Psychothérapie et exercice de la Médecine

© Baudouin Labrique

 

 "Tous les jugements des tribunaux ont été unanimes à considérer que l’exercice de la psychothérapie ne relevait pas du domaine médical (d’ailleurs, elle n’est toujours pas enseignée en faculté de médecine).

Le Conseil d’État, dans un arrêt du 4 avril 2001, admet l’existence d’une psychothérapie non médicale. "

(Fédération Française de Psychothérapie et de Psychanalyse)
 

AVERTISSEMENT IMPORTANT :

nous n'adhérons en aucun cas à la Biologie-Totale

que nous refusons vu les dérives qu'elle génère

par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.

(Voir notre avis).

Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière les comportements intégristes et outranciers du Dr Hamer.

Deux chapitres du livre écrit par Baudouin Labrique,

"Quand les thérapeutes dérapent" y sont consacrés.

 

AVERTISSEMENT

 

En phase avec notre code de déontologie, notre accompagnement psychothérapeutique est de type PHENOMENOLOGIQUE : vierge de tout dogmatisme, il ne fait référence qu'à ce qui est de l’ordre des phénomènes observés et donc, sous l’angle de l’expérience concrète des patients et même si nos connaissances  scientifiques, empiriques et autres peuvent être en arrière-fond de la séance. La psychothérapie que nous pratiquons n'a aucune prétention scientifique ; d'ailleurs, l'évaluation scientifique des psychothérapies posent des problèmes importants vu les conditions de leur exercice : les composantes psychiques se révèlent être des paramètres incontrôlables ce qui biaise fortement ce qu'une étude scientifique pourrait apporter (°). L’utilité des psychothérapies est notamment de rassurer le patient inquiet quant à la pertinence de ce qu'il a pu en toute liberté (sans aucune directivité de notre part) mettre au jour en rapport avec des blessures (souvent très anciennes). Dans de telles conditions, seule compte la vérité du patient et c'est seulement celle-là qui doit être prise en compte par nous, dans un accompagnement psychothérapeutique par rapport auquel nous œuvrons pour qu'il soit digne de ce nom. Cette manière d'accompagner nous paraît la plus appropriée car elle respecte à la fois la Maïeutique socratique (l'art de faire accoucher l'autre à lui-même, à sa propre vérité) et l'un des plus importants préceptes du serment d'Hippocrate qui est de d'abord ne nuire en rien, témoins que nous sommes des trop nombreuses dérives dans la pratique thérapeutique et quelque soit le secteur concerné ; lire à ce sujet le livre écrit par Baudouin Labrique (en librairie début mai 2011),  Quand les thérapeutes dérapent.
 

 

(°) Extrait du livre "Quand les thérapeutes dérapent" de Baudouin Labrique

Évaluation biaisée des psychothérapies

Pour le confirmer, voici l’avis du Pr Nicolas Duruz, (Institut de Psychologie de l’université de Lausanne)

concernant l’évaluation des psychothérapies :

[...] depuis quelques années, on assiste à un retour quasi fondamentaliste de type scientiste[1], qui cherche à nettoyer le champ psychothérapeutique de toute pratique non scientifique. [...] La preuve scientifique de l’efficacité d’un traitement est considérée comme acquise dans la mesure où cette efficacité a été mise en évidence dans le cadre de dispositifs expérimentaux [...] qui exigent un groupe homogène de patients, lequel doit être comparé à un groupe contrôle sans traitement, avec placebo[2] ou traitement alternatif, et être soumis à un processus thérapeutique standardisé et contrôlé par un manuel [...]. L’application de la méthode expérimentale pour apporter la preuve scientifique de l’efficacité ne convient pas à certaines formes de psychothérapie où les critères de changement, comme la nature du processus thérapeutique, ne se laissent pas objectiver aussi simplement, voire naïvement. Utiliser ces seuls critères pourrait conduire à ce que ces psychothérapies, ne pouvant pas être l’objet de recherches dites scientifiques selon la méthode expérimentale, soient ipso facto exclues de la liste des traitements reconnus[3].


[1]  « Le scientisme est une croyance qui consiste à reporter sur la science les principaux attributs de la religion. » (Source).

[2]  Préparation pharmaceutique sans principes actifs destinée à se substituer à un médicament.

[3]  Être psychothérapeute demain

 

Extrait d'un autre article du Pr Duruz sur l'évaluation des psychothérapies :

Si l’observation contrôlée a pour but de garantir, d'une part, une meilleure observation de la variable indépendante par neutralisation des autres variables et, d'autre part, la non influence de l’observateur sur ce qu’il observe, comment cette méthode peut-elle convenir dans le cas d’études dites « naturelles » ou de terrain, beaucoup moins contrôlables par définition, ou encore lorsque la démarche évaluative, intégrée au processus même de la psychothérapie, n’est pas sans influence sur ce processus ? On est loin du laboratoire. D'une part, il y a toujours des sources d'influence qui échappent à l'observateur et qui agissent parallèlement à la soi-disante variable indépendante. Cherche-t-on à les neutraliser par le recours au grand monde, les résultats obtenus porteront encore davantage sur des "sujets moyens". Isabelle Stengers a écrit très pertinemment : "L'imagination de l'homme n'est pas une variable, car l'expérimentateur n'est pas libre d'en contrôler les variations". D'autre part, le chercheur exerce inévitablement des influences sur son objet d'étude, ne serait-ce de par le type de questions qu'il lui pose et les modalités de récolte des données. Dans un célèbre article, Lambert (1991) a révélé, sur la base d'un dépouillement de 384 études portant sur l'efficacité en psychothérapie et publiées entre 1983 et 1989 dans 20 périodiques, qu'il avait pu identifier plus de 1430 critères ou mesures d'efficacité retenus par les chercheurs, dont 840 n'étaient utilisés qu'une seule fois ! Cela montre à l'évidence à quel point les données obtenues sur la base de tels critères saisissent de manière très relative la réalité, d'autant plus que les variations dues à leurs sources (patient, thérapeute, expert ou tiers-public) et modalités d’obtention (questionnaire, entretien, self-report ou observation) ajoutent un surcroît de contingence.

 

 

 

         Nous nous devons de rappeler à nos lecteurs que nos activités ne peuvent en aucun cas être apparentées à quelque pratique illégale de la médecine que ce soit. Voici l’avertissement qui est affiché en bonne vue dans notre lieu d'activités et qui est conforme à notre code de déontologie :


       
Nous ne nous occupons que des conflits psychobiologiques des gens pour améliorer leur état psychologique, leur mieux-être général. A la manière des compléments alimentaires qui sont autorisés aussi longtemps qu'ils ne prétendent pas être des médicaments et traiter des "maladies", il en va de même pour l'accompagnement psychologique : celui-ci ne pose en aucun cas de diagnostic médical, ni ne propose quelque traitement médical que ce soit. Il ne s'y substitue en aucune façon.
        Nous nous occupons des conflits liés aux mal-à-dire. Nous ne traitons pas de "maladies" et si, d'aventure, les "maladies" disparaissent avec le conflit, comme cela arrive si souvent, nous en remercions le ciel.  C'est là notre règle.

psycho

Ceci dit, "La psychothérapie est l'ensemble des moyens par lesquels nous agissons sur l'esprit malade ou le corps malade, par l'intervention de l'esprit" (Dr Antoine Porot, co-auteur d'un ouvrage médical de référence, le "Manuel alphabétique de psychiatrie"- 1952), car "Il est folie de vouloir guérir le corps sans l'intervention de l'esprit" (Platon)

« La psychothérapie ne se limite déjà pas aux troubles mentaux seulement. Dans le cas de troubles somatiques, physiques, la psychothérapie peut intervenir : les relations entre l'immunité et le psychisme sont avérées. » (source : « Définition des psychothérapies   »)

Suivant une enquête de Test-Achats auprès de 14.000 personnes  " Le choix de la thérapie : en analysant globalement les résultats de satisfaction par rapport aux résultats attendus, on peut affirmer qu’en cas de dépression, anxiété ou autre difficulté psychologique, il est toujours conseillé de chercher l’aide d’un professionnel. Parmi les Belges ayant cherché un appui psychologique, la moitié d'entre eux ont fait appel à leur médecin de famille, probablement pour une question de facilité d’accès et peut-être de coût. C’est pourquoi il est important d’évaluer le soutien psychologique des généralistes. (...) Ceci dit, les médecins de famille ne disposent généralement pas du temps nécessaire pour ce type de consultation et n’ont pas la formation adéquate pour entamer un traitement psychothérapeutique C'est pourquoi, face à des troubles sévères, les médecins devraient orienter leurs patients vers une aide spécialisée, ce qui ne s’est produit que dans 44 % des cas."

Pourtant la loi est très claire sur ce point et  oblige de tels médecins à déléguer : "Tout praticien d’une profession des soins de santé a la responsabilité de renvoyer son patient vers un autre prestataire de soins compétent en la matière lorsque le problème de santé nécessitant une intervention excède son propre domaine de compétence." (Loi du 4 avril 2014, art. 11bis, Moniteur belge.)

"Les médecins et le personnel auxiliaire n'ont pas de formation reconnue en psychothérapie.(…) La qualité des traitements psychothérapeutiques permet d'économiser des coûts. (…) Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), à partir de l'an 2000, la dépression sera la maladie la plus fréquente au niveau mondial. (…) Les coûts d'une psychothérapie de qualité sont plus que compensés par la diminution du nombre des consultations médicales, de la consommation de médicaments, du nombre d'hospitalisations, du nombre de journées d'absence au travail et de celui des rentes AI. (…) Un entretien avec un médecin ne constitue pas une psychothérapie qualifiée." Source : Fédération Suisse des Psychologues (FSP) & Association Suisse des Psychothérapeutes (ASP)

Témoignage de l'attitude d'un médecin (à vous de juger) : "Cela allait mieux et ... depuis aujourd'hui, cela recommence. Ce matin, j'ai accompagné Maman chez le médecin pour les vaisseaux. Il a été odieux. Il ne l'écoutait pas, a mangé une pomme tout en lisant ses dossiers et en daignant de temps à autre lever la tête pour me répondre. Quand nous sommes entrées (et cela chaque fois que je l'y ai conduite), il est dans ses dossiers et ne répond pas à notre bonjour. Aujourd'hui, il m'a serré la main mais n'a pas répondu au bonjour de Maman. Quand nous sommes rentrées, j'étais furieuse."

 

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Il est piquant de constater que la Psychothérapie est pratiquement entrée dans sa phase expérimentale sous le nom de magnétisme animal à la fin du XVIIIème avec Franz Anton MESMER (1734-1815) : le magnétisme animal :

"Il propage à PARIS ses théories sur l'existence d'un fluide universel, ---> le magnétiseur, en provoquant des crises convulsives, effectue une redistribution harmonieuse du fluide d'où l'effet curatif.

MESMER croyait présenter une théorie physiologique apparentée à celle de l'électricité ou de l'aimantation. Il agissait par des manipulations directes (attouchements, passes magnétiques) ou bien procédés indirects, le célèbre "baquet" dans des séances collectives. Il s'adjoint un "valet toucheur", utilise quatre baquets dont l'un est réservé aux pauvres. Il magnétise un arbre dans la rue de Bondy.

(N.B. Il ne faut pas entendre le mot attouchement au sens où on le prend aujourd'hui)

Mesmer avait fait construire plusieurs répliques de son fameux baquet. Le seul exemplaire qui en subsiste se trouve au Musée d'histoire de la médecine à Lyon."

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Alice Miller, auteur de nombreux livres écrit :

"Notre accès à notre histoire d’enfant nous donne la liberté d’être fidèles à nous-même, cela veut dire de pouvoir ressentir nos émotions, de les connaître et d’agir selon nos besoins, ce qui nous garantit notre santé et nos relations honnêtes et vraies avec nos proches. Nous arrêtons de mépriser, négliger ou même maltraiter notre corps et notre âme de la même façon - impatiente, irritée, humiliante - que nos parents ont traité le petit enfant qui n’a pas pu encore parler et s’expliquer. Nous cherchons plutôt à comprendre les causes de nos malaises, ce que nous pouvons faire plus facilement après avoir pris la connaissance de notre histoire. Aucun médicament ne peut nous renseigner sur les CAUSES de nos malaises ou maladies.

Un médicament peut seulement brouiller ces causes et soulager la douleur – pour quelque temps. Mais les causes qui n’étaient pas reconnues restent toujours actives et continuent leur travail de signalisation jusqu’à ce que la maladie récidive. Et elle sera traitée par les autres remèdes qui, eux aussi, négligeront les raisons de la maladie. Pourtant, ces raisons ne sont pas introuvables si la personne malade s’intéresse à la situation de l’enfant qu’elle a été. C’est cet intérêt qui lui permettra non seulement de vivre ses émotions mais aussi de les comprendre. Il est bien entendu que je parle ici des médicaments qui suppriment les émotions et en même temps les souvenirs. Il y a bien sûr des médicaments dont on ne peut pas se priver et qui ne sont pas inhibiteurs des émotions comme les antidépresseurs."

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AVERTISSEMENT IMPORTANT :

nous n'adhérons en aucun cas à la Biologie-Totale

que nous refusons vu les dérives qu'elle génère

par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.

(Voir notre avis).

Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière les comportements intégristes et outranciers du Dr Hamer.

Deux chapitres du livre écrit par Baudouin Labrique,

"Quand les thérapeutes dérapent" y sont consacrés.

 

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"Incidences économiques de l’article 52 de la loi du 9 août 2004 sur le titre de psychothérapeute"

(en France - source disparue du Net)) :

"Rappelons enfin qu’à l’heure actuelle, les psychothérapeutes prennent entièrement en charge les frais de leur longue formation professionnelle (plusieurs années de psychothérapie préalable, de formation puis de supervision) et paient ensuite la TVA (19,6 %) sur toutes leurs interventions. Ils ne coûtent rien à l’État et lui rapportent, au contraire, des recettes sensibles.
Leurs séances ne sont pas remboursées,
ils ne prescrivent pas de médicaments, ils permettent d’éviter ou de réduire de nombreuses hospitalisations, voire certaines incarcérations.
L’ensemble de l’économie ainsi réalisée sur le budget national est difficile à chiffrer avec précision, et les estimations varient de 2 à 3 milliards d’euros par an.."

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Quelle est la différence entre le psychothérapeute, le psychologue, le psychiatre ?

"Le PSYCHOTHERAPEUTE est un professionnel (...) habilité à traiter des personnes souffrant de troubles psychiques ou somatiques. Son travail consiste à aider ses patients non seulement à libérer des traumatismes du passé, mais aussi à ce comprendre dans son état dans le but d'atteindre un bien être intérieur (…)
dans le but de libérer la racine des chocs et des traumatismes émotifs chez l'individu.
(…) La psychothérapie, contrairement à la psychologie conventionnelle ou à la psychiatrie, ne traite pas au niveau des symptômes, toutefois elle traite au niveau de la racine du problème qui cause les symptômes.
"Les Psychothérapeutes du Québec ne croient pas au DSM. Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV) et à son équivalent, la section sur les troubles mentaux de la Classification internationale des maladies (CIM-10). C'est à dire, ne croient pas à catégoriser les êtres humains avec des étiquettes de maladies mentales et des traitements conventionnels reconnus comme mentionnés dans les articles ci-dessous."

Le PSYCHOLOGUE traite "des personnes souffrant de troubles psychologiques. Les techniques généralement utilisées par le psychologue sont d'une approche psychanalyse et de l'écoute du patient. (…) Le psychologue contrairement au psychothérapeute traite les symptômes du problème et travaille en étroite collaboration avec les psychiatres. Cela explique pourquoi, dans certains cas, les traitements en psychologie classique requièrent beaucoup plus de séances et d'années, parfois même de très longue durée dans l'espoir d'arriver à un bien être intérieur. (…) Un psychologue n'est pas un psychothérapeute.

Le PSYCHIATRE est un [Ndlr :médecin] spécialiste traitant de graves maladies mentales sur une base médico-psychiatrique.
(…) On peut le consulter directement ou sur recommandation d'un autre professionnel de la santé comme par exemple; le médecin de famille, le psychologue, le travailleur social, l'infirmière..(…) Suite au diagnostic du psychiatre, les méthodes de traitement les plus fréquemment utilisées sont la prescription de médicament (antidépresseurs, sédatifs, anxiolytiques, antipsychotiques, lithium, etc.), psychanalyse, l'incarcération du patient dans un hôpital psychiatrique, la contention physique, la contention chimique, les traitements par l'électrochoc et dans certains cas toutefois moins fréquents, la chirurgie au cerveau (...)  Un psychiatre n'est pas un psychothérapeute." (...)

"[D'un côté] la psychothérapie, [de l'autre côté] la psychologie et la psychiatrie sont deux mondes complètement différents.

Nous [les psychothérapeutes] ne croyons pas qu'un être humain peut souffrir d'une maladie mentale incurable,

c'est à dire qu'il doit prendre ses psychotropes ou médicaments à vie."

N.B. La psychothérapie a été créée précisément pour pallier les déficiences et le manque d'efficacité NOTOIRE de la psychologie et de la psychiatrie dans le domaine thérapeutique !
 

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Ce qui expliquerait la survenance des maladies :

Ce qui se passe lorsque la peur de... (exemple : attraper une maladie) ne se résout pas.

Un cas surprenant : un cytomégalovirus qui fait une volte-face étonnante !

D'autres cas de mal-à-dire qui se forgent dans le ventre maternel.

Les hamsters enfumés (tabac) attrapent-ils le cancer

Le cerf qui perd son territoire et l'infarctus ?

"Le langage de la guérison" (J.-J. Crèvecoeur)

Ce qui se passe lorsqu'une brebis s'égare.

Ne vous agrippez pas à la grippe !

 

 

 

Là où la psychobiologie moderne rentre en résonance avec les médecines primitives :

       "Que notre vie intérieure s’enlaidisse et nous risquons fort de tomber malades ? (...)

 On sait bien que les traumatismes affectifs, les ruptures, les non-dits graves, les amertumes, les haines…

         sont autant de “laideurs intérieures”, qui provoquent notamment des cancers" :

lire le passionnant article de Nouvelles Clés en annonce du livre

"Les Clés de la santé indigène" (Jean-Pierre Barou & Sylvie Crossman aux éd. Balland)

 

En savoir plus sur la psychobiologie.

 

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Deux chapitres du livre écrit par Baudouin Labrique,

"Quand les thérapeutes dérapent" y sont consacrés.

 

Pour les dates des conférences, ateliers, voir l'agenda

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