OGM : le doute n'étant plus permis
on se moque encore de nous et de notre santé !
Certains
liens obsolètes seront remplacés dès que seront trouvées des
équivalences. Merci de votre comprehension.
"La nature ne fait rien en vain." Aristote
"La terre ne nous appartient (en effet) pas, ce sont nos enfants qui nous la prêtent" (Proverbe indien)
Par rapport à la manipulation des scientifiques sur la matière le grand Rabelais disait déjà :
«
Science sans conscience n'est que ruine de l'âme»et Bernard SHAW écrivait aussi :
«
Les gens intelligents s’adaptent à la nature, les imbéciles cherchent à adapter la nature…C’est pourquoi ce que l’on appelle le progrès est l’œuvre des imbéciles
»
"C'est une triste chose de penser que la nature parle et que le genre humain n'écoute pas." Victor Hugo
"Les OGM résistants à la sécheresse, c’est comme donner de la morphine à un patient qui va mourir, pour diminuer sa douleur.
Ce ne sont pas eux qui vont permettre le retour à des agrosystèmes diversifiés, adaptés à chaque territoire, redonnant vie et structure au sol,
ou encore indépendance et autonomie à des petits paysans qui eux seuls sont capables de pratiquer cette agronomie adaptée à chaque territoire.
(La plus productive qui puisse être, du moins durablement!)."
Un posteur très éclairé et éclairant sur le forum du site de "LeSoir.be"
Pour une agriculture et une alimentation de qualité, je dis non aux OGM
(pétition France)
"L'homme est le seul animal qui rougisse ;
c’est d’ailleurs le seul animal qui ait à rougir de quelque chose. »
Georges Bernard Shaw
" La science doit s'accommoder à la nature. La nature ne peut s'accommoder
à la science."
Ferdinand Brunot.
"Mise en garde des médecins : évitez de consommer des
aliments génétiquement modifiés "
Écrit par Jeffrey M. Smith (19/06 2009)
"Le 19 mai, l'American Academy of Environmental Medicine (AAEM - Académie
Américaine de Médecine Environnementale) a demandé aux médecins « de
sensibiliser leurs patients, la communauté médicale, et le public afin qu'ils
évitent autant que possible les aliments génétiquement modifiés, et de fournir
des informations sur les aliments génétiquement modifiés et les risques
sanitaires associés. [1] Elle a appelé à un moratoire sur les aliments
génétiquement modifiés, le lancement d'études indépendantes menées sur le long
terme, et l'étiquetage des aliments génétiquement modifiés.
D'après le communiqué de l'AAEM, « plusieurs études menées sur des modèles
animaux montrent que la consommation d'aliments génétiquement modifiés
induisent de graves risques de santé, » y compris l'infertilité, des problèmes
immunitaires [la notion de
système immunitaire est sujette à caution] , un vieillissement
accéléré, et des changements au niveau de la régulation de l'insuline, des
principaux organes et du système digestif. Elle conclut ainsi : « le lien
entre les aliments génétiquement modifiés et leurs effets néfastes sur la
santé est plus qu'anecdotique. Il y a un lien de cause à effet, » tel que
défini selon les critères scientifiques établis. « Plusieurs études animales
confirment la forte corrélation entre aliments génétiquement modifiés et
maladies. »
De plus en plus de médecins prescrivent déjà des régimes sans aliments
génétiquement modifiés. Le docteur Amy Dean, interne dans le Michigan
préparant sa spécialisation, et membre de l'AAEM déclare : « je recommande
vivement à mes patients de consommer uniquement des aliments qui n'ont pas été
génétiquement modifiés. » Le docteur John Boyles, allergologue dans l'Ohio,
précise : « auparavant je testais l'allergie au soja systématiquement mais
maintenant que le soja est génétiquement modifié, il est si dangereux que je
conseille à mes patients de ne pas en manger du tout. »
Le docteur Jennifer Armstrong, présidente de l'AAEM, déclare : « les médecins perçoivent probablement les effets des OGM chez leurs patients, mais ils ont besoin de savoir comment poser les bonnes questions. » Pushpa M. Bhargava, un biologiste de renommée mondiale, va encore plus loin. Après avoir passé au crible plus de 600 journaux scientifiques, il a conclu que les organismes génétiquement modifiés étaient une des causes majeures de la rapide détérioration de la santé des Étasuniens.
Femmes enceintes et nouveaux-nés courent les plus grands risques
David Schubert, biologiste au Salk Institute prévient qu'au sein de la
population «les enfants sont les plus susceptibles de souffrir des toxines et
des problèmes nutritionnels» liés aux aliments génétiquement modifiés. Il
affirme que sans étude adaptée, les enfants deviennent « les cobayes sur
lesquels les expériences sont menées. » [2]
Les expériences menées sur des animaux nourris avec des aliments génétiquement
modifiés sont en fait terrifiantes. Les rattes nourries de soja transgénique
ont vu la plupart de leur progéniture mourir dans les 3 semaines ayant suivi
leur naissance - alors que le taux de mortalité était de 10% dans le groupe de
contrôle nourri avec du soja naturel. [3] Les bébés rats nourris avec des
aliments génétiquement modifiés étaient également plus petits, et ont connu
ultérieurement des problèmes de fertilité. [4]
Chez les rats nourris avec du soja génétiquement modifié, on a constaté un
changement de couleur des testicules - qui sont passées de leur couleur
normale qui est rose à un bleu foncé. [5] Le développement des spermatozoïdes
des souris nourries avec du soja génétiquement modifié s'est arrêté avant
qu'ils n'arrivent à maturité. [6] On a même constaté des mutations génétiques
significatives chez les embryons provenant de parents nourris avec des
aliments génétiquement modifiés. [7] Une étude commanditée par le gouvernement
autrichien a démontré que les souris nourries avec du maïs transgénique
faisaient moins de bébés et qu'ils étaient plus petits que la normale. [8]
Des problèmes de reproduction ont également gravement affecté le bétail.
Des enquêtes menées dans l'Etat du Haryana en Inde ont révélé que la plupart des buffles nourris avec des graines de coton transgéniques ont connu des complications telles que des naissances prématurées, des fausses couches, des problèmes de fertilité, et des prolapsus utérins. De nombreux veaux sont morts. Aux États-Unis, une vingtaine de fermiers ont signalé que des milliers de cochons étaient devenus stériles après avoir consommé une certaine variété de maïs transgénique. Certaines truies ont fait des fausses couches, d'autres ont accouché de poches remplies d'eau. Les vaches et les taureaux sont également devenus stériles après avoir consommé le même type de maïs. [9]
Au sein de la population étasunienne, la fréquence des nouveaux-nés en dessous
du poids normal, les problèmes de stérilité et le taux de mortalité infantile
grimpent tous en flèche.
Des aliments conçus pour produire des toxines
Maïs et coton transgéniques sont conçus pour produire leur propre pesticide au
sein de chacune de leurs cellules. Lorsqu'un insecte mange une telle plante,
le poison lui déchire l'estomac et le tue. Les entreprises de biotechnologies
affirment que l'historique du pesticide, dénommé Bt - produit à partir de
Bacillus thuringiensis, une bactérie qu'on trouve dans la terre, prouve son
innocuité, puisque les agriculteurs bio et les autres le pulvérise sur leur
culture comme insecticide naturel. Les ingénieurs généticiens insèrent le gène
de la bactérie Bt dans le maïs et le coton comme ça c'est la plante qui fait
le travail.
Toutefois, la toxine Bt produite dans ces plantes transgéniques est des
milliers de fois plus concentrée que dans les pulvérisation de Bt naturel,
elle est conçue pour être plus toxique, [10] elle a des propriétés allergènes,
et à contrario des pulvérisations elle ne peut être rincée.
En outre, des études confirment que même la pulvérisation de la bactérie
naturelle la moins toxique est néfaste. Au cours d'une pulvérisation par avion
pour éradiquer une invasion de bombyx disparates dans le Nord-Ouest des
États-Unis, environ 500 personnes se sont plaintes d'allergies et d'états
grippaux. Certaines ont dû se rendre aux urgences. [11],[12]
Des symptômes parfaitement identiques ont été signalés par des travailleurs
agricoles aux quatre coins de l'Inde suite à la manipulation du coton Bt.[13]
En 2008, sur la base de rapports médicaux, le Sunday India a écrit que « le
nombre de personnes souffrant de démangeaisons a fortement augmenté au cours
de l'année...en relation avec la culture du coton Bt. » [14]
Les OGM provoquent des réactions immunitaires [la notion de
système immunitaire est
sujette à caution]
Selon l'AAEM : « de nombreuses études animales montrent des dérèglements
importants du système immunitaire » dont une augmentation des cytokines, qui
sont « liées à l'asthme, aux allergies et aux inflammations » - qui sont tous
en augmentation aux États-Unis.
D'après le docteur Arpad Pusztai, expert en test d'évaluation des
transgéniques, les changements dans le système immunitaire des animaux nourris
avec des aliments génétiquement modifiés sont « une constante que l'on
retrouve dans toutes les études. » [15] Même les recherches menées par
Monsanto ont démontré des changements significatifs dans le système
immunitaire de rats nourris avec du maïs Bt. [16] En novembre 2008, une étude
commanditée par le gouvernement italien a montré que les souris font des
réactions immunitaires au maïs Bt. [17]
Soja et maïs transgéniques contiennent deux nouvelles protéines aux propriétés
allergènes, [18] le soja transgénique contient jusqu'à sept fois plus
d'inhibiteurs de la trypsine - un allergène connu du soja, [19] et les tests
cutanés montrent que certaines personnes réagissent au soja transgénique alors
qu'elles ne réagissent pas au soja naturel. [20] Peu de temps après que le
soja transgénique ait été introduit au Royaume-Uni, les allergies au soja ont
connu une forte augmentation de 50%. Peut-être que l'épidémie d'allergies
alimentaires et d'asthme qui touche les États-Unis est due aux manipulations
génétiques.
Mort de nombreux animaux
En Inde, les animaux paissent dans les champs de coton après les récoltes.
Mais lorsque les bergers laissent leurs moutons brouter les plants de coton Bt,
des milliers d'entre d'eux meurent. Les autopsies ont révélé de graves
irritations et des taches noires dans l'intestin ainsi que dans le foie (ainsi
qu'un élargissement des canaux biliaires). Les enquêteurs ont déclaré que les
premières preuves « suggèrent fortement que la mortalité des moutons est due à
une toxine...plus probablement à la toxine Bt. » [21] Dans une petite étude
nutritionnelle complémentaire menée par la Deccan Development Society, tous
les moutons nourris avec des plants de coton Bt sont morts dans les 30 jours,
ceux qui ont brouté des plants de coton naturel sont restés en bonne santé.
Dans un petit village de l'Andhra Pradesh, les buffles ont brouté les plants
de coton pendant huit ans sans connaître aucun problème. Le 3 janvier 2008,
les buffles ont brouté le coton Bt pour la première fois. Les 13 buffles sont
tombés malades le lendemain, ils sont tous morts dans les trois jours qui ont
suivi. [22]
Le maïs Bt est également impliqué dans la mort de vaches en Allemagne, et de
chevaux, de buffles et de poulets aux Philippines. [23]
Dans des études menées en laboratoires, les poulets nourris avec du maïs
Liberty Link ont connu un taux de mortalité deux fois plus élevé, 7 des 20
rats nourris avec des tomates transgéniques ont eu des saignements de
l'estomac, et 7 rats sur 40 sont morts dans les deux semaines. [24] Selon G.
E. Seralini, l'un des meilleurs toxicologues français, une étude menée par
Monsanto a révélé les preuves d'un empoisonnement des principaux organes chez
les rats nourris avec du maïs Bt. [25]
La pire des découvertes - les OGM restent dans nos organismes
La seule étude publiée sur des êtres humains ayant consommé des OGMs a
révélé le problème le plus grave concernant les aliments génétiquement
modifiés. Le gène inséré dans le soja transgénique est transféré dans des
bactéries qui vivent dans notre intestin où il continue à être actif. [26]
Cela signifie que longtemps après avoir arrêté de consommer des OGMs, nous
pouvons continuer à vivre avec des protéines génétiquement modifiées
potentiellement néfastes produites en permanence à l'intérieur de nos
organismes. Pour dire les choses clairement, manger une tortilla produite à
partir de maïs Bt peut transformer nos bactéries intestinales en usines à
pesticides, éventuellement pour le reste de nos vies.
Lorsque des preuves de transfert de gène sont montrées au cours de conférences
organisées aux États-Unis, les médecins répondent souvent en mentionnant la
forte augmentation de problèmes digestifs qu'ils ont constaté chez leurs
patients au cours de la dernière décennie. Les aliments génétiquement modifiés
pourraient être en train de coloniser la flore intestinale des
Nord-américains.
Les avertissements émis par les scientifiques du gouvernement sont ignorés
et niés
Des scientifiques de la Food and Drug Administration (FDA) ont mis en garde
contre tous ces problèmes dès le début des années 90. D'après des documents
publiés dans le cadre d'un procès, le consensus scientifique au sein de cette
agence défendait que les aliments génétiquement modifiés étaient
intrinsèquement dangereux, et pouvaient générer des allergies difficiles à
déceler, des substances toxiques, un transfert de gène vers les bactéries de
l'intestin, de nouvelles maladies et des troubles nutritionnels. Ils ont
pressé leurs supérieurs afin qu'ils exigent des tests à long terme. [27] Mais
la Maison Blanche avait ordonné à l'agence de promouvoir les biotechnologies
et la FDA répondit en recrutant Michael Taylor, l'ex-avocat de Monsanto, pour
qu'il élabore la politique de l'agence sur les OGMs. Cette politique qui est
appliquée aujourd'hui, nie les connaissances sur lesquelles les craintes des
scientifiques sont fondées et déclare que les études sur la sécurité des OGMs
ne sont pas nécessaires. C'est à Monsanto et aux autres entreprises de
biotechnologies de déterminer si leurs aliments sont sûrs. M. Taylor devint
plus tard vice-président de Monsanto.
Des études d'une rareté alarmante, des maladies dont l'origine est inconnue
L'AAEM déclare : «les aliments génétiquement modifiés n'ont pas été testés
correctement» et « nous exposent à de graves risques de santé. » Pas un seul
essai clinique d'OGM mené chez l'homme n'a été publié. En 2007, une revue des
publications scientifiques sur les « effets toxiques possibles / risques de
santé induits par les plantes génétiquement modifiées » a révélé que « les
données expérimentales sont très rares. » L'auteur a conclu sa revue en
demandant: « où sont les preuves scientifiques démontrant que les
plantes/aliments génétiquement modifiés sont sûrs au niveau toxicologique,
comme le supposent les entreprises de biotechnologies ? »[28]
David Suzuki, célèbre généticien canadien, répond: « Les expériences n'ont
tout simplement pas eu lieu, et c'est nous qui jouons désormais le rôle de
cobaye. » Il ajoute : « selon moi, quiconque déclare ‘Oh nous savons que c'est
totalement sûr' est soit incroyablement stupide, soit il ment délibérément. »
[29]
Le Dr. Schubert souligne : « nous ne saurons probablement jamais s'il y a
eu des problèmes car leur cause ne sera pas identifiable et de nombreuses
maladies prennent beaucoup de temps pour se développer. » S'il se trouve que
les OGMs provoquent des symptômes immédiats et aigus avec une signature
unique, nous aurons peut-être une chance de remonter jusqu'à la cause.
C'est précisément ce qui s'est passé pendant une épidémie aux États-Unis dans les années 80. La maladie s'aggravait rapidement, elle était mortelle et elle était la seule à provoquer une modification quantifiable d'un certain paramètre sanguin - pourtant il fallut quand même 4 ans pour réaliser qu'une épidémie était en cours. Pendant ce laps de temps, elle avait déjà tué 100 Étasuniens et entre 5000 et 10000 était tombés malades ou avaient subi des handicaps irréversibles. Cette épidémie provenait d'un produit commercialisé par une marque de compléments alimentaires génétiquement modifiés sous le nom de L-tryptophane.
Nous ne saurons peut-être jamais si d'autres aliments génétiquement modifiés
contribuent à la recrudescence d'autisme, d'obésité, de diabètes, d'asthme, de
cancers, des maladies cardiaques, d'allergies, de problèmes de fécondité, où
toute autre problème de santé courant qui ravage désormais la population
étasunienne. En fait, de la même manière que les animaux nourris avec des
aliments génétiquement modifiés connaissent une variété de problèmes, les
individus sensibles peuvent réagir par différents symptômes. Il est par
conséquent révélateur de constater que neuf ans après l'introduction massive
de cultures transgéniques en 1996, la fréquence des patients présentant au
moins trois maladies chroniques a quasiment doublé, passant de 7 % à 13 % de
la population totale. [30]
Afin d'aider à déterminer la nocivité des OGM, l'AAEM demande « à ses
membres, à la communauté médicale, et à la communauté des scientifiques
indépendants de rassembler les études de cas potentiellement liées à la
consommation d'aliments génétiquement modifiés et à leurs effets sur la santé,
d'entamer des recherches épidémiologiques pour connaître l'impact des aliments
génétiquement modifiés sur la santé humaine, et d'appliquer des méthodes
fiables permettant d'évaluer les effets des aliments génétiquement modifiés
sur la santé humaine. »
Les citoyens n'ont pas à attendre ces résultats pour commencer à appliquer les
conseils des médecins visant à éviter les aliments génétiquement modifiés. Les
consommateurs peuvent proscrire tout aliment contenant des dérivés de soja ou
de maïs, de l'huile de graine de coton ou de colza, et de sucres de betteraves
transgéniques - à moins qu'il soit indiqué que ces produits sont bio ou « sans
OGM ». Il existe un guide de poche sur les aliments sans OGM, co-rédigé par l'
Institute for Responsible Technology et le Center for Food Safety, qui est
disponible en téléchargement, ainsi que dans les magasins bio et dans les
cabinets de nombreux médecins. [En France, Greenpeace publie un guide des
aliments OGM disponible à cette adresse - NdT]
Si seulement une petite fraction de le population fait le choix des marques sans OGM, l'industrie agroalimentaire réagira probablement comme elle l'a fait en Europe - en retirant tous les ingrédients transgéniques de ses produits [En Europe la réalité est malheureusement moins rose et les OGMs sont de plus en plus présents dans les rayons Cf. liste Greenpeace ci-dessus - NdT], Ainsi les recommandations de l'AAEM concernant les aliments sans OGM pourraient constituer un tournant pour la filière agroalimentaire étasunienne.
Auteur à succès de renommée internationale et cinéaste indépendant, Jeffrey M.
Smith est l'administrateur de l'Institute for Responsible Technology (Institut
pour une Technologie Responsable) et un des principaux porte-parole sur le
thème des risques de santé induits par les OGMs. Son premier livre, Seeds of
Deception (Semences de tromperies) est l'ouvrage qui a été le plus vendu dans
le monde sur ce sujet-là. Son deuxième livre, Genetic Roulette: The Documented
Health Risks of Genetically Engineered Foods [La Roulette Génétique, les
risques documentés pour la santé des aliments génétiquement modifiés, ouvrage
non traduit - NdT], isole 65 risques liés aux OGMs et démontre comment les
agréments superficiels délivrés par le gouvernement ne sont pas en mesure
d'identifier la plupart de ces risques. Il a invité l'industrie des
biotechnologies à transmettre par écrit les preuves infirmant ces risques,
tout en ayant justement prédit qu'elles refuseraient, puisqu'elles ne
disposent pas des données prouvant l'innocuité de leurs produits."
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début de cette page consacrée aux OGM
[1] www.aaemonline.org/gmopost.html
[2] David Schubert, correspondance personnelle avec H. Penfound, Greenpeace
Canada, 25 octobre 2002.
[3] Irina Ermakova, "Genetically modified soy leads to the decrease of weight
and high mortality of rat pups of the first generation. Preliminary studies,"
(Le soja génétiquement modifié provoque une perte de poids et une augmentation
de la mortalité chez les jeunes rats de première génération). Etudes
préliminaires, Ecosinform 1 (2006): 4 - 9.
[4] Irina Ermakova, "Experimental Evidence of GMO Hazards" (Preuves
expérimentales des dangers liés aux OGMs) Présentation faite dans le cadre de
la manifestation «Les scientifiques pour une Europe sans OGM», Parlement
européen, Bruxelles, 12 juin 2007
[5] Irina Ermakova, "Experimental Evidence of GMO Hazards," (Preuves
expérimentales des dangers liés aux OGMs) Présentation faite dans le cadre de
la manifestation «Les scientifiques pour une Europe sans OGM», Parlement
européen, Bruxelles, 12 juin 2007
[6] L. Vecchio et al, "Ultrastructural Analysis of Testes from Mice Fed on
Genetically Modified Soybean,"(Analyse ultrastructurelle de testicules de
souris nourries avec des graines de soja génétiquement modifiées) European
Journal of Histochemistry 48, no. 4 (Oct - Déc 2004):449 - 454.
[7] Oliveri et al., "Temporary Depression of Transcription in Mouse Pre-implantion
Embryos from Mice Fed on Genetically Modified Soybean," (Réduction Temporaire
de la transcription dans des embryons de souris préimplantés provenant de
souris nourries avec des graines de soja génétiquement modifiées) 48e
Symposium de la société d'histochimie, Lac Majeur (Italie), 7 - 10 septembre
2006.
[8] Alberta Velimirov et Claudia Binter, "Biological effects of transgenic
maize NK603xMON810 fed in long term reproduction studies in mice," (Effets
biologiques induits par la consommation de maïs transgénique NK603xMON810 dans
des études de fertilité à long terme chez la souris) Forschungsberichte der
Sektion IV, Band 3/2008
[9] Jerry Rosman, correspondance personnelle, 2006
[10] Voir par exemple, A. Dutton, H. Klein, J. Romeis, et F. Bigler, "Uptake
of Bt-toxin by herbivores feeding on transgenic maize and consequences for the
predator Chrysoperia carnea," (Assimilation de la toxine Bt chez les
herbivores nourris avec du maïs transgénique et conséquences sur le prédateur
Chrysoperia carnea) Ecological Entomology 27 (2002): 441 - 7; et J. Romeis, A.
Dutton, et F. Bigler, "Bacillus thuringiensis toxin (Cry1Ab) has no direct
effect on larvae of the green lacewing Chrysoperla carnea (Stephens) (Neuroptera:
Chrysopidae)," (La toxine Bacillus thuringiensis (Cry1Ab) n'a pas d'effet
direct sur la larve de la chrysope verte Chrysoperla carnea (Stephens) (Neuroptera:
Chrysopidae)) Journal of Insect Physiology 50, no. 2 - 3 (2004) : 175 - 183.
[11] Département de la Santé de l'Etat de Washington, "Report of health
surveillance activities: Asian gypsy moth control program," (Rapport sur les
activités de veille sanitaire : programme de contrôle du bombyx disparate)
Olympia, WA : Département de la Santé de l'Etat de Washington, 1993.
[12] M. Green, et al., "Public health implications of the microbial pesticide
Bacillus thuringiensis: An epidemiological study, Oregon, 1985-86,"
(Conséquences sur la santé publique du pesticide microbien Bacillus
thuringiensis: Une étude épidémiologique, Oregon, 1985-86) Amer. J. Public
Health 80, no. 7(1990) : 848 - 852.
[13] Ashish Gupta et. al., ., "Impact of Bt Cotton on Farmers' Health (in
Barwani and Dhar District of Madhya Pradesh)," (Impact du Coton Bt sur la
santé des fermiers (dans les districts de Barwani et de Dhar dans l'Etat du
Madhya Pradesh)) Rapport d'enquête, Oct - Déc 2005.
[14] Sunday India, 26 octobre 2008
[15] 24 octobre 2005 correspondance entre Arpad Pusztai et Brian John
[16] John M. Burns, "13-Week Dietary Subchronic Comparison Study with MON 863
Corn in Rats Preceded by a 1-Week Baseline Food Consumption Determination with
PMI Certified Rodent Diet #5002," (Etude comparative nutritionnelle
subchronique de 13 semaines menée avec le maïs MON 863 chez le rat précédée
par une évaluation de la consommation alimentaire de référence menée pendant
une semaine avec le régime pour rongeur #5002 certifié par le PMI) 17 décembre
2002http://www.monsanto.com/monsanto/content/sci_tech/prod_safety/fullratstudy.pdf
[17] Alberto Finamore, et al, "Intestinal and Peripheral Immune Response to
MON810 Maize Ingestion in Weaning and Old Mice," (Réponse immunitaire
intestinale et périphérique à l'ingestion de maïs MON810 de souris âgées et
sevrées) J. Agric. Food Chem., 2008, 56 (23), pp 11533 - 11539, 14 novembre
2008
[18] Voir L Zolla, et al, "Proteomics as a complementary tool for identifying
unintended side effects occurring in transgenic maize seeds as a result of
genetic modifications," (La protéomique en tant qu'outil complémentaire pour
l'identification des effets secondaires involontaires induits par les grains
de maïs transgéniques suite à des modifications génétiques) J Proteome Res.
2008 May;7(5):1850-61; Hye-Yung Yum, Soo-Young Lee, Kyung-Eun Lee, Myung-Hyun
Sohn, Kyu-Earn Kim, , "Genetically Modified and Wild Soybeans: An immunologic
comparison," (Graines de soja sauvages et génétiquement modifiées : Une
comparaison immunologique) Allergy and Asthma Proceedings 26, no. 3 (Mai -
juin 2005): 210-216(7); et Gendel, "The use of amino acid sequence alignments
to assess potential allergenicity of proteins used in genetically modified
foods," (Utilisation des alignements de séquences d'acides aminés pour évaluer
le potentiel allergène des protéines utilisées dans les aliments génétiquement
modifiés) Advances in Food and Nutrition Research 42 (1998), 45 - 62.
[19] A. Pusztai and S. Bardocz, "GMO in animal nutrition: potential benefits
and risks," (Les OGM dans l'alimentation animale : bénéfices et risques
potentiels) Chapitre 17, Biology of Nutrition in Growing Animals, R. Mosenthin,
J. Zentek et T. Zebrowska (Eds.) Elsevier, octobre 2005
[20] Hye-Yung Yum, Soo-Young Lee, Kyung-Eun Lee, Myung-Hyun Sohn, Kyu-Earn
Kim, "Genetically Modified and Wild Soybeans: An immunologic comparison,"
(Graines de soja sauvages et génétiquement modifiées : Une comparaison
immunologique) Allergy and Asthma Proceedings 26, no. 3 (Mai - juin 2005):
210-216 (7)
[21] "Mortality in Sheep Flocks after Grazing on Bt Cotton Fields - Warangal
District, Andhra Pradesh" (Mortalité dans les troupeaux de moutons ayant
brouté dans des champs de coton Bt - district du Warangal, Andhra Pradesh)
Rapport sur l'Evaluation Préliminaire, avril 2006,
http://www.gmwatch.org/archive2.asp
[22] Correspondance personnelle et visite, janvier 2009.
[23] Jeffrey M. Smith, , Genetic Roulette: The Documented Health Risks of
Genetically Engineered Foods, (La Roulette Génétique, les risques documentés
pour la santé des aliments génétiquement modifiés) Yes! Books, Fairfield, IA
USA 2007
[24] Arpad Pusztai, "Can Science Give Us the Tools for Recognizing Possible
Health Risks for GM Food?" (La science peut-elle nous donner les outils
permettant d'identifier les risques de santé potentiels induits par les
aliments génétiquement modifiés?) Nutrition and Health 16 (2002) : 73 - 84.
[25] Stéphane Foucart, "Polémique autour d'un OGM," Le Monde, 14 décembre
2004; référence à John M. Burns, "13-Week Dietary Subchronic Comparison Study
with MON 863 Corn in Rats Preceded by a 1-Week Baseline Food Consumption
Determination with PMI Certified Rodent Diet #5002," (," (Etude comparative
nutritionnelle subchronique de 13 semaines menée avec le maïs MON 863 chez le
rat précédée par une évaluation de la consommation alimentaire de référence
menée pendant une semaine avec le régime pour rongeur #5002 certifié par le
PMI) 17 décembre 2002 [lien]
[26] Netherwood et al, "Assessing the survival of transgenic plant DNA in the
human gastrointestinal tract,"(Evaluation de la survie des plantes
transgéniques dans le système digestif de l'Homme) Nature Biotechnology 22
(2004): 2.
[27] Voir les notes sur www.biointegrity.org
[28] José Domingo, "Toxicity Studies of Genetically Modified Plants : A Review
of the Published Literature," (Etudes toxicologiques sur les plantes
génétiquement modifiées: Une revue des publications scientifiques) Critical
reviews in food science and nutrition, 2007, vol. 47, no 8, pp. 721-733
[29] Angela Hall, "Suzuki warns against hastily accepting GMOs" (Suzuki met en
garde contre une adoption précipitée des OGMs), The Leader-Post (Canada), 26
avril 2005.
[30] Kathryn Anne Paez, et al, "Rising Out-Of-Pocket Spending For Chronic
Conditions: A Ten-Year Trend," (augmentation des dépenses de santé relatives
aux maladies chroniques: une tendance sur dix ans) Health Affairs, 28, no. 1
(2009) : 15-25
Traduction française : Équipe Futur Quantique
"Les experts l'affirment : manger des OGM est sans danger pour la santé. Et tous les ans de nouveaux OGM arrivent dans notre assiette. Pourtant, aujourd'hui deux nouvelles études scientifiques révèlent un risque toxique. Pour 90 MINUTES [Ndlr :Canal +] , Michel Despratx raconte l’histoire d’une étude secrète sur un maïs OGM. Sous couvert du secret industriel, le ministère de l’Agriculture français n’a pas voulu rendre public les résultats, alors qu’ils sont inquiétants. Cette étude montre que le maïs OGM a provoqué des lésions sur les organes des rats de laboratoire qui en ont mangé. Comment une agence gouvernementale française, chargée de veiller à la santé des citoyens, ainsi que les instances européennes, ont-elles pu donner leur feu vert à cet OGM en connaissant cette étude ? 90 MINUTES a mené l’enquête en France, en Allemagne, au Luxembourg et à la Commission européenne à Bruxelles. L'enquête révèle qu’une autre étude sur un soja OGM faite par des chercheurs italiens indépendants a mis en évidence que des souris ont subi des altérations de cellules de leur pancréas."
"La raison nous trompe plus souvent que la
nature." Vauvenargues
En 1998, Lorsque le Dr Arpad Pustzai, sommité mondiale dans le domaine du transgénique, a osé révéler, au cours d'une émission à la télévision britannique, que le système immunitaire [ ° ] des rats nourris avec des pommes de terre génétiquement modifiées s'en trouvait endommagé et que leurs organes avaient diminué de taille, cet éminent savant fut renvoyé du Rowett Institute d'Aberdeen, comme un vulgaire malfaiteur.
[° Att ! Le
système immunitaire est un concept fondé sur un dogme].
Le 7 juillet 2003, Andrew Rowell a révélé, dans le Daily Mail, que le Dr
Arpad Pustzai avait été victime de manoeuvres au plus haut niveau
politique, en dévoilant une collusion entre certains personnages du
gouvernement britannique (Tony Blair) et les compagnies de biotechnologie
(Monsanto) qui dépensent des milliards pour contrecarrer l'opposition
publique aux OGM.
Il ne fait décidément pas bon parler des
choses qui fâchent....
L¹émission d¹investigation "90 Minutes" animée par Paul Moreira et Luc
Hermann après six ans d'existence est supprimée de la grille de rentrée de
Canal Plus.
Sans doute gênait-elle un peu trop. Pour preuve de sa liberté de parole, ce
numéro de l¹émission en septembre 2005 qui traitait des OGM...
Saisissant !
Jusqu'où oseront-ils aller ?...
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Marie-Monique Robin, réalisatrice du documentaire Le monde selon Monsanto explique les raisons et le déroulement d’une enquête passionnante qui met gravement en cause une multinationale hautement controversée dans cette interview (vidéo).
Marie-Monique Robin. Née en 1960, lauréate du Prix Albert-Londres (1995). Journaliste et réalisatrice, elle a réalise de nombreux documentaires – couronnés par une dizaine de prix internationaux – et reportages tournés en Amérique latine, Afrique, Europe et Asie. Elle est aussi l’auteur de plusieurs ouvrages, dont Escadrons de la mort, l’école française (La Découverte, Paris, 2004) et L’école du soupçon. Les dérives de la lutte contre la pédophilie (La Découverte, Paris, 2006).
Elle a écrit aussi un livre du même titre "Le monde selon Monsanto" (préface de Nicolas Hulot - coédition Arte Editions / La Découverte - 15.5 x 24 cm - 372 pages).
"Le film retrace l’histoire de Monsanto, une multinationale américaine, aujourd’hui leader mondial des OGM, et considérée comme l’un des plus grands pollueurs de l’ère industrielle (PCB, agent orange, hormones de croissance, roundup...).
Après une enquête de trois ans, en Amérique du nord et du sud, en Europe et en Asie, il reconstitue la genèse d’un empire industriel, qui, à grand renfort de rapports mensongers, de collusion avec l’administration nord-américaine, de pressions et tentatives de corruption, est devenu l’un des premiers semenciers de la planète.
En s’appuyant sur des documents et des témoignages inédits de scientifiques, victimes de ses activités toxiques, avocats, hommes politiques et de représentants de la Food and Drug Administration ou de l’Environmental Protection Agency des Etats Unis, le documentaire montre comment, derrière l’image d’une société propre et verte décrit par la propagande publicitaire, se cache un projet hégémonique menaçant la sécurité alimentaire du monde, mais aussi l’équilibre écologique de la planète." (Plus de détails sur ce film diffusion sur Arte le mardi 11 mars à 21 h).
Les Suisses ont déjà eu l'occasion de voir ce film ; voici un commentaire à ce sujet provenant d'un forum de discussion :"nous les Suisses avons déjà pu voir ce très bon documentaire et c’est.. hum.. comment dire : Incroyable, choquant !! C’est une honte pour tout le genre humain de laisser faire une chose pareille. Et évidemment, qui en subit les conséquences ?? Les pauvres, les paysans individuels honnêtes et les seules personnes dignes qui osent se battre contre. Je suis écoeurée à l’idée de notre monde de demain et je n’ai foi en plus aucune loi." (lire la suite des commentaires).
Vous pouvez visionner la bande annonce du documentaire, voir quantité d’interviews sur le site d’Arte, consulter le blog de la réalisatrice.
Et ne manquez sous aucun prétexte la diffusion le mardi 11 mars à 21h00, sur Arte.
PRIVATISATION du porc selon Monsanto qui veut les breveter :
effarant !!! (vidéo)Autre lien utile :
http://www.rue89.com/2008/02/16/ogm-quand-monsanto-seme-la-terreur
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"Incidences du soja transgénique sur des rats"
BULLETIN INFO OGM N°57 - OCTOBRE 2004
http://www.infogm.org/article.php3?id_article=1984
"La nature, pour être commandée, doit être obéie." Francis Bacon
"Afin de répondre aux questions posées sur l’impact sanitaire des OGM dans l’alimentation humaine et animale, l’équipe du Pr. Biggiogera (Université d’Urbino, Italie) a présenté ses résultats d’études lors du 46ème symposium d’histochimie à Prague. Selon ces résultats, une alimentation à base de soja transgénique de quelques mois (1 à 5 dans l’étude) entraîne, dans les testicules de souris, une modification d’activités enzymatiques, une modification des cellules de Sertoli (impliquées dans le fonctionnement des testicules) ainsi qu’une forte activité de l’ADN témoignant d’une synthèse de protéine accrue. Les auteurs précisent toutefois que, dans cette étude effectuée avec du soja tolérant au glyphosate, les effets peuvent être dus non à la modification génétique de la plante, mais au glyphosate lui-même (1). Les résultats d’une autre étude du même laboratoire étaient également présentés. Elle se basait sur de précédents résultats qui montraient des effets secondaires d’une alimentation à base de soja transgénique sur les cellules du foie (modifications de composants du noyau de ces cellules, impliqués dans les processus de synthèse de protéine). La présente étude montre que ces effets secondaires s’avèrent potentiellement réversibles. Les auteurs reconnaissent ne pas connaître les mécanismes impliqués dans ces phénomènes."
Notes
1, “Transcription and metabolism in testis of mice fed on GM soybean”, Vecchio L. et al., poster présenté lors du 46ème symposium d’histochimie, Prague, 22-25 septembre 2004. 2, “Reversibility of cell nuclear changes in mice fed on GM soybean”, Malatesta et al., poster présenté lors du 46ème symposium d’histochimie, Prague, 22-25 septembre 2004." (cf. Liste des intervenants à ce symposium).
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J'y ajoute ceci : les laboratoires utilisent les rats parce que les caractéristiques de leur organisme sont très proches de celui des humains ; il y a lieu dès lors de prendre ce qui a été mis à jour comme des plus interpellants pour nous. Lors de l’émission-TV d’investigation « Questions à la une » diffusée sur RTBF le mercredi 22 mars en soirée (et relayée sur TV5), on a pu découvrir une interview de ces mêmes scientifiques ; leurs propos ont bien confirmé le contenu de cet article, en ajoutant même que, désirant poursuivre des recherches (rigoureusement scientifiques) dont les résultats étaient certes inattendus et surtout alarmants, ils se sont vus, contre toute attente, refuser tout crédit pour la poursuite de ces recherches devenues pourtant cruciales ! A qui profite donc le « crime » ? On peut se le demander.
La manière dont nous nous nourrissons a une incidence sur notre propre "terrain" et donc directement sur la façon dont les maladies vont apparaître mais aussi sur les rapidité, qualité et volume des somatisations proportionnelles à "l'encombrement" du terrain. C'est une des clés essentielles offertes par la psychobiologie. Notre propre terrain est donc aussi tributaire de tout ce qui nous est ou sera imposé dans notre assiette. Fermez les yeux ne peut que se faire les complices d'une situation future dont on peut craindre le pire "si on les laisse faire" sans réagir ! Je suis assez d'accord avec Einstein quand il disait :
- "Le progrès technique est comme une hache qu’on aurait mise dans les mains d’un psychopathe."
- "
Le monde est
dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause
de ceux qui regardent et laissent faire."
- " Un être humain fait
partie d'un tout que nous appelons "l'Univers" ; il demeure limité dans
l'espace et le temps.
Il fait l'expérience
de son être, de ses pensées et de ses sensations comme étant séparés du reste
-
une sorte d'illusion d'optique de sa conscience. Cette illusion est pour nous
une prison, nous restreignant à nos désirs personnels
et à une affection,
réservée à nos proches.
Notre tâche est de nous libérer de cette prison en élargissant le cercle de
notre compassion afin qu'il embrasse tous les êtres vivants,
et la nature entière, dans sa splendeur..."
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même si le doute ne semble plus permis sur les incidences organiques au vu d'expériences rigoureusement scientifiques réalisées
par des Italiens et largement relayés (voir en fin de page), on peut se demander
pourquoi donc les gouvernements n'ont-ils pas déjà interdit purement et simplement les OGM :
car on dépasse et de loin maintenant (°) l'application du seul "principe de précaution" !
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"On se fiche de nous... et ce n'est malheureusement pas la première fois ! :
Les demandes
d'autorisation pour les nouveaux essais d'OGM en plein champ sont
disponibles sur le site du gouvernement :
http://www.ogm.gouv.fr/experimentations/consultation_public/consultation_public.htm
A cette occasion, le gouvernement avait organisé une consultation par internet d'une très courte durée (14 au 28 avril 2006) et avec bien peu de publicité !
En avril 2006, on trouvait sur le même site les résultats de la consultation de l'année dernière et serez peut-être surpris de constater que sur 2451 réponses seules 101 étaient favorables aux essais..., ce qui n'a évidemment pas empêché le gouvernement de les autoriser. Son seul problème est de pouvoir affirmer qu'il a effectivement organisé une consultation.
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Ce qu'on en dit sur le site de GREENPEACE France
"Nous considérons que, dans l'état actuel des connaissances et des rapports de force qui s'instaurent entre les industries, d'une part, les agriculteurs et les consommateurs, d'autre part, il est prudent de ne pas autoriser la dissémination commerciale des OGM. Nous demandons en revanche que se poursuivent, avec toute la sécurité requise, les recherches pour explorer la diversité des risques générés par ces biotechnologies. Nous restons particulièrement préoccupés par les répercussions sur l'environnement, les risques en matières de santé publique, et les implications socio-économiques sur l'agriculture en France et dans le monde." (plus de détails)
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Etude du Dr Irina Ermakova,
Voici aussi l'étude (http://www.intelligenceverte.org/omg-rats.asp)
du Dr Irina Ermakova, chercheuse à l'Académie des sciences de Russie : au bout
de trois semaines, 56% (!) des rats nourris au soja OGM sont morts, contre 7%
dans l'échantillon témoin (pas de soja) et 9% des rats nourris au soja
non-OGM.
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Expérience de Hinze Hogendoorn
Voir aussi l'expérience de Hinze Hogendoorn (http://www.ephphata.net/ecologie/la-menace-OGM1.html)
qui a révélé que les souris préféraient naturellement la nourriture sans OGM
et lorsqu'elles n'avaient d'autre choix que de se nourrir d'OGM, elles en
mangeaient plus et grossissaient moins.
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Pour ceux qui n'ont pas l'âme d'un faucheur de champs d'OGM, il est
possible d'agir en simple consommateur (qui est roi, on l'oublie trop).
Les produits comportant plus de 0,9% d'OGM doivent être étiquetés comme
tels. Pour vous aider, Greenpeace publie un guide des produits avec et
sans OGM : si c'est rouge (Nestlé, Lu, Findus, Danone, Yoplait, Candia,
Knorr, Bridel, Lactel, Haribo, Léonidas, Slim Fast, etc.) méfiance ; si
c'est vert (label AB, Carrefour, Picard, Fleury Michon, Bonduelle, Jeff
de Bruges, Barilla, etc.) vous pouvez consommer en toute tranquillité.
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Sur le front des OGM : bonnes nouvelles
"L'espoir de l'avenir, il est dans la nature et dans les hommes qui restent fidèles à la nature."
Félix-Antoine Savard
Alors que l’organisation Mondiale du Commerce (OMC) a tranché en faveur de la libre importation des OGM en Europe, la Journée Internationale d’Opposition Collective aux OGM (JIGMOD) et l'action des citoyens commencent à porter leur fruits: 4 victoires sont a saluées.
4 victoires sont a saluer:
. Le parlement polonais vient d'interdire la commercialisation de semences OGM en Pologne (plus gros pays agricole des nouveaux de l'UE), qui sera donc indemne d'OGM cette année. D'autant plus important que la Pologne est généralement très alignée sur les positions US.
. En France, le tribunal de grande instance de Bobigny annule la saisie des comptes de la confédération paysanne par Monsanto, reconnaissant l'inexistence juridique de Monsanto France SA. La conf s'interroge sur la légalité de toutes les activités OGM exercées par Monsanto France depuis 2001.
. En France, le Conseil d'Etat, la plus haute juridiction administrative française, a annoncé vendredi avoir décidé d'annuler deux décisions du ministère de l'Agriculture autorisant la société américaine Monsanto à expérimenter des variétés de maïs génétiquement modifié, car le dossier technique comportait pas de données suffisantes en ce qui concerne la localisation des opérations de dissémination envisagées.
. Le Conseil d'Etat a annoncé vendredi avoir décidé de confirmer l'interdiction du pesticide Gaucho en France, en rejetant les requêtes de son fabricant Bayer corpscience et des syndicats de producteurs de maïs.
Merci pour les abeilles, la planète, l'environnement, les humains.
Post-scriptum : le gouvernement français (sans plus en faire l'information publique) prolonge d'une semaine sa consultation sur les OGM . Vous pouvez donc encore manifester votre refus des Organisme Génétiquement Modifiés dans les champs et dans les assiettes, à la veille du vote à l'Assemblée Nationale, en adressant un mail "Non aux OGM" à l'adresse suivante : BRAB.SDRRCC.DGAL@agriculture.gouv.fr . Vous pouvez aussi adresser une lettre ou un mail (modèle ci-dessous) au député et au sénateur de votre circonscription pour les obliger à prendre position publiquement (l'adresse de votre député sur : http://www.assemblee-nationale.fr/12/tribun/comm4.asp , l'adresse de votre sénateur : http://www.senat.fr/elus.html .
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"Les OGM pas nécessaires pour 2/3 des agriculteurs "
"61% d'entre eux sont favorables au maintien du moratoire sur les OGM, "le
temps que les recherches avancent".
"Selon une consultation chez Terrena, publiée mercredi 5 mars, 66% des
agriculteurs considèrent que les cultures OGM ne sont pas nécessaires pour
répondre aux besoins croissants de produits agricoles.
Sur les 26.000 adhérents de la première coopérative agricole française,
3.100, soit 12%, ont répondu à un questionnaire distribué début janvier sur
l'utilisation des OGM, des produits phytosanitaires ou encore des engrais
chimiques.
Pour 54% d'entre eux, les OGM représentent un vrai danger pour la diversité
des filières et des modes de production, 61% sont favorables au maintien du
moratoire sur les OGM, "le temps que les recherches avancent", et seulement
20% sont prêts à semer des cultures OGM dans leur exploitation si la loi les
y autorise.
Cette enquête a été commentée avec prudence par la coopérative qui a décidé
cependant "de ne pas commercialiser de semences OGM en 2008 et 2009 même si
la loi l'autorise", a indiqué Olivier Chaillou, membre du bureau de Terrena.
Continuer la recherche
Le document montre encore que, si 69% demandent le maintien pour la
nutrition animale d'une offre de soja non OGM, ils estiment que la recherche
dans le domaine des OGM est nécessaire.
"Les adhérents nous disent de rester prudents mais de rester actifs",
rapporte Olivier Chaillou. Les dirigeants de Terrena ont annoncé le
développement de leur pôle de recherches et développement avec notamment la
création de veilles technologiques actives et de partenariats dans la
recherche pour les nouvelles technologies.
"On ne peut pas continuer à produire comme on le faisait hier", a souligné
Marcel Placet, vice-président de Terrena, et le directeur général Alain
Guillemin a souhaité l'orientation de la coopérative vers une "agriculture
écologiquement intensive"."
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Une mauvaise nouvelle :
boom annoncé des cultures d'OGM en France en 2007
LExpansion.com
"Au moins trente mille hectares d'OGM (organismes génétiquement modifiés) seront cultivés en France en 2007 contre 5.000 ha en 2006 et moins de 1.000 ha en 2005, a prédit Daniel Chéron, directeur général de Limagrain, actionnaire majoritaire du semencier Vilmorin. "Nous devons faire face à une importante demande des agriculteurs qui souhaitent cultiver du maïs OGM dans le sud-ouest", a-t-il déclaré jeudi lors d'une conférence de presse. Pour M. Chéron, le développement de ce type de cultures ne pourra que se poursuivre même si le gouvernement français vient, une nouvelle fois, de repousser l'examen par le Parlement du projet de loi sur la question. Les semences vendues aux agriculteurs français proviennent d'Espagne où elles obtiennent l'homologation européenne, a précisé M. Chéron. Vilmorin a décidé de développer sa recherche sur les OGM en Inde -où il vient d'investir 5 millions d'euros pour acquérir 4,3% du capital de la société de biotechnologies Avesthagen-, en Israël et aux Etats-Unis, plutôt qu'en Europe où la recherche "ne va pas complètement disparaître" toutefois avec les deux laboratoires conservés à Clermont-Ferrand et à Toulouse."
http://www.lexpansion.com/art/1.0.153962.0.html?xtor=RSS-3
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Une autre bien triste nouvelle : la condamnation de l'Association Kokopelli
Condamnation judiciaire de l'Association Kokopelli pour avoir commercialisé des anciennes variétés de graines.
("De mémoire, en France toutes les graines et produits de traitement doivent
être dans un registre sinon elles sont illégales" me confie Olivier)
"Il faut être réaliste : les semences que défend
l’association Kokopelli, étant maintenues dans l’illégalité par une volonté
politique, nous ne pouvions pas gagner ces procès."
http://www.kokopelli.asso.fr/proces-kokopelli/gnis-fnpsp6.html
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"La nature ne fait rien sans objet." Aristote
"Avant de montrer qu'elles sont fausses, voici quelques citations :
Nous donnons ici des explications sur les enjeux alimentaires et laissons à une page spéciale l'enjeu des allergies. En gros, les risques sont de deux types. Le premier est constitué de transferts de gènes depuis l'aliment OGM vers des bactéries ou des organismes plus évolués (humains, animaux, ...). Le deuxième est lié aux effets dus à l'imprécision de l'insertion (effets pléiotropiques). Les explications ci-dessous peuvent être complétées par des arguments plus formels (niveau 2) qui satisferont les spécialistes.
Nous concluons, à l'absence de certitudes définitives sur les (nombreuses) questions qui se posent. Bien qu'inconnus, on peut penser que ces risques alimentaires ne sont peut-être pas les plus importants. Le fait qu'ils aient été négligés par les plus grandes institutions scientifiques (Académies des sciences, ...) et administratives (Etat, instances de régulations, ...) introduit au moins à l'enjeu politique que posent les OGM : peut-on faire confiance aux instances de régulations, à l'État, et aux chercheurs scientifiques (qu'ils soient du secteur public ou privé !) ?" (lire la suite)
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La publication par Greenpeace d’une carte de France indiquant les parcelles OGM (trouvées par des militants), a été interdite par la Justice française . Greenpeace l'a retiré de son site internet, mais elle est encore disponible sur d’autres sites, comme celui du WWF. Pourtant, la France paie, depuis 2001 (!), une amende de 100.000 € / jour à l’Union européenne par faute de ne pas respecter la directive obligeant les états à publier la carte de localisation des parcelles OGM ! Cherchez-y un soupçon de logique au pays de Descartes !
Source : Silence www.wwf.fr/googlemap.php
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"LE VIVANT NE RECONNAIT QUE LE VIVANT" Par le Pr Jacqueline BOUSQUET (Docteur ès Science, Biologie, Biophysique, chercheur honoraire au C.N.R.S., chargée d'enseignement à la Faculté Privée des sciences Humaines de Paris Conférencière, Ecrivain)
"Le vivant se nourrit de formes en les déformant (mastication des aliments), pour récupérer l’information qu’elles contiennent. Quelles informations y a-t-il :
- dans les farines issues de l’équarrissage ?
- dans les produits de synthèse utilisés à outrance dans les sols et l’alimentation animale et humaine ? Ces derniers, à cause de leur stéréochimie, ne sont pas reconnus par le vivant. Les substances agissant à doses infimes — comme les vitamines ou les oligo-éléments — doivent être surdosées pour avoir un effet biologique. Mais à ces doses, ils sont toxiques !
C’est ainsi que l’analyse chimique d’un fruit provenant de l’agriculture intensive peut indiquer la présence d’une quantité de vitamine C à peu près équivalente à celle trouvée dans une pomme cultivée selon le cahier des charges de l’agriculture biologique. Mais elle ne tient pas compte de son activité biologique infime en intensif ni de la pollution de l’organisme et des sols par tous les traitements chimiques utilisés ! L’agriculture biologique est respectueuse de la physiologie de la terre et des animaux. Les végétaux, comme les animaux et les humains, récupèrent les informations provenant du catabolisme — qui précède l’anabolisme — les deux étant les termes opposés rendant compte du métabolisme. L’agriculture intensive et l’élevage industriel — qui n’utilisent que la chimie dont on sait qu’elle n’apporte aucune information compatible avec la vie — sont aussi responsables de l’affaiblissement du règne végétal, animal et humain (étant en bout de chaîne alimentaire) !
Les plantes — qui nourrissent le sol lors de leur décomposition dans la terre (humus, compost) — permettent aux suivantes de profiter de leur “ adaptation à l’environnement ”. Les hybrides (stériles) et autres produits issus de manipulations dues aux matérialistes ne permettent plus aux plantes de s’adapter. On constate alors leur affaiblissement général et leur incapacité à résister aux prédateurs, aux maladies, aux émissions solaires) etc. La fuite en avant consiste à palier cette défaillance provoquées par l’homme par toujours plus de chimie, des OGM., etc. ! "
"Si nous prenons la nature pour guide, nous ne nous égarerons jamais."
Cicéron
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L'avis du Professeur Jean Testart
Jean
Testart, corps
Directeur de Recherche honoraire à l'I.N.S.E.R.M.
Formation d'agronome et biologiste.
"«La recherche
en médecine est depuis toujours intimement liée à la notion de « progrès de
l'humanité ». Mais cette vision aveuglante fait oublier que la thérapie
génique, tout comme les OGM, a tendance à réduire la complexité du vivant en
l'assimilant à une sorte de Meccano dont on pourrait changer les pièces
" (…)
"Les OGM sont disséminés sans nécessité puisqu’ils n’ont pas démontré leur potentiel et présentent des risques réels pour l’environnement, la santé et l’économie. Ils ne sont donc que des avatars de l’agriculture intensive qui permettent aux industriels de faire fructifier les brevets sur le vivant. Au contraire, les essais thérapeutiques sur les humains sont justifiés quand ils sont la seule chance, même minime, de sauver une vie. Mais il est contraire à l’éthique scientifique (et médicale) de faire miroiter des succès imminents des uns ou des autres. "
Il écrit encore : "Le but de cette manipulation est de faire acquérir à l'OGM des propriétés nouvelles, que même l'évolution au long cours n'aurait pas pu inventer puisque, par exemple, il est hautement improbable qu'un gène de poisson parvienne naturellement à intégrer le génome de la fraise … On espère ainsi conférer à l'espèce des qualités inédites, ou lui faire produire des substances utiles. En fait, le même terme « OGM » recouvre des cibles très différentes auxquelles s'attachent des risques et des avantages qui ne sont pas comparables."
Enfonçant le clou avec des arguments scientifiques probant, le Pr Jacques Testart pose ensuite cette question cruciale :
"Qui croit encore aux plantes transgéniques ?" (27/7/09)
"Les industries semencières agitent fortement leurs lobbies bruxellois
pour faire passer 2 types de dispositions, apparemment sans lien avec la
guerre qu’elles mènent depuis 15 ans pour imposer les plantes transgéniques
(PGM).
L’une concerne les plantes obtenues par mutagenèse « incitée » grâce à des chocs violents (chimiques, physiques, radioactifs) qui provoquent des modifications aléatoires du génome, dont parfois des traits supposés « favorables ». Ces plantes, qui sont des OGM selon la définition de la directive européenne 2001/18, génèrent
les mêmes risques pour la santé et l’environnement que celles obtenues par trangénèse. Pourtant elles ont été miraculeusement exclues du champ d’application de cette directive, ce qui permet aux industriels d’éviter les évaluations des PGM… et les foudres des consommateurs.L’autre disposition permettrait de breveter des variétés issues de croisements traditionnels, le brevet étant une prérogative du propriétaire jusqu’ici réservée aux PGM (et donc aussi aux plantes mutantes). L’Office européen des brevets (OEB) est assailli de telles demandes : près de 500 en 2008 ! S’il répond favorablement, les compagnies privées pourront progressivement contrôler l’accès aux semences (prix, disponibilité, interdiction de ressemer,…). Ces manœuvres ne veulent pas dire que l’offensive des PGM est terminée. Pour preuve, les industriels ont fait pression sur le gouvernement mexicain et obtenu enfin (décret du 6 mars 2009) la culture de maïs transgénique dans ce pays. Il s’agit d’un « crime historique contre les peuples du maïs, contre la biodiversité et contre la souveraineté alimentaire, contre dix mille ans d’agriculture paysanne et indigène qui ont légué cette semence pour le bien commun de tous les peuples du monde » fustige justement une pétition qui souligne que les milliers de variétés présentes uniquement dans ce centre d’origine du maïs risquent d’être toutes polluées par l’introduction des transgènes. Pourtant ces offensives variées pour la propriété du vivant laissent penser que Monsanto et consorts ne misent plus exclusivement sur les PGM. Comme s’ils comprenaient enfin que leurs promesses aguichantes (PGM pour sols secs ou salés, productivité augmentée, résistances durables aux parasites,…) sont techniquement très aléatoires et socialement conflictuelles.
Les stratégies nouvelles se veulent donc plus « naturelles » : trier
l’existant, même s’il a été un peu forcé, plutôt que bricoler l’ADN… Nombre
d’écolos se font peur avec les HGM (hommes génétiquement modifiés) comme si
la technoscience pouvait réussir pour l’homme ce qui échoue pour le maïs !
Les faits récents indiquent plutôt que la « maîtrise du vivant » passera
surtout par la sélection des meilleurs éléments parmi tous ceux disponibles,
sans qu’on ne leur ait rien ajouté. Pour un usage moderne de cette stratégie
de l’eugénisme classique, il suffit de multiplier les génomes en vue de les
trier : par l’induction de mutations en tous sens chez les végétaux ou par
la production massive d’embryons chez les animaux… ou chez l’homme !"
Le Pr Jacques Testart s'est déjà exprimé sur ce qui sous-tend toute ces manipulations multiples éhontées et dogmatiques du génome et qui se révèlent n'être que de véritables et dispendieuses (en peur perte) mythologies : celle de l'ADN et celle de la thérapie génique.
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Modèle de texte à adresser aux élus de votre circonscription:
Mr ou Mme (votre nom, prénom et adresse)
Objet : Lettre d'un électeur de votre circonscription : Non aux OGM dans mon assiette et dans les champs
Monsieur le député/ ou Mr le Sénateur,
Je me permets de vous adresser cette lettre car vous allez être prochainement amené à vous prononcer sur une loi sur les organismes génétiquement modifiés (OGM). Le projet de loi dont vous allez discuter vise à transposer en droit français la directive européenne 2001/18 qui fixe les conditions de dissémination des OGM dans l'environnement.
Comme la grande majorité de mes concitoyens (76% des Français), je refuse les OGM dans mon assiette et dans les champs.
Le débat est présenté comme opposant la science et le progrès à l’irrationalité des réflexes populaires.
A y regarder de plus près, de nombreux travaux scientifiques révèlent l’existence de risques avérés pour la santé humaine
et animale, l’environnement et les systèmes agraires de qualité.
Ils montrent aussi que l’expertise officielle (CGB, EFSA) ne donne que des avis partiels, au vu des évaluations
elles aussi partielles et parfois tronquées fournies uniquement par les firmes productrices d’OGM.
Voilà pourquoi je vous demande de voter pour une loi fondée sur le principe de précaution et qui nous protège des OGM..
Une légalisation de la coexistence pourrait, en l’état actuel des connaissances, devenir une erreur politique irréversible.
Pour cela, il vous faut défendre :
• le droit et la possibilité des paysans et des consommateurs à produire et à se nourrir sans OGM
• la primauté des systèmes agraires conventionnels et biologiques sur l'agriculture transgénique, et une séparation stricte des filières du champ à l'assiette
• un régime de responsabilité strict et sans faute qui implique tous les acteurs de la filière OGM et applique le principe « pollueur payeur » inscrit dans la Constitution
• la protection particulière des semences contre toute contamination génétique
• la publication à l’avance dans des registres publics de la localisation de toutes les parcelles OGM
En absence d'une loi réellement protectrice de l'environnement et des citoyens, un moratoire sur les cultures d'OGM doit être instauré.
J’observerai attentivement vos efforts à l'Assemblée nationale/au Sénat pour combattre une légalisation de la contamination génétique et j’espère que vous défendrez une loi « anticontamination ».
Je vous prie d’accepter, Monsieur le député/le Sénateur, mes sincères salutations
Voici encore d'autres idées
parmi lesquelles vous pourrez "piocher" les
arguments de votre choix.
Je suis totalement
opposé aux cultures d'OGM en plein champ.
Aucun avantage social n'existe à ce jour pour la société, les seuls
avantages recensés étant ceux des semenciers
et de leurs actionnaires.
Je
conteste le principe même de coexistence entre cultures OGM et non OGM car
les risques avérés de contamination montrent suffisamment que cette
coexistence est impossible et quelle mènerait à une contamination
généralisée conduisant notamment
à la
disparition des cultures labellisées.
J'estime que la déontologie scientifique n'est
pas respectée par le fait que les organismes consultés en vue des
autorisations
(Commission du Génie Biomoléculaire...)
n'utilisent que les tests toxicologiques effectués par les firmes
elles-mêmes.
Or plusieurs études récentes, réalisées par
des chercheurs crédibles et publiées dans des revues scientifiques,
concordent pour jeter un doute sur la totale
innocuité des OGM par le fait qu'ils suscitent des effets biologiques sur
des rats de laboratoire. Ces effets devraient être plus largement
étudiés pour disposer dune réelle expertise scientifique qui se doit d'être
plurielle.
Dans l'état actuel des connaissances sur la
santé humaine qui sont donc insuffisantes,
c'est le principe de précaution devenu constitutionnel depuis 2005, qui doit
s'appliquer.
Je
m'oppose aux OGM en plein champ car ils vont dans le sens dune agriculture
toujours plus productiviste
en
raison de la volonté des multinationales agro-semencières de rentabiliser
au maximum les quelques variétés brevetées
pour
lesquelles elles ont consenti de lourds investissements. Ce modèle agricole
basé sur la grande monoculture,
très
consommateur d'énergie et d'intrants n'est ni exportable ni durable.
Dopé
par les OGM, il sera encore plus destructeur de la paysannerie, de
l'environnement et de la biodiversité.
Je
suis révolté par le fait que quelques multinationales agro-semencières se
servent des OGM
pour
tenter de dominer la production et la distribution des semences des
principales ressources alimentaires mondiales.
Je
suis donc totalement opposé aux cultures d'OGM en plein champ.
"Jamais la nature ne nous trompe ;
c'est toujours nous qui nous trompons."
Jean-Jacques Rousseau
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Les OGM : Mise au
point scientifique La conférence abordera les
aspects techniques des organismes génétiquement modifiés : que sont-ils
exactement, comment sont ils fabriqués réellement, y a-t-il une différence
entre OGM et organisme transgénique. La
conférence sera assurée par une scientifique de haut niveau, spécialisée
dans le domaine. Il n'y aura pas de débats prévus.
Intervenant : Marie-Ange Benoit, Docteur en sciences
Inscription
auprès de Luc Welcomme (info@cewede.be)
Approche anatomique et utilisation du modèle compartimental. La première
partie de la conférence sera consacrée à la description détaillée de la
structure de notre peau. La
conférence sera assurée par un scientifique attaché à l'IHMN, spécialisé
en anatomie et physiologie.
Intervenant : Luc Welcomme, Docteur en sciences
Inscription
auprès de Luc Welcomme (info@cewede.be)
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Jeudi
15/02/2007 à 14h à Namur, Rue de Bomel, 154
Coût : 10
€ pour les membres (15 € pour les non membres). Pharmacodynamique
du tégument
Quels sont les facteurs pris en compte dans la compréhension du devenir
d'une substance placée sur la peau.
Jeudi
08/03/2007 à 14h à Namur, Rue de Bomel, 154
Coût : 10
€ pour les membres (15 € pour les non membres).
Le Commissaire européen à l'Environnement, Stavros Dimas,
s'est courageusement opposé aux grandes compagnies de l'agrobusiness
en proposant l'interdiction de la culture de deux maïs OGM (le Bt11 et le 1507)
développés par les firmes Syngenta et Pioneer/Dow. (octobre 2007)
"Des scientifiques ont en effet démontré que la culture de ces OGM censés
combattre des insectes nuisibles au maïs pouvait provoquer des conséquences
graves, notamment sur des insectes non nuisibles du maïs, comme le papillon
monarque ou sur des 'organismes non ciblés' comme des oiseaux. Récemment, il a
également été prouvé que les écosystèmes aquatiques pouvaient aussi être
affectés.
Si la proposition de Dimas était adoptée, il s'agirait
d'un véritable tournant. Très favorable aux OGM, la Commission a jusqu'à
présent toujours donné son feu vert aux demandes d'autorisation d'OGM Et les
autres Commissaires européens, par peur de froisser les puissants intérêts
pro-OGM, notamment américains, risquent de s'opposer à l'initiative courageuse
de Stavros Dimas. Mais celui-ci vient de confirmer publiquement sa position. «
Le risque est trop élevé pour l'environnement selon plusieurs études
scientifiques récentes, a indiqué M. Dimas à Bruxelles le 22 novembre.
J'envisage de donner un avis négatif pour la demande d'autorisation. »
Il faut absolument soutenir la position prise par Stavros Dimas, qui, si elle
est adoptée par la Commission européenne, sera le premier rejet d'OGM dans
l'histoire de la Commission européenne et représentera un pas décisif pour une
Europe sans OGM. Une mobilisation massive est nécessaire pour cette
opportunité historique !
Cap sur les 100 000 signatures
Le plus grand nombre possible d'Européens doivent interpeller la Commission
européenne pour que la santé publique et l'environnement priment sur les
intérêts de quelques multinationales et que les maïs Bt11 et 1507 ne soient
pas autorisés.
Signez et faites signer la pétition à destination de Manuel Barroso, Président
de la Commission européenne, et aux Commissaires Dimas, Kyprianou
(consommateurs), Fischer-Boel (agriculture) et Barrot (transports). Plus de 75
000 européens l'ont déjà signée en quelques semaines, dont 10 000 en France...
La pétition française s'adresse également à Jacques Barrot, Commissaire
européen aux transports, car il votera également sur la proposition de Stavros
Dimas et doit tenir compte de l'avis des citoyens français et de la nouvelle
ligne politique française sur les OGM à l'issue du Grenelle de
l'environnement."
http://www.arsitra.org/yacs/articles/view.php/679/premier-rejet-d-ogm-dans-l-histoire-de-la-commission-europeenne
Greenpeace propose un texte de lettre à envoyer aux Commissaires européens : http://write-a-letter.greenpeace.org/332
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Ce qui expliquerait la survenance des maladies :
Ce qui se passe lorsque la peur de... (exemple : attraper une maladie) ne se résout pas.
Un cas surprenant : un cytomégalovirus qui fait une volte-face étonnante !
Exemple de guérison avec l'aide de la psychobiologie (col de l'utérus)
D'autres cas de mal-à-dire qui se forgent dans le ventre maternel.
Les hamsters enfumés (tabac) attrapent-ils le cancer
Le cerf qui perd son territoire et l'infarctus ?
"Le langage de la guérison" (J.-J. Crèvecoeur)
Ce qui se passe lorsqu'une brebis s'égare.
Ne vous agrippez pas à la grippe !
Là où la psychobiologie moderne rentre en résonance avec les médecines primitives :
"Que notre vie intérieure s’enlaidisse et nous risquons fort de tomber malades ? (...)
On sait bien que les traumatismes affectifs, les ruptures, les non-dits graves, les amertumes, les haines…
sont autant de “laideurs intérieures”, qui provoquent notamment des cancers" :
"Les Clés de la santé indigène" (Jean-Pierre Barou & Sylvie Crossman aux éd. Balland)
En savoir plus sur la psychobiologie.
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