon la revue Marianne) continuent à nous imposer les vaccinations — acte anti-scientifique s’il en est — faisant preuve de l’inculture et de l’irresponsabilité du corps médical qui, depuis Pasteur, répète sans jamais les remettre en question des dogmes éculés, depuis longtemps rejetés par nos voisins européens par le danger qu’ils représentent ! "

     

    Interpellant de constater que dans des pays comme la Norvège ou la vaccination n'est pas obligatoire (depuis 1995), il n'y a pas plus de malades que là où elle est obligatoire ! Accrochez-vous ! Pour la Norvège : "Globalement, un état de santé meilleur que celui des autres pays européens, à l’exception des maladies cardiovasculaires pour lesquelles la Norvège est mal placée. C’est probablement lié à des questions de nutrition." (Source)  Si cela n'est pas en soi un désaveu de la prétendue efficacité des vaccins comme légitimement d'un aveu de sa nocivité, que les partisans de la vaccination à tous crins m'expliquent alors cela !

     

     

     

    "Les maladies organiques ont un support psychique. Les microbes existent, bien sûr, je les ai vus.

    Mais, de plus en plus, on se pose cette question fondamentale : ces microbes sont-ils la cause de la maladie

    ou leur virulence et leur pullulement en sont-ils la conséquence ? "

    FRANCOISE DOLTO & GERARD SEVERIN

    extrait de La foi au risque de la psychanalyse.

     

     

     

    En ce qui concerne ces autres microbes, les virus, le mythe dogmatique est en train officiellement de prendre du plomb dans l'aile

     

    Voir aussi en quoi les virus interviennent comme ouvriers thérapeutiques dans la seconde phase des maladies.

     

     

    ebola

  • « Je n'ai pas peur du virus Ebola mais de la panique qu'il va provoquer »
    Bruno Marchou, chef de service des maladies infectieuses et tropicales

  • « Je n'ai pas peur du virus Ebola, j'ai peur de la panique qu'il va provoquer en France», assure le professeur Bruno Marchou, chef de service des maladies infectieuses et tropicales de l'hôpital de Purpan à Toulouse. C'est dans son service qu'a été admis, mardi soir, un trentenaire rentrant de Guinée. Sans pour autant être atteint du virus Ebola, qui sévit actuellement en Afrique de l'Ouest, il souffrait de forte fièvre et de troubles digestifs. » (La Dépèche.fr)

    C'est ainsi que s'exprimait déjà mi-août 2014 ce professeur dont l'avis pourrait être difficilement mis en question, vu sa position médicale de haut niveau.

    Un mois plus tard, le très sérieux rapport de la Banque mondiale lui donne raison : il entrevoit un effondrement économique en Afrique de l’Ouest, causé non par le virus Ebola lui-même, mais par la campagne insensée et paranoïaque à propos d’Ebola, dont sont responsables les médias occidentaux.

    La panique organisée autour de ce virus fait penser à ce qui a été orchestré concernant la grippe aviaire de 2005 et la grippe porcine (H1N1) de 2009. Les opinions publiques ont été manipulées pour justifier le recours énergique à la vaccination et dont a profité l'industrie pharmaceutique. En 2009, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) avait annoncé qu'un tiers de la population mondiale pourrait être touchée par la grippe H1N1. Il faut pourtant savoir que le nombre et la gravité des grippes en 2009 ont été moins prononcés qu'à l'accoutumée.

     

    Ne cédons donc pas à la panique d'autant que ce que vous lirez sur la présente page consacrée à la prétendue automatique dangerosité des microbes, que des conditions immunitaires très défavorables sont le lit réel et inconditionnel des maladies infectieuses : celles-ci ne s'attaquent qu'à des organismes trop fragilisés physiologiquement et psychologiquement (cf. Le Terrain crée la maladie) ; le stress provoqué par la peur d'attraper une maladie par exemple, peut tout engendrer l'objet de la peur (détails) ; c'est ce qui explique principalement le développement des épidémies. Sinon comment expliquer qu'en période d'épidémie de grippe etc. les médecins, les pharmaciens, le personnel médical ne tombent quasiment pas malades ? Le simple contact avec des microbes (virus, bactéries, mycobactéries) ne suffit en effet pas pour causer quelque maladie infectieuse : la qualité du "terrain" personnel est décisive. D'ailleurs, "le microbe n'est pas plus responsable de la maladie 'infectieuse' que la mouche du cadavre", comme l’écrivait très pertinemment le Dr Vétérinaire Eric Ancelet in Pour en finir avec Pasteur),
     

    L'infirmière qui avait contracté Ebola hospitalisée huit mois après sa guérison (octobre 2015)
     

    Ce que suggère (pourtant erronément) cette nouvelle chez beaucoup et d'une manière très en phase avec le médicalement correct et la pensée dominante, c'est que d'avoir contracté Ebola, cela a donc comme fragilisé cette infirmière au point de contracter à présent ce qu'on appelle dans la presse (dogmativement donc) une "complication tardive", induisant un lien direct entre le fait qu'elle avait contracté bien avant Ebola et la présente infection !

    En effet, il faut savoir que suivant l'observation objective sur le terrain, ce sont les conditions de vie psychique, le contexte psychologique en tandem avec des conditions matérielles, physiques, physiologiques, qui expliquent une telle vulnérabilité face au microbe et qui constituent le « terrain » propre à la personnela .

    Il aurait fallu se poser dès le départ comme question de savoir pour quelles (vraies) raisons cette personne avait contracté Ebola, alors qu'y ont échappé des milliers d'autres personnes, confrontées aux mêmes (et parfois plus importants) "risques" de contamination. Faire croire ou induire que c'est le contact avec un microbe qui est le responsable d'une maladie, donne dans la stupidité telle que la pointait notamment le Dr Vétérinaire Eric Ancelet (auteur de Pour en finir avec Pasteur) et qui est cité plus haut dans la présente page consacrée aux agresseurs imaginaires que sont les microbes (et donc les virus, bactéries et mycobactéries) : "Le microbe n'est pas plus responsable de la maladie 'infectieuse' que la mouche du cadavre".

     

     

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    coriaces

     

    "Il faut savoir que la quantité de bactéries contenues dans un corps humain correspond

    à peu près à une masse aussi grosse  qu'une tête d'homme.

    La maladie ne vient donc pas de la présence de bactéries,

    mais d'un système immunitaire [ ° ] affaibli qui ne peut plus maintenir l'équilibre."

    Dr Laurence Badgley, cité dans Sida Espoir, Ed Vivez Soleil

    En fait, c'est le cerveau lui-même qui mène le jeu concernant le rôle dévolu

    à ces bactéries dans la seconde phase des maladies.

    [°] Le système immunitaire est aussi un concept fondé sur un dogme

     

     

     

     

    "Bactéries plus coriaces, plus dangereuses"

    Titre du texte qui suit et tiré du Magazine Québec Science et écrit par Isabelle Girard


    "Les antibiotiques ont de moins en moins d'effets, les bactéries sont de plus en plus coriaces.

    Sommes-nous à l'aube d'un immense bond en arrière ?"
     

    Les commentaires de Baudouin Labrique sont entre crochets [Ndlr : ].


    "En janvier 1997, un supermicrobe a frappé au Centre hospitalier régional du Suroît, à Valleyfield, près de Montréal. Les médecins de l'établissement étaient inquiets : il s'agissait de la deuxième alerte du genre en quelques mois. Au total, 63 patients ont été contaminés par cette bactérie invincible, qui a même réussi à déjouer la vancomycine, le plus costaud des antibiotiques.

    Heureusement, les dégâts ont été limités. La bactérie en cause, l'entérocoque, n'est pas très méchante. Habituellement, l'infection qu'elle provoque se résout d'elle-même, lorsque la flore bactérienne normale de l'intestin prend le dessus sur la bactérie pathogène.

    Mais est-ce que cet événement sans précédent au Québec est le signe avant-coureur d'un problème plus grave de santé publique ? Le docteur Patrice Vigeant, microbiologiste et infectiologue à l'hôpital du Suroît n'est pas loin de le penser. « L'entérocoque peut transmettre le gène de la résistance à la vancomycine à une autre bactérie, beaucoup plus virulente celle-là, le staphylocoque doré. » C'est une bien mauvaise nouvelle : le staphylocoque doré est le plus grand responsable des infections nosocomiales, c'est-à-dire qui sont contractées à l'hôpital. En fait, selon un rapport récent sur les infections en émergence au Québec (décembre 1996), la moitié de nos hôpitaux abritent une souche ou une autre de staphylocoque doré. Or, pour se défendre contre ces bactéries, il n'existe qu'une seule arme : la vancomycine.

     

    En savoir plus sur le staphylocoque doré (version officielle scientifique).

     

    [Ndlr : Conforté par les (re)découvertes de la Psychobiologie moderne , on prend en compte AUSSI la stricte observation du vécu des patients, nous savons maintenant que c'est sur ordre du psychisme que les virus, les bactéries, les mycobactéries comme "ouvriers thérapeutiques" analogue à ce qui se passe dans le secteur du bâtiment ; cependant  ces programmes de réparation peuvent conduire un patient, par exemple, à un épuisement tel qu'il en vient à mourir . Début 2007, pour la première fois sans doute dans une revue scientifique, on titre un article "Les virus, ennemis utiles", rendant implicitement quoiqu'involontairement hommage à la médecine chinoise qui avait déjà démontré le rôle actif et combien positif finalement des microbes (virus, bactéries, mycobactéries). Les choses bougent donc (enfin) dans le monde scientifique.

    Cependant, il faut savoir que plus la situation conflictuelle a duré, plus le cerveau aura constitué un stock de microbes d'une importance proportionnelle à la durée et à l'intensité de la situation conflictuelle qui se résout donc : prévoyant, comme il le fait analogiquement avec le volume de cholestérol stocké, il "pense" déjà au jour, durant la phase de réparation, où ces microbes se comporteront donc en "ouvriers thérapeutiques" essentiels ! Ce volume mis alors en branle peut poser des problèmes par rapport à ce qui énergétiquement est alors à disposition de l'organisme qui bénéficie d'une telle réparation ; il est alors plus qu'indiqué et jusqu'à même une question de survie de calmer le jeu de ces ouvriers (en ayant recours aux antibiotiques par exemple), car, trop nombreux, ces ouvriers zélés peuvent alors conduire l'organisme dans une situation d'épuisement qui peut lui être fatal.]

    Autrefois quasi magiques, les armes antibiotiques sont maintenant de moins en moins efficaces pour lutter contre des bactéries de plus en plus « futées ». À l'Institut de cardiologie de Montréal, le médecin et microbiologiste Richard Marchand rappelle que les hôpitaux rassemblent maintenant les conditions idéales pour un cocktail épidémiologique explosif. « Nos hôpitaux modernes ne sont plus les forteresses antimicrobes qu'on imaginait durant les années 70, explique le médecin. À l'époque, on se croyait invincibles... comme le Titanic. »

     

    [Ndlr : Comment voulez-vous (et au nom de quoi d'ailleurs), lutter contre des éléments que le cerveau a commandé lui-même et à qui il a donné l'autorisation expresse d'agir ? "Chassez le naturel, il revient au galop", ne dit-on pas ? N'est-il donc pas normal que ces bactéries etc. dont la fonction dans l'Univers comme pour toute chose qui en fait partie est précisément d'agir d'une manière utile, réagissent autrement qu'en développant leurs propres et de plus en plus ingénieux mécanismes de défense face notamment aux antibiotiques ? Il en est de même pour chaque être vivant : mettre en oeuvre constamment ses propres mécanismes de survie face à un danger.]
     

     


    On sait maintenant que les grands établissements hospitaliers sont parfois de véritables incubateurs à microbes. Les grands malades, dont le système immunitaire [ ° ] est affaibli par la chimiothérapie, la radiothérapie, la corticothérapie ou les médicaments antirejet administrés aux greffés, sont des proies faciles pour les bactéries. De plus, chaque fois qu'on introduit un cathéter ou qu'on effectue une intervention chirurgicale, c'est une porte d'entrée qu'on ouvre aux microbes.

    À l'Hôpital général de Montréal, le docteur Michael Libman, directeur du laboratoire de microbiologie, dit qu'il est même devenu normal de compter, en tout temps, quatre ou cinq patients infectés par le staphylocoque doré. Même scénario à l'Institut de cardiologie de Montréal, où le docteur Richard Marchand identifie chaque semaine de deux à trois infections de staphylocoque epidermis, une bactérie présente sur la peau qui profite des chirurgies pour s'introduire dans l'organisme.

     

    [Ndlr : Si les bactéries pouvaient vraiment agir d'elles-mêmes, on ne comprend pas alors pourquoi elles ne s'en prennent qu'à un nombre restreint de malades et qu'elles ne sont alors localisées qu'à un seul endroit, malgré la prétendue force incompressible des "épidémies": « Il faut savoir que la quantité de bactéries contenues dans un corps humain correspond à peu près à une masse aussi grosse qu'une tête d'homme. La maladie ne vient donc plas de la présence de bactéries,  mais d'un système immunitaire [ ° ] affaibli qui ne peut plus maintenir l'équilibre. » (Dr Laurence Badgley, texte cité dans Sida Espoir, Ed Vivez Soleil) Je préciserais qu'en fait c'est le cerveau lui-même qui mène le jeu concernant le rôle dévolu à ces bactéries dans la seconde phase des maladies.]

    Paradoxalement, c'est l'utilisation massive des antibiotiques en milieu hospitalier qui pourrait être en partie responsable du problème, croit le docteur François Lamothe, chef du département de microbiologie et d'infectiologie du pavillon Saint-Luc du Centre hospitalier de l'Université de Montréal. « Aujourd'hui, on maintient en vie les cancéreux, les leucémiques et les sidéens, mais, en même temps, la maladie affaiblit leur résistance aux infections. Un cercle vicieux s'installe : pour combattre les infections, on doit administrer des doses de plus en plus puissantes d'antibiotiques parce que les bactéries apprennent à leur résister. »
     

    [Ndlr : Je salue l'audace de ce professeur de l’université de Vienne, le Dr. PETTENKOFER, qui, durant un cours, avala le contenu d’un verre rempli de millions de germes vivants de choléra ; devant l'auditoire ahuri, il s’est contenté de dire : « Voyons si j’aurai le choléra ». Son assistant DE KRUIF a témoigné par écrit  que le verre contenait des millions de "bacilles virgules" se tortillant assez pour "infecter"  tout un régiment ; mais il ne développa aucun symptôme. L'expérience du Dr. PETTENKOFER est relatée  dans le livre "Guerre et paix des microbes" de Bruno Latour.]

    Voici ce qui le confirme encore : "La notion de contagion subsiste cependant dans notre système, mais combien atténuée !

    Il ne peut y avoir contagion que lorsque le terrain est en quelque sorte en état de réceptivité (étincelle sur du bois sec) ou fin prêt (dernière goutte qui fait déborder le vase). Ainsi s’expliquent les expériences des hommes-cobayes : Fulton Parandel et autres, acceptant d’avaler des bouillons de microbes, sans aucun accident, la résistance de certains individus aux épidémies et la faiblesse de certains autres, même vis-à-vis des virus atténués (vaccins)".(Source).]


    Le problème ne date pas d'hier. Les antibiotiques, ces substances chimiques produites naturellement par des champignons ou d'autres bactéries, ont étouffé pour un temps, mais pour un temps seulement, les bactéries responsables des grandes épidémies de peste, de choléra, de diphtérie et de tuberculose. Découverte en 1928 par le bactériologiste anglais Alexander Fleming, la pénicilline a permis de sauver des milliers de vies lors de la Seconde Guerre mondiale. Cependant, dès 1945, Fleming avait prévu que l'usage massif des antibiotiques favoriserait la prolifération de bactéries résistantes. Non seulement sa prophétie s'est réalisée, mais plusieurs espèces bactériennes sont devenues résistantes aux quelque 200 antibiotiques mis au point depuis 60 ans. C'est ce qu'on appelle la multirésistance.
     


    Résultat : depuis 60 ans, on a multiplié, en moyenne, par 250 la dose d'antibiotique nécessaire pour venir à bout des microbes ! C'est un énorme saut en arrière. De plus, même s'il existe actuellement une palette de quelque 200 antibiotiques, aucune nouvelle famille n'a été découverte depuis 20 ans.

    Aujourd'hui, la course contre la montre que l'industrie pharmaceutique livre aux microbes a pris une folle allure. « Il y a 20 ans, il fallait plusieurs années avant qu'une bactérie devienne résistante à un antibiotique, résume le docteur Marchand. Mais les bactéries ont pris des cours de rattrapage : aujourd'hui, elles mettent à peine deux mois pour devenir résistantes à un antibiotique. »

    Faudra-t-il réviser nos stratégies d'attaque contre les microbes ? Un groupe de travail chargé d'étudier le problème à la grandeur du Canada a recommandé il y a quelques mois de « réduire globalement l'usage des antimicrobiens de 25 % en 3 ans, en se concentrant sur les infections respiratoires contractées dans la communauté ».

     

    [Ndlr : Le jour où on acceptera (parce que la majorité des décideurs l'auront compris) le rôle réel de ces bactéries, on ne tentera plus de mettre au point des "stratégies d'attaque" contre elles, mais seulement des stratégies de contrôle réfléchi sur le volume de leur développement ! ]

     



    Les compagnies pharmaceutiques s'inquiètent aussi de la plus forte résistance des bactéries aux antibiotiques. François Malouin, microbiologiste chez Microcide, une entreprise établie en Californie, croit qu'il faut attaquer sur plusieurs fronts. Il tente actuellement d'isoler des molécules pouvant désamorcer les mécanisme de résistance des bactéries afin de restaurer l'action des antibiotiques traditionnels. Faire du neuf avec du vieux, en quelque sorte.

    « Les classes d'antibiotiques existantes visent toutes la même cible sur la bactérie. Les céphalosporines, par exemple, s'attaquent aux enzymes chargées de fabriquer la paroi cellulaire. Puisque ces antibiotiques sont dérivés de substances naturelles, les bactéries les reconnaissent et ont développé des mécanismes de résistance pour les contrer. En mettant au point des antibiotiques complètement artificiels, les bactéries seront prises de court devant un ennemi qu'elles n'ont jamais eu à confronter. » C'est ainsi que les vieilles armes antibiotiques comme les céphalosporines, les bêtalactames et les glycopeptides retrouveraient leur efficacité contre les souches de bactéries résistantes à la méthicilline et à la vancomycine.

    François Malouin fonde également des espoirs sur la target genomic approach, une technique qui consiste à isoler les gènes vitaux de la bactérie - une bactérie possède à peine 200 gènes essentiels - et à concevoir un antibiotique qui les attaquerait.


     

     

    En été, chez tous les individus se retrouvent

    des millions de bactéries sous les aisselles et

    pourquoi donc ne sont-ils pourtant pas malades

    dans leur énorme majorité ?


    Sauf que la course aux nouveaux antibiotiques ne crée pas d'illusion chez les scientifiques. Chercheur réputé à l'Institut Pasteur de Paris, le docteur Patrice Courvalin croit que la plupart de ces solutions sont transitoires. « Les antibiotiques de demain feront probablement naître de nouveaux mécanismes de résistance qu'il faudra contrer... et ainsi de suite. »
    Il y a donc fort à parier que, même lorsqu'on aura décodé tout leur génome, les bactéries, pathogènes ou pas, survivront à l'homme. Après tout, elles ont déjà réussi à le faire durant 3,5 milliards d'années.



                                                                                                    Elles sont blindées

     

    [Ndlr : Etonnant mais courant effet "miroir" que celui-là : en fait elles ne comportent qu'en réponse au traitement autant vain qu'insensé  de ceux qui, partant du postulat qu'elles sont nuisibles, s'acharnent à les pourfendre, s'étant entourés du blindage très rassurant et sécurisant qu'offre la "méthode scientifique" (fortement remise en cause comme on le constatera sous le lien proposé) et les fameuses statistiques auxquelles, comme vous le savez on peut faire dire tout et n'importe quoi !  Armé du "bon sens", pourquoi donc ne pas s'interroger enfin sur les raisons pour lesquelles Dame Nature a autorisé ces bactéries à survivre durant 3,5 milliards d'années ? Tout l'Univers survit grâce notamment au principe d'économie d'énergie : rien ne se perd, rien n'est donc inutile.]

    « Placez dans une éprouvette un milliard de bactéries sensibles à un antibiotique et une seule bactérie résistante à cet antibiotique. En une nuit, presque toutes les bactéries sensibles seront éliminées et la bactérie résistante donnera naissance à un milliard de bactéries... résistantes. »

     

     [Ndlr : Bravo et merci les bactéries !  Superbe exemple d'instinct de conservation comme en sont dotés tous les organismes vivants.]

     

     

    Un blindage en fait tout ce qu'il y a de plus "légitime" !



    Cette « recette » vient du docteur Patrice Courvalin, chef de l'unité des agents antibactériens à l'Institut Pasteur de Paris. Il explique que les antibiotiques bloquent l'un ou l'autre des processus physico-chimiques indispensables à la survie des bactéries. Les pénicillines, les céphalosporines et la vancomycine, par exemple, inhibent les enzymes chargées de fabriquer la paroi de la bactérie. D'autres, comme les tétracyclines, les aminosides et les macrolides, enrayent le mécanisme responsable de la synthèse des protéines. Quant aux rifamycines et aux quinolones, ils s'attaquent soit aux enzymes responsables du transport de l'information génétique contenue dans les chromosomes de la cellule jusqu'à l'ARN messager (transcription), soit à celles qui gouvernent la réplication de l'ADN bactérien. Bref, toutes ces stratégies n'ont qu'un objectif : cibler et atteindre un point faible au coeur de la bactérie.

    Comment les bactéries se défendent-elles ? Selon le docteur Courvalin, la première stratégie d'une bactérie consiste à « s'imperméabiliser » à l'antibiotique. Elle y parvient en fermant les petites perforations de sa paroi, ce qui empêche l'antibiotique de pénétrer, ou encore en laissant l'antibiotique entrer, mais en l'expulsant aussitôt grâce à une sorte de pompe. Dans certains cas, c'est une enzyme qui se charge du boulot en détruisant le noyau de la bactérie. Enfin, la bactérie peut se transformer pour éviter que l'antibiotique ne la reconnaisse.



                                                                    Mais comment les bactéries apprennent-elles ces trucs ?

     

     

     

    Grâce aux chercheurs se comportant à leur insu comme des enseignants ;

    les bactéries sont donc " à bonne école" et

    c'est en quelque sorte une autre histoire "d'arroseur arrosé" !

     

    Parfois, grâce à une mutation ponctuelle d'un gène qui bloque la fabrication d'une protéine sur laquelle l'antibiotique agissait. Dérouté, l'antibiotique ne peut plus se lier à sa cible, et la bactérie résiste au traitement. Lorsqu'elle se reproduit, la bactérie transmet cette résistance à ses rejetons.

     

    [Ndlr : Superbe exemple de programme biologique de survie analogue à tous ceux qui gouvernent d'un manière inaliénable l'Univers  : les bactéries ayant une mission bien précise sont bien équipées d'un système défense évolutif qui leur permettra de résister efficacement aux agressions extérieures ; l'une des lois de l'Univers est en effet la loi d'adaptation au milieu ; ceux qui n'y arrivent pas, disparaissent ou plutôt sont recyclés, vu cette Loi naturelle : rien en se perd dans l'Univers ; voyez l'évolution des espèces animales et autres depuis la nuit des temps.]

    Les bactéries s'échangent également des informations par le biais d'un plasmide, une petite structure circulaire contenant une sorte de supplément chromosomique. Si une bactérie possède un plasmide contenant des gènes de résistance, non seulement elle transmettra ce « bouclier » supplémentaire à sa descendance, mais elle peut même le partager avec ses voisines, qu'elles soient ou non de la même espèce !
     

     

    Livrer une bataille au XXIème siècle avec des machines de guerres obsolètes ?

    on peut penser que les moyens développés par les chercheurs

    actuellement ressemblent bien bel et bien à une dérisoire et vaine croisade !...

     


         C'est exactement ce que redoutent les médecins depuis l'épidémie d'entérocoques résistantes à la vancomycine.

     

    [Ndlr : On peut s'estimer content que les bactéries ne soient pas pourvue d'une intelligence comparables à celles des humains, sinon elles auraient adopté elles aussi de savantes stratégies de contre-attaque et cela aurait pu alors faire sonner le glas du genre humain.]

    Le scénario apocalyptique est le suivant : le staphylocoque entre en contact avec l'entérocoque résistant; le plasmide qui confère la résistance chez l'entérocoque se duplique; le staphylocoque en reçoit une copie. Cet échange d'information est facilité par la présence d'intégrons, des structures spécifiques qui ouvrent la porte du plasmide pour permettre à un ensemble de gènes de s'y insérer. Selon le docteur Courvalin, le transfert de plasmide a de graves conséquences sur la dissémination de la résistance parce qu'il fait en sorte qu'une bactérie devient résistante à plusieurs antibiotiques. Et toutes les résistances acquises risquent d'être transférées en bloc à d'autres bactéries. Un processus dangereusement... contagieux.

     

    [Ndlr : La "contagion" : autre dogme scientifique ; cf. "Ne vous agrippez pas à la grippe !"]
     

     

    "Je suis la grippe et je viens vous rendre visite"

     

    [ Pr Jacqueline BOUSQUET : " Si les dogmes n’étaient pas aussi forts, on pourrait suggérer timidement

    que les divers virus sont peut-être des effets et non des causes,

    ou du moins qu’ils agissent en réponse à une ou plusieurs causes situées en amont : dénutrition,

    et absence d’eau potable principalement, mais aussi endémies anciennes,

    et...campagnes de vaccinations massives dans le tiers-monde.

    Mais on n’a pas le droit, sous peine d’être qualifié d’hérétique."]

     


                                                           Des antibiotiques comme additifs alimentaires

    Les antibiotiques « dispersés » dans l'environnement pourraient contribuer à accélérer le processus de résistance des bactéries. À l'Institut canadien de la santé animale, Jane Niky explique que l'usage d'additifs antibiotiques est fréquent dans l'élevage au Québec depuis les années 40, soit lorsqu'on a découvert que les poulets se développaient plus rapidement si on ajoutait de petites quantités d'antibiotique à leur alimentation. Selon une étude américaine, la moitié de tous les antibiotiques vendus actuellement visent le marché des additifs alimentaires pour la volaille, le bétail, le porc ainsi que le poisson élevé en bassin.
     

    Le problème : même s'il manque de preuves, le docteur Patrice Courvalin, chercheur à l'Institut Pasteur de Paris, croit que cette pratique accélère la multiplication des bactéries résistantes aux antibiotiques. Songez-y bien avant de planter la fourchette dans votre steak tartare
    [Ndlr : C'est avec ce genre de phrase qu'on solidifie les plus terribles croyances nocives cf. Ce que finit par entraîner la peur de...]

     


                                                                                                        En expansion

    Le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la santé signale que les bactéries ont tué 17 millions de personnes en 1995. Aux États-Unis, les maladies infectieuses sont passées de la cinquième à la troisième place sur la liste des causes de décès depuis 1980, juste derrière les maladies cardio-vasculaires et le cancer. Depuis 20 ans, de nouvelles maladies bactériennes ont fait leur apparition - notamment, la maladie du légionnaire, la colite hémorragique causée par la bactérie E. coli 0157 et la maladie de Lyme. D'autres maladies connues depuis longtemps mais qu'on croyait sous contrôle, comme la tuberculose et le choléra, font un retour en force. Sans compter la montée des virus, responsables entre autres maladies du sida et des hépatites C et E."

     

     

     

     

     

    N.B. de Baudouin Labrique : voici la réponse que je propose à la question posée dans le sous-titre de cet article :

    "Les antibiotiques ont de moins en moins d'effets, les bactéries sont de plus en plus coriaces.

    Sommes-nous à l'aube d'un immense bond en arrière ?"
     

    "Les antibiotiques ont de moins en moins d'effets, les bactéries sont de plus en plus coriaces. Sommes-nous à l'aube d'un immense bond en arrière ?". On s'obstine encore à considérer les bactéries etc. comme des ennemis à abattre alors que l'observation empirique faite en médecine chinoise (phase chaude des maladies) et des observations scientifiques ont démontré donc qu'elles ne sont là que pour rendre service : c'est leur fonction "bio-logique". "Chassez le naturel, il revient au galop" : il serait temps de redonner au "bon sens" la place irremplaçable qu'il aurait toujours dû conserver. C'est donc une chasse bien inutile, et surtout  dommageable, coûteuse qu'on livre ainsi à la Dame Nature ; persister à en violer les lois fondamentales ne pourra que mener  vers une impasse, dont on n'imagine pas les effets iatrogènes peut-être irréversibles, à la manière de ce qui se passe avec l'effet de serre qui fait fondre dangereusement, par exemple, les glaciers du Groenland... 

    Le mythe dogmatique des bactéries dangereuses est en train officiellement de prendre du plomb dans l'aile.

     

     

    Une autre façon de mieux comprendre le rôle des virus etc. "Ne vous agrippez pas à la grippe !" et "Ce qui se passe lorsqu'une brebis s'égare." et encore le "cas d'un cytomégalovirus qui fait une volte-face étonnante ! Lire aussi : "pour en finir avec la vaccination ; le mythe des microbes.".

     

        immunite

       

    ¨¨ Le système "immunitaire" : mythe et réalité.

     

     

    Comme on le démontera dans la suite ce cet article, la conception trop souvent dogmatique de la médecine" traditionnelle" (entendez par là, dans sa partie matérialiste et rationaliste) avance l'existence réelle d'un "système immunitaire" ; en phase (comme attendu) avec elle, le Vulgaris médical donne de l'immunité la définition suivante : "un mécanisme ayant pour but de prendre en charge la défense de l'organisme contre les éléments étrangers (et plus particulièrement les agents infectieux comme les bactéries, les virus ou les parasites) à cet organisme ». Voici une autre définition : "En biologie et en médecine, l'immunité, est la capacité d'un organisme à se défendre contre des substances étrangères et des agents infectieux. C'est l'une des principales lignes de défenses biologiques" (Wikipedia)
     

    En fait, on sait maintenant grâce (notamment) à la Psychobiologie moderne que les maladies, par exemple infectieuses, tout comme ce à quoi est prétendue conduire la séropositivité (quand elle se manifeste somatiquement), atteste de la commande qui met en jeu l'action des microbes et des parasites ; en ce qui concerne les maladies infectieuses, leur présence attestent que le patient se trouve bien dans la phase de réparation (°) de sa maladie ; certes, fonction de l'état physiologique du patient, cela peut le conduire à un épuisement fatal...
    °
    (ou conflictolyse, c'est-à-dire ce qui suit la résolution de la situation conflictuelle à l'origine de la somatisation)

     

    Prétendre qu'existent de tels mécanismes de "défense", c'est encore tomber dans le dogme scientifique qu'il faille lutter contre les microbes, les parasites ou tout ce qui est encore (dogmatiquement) considéré alors comme des vrais agresseurs, comme si la nature fabriquait des éléments nuisibles à sa propre survie ! Certes, au niveau cellulaire, il y a un tri qui s'opère entre les microbes utiles et ceux qui ne sont pas à intégrer. Les microbes sont a la base de toute vie et constituent en plus nos vraies origines ; pour ne parler que de certains d'entre eux, les virus à ADN, ceux-ci pourraient être plus anciens que la première cellule à ADN. Il faut savoir que les virus seraient apparus dans les toutes premières étapes de la vie et qu’il est donc insensé de vouloir les éradiquer à tout prix ! Les tentatives d'éradication conduisent d'ailleurs à la difficulté croissante observée qu'ont les antibiotiques d'opérer leur action bactéricide. Il est donc plus qu'incongru de considérer les microbes comme des agresseurs ou des ennemis nuisibles, dérive à laquelle s'adonne sans sourciller, la science dans sa partie matérialiste et rationaliste, ce qui constitue du pur révisionnisme scientifique. Penser comme elle, c''est de nouveau donner dans ce fameux mythe du Microbisme faisant l'impasse inacceptable notamment sur les découvertes d'Antoine Béchamp, lesquelles invalident les dogmes pasteuriens ; ces dernières l'ont conduit à écrire très justement : "le Microbisme’ est une doctrine fataliste monstrueuse qui suppose qu'à l'origine des choses, Dieu aurait créé les germes des microbes destinés à nous rendre malades".
     

    Soutenir ce Microbisme-là, c'est se livrer à la prétention que la Nature commet de réelles erreurs et que nous, la race supérieure, avons l'outrecuidance de prétendre les corriger !

    A cet égard, le célèbre dramaturge Sir Bernard Shaw disait très pertinemment : « Les gens intelligents s’adaptent à la nature, les imb… cherchent à adapter la nature... C’est pourquoi ce que l’on appelle le progrès est l’œuvre des imb… ».

    En fait, on sait maintenant grâce notamment au Pr Henri Laborit, et aux nombreux scientifiques innovants qui l'ont suivi que, plutôt de considérer les microbes ou les parasites comme des "agresseurs", il se comportent en fait comme de véritables "amis" et interviennent donc pour réparer le
    terrain (sous ce dernier lien, les détails de tels processus psychobiologiques et la nature de l'imposture médicale quand, en son nom, on prétend qu'à elle-seule elle guérit les maladies).

    C'est d'ailleurs ce qu'avait déjà montré et sans conteste la médecine chinoise ancestrale : quand les causes des maladies froides (dont les cancers) se résolvent, apparaissent les maladies chaudes (infections, inflammation...) qui viennent parachever la réparation en nettoyant le terrain (mais, rappel, certes on peut en mourir faute des ressources e.a. physiologiques nécessaires pour y arriver).


    Le concept d'immunité n'existe donc pas dans la réalité (rappel, dans son concept dogmatique guerrier) et les lois qui régissent tout l'univers, mais persister encore à penser ainsi témoigne d'une vision matérialiste et rationaliste qui gouverne encore l'arrière-garde scientifique ; en plus, vu les découvertes pourtant incontestées de la Physique Quantique, c'est dès lors s'adonner à du pur révisionnisme scientifique que de soutenir l’existence d’un tel système "immunitaire" ! Cependant, une telle vision persiste car se fondant sur l'héritage désormais bien obsolète de Pasteur. Pour mieux en comprendre les subtilités, prendre connaissance du "match Pasteur / Béchamp".

    "Il faut savoir que la quantité de bactéries contenues dans un corps humain correspond à peu près à une masse aussi grosse qu'une tête d'homme. La maladie ne vient donc pas de la présence de bactéries (…)" (Dr Laurence Badgley, Sida Espoir, Ed Vivez Soleil.)

     

    En fait,

    1° on sait que l’organisme ne doit en rien "se défendre" contre des agents infectieux (dogme comme décrit plus haut) : c’est le cerveau qui est responsable de leur mise en action en leur donnant en fait l’ordre ou le contre-ordre d'intervenir dans des buts on ne peut plus naturels et sensés ;

    2° il ne s’agit pas (nécessairement) d’éléments étrangers (dogme) puisque le corps garde stratégiquement en réserve, en les faisant siens, des microbes et parasites en tous genres pour pouvoir les utiliser, comme il se doit, lors des secondes phases (donc réparatrices) des maladies.

    Si un tel système prétendument destiné à nous "défendre" de tels envahisseurs existait vraiment (comme lors des prétendues contagions ou épidémies sans qu'il y ait une sorte d'accord individuels pour qu'ils se "mettent à l'ouvrage"), nous serions donc en permanence fiévreux et voués à mourir (sans doute) à brève échéance, vu l’épuisement fatal de nos ressources !

    Le Dr. PETTENKOFER serait sans doute déjà mort vu l'expérience à laquelle il s'est livré !

    "Pourquoi un pharmacien qui ne voit que des malades tout au long de sa journée, toute la semaine et même toute l'année, ne tombe-t-il jamais malade ? Pourquoi, après avoir vu 20 personnes grippées en une seule journée, soit 100 en une semaine, un généraliste ne l'attrape-t-il pas non plus ? " Se pose, avec bon sens, notamment ce type de questions le Dr neurologue Pierre-Jean Thomas-Lamotte, fort de son expérience médicale de plusieurs décennies, dans son livre : "Et si la maladie n'était pas un hasard...".
     

    Début 2007, pour la première fois sans doute dans une revue scientifique, ce texte éclairant, "Les virus, ennemis utiles", (dossier de "Pour la Science", n° 55 d'avril-juin 2007) et qui fait tomber un peu plus ce mythe dogmatique des virus dangereux qui est donc en train officiellement de prendre du plomb dans l'aile.

    Cependant, il faut savoir que, plus la situation conflictuelle a duré, plus le cerveau aura constitué un stock de microbes d'une importance proportionnelle à la durée et à l'intensité de la situation conflictuelle. C'est en effet, la prévoyance qui l'a guidé, comme il le fait analogiquement avec le volume de cholestérol engrangé (pour d'autres raisons, certes) ; c'est en prévision du jour où débutera la phase de réparation, que ces microbes s'activeront (
    rappel, sur ordre du cerveau) donc en "ouvriers thérapeutiques" essentiels à la reconstruction des tissus ! Sachant que la Nature ne gaspille rien ni n'oeuvre inutilement, la phrase de Carl Jung ,"la maladie est l'effort que fait la nature pour me guérir, résonne ici encore justement.

    Ce stock de microbes mis alors en branle lors de cette phase peut poser des problèmes par rapport à ce qui est alors énergétiquement à disposition de l'organisme pour en assumer la gestion ; il est alors plus qu'indiqué et jusqu'à même une question de survie de calmer le jeu trop zélé de ces ouvriers arrivant en trop grande masse (en ayant tout de même recours aux antibiotiques par exemple), car, ces armadas d'ouvriers peuvent alors conduire l'organisme, alors dépassé,  dans une situation d'épuisement qui peut lui être fatal. Cependant, face à une longue prise d'antibiotiques, force est de constater que le corps médical néglige généralement la restauration du macrobiote intestinal de la sorte frottement impacté et sans parler de l'état du foie dont il faudra aussi s'occuper....

    Psychobiologiquement, dans le cas des sidéens, il est frappant de constater qu’il s'agit de personnes dont le profil est très  fortement teinté d'une dévalorisation et d'une détresse profondes et généralisées, suite à l’accumulation catastrophique de (graves) situations conflictuelles non résolues. Un médecin spécialiste du sida (par ailleurs patient) me confiait, après l’avoir (enfin et par lui-même) intégré, qu’il comprenait à cette occasion pourquoi les partenaires sexuels des sidéens (qui ne prenaient aucun moyen de « protection ») ne contractaient pas le prétendu sida : occupés à aider leurs partenaires, ils s’en trouvaient valorisés et donc ne souffraient aucunement de se mettre dans une situation apparemment analogue à celles de leurs partenaires (donc pas de quoi justifier de mettre au travail quelque microbe ou parasite !).

    Il est important de souligner qu’en ce qui concerne (par exemple) les sidéens, c’est un foisonnement de conflits divers qui est le commun dénominateur, mais certes pas la présence d’UNE situation conflictuelle déterminée et isolée ! Ici encore, il conviendrait de mettre en jeu pour arriver à  les prendre efficacement en charge, une approche authentiquement psychothérapeutique dans ce qu’elle prend en compte la globalité de la personne (pas seulement la prise en compte de son psychisme mais celle de la qualité de son propre "terrain". A ce titre il est regrettable que tout autant le Dr Hamer que le Dr Sabbah comme ces autres cramponnés dogmatiquement à la mythologie du "tout-au-psychologique", fassent toujours l'impasse sur le rôle déterminant du "
    terrain" propre de l'individu et qui détermine le type même et la gravité de la somatisation qui exprimera un programme psychobiologique.

     

     

    "Il ne faudrait pourtant pas oublier que ce n'est pas le médecin qui vient à bout de la maladie, mais le malade.

    Le malade se guérit lui-même, comme c'est par ses propres forces qu'il marche, pense, respire, dort

    et encore le désir refoulé se manifeste par la maladie " (Le célèbre psychologue Carl Jung)

     

     

    C'est comme si analogiquement, considérant les microbes comme des graines, celles-ci avaient le pouvoir de se développer sur n'importe quel terrain et peu importe alors qu'il soit fertile ou aride ! En fait, il faut considérer qu'elles ne germeront que se elles trouvent un terrain propice à le faire. Voyant alors des prétendues mauvaises herbes pousser, on leurs attribuerait alors à elles seules le fait de s'être développées !  Il en va de même pour les microbes  : la science médicale conventionnelle tombe dans le même dogme matérialiste et ne veut toujours pas prendre en compte non seulement la qualité particulière du terrain qui a permis cette végétation indésirable (en apparence), mais les raisons sous-jacentes (stress et psychisme) qui ont conduit ce terrain à s'oxyder pour permettre alors le libre jeu des microbes, qui ne sont en fait que les "amis" de l'organisme, vu leurs rôles utiles dans les phases de réparation des maladies, comme démontré plus haut dans cet article.   

     

     

    Il est paru dans le numéro de BioInfo de septembre 2008 une nouvelle étonnante mais bien rassurante à propos du prix Nobel Luc Montagnier à propos de son nouveau livre : "Les combats de la vie" ; voici l'introduction de cet article qui lui est consacré  :

     

    "Luc Montagnier en dissidence" : "La médecine bien-pensante taxe de négationnisme les 'dissidents du Sida' qui mettent en cause de rôle du virus HIV dans la genèse de la maladie. Or, le codécouvreur de ce virus, Luc Montagnier lui-même, s'est détourné de la piste virale pour s'intéresser aux 'cofacteurs', et notamment à l'étude du stress oxydant. Certes, le célèbre professeur n'a pas (encore) viré sa cuti pour embrasser la naturopathie. Mais dans l'ouvrage qu'il vient de publier, il se prononce clairement en faveur d'une médecine plus attentive au terrain des patients et d'une recherche plus ouvertes aux thérapies naturelles."

     

    Dans « l’addition des phénomènes générateurs de stress oxydant », il inclut des « facteurs psychologiques » (1) et précise que « le système immunitaire lui-même est affaibli par les problèmes de stress psychologique » (2) .
    --------------
    (1) Luc Montagnier, Les Combats de la vie, Éd. Jean-Claude Lattès, Paris, 2008, pp. 190-191.
    (2) Interview du Pr Montagnier, propos recueillis par Céline Andrillon pour la revue Bio-énergie n°27).
     


    Me viennent alors ces citations du Pr Henri Laborit qui sonnent ici ô combien juste :


    "[...] la pathologie réactionnelle aiguë à une lésion, elle-même brutale et soudaine, dépend aussi de ce qu'il est convenu d'appeler le "terrain" et qui nous paraît être l'état de la dynamique métabolique tissulaire au moment où elle s'installe. Cette dynamique elle-même dépend de toute l'histoire antérieure du sujet, c'est-à-dire de ses rapports historiques avec ses environnements.»
    [...]. (Les guillemets sont de Laborit).

     

     

    "Il paraît alors évident que pour faire une infection ou une affection néoplasique [Ndlr : cancer], il ne suffit pas d'un contact avec un microbe ou un virus ou un irritant local chroniquement subi. On a trop focalisé sur le microbe, le virus ou le toxique cancérogène et pas assez sur le sujet, sur son histoire passée et présente, ses rapports avec son environnement. Les toxiques eux-mêmes doivent sans doute présenter une toxicité variable suivant le contexte et le statut social de l'individu qu'ils atteignent.[...] Contentons-nous maintenant de rappeler que les schizophrènes parvenus au stade de la démence, isolés du contexte social par leur folie, sont parmi les populations les moins atteintes par les affections cancéreuses, infectieuses et psychosomatiques [...]."


    Extraits de son remarquable livre « Inhibition de l’action » et pour mémoire le film où Laborit joue son propre rôle de découvreur : « Mon oncle d’Amérique » à voir et à revoir, (Grand Prix Spécial du Jury au Festival de Cannes en 1980 et Prix de la Critique Internationale - F.I.P.R.E.S.C.I. en 1980) est inspiré des travaux du Pr Laborit (avec Gérard Depardieu, Nicole Garcia, Pierre Arditi ...) : c'est un parallèle établi dans entre l’attitude d’un couple de rats et celle d’un couple humain. Scénario : aussitôt après avoir perdu sa situation, Jean Le Gall (Roger Pierre) y est saisi d'une colique néphrétique et Ragueneau (Depardieu), d'une dépression qui le conduit à une tentative de suicide. Le film avait fait grand bruit et Henri Laborit n'a (pourtant) pas été condamné par un tribunal ni incarcéré à la Santé...

    "Au fur et à mesure que les trois histoires se développent, les interventions d'Henri Laborit (dans son propre rôle) nous renseignent sur certaines lois du comportement humain fondées sur l'étude du cerveau et de la physiologie animale. Ces théories, clairement exposées, soutiennent que les actes qu'accomplissent l'individu sont déterminés par le conditionnement de la petite enfance. Chacun réagit selon des pulsions de type primaire : la lutte avec le rival ou la fuite devant l'ennemi. Lorsque le sujet est incapable de choisir entre l'affrontement et la dérobade, il se produit un phénomène d'inhibition qui peut conduire à des réactions " limites " comme le suicide." (Source).

     

     

    ¨¨ Voici la définition que donne le Dr Mark R.  du "système immunitaire", à l'occasion  d'une interview relaté dans un article intitulé : « Vaccins : témoignage d’un repenti » (°) :

    "C’est vraiment le corps tout entier. Plus l’esprit. On pourrait dire que tout cela forme le système immunitaire. C’est pour ça, qu’au beau milieu d’une épidémie, on peut trouver des personnes qui restent en bonne santé."

    Elle est  donc bien conforme à tout ce qui précède car elle est respectueuse de la réalité psychobiologique des choses dans ce qu'elle intègre le tandem interactif et inséparable : psychisme & corps

    (°) « Un jour, un chercheur en vaccinologie a vu son collègue perdre son enfant à la suite d’une vaccination. Le doute s’est insinué, et la réalité a fait le reste. Aujourd’hui à la retraite, il dévoile les dessous de l’une des plus grandes escroqueries de notre temps. » Jon Rappoport - Traduction : Christèle Guinot - Interview issue du magazine Nexus.


    A la place de l'appellation de "système immunitaire", selon moi, il faudrait mieux donc l'appeler
    quelque chose comme "processus cellulaire d’adaptation biphasique" ; biphasique, puisque (rappel) comme l’avait déjà bien mise au jour la médecine chinoise (voir plus haut), la maladie débute toujours par ce qu’on appelle une phase « froide » (rien de bien visible extérieurement) et ensuite, en période de réparation, la phase « chaude » (fièvre, inflammation, …).

    Il faut rappeler que les organes sont en aval et pas en amont de ce qui se passe dans le processus du "mal-à-dire"(c'est donc aussi ce qui se passe dans  les autres systèmes : digestif, respiratoire…) : ils sont dépendants et non pas les premiers acteurs ou participants au premier chef dans le mécanisme, le moteur de ce processus qui active donc l'action des microbes (ce qui n'a donc rien d'aléatoire, comme on l'a vu plus haut).

    En effet, conformément à cette grande loi naturelle qui est que tout dans l’univers doit s’adapter pour survivre, la maladie doit alors être perçue comme le dit, selon moi, très bien Carl Jung comme un « effort que la nature fait pour me guérir ».

    D'ailleurs, c'est ainsi qu'il faut considérer que chaque personne est son meilleur antivirus à condition de veiller à soigner non seulement son hygiène physique mais aussi psychique (Suite).
     

    A MÉDITER

     

    A cet égard, voici l’avis très autorisé et malheureusement toujours d’actualité du Dr John Eccles (1903-1997), prix Nobel de physiologie et de médecine en 1963 :

    « Ils [la majorité des scientifiques] ont été formés à l'école du matérialisme. C'est un moule extrêmement rigide composé d'un ensemble de dogmes qui ne sont pas forcément expliqués scientifiquement ! Par exemple, affirmer que notre existence n'est qu'un assemblage biologique, sans essayer de comprendre tout ce qui n'entre pas dans ce cadre – sous prétexte que ce n'est pas "scientifique" – est un dogme, pis, une superstition ! La science est pleine de superstitions, de croyances de toutes sortes... ».
    (Revue française Psychologies, n° 100, juillet-août 1992, pp. 55-56 – Le Dr Eccles a reçu le prix Nobel pour la découverte des processus chimiques responsables de la propagation de l'influx nerveux.)

    Extrait du discours inaugural pour la remise du triple prix Nobel de médecine et de physiologie 1977 par le Pr Rolf Luft du célèbre Institut Médico-Chirurgical Karolinska qui décerne les prix Nobel :
    « On peut dire à juste titre qu'ils ont découvert une partie importante du lien entre le corps et l'esprit. [...] Les phénomènes émotionnels et psychiques influencent réellement nos fonctions corporelles. [...] Il fallait bien un prix Nobel pour prouver que la médecine se trompe, renverser le dogme qui sépare la vie psychique et la vie organique, montrer les bases scientifiques d'une médecine globale, 'corps et psyché inséparables'. » (Détails)

     

    « Il faut comprendre que le rationalisme, en sa prétention scientifique, est particulièrement inapte à saisir, voire même à appréhender  l'aspect touffu, imagé, symbolique de l'expérience vécue. » Michel Maffesoli  (Eloge de la raison sensible,  Ed. La Table Ronde)

     


     

     

     

     

    Ne s'est-on donc pas trompé de "guerre" ?

    La bataille s'arrêtera elle (encore) faute de combattants

    mais cette fois dans le camp des assaillants ?

    N'st-on pas en train de placer au dessus de notre univers terrestre

    une sorte d'épée de Damoclès ?...

     

     

    "Les résultats de la recherche sur l'asthme montrent qu'à cause de l'aseptisation, le bébé n'est pas exposé au moment propice à la bactérie qui devrait se développer dans ses intestins et inciter le système immunitaire [ ° ] à se débarrasser des allergènes."

    Clive Cookson,  "Friendly Bacteria could wipe out lethal e.coli form" (Financial Times, 9 février 2001).

    [ ° ] Le système immunitaire est aussi un concept fondé sur un dogme

     

     

    "La vaccinologie, fer de lance de la médecine préventive, connaît actuellement une crise décisive. Avec elle, c’est toute la médecine moderne, issue des dogmes pasteuriens, qui se trouve confrontés à ses paradoxes et dès lors remise en question.(...) Pasteur s’est-il trompé ? Si ce n’est pas le cas, comment expliquer l’effondrement généralisé de l’immunité, les allergies, les pathologies auto-immunes, le sida, les nouveaux virus, les nouvelles épidémies... ? Aurions-nous fait fausse route ?(...) Les procaryotes ou microbes sont présents autour et à l’intérieur de nous depuis l’aube du monde. Sans leur présence et leurs multiples activités, aucun être vivant n’aurait pu apparaître et évoluer. Parmi tant d’autres fonctions ils sont garants de la composition de l’air que nous respirons, de la fertilité des sols, de la nutrition des arbres, de la digestion des herbivores, de la maturation de nos grands systèmes physiologiques. Dans notre relation avec eux, la maladie est, ou plutôt devrait être, une exception.(...) Pasteur et ses "découvertes" constituent sans aucun doute le premier grand mythe des temps modernes. Le mythe prométhéen de l’invulnérabilité, de l’immortalité grâce au progrès scientifique." .écrit le Dr Vétérinaire Eric Ancelet dans son livre " Pour en finir avec Pasteur ", Ed. Marco Pietteur, 1999.

     

    "La raison essentielle de la persistance de l'infection réside dans notre mauvaise compréhension des relations entre l'homme et son environnement biologique. Il existe de nombreuses formes de maladies qui ne sont ni prévenues ni guéries par l'aseptisation, les médicaments et les vaccins... Les maladies microbiennes les plus répandues dans nos sociétés sont dues à l'activité de micro-organismes provenant de l'environnement, dans le corps sans y occasionner de dommages remarquables dans des circonstances ordinaires. Ces maladies entraînent des manifestations pathologiques seulement lorsque la personne affectée subit un stress physiologique. Dans ce type d'affection microbienne, l'infection même est moins importante que les manifestations cachées du processus infectieux latent et que les perturbations physiologiques qui transforment l'infection latente en symptômes pathologiques patents. C'est la raison pour laquelle les méthodes orthodoxes basées sur les doctrines classiques de l'épidémiologie, l'immunologie, la chimiothérapie ne suffisent pas pour traiter les maladies endogènes. Il est besoin de développer des procédés pour rétablir un équilibre entre l'hôte et le parasite."

    Pr René Dubos, célèbre microbiologiste et inventeur du premier antibiotique, cité par Sarah Bosely The Guardian, 3 mai 2000.

     

    A propos des soi-disantes épidémies, le Pr Jacqueline BOUSQUET observe d'ailleurs : "Les «  épidémies » ne frappent que des gens ou des animaux fragilisés et s’arrêtent spontanément sans la moindre intervention médicale. D’autant mieux, d’ailleurs, qu’il n’y a pas d’intervention médicale."


     

    Des avancées significatives dans le reconnaissance des médecines dites alternatives.

                                                                                             

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

                    Match Pasteur / Béchamp (texte du Dr Michel Scohy) :

     

     

    Monsieur Louis PASTEUR − 1822 / 1895

    Professeur Antoine BECHAMP − 1816 / 1908

    corps

    Agrégé de Physique et de Chimie

    Il a découvert la loi de polarisation des substances organiques (levogyre, dextrogyre, racémique)

    Spécialiste génial en relations publiques et marketing publicitaire.

    Il a sauvé la France de la honte de la défaite militaire contre les allemands par la dimension qu’il a su donner à ses prétendues découvertes scientifiques autour des vaccinations.

     

    Agrégé en Pharmacie,

    Licencié ès Sciences Physiques,

    corps Physiques,

    Docteur en Médecine,

     Professeur de Physique et Toxicologie de l’École Supérieure de Pharmacie à Strasbourg,

    Professeur de Chimie Médicale et de Pharmacie à la Faculté de Médecine de Montpellier,

    Doyen de la Faculté libre de Médecine et de Pharmacie de Lille,

    Professeur de Chimie Organique et de Chimie Biologique à Lille.

    BASE THEORIQUE DE TRAVAIL

    L’unité de base de toute vie organique serait la cellule (Virchow, Pasteur). Les granulations microscopiques sont niées, elles ne seraient que des artéfacts. Nous retrouvons là une maladie bien connue, totalement incurable, de beaucoup de "scientifiques" : l'aveuglement volontaire...

    La cellule serait ASEPTIQUE. Il n’y aurait pas de germes dans l’intimité des organismes vivants complexes, à l’état normal ? (Il suffit d’observer un tissu vivant au microscope pour observer des microbes - dans le sang par ex.)

    Les « Biologistes » modernes étudient la vie en observant le « mort »...

    Les tissus sont préalablement :

    - fixés (= tués) par un bain de formol + acide,

    - déshydratés totalement (l'eau - c'est à dire 65 90% de la matière vivante est remplacée par de l'alcool),

    - dégraissés (toluène ou trichloréthylène),

    -  inclus dans de la paraffine, du plastique, ou congelés,

    - coupés en tranches ultrafines = dilacérés, fripés,

    - chauffés (600°)

    - baignés à nouveau dans le toluène ou trichloréthylène,

    - réhydratés artificiellement,

    - mordancés (bains dans de l’acide),

    - colorés, etc.
     

    L’unité de base de toute vie organique est la granulation microscopique (visible à un grossissement d'au moins 750) - bien connue à l'époque de Pasteur et de Béchamp - baptisée "microzyma (redécouverte actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE)" par Béchamp. Elle est redécouverte actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE !

    Le microzyma (redécouvert actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE) est capable de se reproduire.

    Il a son métabolisme propre.

    Il est capable de fermenter et transformer certaines substances.

    Il est capable de bâtir des tissus fibreux, membraneux...

    Il est capable de construire des germes ou mycèles (comme le bacille de Koch) pour effectuer certains travaux particuliers. Ces derniers sont en quelque sorte des « machines-outils » (tractopelles, bulldozers) !

    Il est capable de bâtir les cellules afin de créer un milieu favorable aux échanges (nutrition - respiration - métabolisme) au sein des organismes vivants complexes et de permettre la cohésion de l’ensemble par la création de forces électromagnétiques puissantes (différences de concentration en électrolytes de chaque côté des membranes cellulaires).

     LA PANSPERMIE ATMOSPHERIQUE ?

    Toute maladie proviendrait d’un microbe spécifique venant de l’extérieur. Ou par extension d'un prétendu virus, d'un prétendu prion, d'une cellule cancéreuse, d'une mutinerie de l'armée défensive qu'est le système immunitaire [ ° ] ... C’est une agression, dans une dialectique de guerre.

    D’où l’intérêt des vaccins, des antibiotiques (anti-vie), des anti-inflammatoires (anti-réparation), des chimiothérapie (artillerie lourde), des armes atomiques (bombe au cobalt, radium...).

    D'où le mythe du SIDA qui présuppose cette dynamique de guerre et l'existence du système immunitaire [ ° ] .

    Cette politique est à l’origine de nouvelles maladies plus graves encore : les maladies auto-immunes par dérèglement de ce système immunitaire [ ° ] (vaccins) et toutes les maladies liées à l’empoisonnement par des toxiques chimiques divers – antibiotiques, anti-inflammatoires, aluminium des vaccins (vache folle), mercure des plombages, etc. !

    L’évolution du microzyma (redécouvert actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE) est fonction de la qualité du milieu dans lequel il se trouve :

    >>> éléments nutritifs, oxygène,

    >>> constantes bioélectroniques (qualité de l’eau) : pH, rH2, résistivité.

     

    Les maladies sont toujours des processus de sauvetage ou de réparation — et de vie.

    Elles ne sont graves que lorsque le milieu est déficient : carences en vitamine C, en eau, en repos ou en nutriments, déséquilibre bioélectronique, etc..

    « Rien n’est la proie de la mort,

    tout est la proie de la vie »
    (Pr. Antoine Béchamp)

    Un microbe serait immuable.

    Il ne pourrait changer sauf par mutation accidentelle et en général pour devenir « résistant » ou plus agressif.

    La « vie » serait immobile et immuable, comme ces tissus tués, dilacérés et fixés par le formol !

    C’est la théorie du MICROBISME.

    Un microbe, une cellule, un tissu, peut toujours redevenir microzyma (redécouvert actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE)s. Ces microzyma (redécouvert actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE)s pourront − selon les besoins et le milieu − bâtir d’autres germes, tissus ou cellules...

    D’où une notion de POLYMORPHISME bactérien, qui passe obligatoirement par le microzyma (redécouverte actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE)s.

    « Le ‘Microbisme’ est une doctrine fataliste monstrueuse qui suppose qu'à l'origine des choses, Dieu aurait créé les germes des microbes destinés à nous rendre malades. »
    (Pr. Antoine BECHAMP)

     

    Découvrir l'article dans Biocontact écrit par le Dr Vétérinaire Eric Ancelet au sujet du Pasteurisme (mythe encore en vogue au sujet

    des microbes et qui a encore cours dans la science médicale officielle.

     

     

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                                                                                   Dossier pour la Science

                                 "LES VIRUS, ENNEMIS UTILES"

               Parmi les chapitres de ce dossier : "DECOUVRIR Leur place dans le vivant

                - Leur rôle dans l'évolution - Leur capacité à soigner"

     

    Le mythe dogmatique des "virus à abattre à tout prix"

    est officiellement en train de prendre du plomb dans l'aile :

     

     

                

     

     

    "Les virus, ennemis utiles" : c'est le titre du dossier de "Pour la Science" - n° 55 d'avril-juin 2007. C'est sans doute la première fois qu'une revue scientifique (l'édition française de Scientific American) se permet un tel titre. On peut constater p. 60 par exemple que des essais cliniques ont montré l'efficacité (régression d'une tumeur cérébrale) par l'injection de virus (de la maladie de Newcastle).

                                                         

    "« – Mais quel dieu es-tu, comment te décrire, Janus à la double forme? (…)

    – La garde du vaste monde me revient à moi seul, et le droit de faire tourner l’axe de ses portes m’appartient tout entier. »
    Ovide (– 43 à 17)

     Pour les Romains et le poète latin Ovide, cet être à la double apparence, aussi ancien que le monde, gardien des portes et des moyens de communication, patron de la guerre et de la paix, c’est Janus.
         Ni mort ni vivant. Si ancien qu’il aurait côtoyé les cellules primordiales dont nous sommes issus. Capable de transmettre de l’information génétique. Générateur des pires dérèglements, mais aussi maillon essentiel de l’évolution. Janus ? Non, un virus.
    Simple association de molécules, les virus sont inertes. Pourtant, quand un virus pénètre dans une cellule, dont il détient la clé, il prend « vie », au sens où il se réplique, se multiplie, mute et évolue. Se pose alors une question essentielle qui préoccupe les biologistes : un virus est-il vivant ou est-il inerte ?
         Tout au long de l’évolution, les virus ont transmis des séquences génétiques aux organismes qu’ils ont infectés, enrichissant leurs génomes. À une époque reculée, les virus auraient même « inventé » l’ADN – le code de la vie – , et introduit le noyau dans les cellules eucaryotes, dont sont notamment issus les mammifères.
         En transférant des gènes entre individus et entre espèces, les virus dévoilent leurs deux faces. Le Janus malveillant cause les maladies virales. Les virus provoquent des dégâts au sein des organismes qu’ils envahissent, en détruisant les cellules qu’ils infectent pour se multiplier puis se disséminer. Encore faut-il que le virus aient « inventé » des stratégies pour déjouer les défenses cellulaires et les réactions immunitaires. Le virus est créatif et adroit : il doit se répliquer en infectant un hôte, mais pas trop violemment pour que son incubateur ne périsse pas trop vite !
         Le Janus bienveillant, c’est celui qui confère leur capacité d’évolution à tous les organismes vivants. C’est aussi celui qui jouerait un rôle dans certaines thérapies ciblées : transmettre des gènes pour réparer une anomalie génétique ; détruire des bactéries devenues résistantes aux antibiotiques ; éliminer des cellules cancéreuses. Les virologues (Janus des temps modernes ?) ont un double regard, tourné à la fois vers le passé et vers l’avenir de leur objet d’étude : le passé leur permettra de mieux comprendre les maladies virales, et l’avenir apportera de nouvelles thérapies fondées sur les virus.
    "
     

    Découvrir l'article dans Biocontact écrit par le Dr Vétérinaire Eric Ancelet au sujet du Pasteurisme (mythe encore en vogue au sujet

    des microbes et qui a encore cours dans la science médicale officielle.

     

     

     

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    Ce qui se passe lorsque la peur de... (exemple : attraper une maladie) ne se résout pas.

    Un cas surprenant : un cytomégalovirus qui fait une volte-face étonnante !

    Exemple de guérison avec l'aide de la psychobiologie (col de l'utérus)

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     Le cerf qui perd son territoire et l'infarctus ?

        "Le langage de la guérison" (J.-J. Crèvecoeur)

          Ce qui se passe lorsqu'une brebis s'égare.

             Ne vous agrippez pas à la grippe !

     

     

    Là où la psychobiologie moderne rentre en résonance avec les médecines primitives :

           "Que notre vie intérieure s’enlaidisse et nous risquons fort de tomber malades ? (...)

     On sait bien que les traumatismes affectifs, les ruptures, les non-dits graves, les amertumes, les haines…

             sont autant de “laideurs intérieures”, qui provoquent notamment des cancers" :

    "Les Clés de la santé indigène" (Jean-Pierre Barou & Sylvie Crossman aux éd. Balland)

     

    En savoir plus sur la psychobiologie.

     

     

                                                                   

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